1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
1 pour assister à la cérémonie de la pose du point final de « Cinématoma ou les épanchements de la jeune Synovie », parade « n
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
2 ges au bon sens peuvent être légitimés par le but final de notre institution-tabou. 1. Je ne puis naturellement pas mention
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
3 ges au bon sens peuvent être légitimés par le but final de notre institution-tabou.   1. Je ne puis naturellement pas menti
4 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
4 si M. Brunschwicg croit ou non à la divinisation finale de l’homme par le progrès des sciences exactes ? ») d’aimables biogra
5 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
5 ccessives, il achemine l’espèce vers un équilibre final , réplique morne et désespérée du millenium chrétien. Nous n’en sommes
6 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
6 uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre final , morne réplique du millénium chrétien. Les autres, avec Proudhon, ref
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
7 ère escarmouche, un entraînement pour le « combat final  » où le Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne
8 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
8 et Dandieu. Il faudrait pouvoir citer ici la page finale que Dandieu ajouta de sa main, sur épreuves, quelques jours avant sa
9 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
9 e regard les apparences actuelles et l’ordonnance finale qui les informe et qui les juge. J’imagine d’abord ce réalisme comme
10 ondée en doctrine, ou qui trahit ses buts humains finaux , aboutit fatalement à l’étatisme renforcé. 14. Pour le chrétien, cet
10 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
11 c’est que l’un des prodromes du mal dont la crise finale s’appelle dictature, réside dans notre culte du « pratique », dans la
11 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
12 e tactique, et tout à fait provisoire. Que le but final était bel et bien la libération de l’homme complet, spirituel compris
12 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
13 ccessives, il achemine l’espèce vers un équilibre final , réplique morne et désespérée du millenium chrétien. Nous voici donc
13 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
14 Il leur confère une sorte d’autonomie. Et le but final  : la libération de l’individu, reste toujours hétérogène à ces moyens
15 n marxiste de le nier, en se référant aux phrases finales du Manifeste communiste, à certaines lettres de Engels, etc. Les phil
14 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
16 uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre final , triste réplique du millenium chrétien. Les autres, avec Proudhon, re
15 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
17 ine, si petit qu’il soit, que revient la décision finale . Peu importe que ce groupement ait ou non provoqué lui-même l’insurre
18 amment préparées. Cette tactique, infidèle au but final de la doctrine de Marx (an-archique), n’a pas tardé à poser des probl
16 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
19 c’est que l’un des prodromes du mal dont la crise finale s’appelle dictature, réside dans notre culte du « pratique », dans la
17 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
20 e tactique, et tout à fait provisoire. Que le but final était bel et bien la libération de l’homme complet, spirituel compris
18 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
21 ccessives, il achemine l’espèce vers un équilibre final , morne réplique du millenium chrétien. Nous voici donc en face de deu
19 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
22 Il leur confère une sorte d’autonomie. Et le but final  : la libération de l’individu, reste toujours hétérogène à ces moyens
23 n marxiste de le nier, en se référant aux phrases finales du Manifeste communiste, à certaines lettres de Engels, etc. Les phil
20 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
24 uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre final , triste réplique du millenium chrétien. Les autres, avec Proudhon, re
21 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
25 ine, si petit qu’il soit, que revient la décision finale . Peu importe que ce groupement ait ou non provoqué lui-même l’insurre
26 amment préparées. Cette tactique, infidèle au but final de la doctrine de Marx (anarchique), n’a pas tardé à poser des problè
22 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
27 atteindrons un jour des buts magnifiques”. Un but final plane devant les regards de l’homme. Le christianisme, qui maudit l’h
23 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
28 t là son jeu, délibéré, comme l’est aussi le coup final  : car l’excès même de cette intensité finit par faire éclater tout le
24 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
29 n Sauveur. Ce dernier exemple fait sentir l’échec final de toute méthode historique qui voudrait nous rendre « contemporains 
25 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
30 nition de la culture, de ses moyens et de son but final . b) qu’est-elle devenue en théorie et en pratique sous les divers rég
26 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
31 ndition que le sentiment poignant de cette vanité finale n’empêche pas de servir quand il faut. C’est ce que j’appelle du pess
27 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
32 ée par une grande œuvre, rende raison à la vérité finale que cette œuvre a voulu nier. Descendons jusqu’à nous. Il se peut que
33 tenons avec le monde. » Etc.) Quant au paragraphe final sur mes « convoitises célestes », je crains bien que certains n’y voi
