1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 pporte chez nous une inspiration neuve, d’origine germanique , mais qui a choisi de s’astreindre à la voluptueuse rigueur latine, e
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
2 tent du mot fumeux pour caractériser tout lyrisme germanique , il faudra opposer l’excellent petit livre d’Edmond Jaloux. C’est un
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 spirituelle, devient tragique ou tout simplement germanique . L’Allemagne, c’est la Poésie, et la France c’est la Chambre des Dépu
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
4 Nature. Mythe grec, mais devenu, par excellence, germanique  ; mythe païen, mais il est bien troublant de le voir se mêler, dans l
5 e qui est celle de ses Noces. Jouve est le plus «  germanique  » des poètes français d’aujourd’hui ; ce sont les harmoniques éveillé
5 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
6 t wagnériens a toujours prévalu parmi les peuples germaniques , où son prestige ne le cède aujourd’hui qu’à l’idéal anglo-saxon du g
6 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
7 eux silence du ministre renouvelle le vieux mythe germanique de la « Tarnkappe », du manteau qui rend invisible. ⁂ Cette similitud
7 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
8 Parmi les traits tout quotidiens de la mentalité germanique , les plus frappants apparaissent déterminés par la morale du titanism
9 mme ; telles, dans une certaine mesure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe
10 refus de l’acte. Il en résulte que la sensualité germanique est plus consciente (c’est-à-dire à la fois plus morose et plus débau
11 nommer l’une des raisons d’être profonde du monde germanique . 5. Seule réalité vivante prise en considération par l’intelligence
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
12 n ! — et mes Juifs de grogner d’aise. La noblesse germanique fait encore des enfants et ils sont grands5 beaux et nombreux, racés
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls crus germaniques . J’ai trouvé Swedenborg et Paracelse dans l’armoire sculptée du père
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
14 spirituelle, devient tragique ou tout simplement germanique . « L’Allemagne, c’est la Poésie, et la France c’est la Chambre des Dé
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
15 Parmi les traits tout quotidiens de la mentalité germanique , les plus frappants apparaissent déterminés par la morale du titanism
16 omme ; telles dans une certaine mesure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe
17 refus de l’acte. Il en résulte que la sensualité germanique est plus consciente (c’est-à-dire à la fois plus morose et plus débau
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
18 s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls crus germaniques . J’ai trouvé Swedenborg et Paracelse dans l’armoire sculptée du père
13 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
19 t utiliser la religion aux fins de la renaissance germanique . Alors que la grande majorité des chrétiens d’Allemagne, rangée derri
14 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
20 empoisonné (p. 19). Cette généalogie des monstres germaniques obsède décidément nos universitaires. Elle relève d’un nationalisme d
15 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
21 nous rendions hommage à ce ver sacrum de l’esprit germanique . Il est grand temps que nous relevions ces titres de noblesse spiritu
16 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
22 e parlent d’hystérie collective, d’irrationalisme germanique , etc., et représentent Hitler comme un tribun déchaîné exploitant les
17 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
23 et actuelle la période la plus riche de la pensée germanique , d’autre part en déclarant et soulignant des correspondances profonde
18 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
24 ? L’on s’étonne enfin de ce lien entre le domaine germanique et l’expression littéraire du mythe : Chamisso, Andersen, Hofmannstha
25 ouvenant de la question que nous posait l’origine germanique du mythe38. Dès le début, j’avais pressenti qu’une fable à ce point c
26 ntes fantastiques. Notons qu’en dehors du domaine germanique et anglais, il ne relève que deux ou trois auteurs français. Encore c
19 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
27 un État nos trois plus grandes civilisations, la germanique , la latine et la française. ⁂ De cette mission qui justifie en même t
