1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
1 l’espoir d’une terre unie, comme contrainte à se fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’assure que le monde n’est p
2 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
2 riel général et fondement économique d’une Europe fédérée . Mais dès le début, l’initiative individuelle extrêmement vigoureuse
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
3 l’expérience témoin, l’annonciatrice d’une Europe fédérée dont elle prouve la réalité en assemblant dans un État nos trois plus
4 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
4 un empire géant pour n’avoir pas été capables de fédérer nos communes. » Voilà l’épigraphe de l’ouvrage, qui par ailleurs comp
5 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
5 e qu’ils n’ont pas su, comme nous les Suisses, se fédérer progressivement au lieu de s’unifier brutalement. Oui, cette guerre n
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
6 les petits États qui éprouvaient le besoin de se fédérer contre l’Empire et contre Rome, et cela se vérifie souvent au xvie s
7 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
7 r ce genre de mission. On parle un peu partout de fédérer l’Europe. Cela ne se fera pas en un jour, ni même pendant les quelque
8 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
8 e nos vies, en sorte que cette réduction d’Europe fédérée qu’est la Suisse soit au moins de l’ouvrage bien fait, digne d’être e
9 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
9 es petits États qui éprouveraient le besoin de se fédérer contre l’Empire et contre Rome, et cela se vérifie souvent au xvie s
10 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
10 ssés pour l’accomplir. On parle un peu partout de fédérer l’Europe. Cela ne se fera pas en un jour, ni même pendant les quelque
11 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
11 l’expérience témoin, l’annonciatrice d’une Europe fédérée dont elle prouve la réalité en assemblant dans un État ces trois gran
12 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
12 e nos vies, en sorte que cette réduction d’Europe fédérée , qu’est la Suisse, soit au moins de l’ouvrage bien faite, digne d’êtr
13 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
13 de lignes, clair et satisfaisant pour la logique. Fédérer , c’est tout simplement arranger ensemble des réalités concrètes. Pour
14 le fouetter. Brusquement, la question se pose de fédérer l’Europe dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle se pose brusquement
15 ginent, hors de Suisse, que l’Europe ne peut être fédérée que par l’action d’une grande puissance. Ce fut l’idée de Napoléon. C
14 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
16 s’ils la font, c’est parce qu’ils n’ont pas su se fédérer progressivement. La guerre actuelle, quels qu’en soient les fauteurs,
15 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
17 es petits États qui éprouveraient le besoin de se fédérer contre l’Empire et contre Rome, et cela se vérifie souvent au xvie s
16 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
18 comme total (ou totalitaire) doit bien suffire à fédérer nos vérités partielles en une force vivante. Allons-y viribus unitis 
17 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
19 notre tâche — que Goethe eût approuvée — reste de fédérer des différences authentiques, et non pas d’uniformiser des médiocrité
18 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
20 sauter le tout, soit en nous forçant d’ici peu à fédérer les hommes au-delà des nations. Vous cherchiez l’Autre contre qui s’u
19 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
21 apitaliste et nationaliste, et qui refusait de se fédérer . Hitler abat les barrières, le passé. C’est toute sa force, et sa vic
20 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
22 s’ils la font, c’est parce qu’ils n’ont pas su se fédérer progressivement, au lieu de s’unifier brutalement. Oui, cette guerre
21 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
23 l’espoir d’une terre unie, comme contrainte à se fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’assure que le monde n’est p
22 1946, Lettres sur la bombe atomique. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
24 sauter le tout, soit en nous forçant d’ici peu à fédérer les hommes au-delà des nations. Vous cherchiez l’Autre contre qui s’u
23 1946, Lettres sur la bombe atomique. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
25 sauter le tout, soit en nous forçant d’ici peu à fédérer les hommes au-delà des nations. Vous cherchiez l’Autre contre qui s’u
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
26 s’ils la font, c’est parce qu’ils n’ont pas su se fédérer progressivement, au lieu de s’unifier brutalement. Oui, cette guerre
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
27 es (communes), des foyers locaux (régions) et les fédérer progressivement en réseaux organiques et multiples. La solution est
26 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
28 l’espoir d’une terre unie, comme contrainte à se fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’assure que le monde n’est p
27 1947, Articles divers (1946-1948). Conversation à bâtons rompus avec M. Denis de Rougemont (30-31 août 1947)
29 notre fédéralisme ne peut venir que d’une Europe fédérée . n. « Conversation à bâtons rompus avec M. Denis de Rougemont », Tr
28 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
30 plus, il a fallu des siècles aux Suisses pour se fédérer , et nous avons besoin de solutions rapides. » À la deuxième objection
31 s cantons contre la centralisation. Pour les uns, fédérer veut dire simplement : s’unir. Pour les autres, être fédéraliste veut
32 le fouetter. Brusquement, la question se pose de fédérer l’Europe dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle se pose brusquement
33 toute vie organique. Rappelons-nous toujours que fédérer , ce n’est pas mettre en ordre d’après un plan géométrique à partir d’
34 an géométrique à partir d’un centre ou d’un axe ; fédérer , c’est tout simplement arranger ensemble, composer tant bien que mal
35 s, et qui les brimerait tous. Si l’Europe doit se fédérer , c’est pour que chacun de ses membres bénéficie de l’aide de tous les
36 et de personnes qui prendront l’initiative de se fédérer en dehors des gouvernements nationaux. Et ce sont ces groupes et ces
29 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
37 Une Europe fédérée (20 décembre 1947)q J’entends dire tous les jours depuis le congrè
38 les négations et de demi-mesures — c’est l’Europe fédérée devant les deux empires. C’est l’Europe rejoignant le xixe siècle, p
39 ontreux à la fin du mois d’août. q. « Une Europe fédérée  », Une Semaine dans le monde, n° 84, 20 décembre 1947, p. 1-2.
