1
pour assister à la cérémonie de la pose du point
final
de « Cinématoma ou les épanchements de la jeune Synovie », parade « n
2
ges au bon sens peuvent être légitimés par le but
final
de notre institution-tabou. 1. Je ne puis naturellement pas mention
3
ges au bon sens peuvent être légitimés par le but
final
de notre institution-tabou. 1. Je ne puis naturellement pas menti
4
si M. Brunschwicg croit ou non à la divinisation
finale
de l’homme par le progrès des sciences exactes ? ») d’aimables biogra
5
ccessives, il achemine l’espèce vers un équilibre
final
, réplique morne et désespérée du millenium chrétien. Nous n’en sommes
6
uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre
final
, morne réplique du millénium chrétien. Les autres, avec Proudhon, ref
7
ère escarmouche, un entraînement pour le « combat
final
» où le Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne
8
et Dandieu. Il faudrait pouvoir citer ici la page
finale
que Dandieu ajouta de sa main, sur épreuves, quelques jours avant sa
9
e regard les apparences actuelles et l’ordonnance
finale
qui les informe et qui les juge. J’imagine d’abord ce réalisme comme
10
ondée en doctrine, ou qui trahit ses buts humains
finaux
, aboutit fatalement à l’étatisme renforcé. 14. Pour le chrétien, cet
11
c’est que l’un des prodromes du mal dont la crise
finale
s’appelle dictature, réside dans notre culte du « pratique », dans la
12
e tactique, et tout à fait provisoire. Que le but
final
était bel et bien la libération de l’homme complet, spirituel compris
13
ccessives, il achemine l’espèce vers un équilibre
final
, réplique morne et désespérée du millenium chrétien. Nous voici donc
14
Il leur confère une sorte d’autonomie. Et le but
final
: la libération de l’individu, reste toujours hétérogène à ces moyens
15
n marxiste de le nier, en se référant aux phrases
finales
du Manifeste communiste, à certaines lettres de Engels, etc. Les phil
16
uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre
final
, triste réplique du millenium chrétien. Les autres, avec Proudhon, re
17
ine, si petit qu’il soit, que revient la décision
finale
. Peu importe que ce groupement ait ou non provoqué lui-même l’insurre
18
amment préparées. Cette tactique, infidèle au but
final
de la doctrine de Marx (an-archique), n’a pas tardé à poser des probl
19
c’est que l’un des prodromes du mal dont la crise
finale
s’appelle dictature, réside dans notre culte du « pratique », dans la
20
e tactique, et tout à fait provisoire. Que le but
final
était bel et bien la libération de l’homme complet, spirituel compris
21
ccessives, il achemine l’espèce vers un équilibre
final
, morne réplique du millenium chrétien. Nous voici donc en face de deu
22
Il leur confère une sorte d’autonomie. Et le but
final
: la libération de l’individu, reste toujours hétérogène à ces moyens
23
n marxiste de le nier, en se référant aux phrases
finales
du Manifeste communiste, à certaines lettres de Engels, etc. Les phil
24
uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre
final
, triste réplique du millenium chrétien. Les autres, avec Proudhon, re
25
ine, si petit qu’il soit, que revient la décision
finale
. Peu importe que ce groupement ait ou non provoqué lui-même l’insurre
26
amment préparées. Cette tactique, infidèle au but
final
de la doctrine de Marx (anarchique), n’a pas tardé à poser des problè
27
atteindrons un jour des buts magnifiques”. Un but
final
plane devant les regards de l’homme. Le christianisme, qui maudit l’h
28
t là son jeu, délibéré, comme l’est aussi le coup
final
: car l’excès même de cette intensité finit par faire éclater tout le
29
n Sauveur. Ce dernier exemple fait sentir l’échec
final
de toute méthode historique qui voudrait nous rendre « contemporains
30
nition de la culture, de ses moyens et de son but
final
. b) qu’est-elle devenue en théorie et en pratique sous les divers rég
31
ndition que le sentiment poignant de cette vanité
finale
n’empêche pas de servir quand il faut. C’est ce que j’appelle du pess
32
ée par une grande œuvre, rende raison à la vérité
finale
que cette œuvre a voulu nier. Descendons jusqu’à nous. Il se peut que
33
tenons avec le monde. » Etc.) Quant au paragraphe
final
sur mes « convoitises célestes », je crains bien que certains n’y voi
34
pel permanent et la conscience actuelle de ce but
final
suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines de création, d’es
35
hoisissons nos buts prochains au nom d’une vérité
finale
qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réa
36
parce qu’il a fait erreur sur l’homme. La phrase
finale
de ce livre sur l’URSS, c’est à l’auteur que nous l’appliquerons : c’
37
ommettre une erreur toute semblable sur la raison
finale
du communisme et sur la fatalité morne qu’elle comporte : la réductio
38
e ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience
finale
du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en
39
el permanent, et la conscience actuelle de ce but
final
, suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines de création, d’e
40
n qu’il y engage tout ? Où trouver ce « fondement
final
» de toute communauté réelle et actuelle, ce télos qui anime tout, qu
41
e posais tout à l’heure : où trouver le fondement
final
de toute communauté réelle et actuelle ? je suis donc amené à répondr
42
que pas la certitude d’obéir au seul appel du but
final
. Cette méthode sera la mesure que nous cherchons : à la fois intime e
43
hoisissons nos buts prochains au nom d’une vérité
finale
qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réa
44
ris ; mais je les juge dans la perspective du but
final
, commun à la culture et aux activités les plus diverses de la nation
45
ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude
finale
. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meilleur mo
46
e limitation voue l’entreprise humaine à un échec
final
; au jugement dernier. En même temps, elle est le ressort de toute ac
47
ommettre une erreur toute semblable sur la raison
finale
du communisme et sur la fatalité morne qu’elle comporte : la réductio
48
e ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience
finale
du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en
49
el permanent, et la conscience actuelle de ce but
final
, suffisent-ils à animer toutes les facultés humaines de création, d’e
50
n qu’il y engage tout ? Où trouver ce « fondement
final
» de toute communauté réelle et actuelle, ce télos qui anime tout, qu
51
e posais tout à l’heure : où trouver le fondement
final
de toute communauté réelle et actuelle ? je suis donc amené à répondr
52
que pas la certitude d’obéir au seul appel du but
final
. Cette méthode sera la mesure que nous cherchons : à la fois intime e
53
hoisissons nos buts prochains au nom d’une vérité
finale
qui ne connaît pas nos contingences. Voilà la tension créatrice : réa
54
ris ; mais je les juge dans la perspective du but
final
, commun à la culture et aux activités les plus diverses de la nation
55
ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude
finale
. Il s’agit maintenant de dépasser ces refus — et c’est le meilleur mo
56
e limitation voue l’entreprise humaine à un échec
final
; au jugement dernier. En même temps, elle est le ressort de toute ac
57
que la réforme organique de la presse est le but
final
. Dans cette partie, on réunira petit à petit, une documentation préci
58
imilées, créatrices de disciplines.) Ainsi le but
final
, le télos de toute politique, c’est la suppression de l’État, la libé
59
ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse
finale
d’une envolée tout à la fois patriotique, républicaine, et tolérante.
60
’une révélation à venir, et d’une « consolation »
finale
. (Consolation signifiant selon l’étymologie : unification, harmonisat
61
s formulables, du moins… d’angoisse, ou de vision
finale
, qu’il s’agit de maintenir par un constant effort entre nos belles sé
62
ien ne me paraît plus frappant que la convergence
finale
des faits que l’on a rappelés dans ce numéro, des questions qu’on y a
63
C’est l’unité originelle, et peut-être future et
finale
, des diversités de l’Europe, symbolisées par nos trois langues, nos d
64
la doctrine de Marx ? Qu’importe, puisque le but
final
est la richesse, mère du bonheur. N’est-ce pas là ce que voulait Marx
65
our plus de clarté. Il me paraît que l’opposition
finale
entre la croyance marxiste et la foi personnelle du chrétien suffit à
66
la réalité de mes espérances. » Mais l’espérance
finale
du communisme, c’est la libération de l’homme. Et moi je lui montre u
67
’aller au-delà, d’aller jusqu’à l’accomplissement
final
. Car cet accomplissement, ou plénitude, n’est jamais qu’un futur théo
68
ne « dialectique » ses négations actuelles du but
final
de Marx. Il légitime son étatisme totalitaire en arguant que c’est le
69
ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse
finale
d’une envolée tout à la fois patriotique, républicaine, et tolérante.
