1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
1 a chambre. Une demi-heure plus tard, j’étais à la gare , j’écrivais un mot d’adieu à ma maîtresse d’une nuit et je partais da
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
2 tée par l’express de Transylvanie au sortir de la gare de Budapest, devient avec la plaine une Symphonie-Dichtung borodinesq
3 res, tels que banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta est une terre
4 et tant d’amour perdu… Un train dormait devant la gare campagnarde. Je me suis étendu dans un compartiment obscur, stores ba
5 ouloureux, le train ralentit. Hegyeshalom, petite gare frontière arrêtée au milieu de la plaine à l’heure A, — l’heure des a
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
6 egardant par la fenêtre, il vit d’affreux noms de gares tels que Tenman, Tamazukuri, tout à fait dans le genre d’Osaka, écrit
4 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 tée par l’express de Transylvanie au sortir de la gare de Budapest, devient avec la plaine une Symphonie-Dichtung borodinesq
8 s, tels que : banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta est une terre
9 et tant d’amour perdu… Un train dormait devant la gare campagnarde. Je me suis étendu dans un compartiment obscur, stores ba
10 ouloureux, le train ralentit. Hegyeshalom, petite gare frontière arrêtée au milieu de la plaine à l’heure A, — l’heure des a
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
11 ien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gare en géraniums, et il faut bien la regarder, la vivre un moment. Ce tra
12 zug », interminablement, crache sa fumée dans des gares de banlieue qui ne sont plus fleuries. Il règne dans ce wagon un mala
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 tée par l’express de Transylvanie au sortir de la gare de Budapest, devient avec la plaine une Symphonie-Dichtung borodinesq
14 s, tels que : banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta est une terre
15 et tant d’amour perdu… Un train dormait devant la gare campagnarde. Je me suis étendu dans un compartiment obscur, stores ba
16 ouloureux, le train ralentit. Hegyeshalom, petite gare frontière arrêtée au milieu de la plaine à l’heure A, — l’heure des a
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
17 ien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gare en géraniums, et il faut bien la regarder, la vivre un moment. Ce tra
18 zug », interminablement, crache sa fumée dans des gares de banlieue qui ne sont plus fleuries. Il règne dans ce wagon un mala
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
19 il, portant de grosses valises, se hâtent vers la gare d’Orsay. Paris a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté oublié
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
20 Voici les toits, le clocher de Couvet, la petite gare qu’on traverse en trois secondes — disparus sans laisser de traces, s
10 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
21 eut-être génial, mais invendable sur les quais de gare . Quant aux petits éditeurs, dont j’ai parlé, il a suffi de quelques a
11 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
22 e. À peine s’il nous en vient quelques rumeurs de gare , un coup de trompe d’auto, des cris de coq. L’odeur du raisin foulé m
23 beau et fin mais incroyablement crasseux. Vers la gare , il y a bien un parc municipal, le jardin d’un couvent désaffecté, ma
12 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
24 ie » circulation. Et l’on ne voyait guère que des gares , ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village. Aujourd’hui, le
13 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
25 ie » circulation. Et l’on ne voyait guère que des gares , ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village. Aujourd’hui, le
14 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
26 les valises, descendre mes caisses de livres à la gare , etc., et le train part dans une heure. Quand la propriétaire reviend
15 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
27 des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter, dans une course angoissante et agréablement diaboliqu
28 ie » circulation. Et l’on ne voyait guère que des gares , ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village. Aujourd’hui, le
16 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
29 e. À peine s’il nous en vient quelques rumeurs de gare , un coup de trompe d’auto, des cris de coq. L’odeur du raisin foulé m
30 eau et fin, mais incroyablement crasseux. Vers la gare , il y a bien un parc municipal, le jardin d’un couvent désaffecté, ma
31 le nombre de voyageurs qui prennent le train à la gare Saint-Lazare un samedi soir de beau temps, en plein été, est assez ex
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
32 sons de haïr et aucune d’admirer. Au sortir de la gare Montparnasse, ces bouffées de chaleur insupportable qui montent du tr
18 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
33 les valises, descendre mes caisses de livres à la gare , etc., et le train part dans une heure. Quand la propriétaire reviend
19 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
34 juillet 1921. 500 fascistes avaient débarqué à la gare de cette petite ville. Ils s’y heurtèrent à 8 gendarmes et 3 soldats,
20 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
35 de la révolution. Et certes, en ce petit matin de gare , à Saarbrücken, c’est le « Heil’ler » tout machinal (le Heil Hitler d
36 ment.)   À la douane. — Je vais au Zollamt de la gare pour retirer mes malles et le lit de mon petit garçon. — Si c’était u
37 es, il travaille donc comme ouvrier d’équipe à la gare de Münster, puis comme comptable. Finalement on le nomme vicaire au s
21 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
38 connu cela trois jours plus tard, dans une grande gare de cette Europe qui ne sait plus répondre aux menaces que par l’extin
39 az. Déjà nous roulons lourdement. Le nom de cette gare — comme de toutes les autres — était camouflé, illisible. Je ne saura
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
40 luxe et d’aventures exotiques que les « romans de gare  » suffisent à satisfaire symboliquement. Que cela n’ait plus aucune e
23 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
41 propos : je vois que vous allez passer sans crier gare à des propositions théologiques. Souffrez alors que je m’avoue incomp
24 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
42 il, portant de grosses valises, se hâtent vers la gare d’Orsay. Paris a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté oublié
25 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
43 puleux surmontés d’une coupole astronomique de la gare de Pennsylvanie, j’ai pris mon premier train américain. Comme tout le
26 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
44 , soient vécus ; j’ai connu cela, dans une grande gare de cette Europe qui ne sait plus répondre aux menaces que par l’extin
45 az. Déjà nous roulons lourdement. Le nom de cette gare — comme de toutes les autres — était camouflé, illisible. Je ne saura
27 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
46 x heures. Avant d’entrer à mon bureau, près de la gare , acheté comme chaque matin la Gazette. Mon article — je n’y pensais p
28 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
47 — et sans avoir dîné, faute de restaurant dans la gare ou aux alentours. Durant toute la nuit, nous avons fait une moyenne d
48 . Cet express s’arrête non seulement à toutes les gares , mais parfois en rase campagne, pour embarquer un veau, ou laisser de
49 de leurs paquets et de leurs cages à poules. Aux gares , ils reconnaissent des amis, les prient de monter pour les accompagne
50 midi, on nous ouvre enfin une sorte de buffet de gare , et nous nous ruons aveuglément sur des nourritures indéfinissables.