30 1948, Articles divers (1946-1948). Les deux blocs ? Il n’en existe qu’un (9 janvier 1948)
40 vante n’est pas un bloc. Un seul remède : nous fédérer Que devient alors ce choix que certains nous proposent ou que d’au
41 éfendre l’Europe, c’est de la faire, donc de nous fédérer . Malgré les Russes et avec l’appui probable des démocrates américains
31 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
42 é politique et en un vaste espace économique ; la fédérer dans sa diversité, en vue de maintenir et d’illustrer une certaine no
32 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
43 et de personnes qui prendront l’initiative de se fédérer en dehors des gouvernements nationaux. Et ce sont ces groupes et ces
33 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
44 crise européenne : c’est la méthode fédéraliste. Fédérer , en effet, ce n’est pas unifier, mais lier par un pacte juré des élém
34 1948, Articles divers (1948-1950). L’idée fédéraliste (1948)
45 rsités qui sont la condition de la vie organique. Fédérer , ce n’est pas mettre en ordre d’après un plan géométrique, à partir d
35 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
46 éfendre l’Europe, c’est de la faire, donc de nous fédérer . 1. Voir L’Esprit européen, Neuchâtel, La Baconnière, 1947, p. 205
36 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
47 plus, il a fallu des siècles aux Suisses pour se fédérer , et nous avons besoin de solutions rapides. » À la deuxième objection
48 s cantons contre la centralisation. Pour les uns, fédérer veut dire simplement : s’unir. Pour les autres, être fédéraliste veut
49 le fouetter. Brusquement, la question se pose de fédérer l’Europe dès la paix rétablie. Mais parce qu’elle se pose brusquement
50 toute vie organique. Rappelons-nous toujours que fédérer , ce n’est pas mettre en ordre d’après un plan géométrique à partir d’
51 an géométrique à partir d’un centre ou d’un axe ; fédérer , c’est tout simplement arranger ensemble, composer tant bien que mal
52 s, et qui les brimerait tous. Si l’Europe doit se fédérer , c’est pour que chacun de ses membres bénéficie de l’aide de tous les
53 et de personnes qui prendront l’initiative de se fédérer en dehors des gouvernements nationaux. Et ce sont ces groupes et ces
54 sables, par le seul fait que nous sommes ici pour fédérer tous les fédéralistes, dans la conviction sobre et ferme que, cette f
55 nt nous déclarons marcher : une Europe solidement fédérée , au service de la liberté et des droits de l’homme universels. Sur ce
37 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
56 politique et en un vaste espace économique ; — la fédérer dans sa diversité, en vue de maintenir et d’illustrer une certaine no
57 tionaliste, refuserait à sa nation le droit de se fédérer , c’est-à-dire de sauver son autonomie réelle au prix de l’abandon d’u
58 oint capital), mais aussi l’insertion de l’Europe fédérée dans une fédération mondiale, l’urgence de « réaliser une synthèse en
38 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
59 crise européenne : c’est la méthode fédéraliste. Fédérer , en effet, ce n’est pas unifier, mais lier par un pacte juré des élém
60 trouve posés en travers de sa route vers l’Europe fédérée et vers la paix — à la destruction du Léviathan moderne décrit par Th
39 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
61 y a enfin une troisième vision, celle de l’Europe fédérée . Elle est moins vaste, en vérité, que celle du jeune Américain, mais
40 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
62 alité de la vie ou de la mort d’une civilisation. Fédérer nos petits peuples in extremis est notre seule chance de salut. On se
63 a fait déjà, et ce qu’on peut faire à temps pour fédérer l’Europe. Origines du mouvement fédéraliste Il y eut Sully, qu’
64 er. La première tâche qui s’imposait, c’était de fédérer tous ces fédéralistes dispersés. Dès 1946, ce fut chose faite : l’Uni
65 urgente, mais qui pouvait paraître surhumaine, de fédérer l’Europe, c’est-à-dire de mettre sur pied, contre vents et marées, de
41 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
66 ontinent. Monsieur de Rougemont, pourquoi faut-il fédérer l’Europe ? Parce qu’il n’y a pas d’autre moyen imaginable d’empêcher
67 e moyen imaginable d’empêcher la guerre atomique. Fédérer nos pays, c’est, en effet, créer la seule puissance capable d’exiger
42 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
68 es esprits s’accordent : il faut sans plus tarder fédérer ses nations, unir leurs forces dispersées, leur rendre un grand march
69 nos peuples à s’unir, afin qu’ensuite une Europe fédérée vienne en aide à chacune de nos cultures : telle sera la double ambit