70
’une révélation à venir, et d’une « consolation »
finale
. (Consolation signifiant selon l’étymologie : unification, harmonisat
71
s formulables, du moins… d’angoisse, ou de vision
finale
, qu’il s’agit de maintenir par un constant effort entre nos belles sé
72
; mais aujourd’hui tout se passe comme si le but
final
était bien moins de nous réaliser que d’informer un monde neuf, qui e
73
imilées, créatrices de disciplines.) Ainsi le but
final
, le télos de toute politique, c’est la suppression de l’État, la libé
74
ture et d’un ordre social, le principe initial et
final
régulateur et en même temps animateur de toutes les œuvres d’une nati
75
e ce Dieu est l’Éternel, la Loi est la conscience
finale
du peuple hébreu. Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit l
76
e secret de l’expansion, mais aussi de l’anarchie
finale
de notre culture moderne. Culture dont les éléments progressivement d
77
r le Christ, qui était « l’esprit » et la réalité
finale
de la Loi. Dès lors, la Loi est « accomplie » comme le dit Jésus-Chri
78
Promesse qu’il a reçue, cependant que son destin
final
demeure entre les mains du plus secret conseil de Dieu. « Quant à moi
79
et l’on pourrait même dire : la date de son salut
final
, dépend ainsi de la conversion des Juifs. Et ceci nous révèle la plus
80
lacune en ce qu’il paraît conclure sur l’abandon
final
d’Israël à son destin, après la mort de Jésus-Christ. Je suis heureux
81
quelle dose d’ironie M. Beausire joint à son vœu
final
: « Qu’ils s’emparent hardiment du pouvoir dans cet État, et, en mani
82
vers est particulièrement gênant dans le chapitre
final
sur la politique extérieure. Le résumé des événements de l’après-guer
83
telle situation complexe où il se trouve, au but
final
et simple assigné à sa vie. Or nous voyons au xxe siècle plusieurs «
84
en encore, de nier la fin des temps, le règlement
final
, le Jugement dernier — d’où l’idée du Retour éternel. ⁂ Comme je parl
85
squ’au jour incertain où nous pourrons chanter ce
final
entonné par tous les chœurs du drame : Éclatez, éclatez en cris de j
86
s un Désir unique, qui aboutit à les nier. Le but
final
de cette dialectique, c’est la non-vie, la mort du corps. La Nuit et
87
de de ténèbres. Elle doit conduire au détachement
final
et bienheureux, à la mort volontaire des « parfaits ». Cette pénitenc
88
sance qu’il éprouve dans le risque. D’où le désir
final
du risque pour lui-même, la passion de la passion sans terme, la volo
89
u95. L’acte d’amour spirituel est initial, et non
final
. Pour le chrétien, la mort à soi-même est le début d’une vie plus rée
90
pour en faire la donnée première. 7.Libération
finale
des mystiques Cette décision tout arbitraire, il est temps de la p
91
Jaspers a magnifiquement exprimé cette assomption
finale
de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie. (Cf. trad. française par
92
du happy end : tout devait aboutir au long baiser
final
sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style
93
s un Désir unique, qui aboutit à les nier. Le but
final
de cette dialectique, c’est la non-vie, la mort du corps. La Nuit et
94
e et des pécheurs endurcis, aboutit à un dualisme
final
, bien qu’à l’encontre du manichéisme, elle professe l’idée d’une créa
95
ssance d’action réelle, tout en demeurant l’enjeu
final
et le personnage sacré. 2. Œdipe et les dieux. — Freud désigne du no
96
inisation et ensuite d’intégration, d’unification
finale
, la fonction par excellence humaine, celle-là même qui détermine le c
97
, quitte à en inverser les conclusions : l’extase
finale
n’aboutit point au jour de Dieu mais à la nuit de la passion, non poi
98
siré, et auquel tous les autres tendent pour leur
finale
résolution, c’est celui qu’on nomme par honnêteté le don de mercy. »
99
de de ténèbres. Elle doit conduire au détachement
final
et bienheureux, à la mort volontaire des « parfaits ». Cette pénitenc
100
sance qu’il éprouve dans le risque. D’où le désir
final
du risque pour lui-même, la passion de la passion sans terme, la volo
101
113. L’acte d’amour spirituel est initial, et non
final
. Pour le chrétien, la mort à soi-même est le début d’une vie plus rée
102
pour en faire la donnée première. 7.Libération
finale
des mystiques Cette décision tout arbitraire, il est temps de la p
103
Jaspers a magnifiquement exprimé cette assomption
finale
de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie. (Cf. trad. française par
104
du happy end : tout devait aboutir au long baiser
final
sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style
105
s un Désir unique, qui aboutit à les nier. Le but
final
de cette dialectique, c’est la non-vie, la mort du corps. La Nuit et
106
e et des pécheurs endurcis, aboutit à un dualisme
final
, bien qu’à l’encontre du manichéisme elle professe l’idée d’une créat
107
ssance d’action réelle, tout en demeurant l’enjeu
final
et le personnage sacré (Appendice 7). 2. Œdipe et les dieux. — Freud
108
inisation et ensuite d’intégration, d’unification
finale
, la fonction par excellence humaine, celle-là même qui détermine le c
109
, quitte à en inverser les conclusions : l’extase
finale
n’aboutit point au jour de Dieu mais à la nuit de la passion, non poi