28 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
34 pel permanent et la conscience actuelle de ce but final suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines de création, d’es
35 hoisissons nos buts prochains au nom d’une vérité finale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réa
29 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
36 parce qu’il a fait erreur sur l’homme. La phrase finale de ce livre sur l’URSS, c’est à l’auteur que nous l’appliquerons : c’
30 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
37 ommettre une erreur toute semblable sur la raison finale du communisme et sur la fatalité morne qu’elle comporte : la réductio
31 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
38 e ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en
32 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
39 el permanent, et la conscience actuelle de ce but final , suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines de création, d’e
33 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
40 n qu’il y engage tout ? Où trouver ce « fondement final  » de toute communauté réelle et actuelle, ce télos qui anime tout, qu
41 e posais tout à l’heure : où trouver le fondement final de toute communauté réelle et actuelle ? je suis donc amené à répondr
42 que pas la certitude d’obéir au seul appel du but final . Cette méthode sera la mesure que nous cherchons : à la fois intime e
34 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
43 hoisissons nos buts prochains au nom d’une vérité finale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réa
35 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
44 ris ; mais je les juge dans la perspective du but final , commun à la culture et aux activités les plus diverses de la nation 
36 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
45 ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude finale . Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meilleur mo
46 e limitation voue l’entreprise humaine à un échec final  ; au jugement dernier. En même temps, elle est le ressort de toute ac
37 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
47 ommettre une erreur toute semblable sur la raison finale du communisme et sur la fatalité morne qu’elle comporte : la réductio
38 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
48 e ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en
39 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
49 el permanent, et la conscience actuelle de ce but final , suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines de création, d’e
40 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
50 n qu’il y engage tout ? Où trouver ce « fondement final  » de toute communauté réelle et actuelle, ce télos qui anime tout, qu
51 e posais tout à l’heure : où trouver le fondement final de toute communauté réelle et actuelle ? je suis donc amené à répondr
52 que pas la certitude d’obéir au seul appel du but final . Cette méthode sera la mesure que nous cherchons : à la fois intime e
41 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
53 hoisissons nos buts prochains au nom d’une vérité finale qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réa
42 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Préambule
54 ris ; mais je les juge dans la perspective du but final , commun à la culture et aux activités les plus diverses de la nation 
43 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
55 ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude finale . Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meilleur mo
56 e limitation voue l’entreprise humaine à un échec final  ; au jugement dernier. En même temps, elle est le ressort de toute ac
44 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
57 que la réforme organique de la presse est le but final . Dans cette partie, on réunira petit à petit, une documentation préci
45 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
58 imilées, créatrices de disciplines.) Ainsi le but final , le télos de toute politique, c’est la suppression de l’État, la libé
46 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
59 ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse finale d’une envolée tout à la fois patriotique, républicaine, et tolérante.
60 ’une révélation à venir, et d’une « consolation » finale . (Consolation signifiant selon l’étymologie : unification, harmonisat
61 s formulables, du moins… d’angoisse, ou de vision finale , qu’il s’agit de maintenir par un constant effort entre nos belles sé
47 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
62 ien ne me paraît plus frappant que la convergence finale des faits que l’on a rappelés dans ce numéro, des questions qu’on y a
63 C’est l’unité originelle, et peut-être future et finale , des diversités de l’Europe, symbolisées par nos trois langues, nos d
48 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
64 la doctrine de Marx ? Qu’importe, puisque le but final est la richesse, mère du bonheur. N’est-ce pas là ce que voulait Marx
65 our plus de clarté. Il me paraît que l’opposition finale entre la croyance marxiste et la foi personnelle du chrétien suffit à
66 la réalité de mes espérances. » Mais l’espérance finale du communisme, c’est la libération de l’homme. Et moi je lui montre u
67 ’aller au-delà, d’aller jusqu’à l’accomplissement final . Car cet accomplissement, ou plénitude, n’est jamais qu’un futur théo
68 ne « dialectique » ses négations actuelles du but final de Marx. Il légitime son étatisme totalitaire en arguant que c’est le
49 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
69 ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse finale d’une envolée tout à la fois patriotique, républicaine, et tolérante.