28 hez nos intellectuels à l’endroit de ce qui est «  germanique  » dans notre vie confédérale. Réaction de faiblesse, et néfaste à un
29 t de notre Rhône, si « roman », sans le voisinage germanique qui l’a contraint à formuler sa différence spécifique ? En France mêm
20 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
30 ’époque ; Eugène Diesel (biographie) ; Ballades germaniques  ; Culture et religion des Germains ; Œuvres complètes de F. Blunck
31 , culte des héros militaires, retour au Moyen Âge germanique . Je vous laisse à imaginer les rêves du lecteur allemand, heureux bén
21 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
32 ent prise à l’étranger pour un trait de caractère germanique . Mais c’est aussi l’intellectualisme stérilisant, l’esprit d’abstract
22 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
33 e grand-allemand. Face à l’affirmation de l’unité germanique , faite et scellée en deux coups de poing, la France, un mois durant,
23 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
34 que avec le vieux pasteur, ce champion des vertus germaniques s’écrie : « Je ne crois qu’à un Dieu qui sauve l’honneur de mon peupl
35 il y a, dit-on, d’irréductible et de « proprement germanique  » dans la religion nationale-socialiste. Je dis ceci pour les Françai
36 x plus claire s’élève : « Mais la vieille légende germanique nous annonçait que le Libérateur descendrait des montagnes neigeuses…
24 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
37 tre libérales, parce qu’individualistes… La piété germanique n’est qu’une attitude de profond respect en face des lois de l’Harmon
38 nationale-socialiste n’est destinée qu’à la race germanique , et non pas à toutes les races, comme le christianisme… Le 24e point
25 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
39 s idoles, au nom de la race aryenne, de l’orgueil germanique , et de la foi nationaliste. Or, nous savons par l’Ancien Testament qu
26 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
40 prenait pas, cela n’entrait pas dans les coutumes germaniques . Alors parut M. Hitler. Il a fallu cinq ou six ans pour déchiffrer la
27 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
41 a survécu à la conquête romaine et aux invasions germaniques . « Les Gallo-Romains sont restés pour la plupart des Celtes déguisés.
42 s Celtes déguisés. Si bien qu’après les invasions germaniques , on vit reparaître en Gaule des modes et des goûts qui avaient été ce
28 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
43 s s’étonne des succès d’Hitler auprès de la masse germanique , mais il ne s’étonnerait pas moins des façons qui plaisent aux Allema
29 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
44 plus importante à mes yeux, celle de la mystique germanique . Nous savons que par sa mère et par certains amis de celle-ci, tel le
45 piété d’un type tout à fait original, proprement germanique , ou plus précisément encore, souabe et rhénane. Nous sommes ici en pr
46 le de caractériser en quelques mots cette « piété germanique  », de forme proprement mystique. Qu’il suffise d’indiquer qu’elle rep
30 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
47 a survécu à la conquête romaine et aux invasions germaniques . « Les Gallo-Romains sont restés pour la plupart des Celtes déguisés.
48 s Celtes déguisés. Si bien qu’après les invasions germaniques , on vit reparaître en Gaule des modes et des goûts qui avaient été ce
31 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
49 s s’étonne des succès d’Hitler auprès de la masse germanique , mais il ne s’étonnerait pas moins des façons qui plaisent aux Allema
32 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
50 a survécu à la conquête romaine et aux invasions germaniques . « Les Gallo-Romains sont restés pour la plupart des Celtes déguisés.
51 s Celtes déguisés. Si bien qu’après les invasions germaniques , on vit reparaître en Gaule des modes et des goûts qui avaient été ce
33 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
52 s s’étonne des succès d’Hitler auprès de la masse germanique , mais il ne s’étonnerait pas moins des façons qui plaisent aux Allema
34 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). De Luther à Hitler (15 mars 1940)
53 haine, équitable pour tous, et englobant les pays germaniques . Or l’erreur qui consiste à placer Luther au début d’une évolution do
54 e d’une vingtaine d’années, dominer les fatalités germaniques que six siècles de catholicisme lui léguaient parfaitement intactes.