110
siré, et auquel tous les autres tendent pour leur
finale
résolution, c’est celui qu’on nomme par honnêteté le don de mercy. »
111
de de ténèbres. Elle doit conduire au détachement
final
et bienheureux, à la mort volontaire des « parfaits ». Cette pénitenc
112
sance qu’il éprouve dans le risque. D’où le désir
final
du risque pour lui-même, la passion de la passion sans terme, la volo
113
103. L’acte d’amour spirituel est initial, et non
final
. Pour le chrétien, la mort à soi-même est le début d’une vie plus rée
114
pour en faire la donnée première. 7.Libération
finale
des mystiques Cette décision tout arbitraire, il est temps de la p
115
Jaspers a magnifiquement exprimé cette assomption
finale
de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie. (Cf. trad. française par
116
du happy end : tout devait aboutir au long baiser
final
sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style
117
ère escarmouche, un entraînement pour le « combat
final
» où Dieu seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne nous
118
rpent de mer des dictateurs, je mets ici un point
final
à ce journal de petite attente. Il faut juger notre vie par sa Fin, p
119
C’est l’unité originelle, et peut-être future et
finale
, des diversités de l’Europe, symbolisées par nos quatre langues, nos
120
premier avertissement à nous armer pour le Combat
final
, pour le Jugement dernier. » Réponse à la fois drôle et profonde, don
121
ques la divinisent. Souvenez-vous de l’exaltation
finale
du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs
122
ncipe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens
final
, sont dans la main de Dieu, qui est le Bien. Si au contraire, tout ét
123
’est de coïncider avec l’esprit de cette victoire
finale
. Là gît le secret de la plus grande liberté d’action et d’imagination
124
s nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugement
final
lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire
125
premier avertissement à nous armer pour le Combat
final
, pour le Jugement dernier. » Réponse dont je ne sais s’il faut admire
126
ques la divinisent. Souvenez-vous de l’exaltation
finale
du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs
127
ncipe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens
final
, sont dans la main de Dieu, qui est le Bien. Si au contraire, tout ét
128
’est de coïncider avec l’esprit de cette victoire
finale
. Là gît le secret de la plus grande liberté d’action et d’imagination
129
s nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugement
final
lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire
130
premier avertissement à nous armer pour le Combat
final
, pour le Jugement dernier. » Réponse dont je ne sais s’il faut admire
131
ques la divinisent. Souvenez-vous de l’exaltation
finale
du Second Faust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les hauteurs
132
ncipe et la fin de l’Ordre, la sommation, le sens
final
, sont dans la main de Dieu, qui est le Bien. Si au contraire, tout ét
133
’est de coïncider avec l’esprit de cette victoire
finale
. Là gît le secret de la plus grande liberté d’action et d’imagination
134
s nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugement
final
lui-même ne nous appartient pas, non plus que le souci de la victoire
135
fiance, en crescendo, jusqu’à la « Marseillaise »
finale
. On peut penser tout ce que l’on veut de ces films, du pire au bien ;
136
jeu où le hasard n’a point de part, et où l’échec
final
est l’œuvre d’une sévère réflexion. Cela suppose une vue du monde pro
137
rigueur. Ceci dit, il reste à savoir si son échec
final
le jettera dans la foi, ou bien dans le néant. C’est le moment de con
138
our l’atteindre, cesser d’être soi-même ? L’échec
final
de toute grandeur humaine est prévisible dès l’instant où l’homme s’é
139
tre ; les ouvertures, levers de rideau, préfaces,
finales
, épilogues et points d’orgue ; la règle des trois unités ; les transi
140
’en finit plus, car la vie ne met jamais de point
final
. Il y a jeu quand les conséquences s’épuisent avec le dernier coup ;
141
rpent de mer des dictateurs, je mets ici un point
final
à ce journal de petite attente. Il faut juger notre vie par sa fin, p
142
ière escarmouche, un entraînement pour le “combat
final
” où Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne nous
143
etits deux-pièces proprets. Gloire du grand chœur
final
largement déployé sur de hauts escaliers évoquant l’infini, dans la n
144
nque de la vie pour mener lentement vers la crise
finale
, pourquoi ne point partir d’une crise subite ? Car avant elle, il n’y
145
s exultaient en crescendo jusqu’à la Marseillaise
finale
. On peut penser tout ce que l’on veut de ces films, du pire au bien ;
146
t acceptable. Quelques semaines après mes examens
finals
, un téléphone de Paris m’offrait un job dans une société d’imprimerie
147
uccessives, acheminant l’espèce vers un équilibre
final
, triste réplique du millénium chrétien. Les autres, avec Proudhon, re
148
ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la synthèse
finale
d’une envolée tout à la fois patriotique, républicaine, et tolérante.