70 ’une révélation à venir, et d’une « consolation » finale . (Consolation signifiant selon l’étymologie : unification, harmonisat
71 s formulables, du moins… d’angoisse, ou de vision finale , qu’il s’agit de maintenir par un constant effort entre nos belles sé
72  ; mais aujourd’hui tout se passe comme si le but final était bien moins de nous réaliser que d’informer un monde neuf, qui e
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
73 imilées, créatrices de disciplines.) Ainsi le but final , le télos de toute politique, c’est la suppression de l’État, la libé
51 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
74 ture et d’un ordre social, le principe initial et final régulateur et en même temps animateur de toutes les œuvres d’une nati
75 e ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit l
76 e secret de l’expansion, mais aussi de l’anarchie finale de notre culture moderne. Culture dont les éléments progressivement d
77 r le Christ, qui était « l’esprit » et la réalité finale de la Loi. Dès lors, la Loi est « accomplie » comme le dit Jésus-Chri
78 Promesse qu’il a reçue, cependant que son destin final demeure entre les mains du plus secret conseil de Dieu. « Quant à moi
79 et l’on pourrait même dire : la date de son salut final , dépend ainsi de la conversion des Juifs. Et ceci nous révèle la plus
80 lacune en ce qu’il paraît conclure sur l’abandon final d’Israël à son destin, après la mort de Jésus-Christ. Je suis heureux
52 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
81 quelle dose d’ironie M. Beausire joint à son vœu final  : « Qu’ils s’emparent hardiment du pouvoir dans cet État, et, en mani
53 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
82 vers est particulièrement gênant dans le chapitre final sur la politique extérieure. Le résumé des événements de l’après-guer
54 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
83 telle situation complexe où il se trouve, au but final et simple assigné à sa vie. Or nous voyons au xxe siècle plusieurs «
55 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
84 en encore, de nier la fin des temps, le règlement final , le Jugement dernier — d’où l’idée du Retour éternel. ⁂ Comme je parl
56 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
85 squ’au jour incertain où nous pourrons chanter ce final entonné par tous les chœurs du drame : Éclatez, éclatez en cris de j
57 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
86 s un Désir unique, qui aboutit à les nier. Le but final de cette dialectique, c’est la non-vie, la mort du corps. La Nuit et
58 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
87 de de ténèbres. Elle doit conduire au détachement final et bienheureux, à la mort volontaire des « parfaits ». Cette pénitenc
88 sance qu’il éprouve dans le risque. D’où le désir final du risque pour lui-même, la passion de la passion sans terme, la volo
89 u95. L’acte d’amour spirituel est initial, et non final . Pour le chrétien, la mort à soi-même est le début d’une vie plus rée
90 pour en faire la donnée première. 7.Libération finale des mystiques Cette décision tout arbitraire, il est temps de la p
91 Jaspers a magnifiquement exprimé cette assomption finale de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie. (Cf. trad. française par
59 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
92 du happy end : tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
93 s un Désir unique, qui aboutit à les nier. Le but final de cette dialectique, c’est la non-vie, la mort du corps. La Nuit et
94 e et des pécheurs endurcis, aboutit à un dualisme final , bien qu’à l’encontre du manichéisme, elle professe l’idée d’une créa
95 ssance d’action réelle, tout en demeurant l’enjeu final et le personnage sacré. 2. Œdipe et les dieux. — Freud désigne du no
96 inisation et ensuite d’intégration, d’unification finale , la fonction par excellence humaine, celle-là même qui détermine le c
97 , quitte à en inverser les conclusions : l’extase finale n’aboutit point au jour de Dieu mais à la nuit de la passion, non poi
98 siré, et auquel tous les autres tendent pour leur finale résolution, c’est celui qu’on nomme par honnêteté le don de mercy. »
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
99 de de ténèbres. Elle doit conduire au détachement final et bienheureux, à la mort volontaire des « parfaits ». Cette pénitenc
100 sance qu’il éprouve dans le risque. D’où le désir final du risque pour lui-même, la passion de la passion sans terme, la volo
101 113. L’acte d’amour spirituel est initial, et non final . Pour le chrétien, la mort à soi-même est le début d’une vie plus rée
102 pour en faire la donnée première. 7.Libération finale des mystiques Cette décision tout arbitraire, il est temps de la p
103 Jaspers a magnifiquement exprimé cette assomption finale de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie. (Cf. trad. française par
62 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
104 du happy end : tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
105 s un Désir unique, qui aboutit à les nier. Le but final de cette dialectique, c’est la non-vie, la mort du corps. La Nuit et
106 e et des pécheurs endurcis, aboutit à un dualisme final , bien qu’à l’encontre du manichéisme elle professe l’idée d’une créat
107 ssance d’action réelle, tout en demeurant l’enjeu final et le personnage sacré (Appendice 7). 2. Œdipe et les dieux. — Freud
108 inisation et ensuite d’intégration, d’unification finale , la fonction par excellence humaine, celle-là même qui détermine le c
109 , quitte à en inverser les conclusions : l’extase finale n’aboutit point au jour de Dieu mais à la nuit de la passion, non poi
110 siré, et auquel tous les autres tendent pour leur finale résolution, c’est celui qu’on nomme par honnêteté le don de mercy. »
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
111 de de ténèbres. Elle doit conduire au détachement final et bienheureux, à la mort volontaire des « parfaits ». Cette pénitenc