43 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
70 r, si nous n’arrivons pas, d’ici deux ans, à nous fédérer librement. Il ne dépend que de nous d’y réussir. Les jeux ne sont don
44 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
71 es esprits s’accordent : il faut sans plus tarder fédérer nos nations, unir leurs forces dispersées, leur rendre un grand march
45 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
72 semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer , ou bien ne signifie pas grand-chose. Comment fédérer des nations qui
73 rer, ou bien ne signifie pas grand-chose. Comment fédérer des nations qui se croient encore souveraines ? Voyons l’Histoire. Le
74 ssieurs les députés, neuf mois avaient suffi pour fédérer vingt-cinq États souverains… Pensez-vous que l’Histoire vous en laiss
46 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
75 « Que voulez-vous faire ? » Si vous ne voulez pas fédérer l’Europe, vous ne voulez rien qui l’intéresse. Si vous ne faites rien
47 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
76 s si vous manquez à une mission précise, celle de fédérer nos faiblesses pour en faire la force du siècle. Messieurs les député
48 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
77 es États des US ou les cantons de la Suisse de se fédérer . La souveraineté nationale absolue n’est donc plus qu’un prétexte au
49 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
78 qu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Suisse. Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne. « On suit ceux qui m
50 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
79 semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer , ou bien ne signifie pas grand-chose. Comment fédérer des nations qui
80 rer, ou bien ne signifie pas grand-chose. Comment fédérer des nations qui se croient encore souveraines ? Voyons l’Histoire. Le
81 f mois. En voici le récit exact. Neuf mois pour fédérer vingt-cinq États souverains Au début de 1848, la Confédération n’é
82 ssieurs les députés, neuf mois avaient suffi pour fédérer 25 États souverains. Pensez-vous que l’Histoire vous en laisse un peu
51 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
83 qu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Suisse. Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne. « On suit ceux qui m
52 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
84 justifier, aux yeux de l’Europe qui essaie de se fédérer , cette raison de nous tenir à l’écart ou de bénéficier d’un traitemen
53 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
85 semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer , ou bien ne signifie pas grand-chose. Comment fédérer des nations qui
86 rer, ou bien ne signifie pas grand-chose. Comment fédérer des nations qui se croient encore souveraines ? Voyons l’Histoire. Le
87 ssieurs les députés, neuf mois avaient suffi pour fédérer 25 États souverains. Pensez‑vous que l’Histoire vous en laisse beauco
54 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
88 e : que voulez-vous faire ? Si vous ne voulez pas fédérer l’Europe, vous ne voulez rien qui l’intéresse. Si vous ne faites rien
55 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
89 s si vous manquez à une mission précise, celle de fédérer nos faiblesses pour en faire la force du siècle. Messieurs les député
56 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
90 es États des US ou les cantons de la Suisse de se fédérer . La souveraineté nationale absolue n’est donc plus qu’un prétexte au
57 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
91 qu’on les interroge. Il n’en fallut pas plus pour fédérer la Suisse. Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne. « On suit ceux qui m
58 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
92 sauver ces différences qu’il faut maintenant nous fédérer . Si nous voulons rester Français, Vaudois, Écossais ou Saxons, si nou
59 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
93  ; c’est d’appeler toutes nos forces éparses à se fédérer solidement, non point à s’unifier mais à se fédérer dans leurs différ
94 dérer solidement, non point à s’unifier mais à se fédérer dans leurs différences essentielles. Si demain notre fédération s’éta
60 1951, Articles divers (1951-1956). Défense de nos libertés (octobre 1951)
95  ; c’est d’appeler toutes nos forces éparses à se fédérer solidement, non point à s’unifier mais à se fédérer dans leurs différ
96 dérer solidement, non point à s’unifier mais à se fédérer dans leurs différences essentielles. Si vous demandez : quelles sont