51 africain. Et voici la frontière portugaise : une gare en faïence bleue et blanche, et soudain tout est propre et gai, et le
29 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
52 puleux surmontés d’une coupole astronomique de la gare de Pennsylvanie, j’ai pris mon premier train américain. Comme tout le
30 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
53 ent, allons ce soir, en rentrant à New York, à la gare de Pennsylvanie. Nous y fûmes. La bannière étoilée pendait immensémen
31 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
54 ail portant de grosses valises, se hâtent vers la gare d’Orsay. Paris a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté oublié
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
55 tée par l’express de Transylvanie au sortir de la gare de Budapest, devient avec la plaine une Symphonie-Dichtung borodinesq
56 s, tels que : banlieue française, village suisse, gare allemande grouillante de questions sociales. La Puszta est une terre
57 et tant d’amour perdu… Un train dormait devant la gare campagnarde. Je me suis étendu dans un compartiment obscur, stores ba
58 ouloureux, le train ralentit. Hegyeshalom, petite gare frontière arrêtée au milieu de la plaine à l’heure A, — l’heure des a
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
59 ien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gare en géraniums, et il faut bien la regarder, la vivre un moment. Ce tra
60 zug », interminablement, crache sa fumée dans des gares de banlieue qui ne sont plus fleuries. Il règne dans ce wagon un mala
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
61 vais en train, vingt-cinq minutes de Clamart à la gare Montparnasse, plus huit minutes à pied de la voûte d’entrée de notre
62 es à pied de la voûte d’entrée de notre bloc à la gare locale, à travers des terrains vagues : journées asservies à l’horair
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
63 des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter, dans une course angoissante et agréablement diaboliqu
64 ie » circulation. Et l’on ne voyait guère que des gares , ce qu’il y a de plus attristant dans chaque village. Aujourd’hui, le
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
65 e. À peine s’il nous en vient quelques rumeurs de gare , un coup de trompe d’auto, des cris de coq. L’odeur du raisin foulé m
66 eau et fin, mais incroyablement crasseux. Vers la gare , il y a bien un parc municipal, le jardin d’un couvent désaffecté, ma
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
67 sons de haïr et aucune d’admirer. Au sortir de la gare Montparnasse, ces bouffées de chaleur insupportable qui montent du tr
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
68 de la révolution. Et certes, en ce petit matin de gare , à Saarbrücken, c’est le « Heil’ler » tout machinal (le Heil Hitler d
69 ment.)   À la douane. — Je vais au Zollamt de la gare pour retirer mes malles et le lit de mon petit garçon. « Si c’était u
70 es, il travaille donc comme ouvrier d’équipe à la gare de Münster, puis comme comptable. Finalement on le nomme vicaire au s
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
71 , soient vécus ; j’ai connu cela, dans une grande gare de cette Europe qui ne sait plus répondre aux menaces que par l’extin
72 az. Déjà nous roulons lourdement. Le nom de cette gare — comme de toutes les autres — était camouflé, illisible. Je ne saura
73 x heures. Avant d’entrer à mon bureau, près de la gare , acheté comme chaque matin la Gazette . Mon article — je n’y pensais
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
74 — et sans avoir dîné, faute de restaurant dans la gare ou aux alentours. Durant toute la nuit, nous avons fait une moyenne d
75 . Cet express s’arrête non seulement à toutes les gares , mais parfois en rase campagne, pour embarquer un veau, ou laisser de
76 de leurs paquets et de leurs cages à poules. Aux gares , ils reconnaissent des amis, les prient de monter pour les accompagne
77 midi, on nous ouvre enfin une sorte de buffet de gare , et nous nous ruons aveuglément sur des nourritures indéfinissables.