112 sance qu’il éprouve dans le risque. D’où le désir final du risque pour lui-même, la passion de la passion sans terme, la volo
113 103. L’acte d’amour spirituel est initial, et non final . Pour le chrétien, la mort à soi-même est le début d’une vie plus rée
114 pour en faire la donnée première. 7.Libération finale des mystiques Cette décision tout arbitraire, il est temps de la p
115 Jaspers a magnifiquement exprimé cette assomption finale de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie. (Cf. trad. française par
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
116 du happy end : tout devait aboutir au long baiser final sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style
66 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
117 ère escarmouche, un entraînement pour le « combat final  » où Dieu seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne nous
67 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
118 rpent de mer des dictateurs, je mets ici un point final à ce journal de petite attente. Il faut juger notre vie par sa Fin, p
68 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
119 C’est l’unité originelle, et peut-être future et finale , des diversités de l’Europe, symbolisées par nos quatre langues, nos
69 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
120 premier avertissement à nous armer pour le Combat final , pour le Jugement dernier. » Réponse à la fois drôle et profonde, don
70 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
121 ques la divinisent. Souvenez-vous de l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs
71 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
122 ncipe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens final , sont dans la main de Dieu, qui est le Bien. Si au contraire, tout ét
123 ’est de coïncider avec l’esprit de cette victoire finale . Là gît le secret de la plus grande liberté d’action et d’imagination
124 s nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugement final lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire
72 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
125 premier avertissement à nous armer pour le Combat final , pour le Jugement dernier. » Réponse dont je ne sais s’il faut admire
73 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
126 ques la divinisent. Souvenez-vous de l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs
74 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
127 ncipe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens final , sont dans la main de Dieu, qui est le Bien. Si au contraire, tout ét
128 ’est de coïncider avec l’esprit de cette victoire finale . Là gît le secret de la plus grande liberté d’action et d’imagination
129 s nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugement final lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire
75 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
130 premier avertissement à nous armer pour le Combat final , pour le Jugement dernier. » Réponse dont je ne sais s’il faut admire
76 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
131 ques la divinisent. Souvenez-vous de l’exaltation finale du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs
77 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
132 ncipe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens final , sont dans la main de Dieu, qui est le Bien. Si au contraire, tout ét
133 ’est de coïncider avec l’esprit de cette victoire finale . Là gît le secret de la plus grande liberté d’action et d’imagination
134 s nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugement final lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire
78 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
135 fiance, en crescendo, jusqu’à la « Marseillaise » finale . On peut penser tout ce que l’on veut de ces films, du pire au bien ;
79 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
136 jeu où le hasard n’a point de part, et où l’échec final est l’œuvre d’une sévère réflexion. Cela suppose une vue du monde pro
137 rigueur. Ceci dit, il reste à savoir si son échec final le jettera dans la foi, ou bien dans le néant. C’est le moment de con
138 our l’atteindre, cesser d’être soi-même ? L’échec final de toute grandeur humaine est prévisible dès l’instant où l’homme s’é
80 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
139 tre ; les ouvertures, levers de rideau, préfaces, finales , épilogues et points d’orgue ; la règle des trois unités ; les transi
140 ’en finit plus, car la vie ne met jamais de point final . Il y a jeu quand les conséquences s’épuisent avec le dernier coup ;
81 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
141 rpent de mer des dictateurs, je mets ici un point final à ce journal de petite attente. Il faut juger notre vie par sa fin, p
82 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
142 ière escarmouche, un entraînement pour le “combat final ” où Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne nous
83 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
143 etits deux-pièces proprets. Gloire du grand chœur final largement déployé sur de hauts escaliers évoquant l’infini, dans la n
144 nque de la vie pour mener lentement vers la crise finale , pourquoi ne point partir d’une crise subite ? Car avant elle, il n’y
84 1946, Journal des deux mondes. Virginie
145 s exultaient en crescendo jusqu’à la Marseillaise finale . On peut penser tout ce que l’on veut de ces films, du pire au bien ;
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
146 t acceptable. Quelques semaines après mes examens finals , un téléphone de Paris m’offrait un job dans une société d’imprimerie
147 uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre final , triste réplique du millénium chrétien. Les autres, avec Proudhon, re
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
148 ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse finale d’une envolée tout à la fois patriotique, républicaine, et tolérante.