61 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
97 aut en même temps des mesures plus rapides : nous fédérer et assurer notre défense. Or voici le cercle vicieux : ce qui retient
62 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
98  ; c’est d’appeler toutes nos forces éparses à se fédérer solidement, non point à s’unifier mais à se fédérer dans leurs différ
99 dérer solidement, non point à s’unifier mais à se fédérer dans leurs différences essentielles. Si demain notre fédération s’éta
63 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Présentation du Centre européen de la culture (mars 1952)
100 saire Sauver l’Europe signifie pratiquement la fédérer , ou bien ne signifie pas grand-chose de raisonnable et de concret. Ce
101 paresse des esprits et des cœurs. Pour aboutir à fédérer nos peuples, il faut donc agir tout d’abord sur les esprits et sur le
102 n’avons aucun pouvoir — que nous voulons agir et fédérer , par les moyens les plus directs, sans attendre l’avis des pouvoirs o
64 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
103 culture, institution qui a pour but principal de fédérer nos forces culturelles afin de réveiller la conscience de l’Europe co
65 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
104 n de budgets locaux, non nationaux), ensuite à se fédérer effectivement pour multiplier leurs échanges : c’est poser la nécessi
66 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
105 ayonnement normal et sensible des foyers de base. Fédérer dans le champ d’une région, d’une unité de civilisation, les activité
67 1953, Articles divers (1951-1956). Pourquoi je suis Européen (20 juin 1953)
106 rement totalitaire est le pire ennemi de l’Europe fédérée , dont la richesse et la créativité naissent de la diversité. Mais si
68 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
107 vraies richesses, et la meilleure raison de nous fédérer , c’est que seule l’union fédérale peut les sauver et les garantir dan
69 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
108 peuples seront conscients du pourquoi de l’Europe fédérée , quand ils seront convaincus de ses fins pacifiques, le comment suivr
109 té de ses habitants. Le vrai danger qui doit nous fédérer ne vient pas des Russes, mais de nos divisions. L’offensive de paix s
110 jet, carrément, ouvre à l’Europe une chance de se fédérer demain, il convient de l’accepter, même incomplet. Tous ceux qui ont
70 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
111 les dépositaires du prototype réduit de l’Europe fédérée . Mais sous quelle forme peuvent-ils s’y associer ? Ici, la position d
112 es et son indépendance que si l’Europe vient à se fédérer , comme surent le faire il y a cent ans les cantons suisses. Encore fa
71 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
113 ouveraineté nationale (mai 1954)r 1. Peut-on fédérer des États souverains ? Parmi les fédérations réussies, l’on peut c
114 icles semblables par les Constituants de l’Europe fédérée . On n’en voit pas qu’il soit aisé d’avouer et de défendre sérieusemen
72 1954, Articles divers (1951-1956). La CED, ses mythes et sa réalité (12 août 1954)
115 grandes les perspectives prochaines d’une Europe fédérée , gage de paix pour le monde et de prospérité pour tout un continent —
73 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Orienter les espoirs européens (décembre 1954-janvier 1955)
116 spoirs européens (décembre 1954-janvier 1955)t Fédérer l’Europe semble une utopie pour ceux qui n’ont pas vu que c’est une n
74 1955, Articles divers (1951-1956). Une présence (1955)
117 ent seuls. Ils ont trouvé le lieu où l’on peut se fédérer sans renoncer à sa vocation. Ce n’est pas un ersatz d’église, ce n’es
75 1955, Articles divers (1951-1956). Reynold et l’Europe (1955)
118 ne peut être distinct de celui d’une Europe soit fédérée par la libre invention, soit unifiée par une force étrangère. Je ne v
76 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
119 s été réveillée et informée, les efforts visant à fédérer nos pays dans un ensemble enfin viable à l’échelle mondiale (qui est
77 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
120 artie de l’Europe. Adenauer proclame que l’Europe fédérée a cessé d’être une utopie, et qu’il s’agit maintenant d’élire une ass
78 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
121 rons jamais indépendants si nous refusons de nous fédérer . Ici, deux grandes questions se posent : 1° L’union faite, cette neut
79 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
122 cernablement ni s’en tenir à l’unisson. En un mot fédérer , au lieu de centraliser dans la monotonie abstraite, ou au contraire