35 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
55 oût de la mort qui caractérisent les vieux poèmes germaniques . À quoi s’oppose, selon lui, l’énergique génie des Gaulois celtes. Or
36 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
56 dans un État ces trois grandes civilisations : la germanique , la latine et la française21. ⁂ De cette mission qui justifie en même
57 hez les intellectuels à l’endroit de ce qui est «  germanique  » dans notre vie confédérale. Réaction de faiblesse, et néfaste à un
58 t de notre Rhône, si « roman », sans le voisinage germanique qui l’a contraint à formuler sa différence spécifique ? En France mêm
37 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
59 du mouvement des communes italiennes, l’instinct germanique de la liberté armée, la rivalité entre l’empereur et les grands vassa
38 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
60 oup quelque chose du mystère français, du mystère germanique , ou du mystère alémanique ; sa meilleure part, sans doute, celle qu’a
61 ’Alémanique, — la nervosité latine et la ténacité germanique  ; notre ironie critique et leur humour. Et tout ce qu’il y a dans la
39 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
62 ans le monde. Cette habitude remonte au Moyen Âge germanique . À cette époque, l’« homme libre », — celui qui n’était pas un serf,
40 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
63 tins, un peu de diplomatie vaticane pour les pays germaniques et anglo-saxons ; un peu de soviétisme pour les autres. Dans l’ensemb
41 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
64 tins, un peu de diplomatie vaticane pour les pays germaniques et anglo-saxons ; un peu de soviétisme pour les autres. Dans l’ensemb
42 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
65 évenances du ministre renouvellent le vieux mythe germanique du manteau qui rend invisible. ⁂ Cette similitude de forme dans le co
43 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
66 e splendeur au loin visible, il les tira d’un sol germanique . ⁂ Constater que les données initiales, chez Goethe, sont allemandes,
67 montant. Du fait que Goethe a résisté à l’élément germanique irréductible et irrationnel qui demandait à se développer en lui ; du
68 manisme irrationnel par l’application d’un remède germanique , et rendre ainsi utilisable et communicable ce qui figurait à l’origi
69 harmonieuse résolution des dissonances proprement germaniques . Nulle part plus qu’en Allemagne cette grandeur particulière de Goeth
44 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
70 ncère, celui qui se conforme à la nouvelle vérité germanique , car le droit, leur a-t-on enseigné, c’est « ce qui sert le peuple al
45 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
71 français. Couronnant le tout, voici que le monde germanique vient déclarer la guerre aux États-Unis, puis que le monde russe, pro
46 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
72 ls étaient républicains. Cette vague d’émigration germanique , libérale et plus ou moins morave, a modifié l’aspect et les coutumes
47 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
73 cident de penser, ils tournent aussitôt au pédant germanique et jugent mundane ou irresponsible celui qui évite dans ses écrits le
48 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
74 bon nombre de noms italiens, anglais, français ou germaniques . Trente à quarante familles tiennent le haut du pavé et sont la socié
49 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
75 disme un peu pédant des discussions (qu’on dirait germaniques n’étaient les traits d’humour) caractérisent l’élément américain dans
50 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
76 ncère, celui qui se conforme à la nouvelle vérité germanique , car le droit, leur a-t-on enseigné, est « ce qui sert le peuple alle
77 ls étaient républicains. Cette vague d’émigration germanique , libérale et plus ou moins morave, a modifié l’aspect et les coutumes
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
78 Parmi les traits tout quotidiens de la mentalité germanique , les plus frappants apparaissent déterminés par la morale du titanism
79 mme ; telles, dans une certaine mesure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe
80 refus de l’acte. Il en résulte que la sensualité germanique est plus consciente (c’est-à-dire à la fois plus morose et plus débau
81 ommer l’une des raisons d’être profondes du monde germanique . Mais la crainte me prend qu’on aille chercher en ces remarques je ne
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
82 dans cet Ordre du Sacrifice auquel rêve l’Europe germanique , qu’elle redoute encore, mais qui forge sa loi au secret de son déses
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