149 ’une révélation à venir, et d’une « consolation » finale . (Consolation signifiant selon l’étymologie : unification, harmonisat
150 s formulables, du moins… d’angoisse, ou de vision finale , qu’il s’agit de maintenir par un constant effort entre nos belles sé
151  ; mais aujourd’hui tout se passe comme si le but final était bien moins de nous réaliser que d’informer un monde neuf, qui e
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
152 imilées, créatrices de disciplines.) Ainsi le but final , le télos de toute politique, c’est la suppression de l’État, la libé
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
153 j’y retrouve l’angoisse, la tension, et l’émotion finale de la journée que nous venons de vivre, mais tout cela transposé dans
154 que au Ve livre de L’Amour et l’Occident , essai final des Personnes du drame  — jusqu’à ce que je l’aborde de plein fouet
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
155 rpent de mer des dictateurs, je mets ici un point final à ce journal de petite attente. Il faut juger notre vie par sa fin, p
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
156 ière escarmouche, un entraînement pour le “combat final ” où le Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne n
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
157 etits deux-pièces proprets. Gloire du grand chœur final largement déployé sur de hauts escaliers évoquant l’infini, dans la n
158 nque de la vie pour mener lentement vers la crise finale , pourquoi ne point partir d’une crise subite ? Car avant elle, il n’y
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
159 s exultaient en crescendo jusqu’à la Marseillaise finale . On peut penser tout ce que l’on veut de ces films, du pire au bien ;
93 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
160 pirituelles d’une position d’ensemble. » Une note finale conclut : « Texte définitif d’une conférence prononcée au congrès de
94 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
161 vraie force est dans la liberté. Tel est l’enjeu final de notre lutte. C’est pour sauver nos libertés acquises, mais aussi p
95 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
162 aque passage, je renouvelle in petto l’engagement final du Congrès : « Nous voulons une Europe unie, rendue dans toute son ét
163 trangers à la doctrine qui les dictait. Ces votes finaux ne sauraient s’expliquer par une conversion collective. Ils traduisen
96 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
164 énéral, un projet de résolution, enfin le Message final du Congrès. De nombreuses réunions préparatoires eurent lieu à Paris,
165 vraie force est dans la liberté. Tel est l’enjeu final de notre lutte. C’est pour sauver nos libertés acquises, mais aussi p
97 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
166 er.) Nous ne sommes pas une autre école, nos buts finaux sont bien les mêmes. Mais vos discours, mes chers amis, nous les pren
98 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
167 eut que la vision qui les guide cache une réalité finale qui les surprenne. Christophe Colomb voyait les Indes, on nommait ain
99 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
168 ture à sa place, qui est à la fois primordiale et finale , il cesserait de mériter l’adjectif de son titre. C’est pourquoi le c
169 irant le chemin sous leurs pas, cache une réalité finale qui les surprenne. Christophe Colomb voyait les Indes, ou nommait ain
100 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
170 r qu’il s’orientera nettement vers une fédération finale . Il est clair qu’une formule fédérale implique certaines limitations