80 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
123 is à peu près à ceci : a) Une Europe intégrale et fédérée , proclamant sa neutralité en cas de conflit américano-russe, serait u
81 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
124 s de faire voir à ces nationalistes qu’une Europe fédérée serait seule en mesure de sauver le concret de nos vies nationales, e
82 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
125 Haye, à Genève ou à Rome, dans le seul dessein de fédérer l’Europe, si nous y parvenons, ce ne sera qu’en surmontant les irrita
83 1957, Preuves, articles (1951–1968). Pourquoi je suis Européen (octobre 1957)
126 nces personnelles. Les vraies chances de l’Europe fédérée , c’est donc dans les esprits et les cœurs de nos nouvelles génération
84 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1957)
127 nt un instant ce qu’on peut faire de sérieux sans fédérer d’abord les efforts nécessaires pour la fédération. ai. « Sur l’E
85 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
128 enture occidentale. Ils savent bien qu’une Europe fédérée , reprenant sa place dans l’histoire, ne sera pas la suprême solution
129 la conscience ou de la morale, comme désarmer, se fédérer , régler les mœurs, modifier le régime politique. C’est la formule féd
86 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation européenne (février 1958)
130 entre de telles autonomies régionales et l’Europe fédérée (en particulier le Marché commun). Exécution. L’action a été lancée
87 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Un essai de synthèse (mai 1958)
131 e statut politique ou la Constitution de l’Europe fédérée . On pourrait donc penser que tous sont d’accord. Il n’en est rien. Ca
132 e désunion qui les groupe aujourd’hui. Une Europe fédérée , capable de mener une politique commune au plan mondial, pourrait seu
133 uble sens du mot — que s’ils ne parviennent pas à fédérer leurs forces pour exiger ensemble et sans plus de délais l’élection d
88 1958, Articles divers (1957-1962). Demain l’Europe sans frontières ?[préface] (1958)
134 nt aux chiffres, et que les militants de l’Europe fédérée croient aux bienfaits automatiques de l’union, sans avoir toujours ca
89 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Note liminaire
135 e action — je ne dis pas une agitation — visant à fédérer nos énergies.
90 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
136 unique solution : la création rapide d’une Europe fédérée , sans barrières intérieures, seule capable de tenir son rang ou de le
91 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
137 ns ce domaine. Il nous reste une seule solution : fédérer nos faiblesses pour en faire une grande force. Et c’est ce que tenten
92 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
138 u défaite, nation par nation, faute d’avoir su se fédérer en temps utile, qu’y perdrait le monde ? Et je donne dès maintenant m
93 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
139 re viendra de la Russie. …Comment ferez-vous pour fédérer des Slaves, ou religieux ou mystiques révolutionnaires ; des Scandina
94 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
140 ntenant nous voulons faire l’Europe, c’est-à-dire fédérer nos peuples et les doter d’institutions communes, il est bien clair q
95 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
141 chefs de tous les mouvements pour l’Europe unie, fédérée ou confédérée. Ce ne fut pas un congrès comme les autres, puisqu’il e
96 1961, La Vie protestante, articles (1938–1978). Bilan simple (29 décembre 1961)
142 ême passion. Elle choisit la santé : elle veut se fédérer . Et bien sûr, tout n’est pas encore gagné. Mais en demandant son acce
97 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
143 II, voire d’illustres protagonistes d’une Europe fédérée , comme Leibniz et Rousseau, qui redoutaient que le Projet ne desservî
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
144 moins « philosophique » d’un partisan de l’Europe fédérée … par l’Instruction : Melchior-Gaspar de Jovellanos (1744-1811), homme
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
145 ependant que les cantons suisses décidaient de se fédérer , qu’un Parlement fédéral allemand se réunissait à Francfort, et que M
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
146 sance, le passé, Renan oppose l’idée d’une nation fédérée par le « consentement actuel » des populations et par leur « volonté
147 … La belle affaire ! Mais comment ferez-vous pour fédérer des Slaves, ou religieux ou mystiques révolutionnaires ; des Scandina