83 s’y remettre. Mais ici je m’adonne aux seuls crus germaniques . J’ai trouvé Swedenborg et Paracelse dans l’armoire sculptée du père
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
84 que avec le vieux pasteur, ce champion des vertus germaniques s’écrie : « Je ne crois qu’à un Dieu qui sauve l’honneur de mon peupl
85 il y a, dit-on, d’irréductible et de « proprement germanique  » dans la religion nationale-socialiste. Je dis ceci pour les Françai
86 tre libérales, parce qu’individualistes… La piété germanique n’est qu’une attitude de profond respect en face des lois de l’Harmon
87 nationale-socialiste n’est destinée qu’à la race germanique , et non pas à toutes les races, comme le christianisme… » Le 24e poin
88 x plus claire s’élève : « Mais la vieille légende germanique nous annonçait que le Libérateur descendrait des montagnes neigeuses…
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
89 prenait pas, cela n’entrait pas dans les coutumes germaniques . Alors parut M. Hitler. Il a fallu cinq ou six ans pour déchiffrer la
90 i rites précieux et séculaires — émeut les masses germaniques et les rassemble autour du chef libérateur. Pourtant, cérémonies cont
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
91 cident de penser, ils tournent aussitôt au pédant germanique et jugent mundane ou irresponsible celui qui évite dans ses écrits le
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
92 bon nombre de noms italiens, anglais, français ou germaniques . Trente à quarante familles tiennent le haut du pavé et sont la socié
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
93 disme un peu pédant des discussions (qu’on dirait germaniques n’étaient les traits d’humour) caractérisent l’élément américain dans
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
94 ncère, celui qui se conforme à la nouvelle vérité germanique , car le droit, leur a-t-on enseigné, c’est « ce qui sert le peuple al
95 ls étaient républicains. Cette vague d’émigration germanique , libérale et plus ou moins morave, a modifié l’aspect et les coutumes
60 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
96 cident de penser, ils tournent aussitôt au pédant germanique et jugent mundane ou irresponsible celui qui évite dans ses écrits le
61 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
97 ? L’on s’étonne enfin de ce lien entre le domaine germanique et l’expression littéraire du mythe : Chamisso, Andersen, Hofmannstha
98 ouvenant de la question que nous posait l’origine germanique du mythe. Dès le début, j’avais pressenti qu’une fable à ce point cé
62 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
99 français. Couronnant le tout, voici que le monde germanique vient déclarer la guerre aux États-Unis, puis que le monde russe, pro
63 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
100 dense, originalité religieuse, proximité du monde germanique . Mais nous n’avons rien de ce qu’il faut pour assurer le succès d’une
64 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
101 Vous pouvez mélanger, par exemple, de la culture germanique et des Espagnols, du socialisme plus ou moins marxiste et des chrétie
65 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
102 oderne servage. Les dictatures latines, slaves et germaniques se rencontrent toutes sur ce point. Elles prennent toutes le pouvoir
66 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
103 esprit latin exige quelques définitions, l’esprit germanique une méthode, tandis que l’Anglo-Saxon cherche une « approche » conven
67 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
104 qui le Valais ? Au-delà de Sion il est de langue germanique . On le couperait en deux ? Merci, mais les Valaisans donneraient à on
68 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
105 ue et culturelle qu’ont en Suisse la civilisation germanique , la française, l’italienne et l’autrichienne. Le lieu d’où sortent (
106 et les gibelins. Le Saint-Empire romain de nation germanique se voyait au surplus menacé par le mouvement libertaire des communes
107 tème d’alliance de combourgeoisie entre les cités germaniques et suisses, système auquel devaient s’intégrer peu à peu la France, l
108 plus exaspéré, cette guerre qui opposait le monde germanique au monde latin, devait représenter pour la Suisse une épreuve décisiv
69 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
109 e, signe antique de la liberté chez les peuplades germaniques . Un des plus récents et des meilleurs observateurs des institutions s
70 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
110 érifient ici comme là : les familles catholiques, germaniques , rurales et pauvres réunissent toutes les chances d’avoir le plus d’e
111 , dans ce domaine, on devine certaines traditions germaniques . L’homme libre, le citoyen, prend son épée pour aller voter à la Land
71 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