78 africain. Et voici la frontière portugaise : une gare en faïence bleue et blanche, et soudain tout est propre et gai, et le
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
79 puleux surmontés d’une coupole astronomique de la gare de Pennsylvanie, j’ai pris mon premier train américain. Comme tout le
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
80 ent, allons ce soir, en rentrant à New York, à la gare de Pennsylvanie. Nous y fûmes. La bannière étoilée pendait immensémen
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
81 il, portant de grosses valises, se hâtent vers la gare d’Orsay. Paris a reculé d’un siècle, en direction d’une beauté oublié
44 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
82 propos : je vois que vous allez passer sans crier gare à des propositions théologiques. Souffrez alors que je m’avoue incomp
45 1948, Suite neuchâteloise. I
83 Voici les toits, le clocher de Couvet, la petite gare qu’on traverse en trois secondes — disparus sans laisser de traces, s
46 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
84 uteurs qu’il avait tout bonnement été à l’une des gares de Paris, où il avait acheté son billet sans nulle autre formalité. Q
47 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
85 ichesse suisse ». Les bâtiments publics : postes, gares , salles d’attente de tramways, les installations d’éclairage et de té
48 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Europe-URSS : en attendant le dialogue (février 1956)
86 nés, lui achète des toiles et les expose dans les gares , les bureaux et les grands hôtels. Les peintres russes admirent « Pou
49 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
87 va des métopes de Sélinonte à la décoration d’une gare moderne — celle de Genève — d’Ovide à Victor Hugo, et de l’auteur des
50 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
88 e que c’est aussi dans un train et sur un quai de gare qu’il fera la connaissance de deux de ses grands amis des années qui
89 oi je répondis que j’espérais la mériter. » À la gare , une foule assiège les trains en partance. Retinger va droit au comma
90 Pendant qu’il attend le train pour Londres, à la gare Saint-Lazare, vers 3 h du matin, un autre jeune « amateur de sûreté n
91 à quelques amis pour annoncer mon départ, et à la Gare de Lyon j’eus le plaisir d’être salué par les marquis de Castellane,
92 tière de Laredo. En haillons, il se présente à la gare , offre à un agent de Pullmann le double du prix d’un sleeping, et se
93 tin, le train stoppa un peu avant les quais de la gare de Cracovie, très loin de la sortie réservée aux Polonais. Effrayé à
94 n à la scène. Une voiture les attendait devant la gare , et les emmena vers leur cachette. C’est à Londres seulement que Reti
51 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
95 a du métope de Sélinonte au bas-relief ornant une gare moderne — celle de Genève —, d’Ovide à Victor Hugo et de l’auteur des
52 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
96 x heures. Avant d’entrer à mon bureau, près de la gare , acheté comme chaque matin la Gazette . Mon article — je n’y pensais
53 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
97 ue par des prés et des bois secrets. Les quais de gare où toutes les races du monde se mêlent à nos derniers paysans dans un
54 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
98 ures du matin, au garde à vous, sur le quai de la gare — je ne sais si j’eusse évité cette débâcle nerveuse que les Américai
55 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
99 autour d’un demi de blanc dans quelque buffet de gare , ils n’auraient pas grand-chose à se dire, et beaucoup de peine à se
56 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
100 richesse suisse. Les bâtiments publics : postes, gares , salles d’attente de tramways, les installations d’éclairage et de té
57 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
101 es gros plans tout d’un coup, aux approches de la gare , anéantissent l’exaltant panorama. Des maisons sages, un peu scolaire
58 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
102 ue par des prés et des bois secrets. Les quais de gare où toutes les races du monde se mêlent à nos derniers paysans dans un
59 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
103 i touche la Belgique. Vue de Paris, Lille est une gare terminus, et Roubaix-Tourcoing un cul-de-sac dans un coin de l’Hexago
60 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
104 i touche la Belgique. Vue de Paris, Lille est une gare terminus, et Roubaix-Tourcoing un cul-de-sac dans un coin de l’Hexago
61 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe des régions
105 x du gouvernement français, cette ville était une gare terminus et la région avoisinante, Lille-Roubaix-Tourcoing, un cul-de
62 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
106 i touche la Belgique. Vue de Paris, Lille est une gare terminus, et Roubaix-Tourcoing un cul-de-sac dans un coin de l’hexago
63 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
107 nine s’y prépare à partir en wagon plombé pour la Gare de Finlande et la révolution d’Octobre, tandis qu’à l’autre bout de l
64 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
108 uis Armand d’accepter la présidence, je vais à la gare l’accueillir et je le trouve au bas d’un escalier, portant une assez
65 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
109 ble dans un petit restaurant chinois, derrière la gare Montparnasse. Nous remontons à pied la rue de Rennes, contournons la
110 remontons à pied la rue de Rennes, contournons la gare , et longeons un terrain de démolition mal éclairé, au bout duquel, à
111 vois, quelques jours plus tard, sur le quai de la gare de Berne, où nous avons pris rendez-vous. Il arrive, lentement, pouss
66 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
112 uis arrivé à mon bureau à sept heures, près de la gare de Berne, où j’avais acheté ma Gazette de Lausanne sans plus penser