149
’une révélation à venir, et d’une « consolation »
finale
. (Consolation signifiant selon l’étymologie : unification, harmonisat
150
s formulables, du moins… d’angoisse, ou de vision
finale
, qu’il s’agit de maintenir par un constant effort entre nos belles sé
151
; mais aujourd’hui tout se passe comme si le but
final
était bien moins de nous réaliser que d’informer un monde neuf, qui e
152
imilées, créatrices de disciplines.) Ainsi le but
final
, le télos de toute politique, c’est la suppression de l’État, la libé
153
j’y retrouve l’angoisse, la tension, et l’émotion
finale
de la journée que nous venons de vivre, mais tout cela transposé dans
154
que au Ve livre de L’Amour et l’Occident , essai
final
des Personnes du drame — jusqu’à ce que je l’aborde de plein fouet
155
rpent de mer des dictateurs, je mets ici un point
final
à ce journal de petite attente. Il faut juger notre vie par sa fin, p
156
ière escarmouche, un entraînement pour le “combat
final
” où le Christ seul pourra nous sauver, lorsque le Malin en personne n
157
etits deux-pièces proprets. Gloire du grand chœur
final
largement déployé sur de hauts escaliers évoquant l’infini, dans la n
158
nque de la vie pour mener lentement vers la crise
finale
, pourquoi ne point partir d’une crise subite ? Car avant elle, il n’y
159
s exultaient en crescendo jusqu’à la Marseillaise
finale
. On peut penser tout ce que l’on veut de ces films, du pire au bien ;
160
pirituelles d’une position d’ensemble. » Une note
finale
conclut : « Texte définitif d’une conférence prononcée au congrès de
161
vraie force est dans la liberté. Tel est l’enjeu
final
de notre lutte. C’est pour sauver nos libertés acquises, mais aussi p
162
aque passage, je renouvelle in petto l’engagement
final
du Congrès : « Nous voulons une Europe unie, rendue dans toute son ét
163
trangers à la doctrine qui les dictait. Ces votes
finaux
ne sauraient s’expliquer par une conversion collective. Ils traduisen
164
énéral, un projet de résolution, enfin le Message
final
du Congrès. De nombreuses réunions préparatoires eurent lieu à Paris,
165
vraie force est dans la liberté. Tel est l’enjeu
final
de notre lutte. C’est pour sauver nos libertés acquises, mais aussi p
166
er.) Nous ne sommes pas une autre école, nos buts
finaux
sont bien les mêmes. Mais vos discours, mes chers amis, nous les pren
167
eut que la vision qui les guide cache une réalité
finale
qui les surprenne. Christophe Colomb voyait les Indes, on nommait ain
168
ture à sa place, qui est à la fois primordiale et
finale
, il cesserait de mériter l’adjectif de son titre. C’est pourquoi le c
169
irant le chemin sous leurs pas, cache une réalité
finale
qui les surprenne. Christophe Colomb voyait les Indes, ou nommait ain
170
r qu’il s’orientera nettement vers une fédération
finale
. Il est clair qu’une formule fédérale implique certaines limitations