112 omanisés sont envahis par les Burgondes, peuplade germanique naguère battue par Aetius et refoulée jusqu’en Savoie, d’où elle s’es
72 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
113 art, au moins à égalité, dans le concert des voix germaniques . Bodmer et « l’école suisse », Jean de Haller, Gessner, Lavater, ont
114 ubitement les derniers dépositaires de la culture germanique , et c’est en son nom qu’ils ont manifesté à l’égard du national-socia
115 : la volonté d’hégémonie, tantôt latine et tantôt germanique . Quelles que soient les idéologies, d’ailleurs variables, dont se réc
73 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
116 esprit latin exige quelques définitions, l’esprit germanique une méthode, tandis que l’Anglo-Saxon cherche une « approche » conven
74 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
117 d’idées, est d’origine nettement et exclusivement germanique ). Ils dépréciaient l’œuvre de Pierre Ier, n’y voyant que son aspect d
75 1955, Articles divers (1951-1956). Reynold et l’Europe (1955)
118  : à la fois catholique et protestante, latine et germanique , française et autrichienne, rhodanienne et rhénane, comme se trouve ê
76 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
119 t que l’Europe débute avec le Saint-Empire romain germanique , mais celui-ci excluait toute l’Espagne, tous les Balkans, toute l’Eu
77 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
120 artre : communisme, trotskisme, social-démocratie germanique et latine, travaillisme anglais et scandinave, nouvelle gauche parisi
78 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
121 s, ni juifs, ni romains, c’est-à-dire les apports germaniques , celtes, arabes, iraniens, et orientaux, qui sont venus s’ajouter au
79 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
122 grecque, juive et phénicienne, romaine, celte et germanique , arabe enfin ; et leur fusion dégage une énergie dont le champ ne sau
80 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
123 placer à un point de vue qui n’est ni français ni germanique , ni latin ni anglo-saxon, quant aux préjugés, mais tout cela à la foi
81 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Heinz Gollwitzer, Europabild und Europagedanke (septembre 1959)
124 the de l’empire, du Saint-Empire romain de nation germanique , que toute la tradition nationaliste française (royaliste avant que j
82 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
125 l’ambition « romaine » des empereurs « de nation germanique  » ; tandis que l’unité spirituelle deviendra l’autre pôle, celui de l
83 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
126 rofondeurs obscures du monde celtique et du monde germanique , et parfois même du monde arabe et du monde slave. Entre ces origines
84 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
127 rofondeurs obscures du monde celtique et du monde germanique , et parfois même du monde arabe. Entre ces origines diverses, hétérog
85 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
128 gines multiples — gréco-romaine, indo-chrétienne, germanique et celtique, arabe et slave —, à cause des valeurs souvent contradict
86 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
129 nel infaillible, alliant le meilleur des qualités germaniques et françaises, — il semblait toujours que tout cela devait le conduir
87 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
130 l’ambition « romaine » des empereurs « de nation germanique  » ; tandis que l’unité spirituelle deviendra l’autre pôle, celui de l
88 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
131 5 monarchies électives : le Saint-Empire romain germanique , les États du pape, la Pologne, la Hongrie et la Bohême ; 6 monarchie
132 la paix européenne… Je suppose donc que l’Empire germanique enverrait douze délégués ; la France, dix ; l’Espagne, dix ; l’Italie
133 bon dans ces Unions, & sur tout dans l’Union Germanique composée de plus de deux cens Souverainetés, je trouvai, dis-je, que
134 péen, qu’on en trouva autrefois à former le Corps Germanique , à exécuter en plus grand ce qui étoit déjà exécuté en moins grand ;
89 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
135 nt, centrée sur la Russie, l’Autriche et le corps germanique . Quant à la Suisse, elle serait entièrement neutre et deviendrait le
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
136 x autres en temps de paix et de guerre ; l’Empire germanique lui-même n’est qu’un ensemble de cités libres dont les souverains son
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
137 ’approchèrent, pour la sagesse, de celle du corps germanique , de la ligue helvétique, et des états généraux. Outre ces confédérati
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
138 lité armée, la Confédération américaine, la Diète germanique , la Ligue helvétique. Pourquoi la fraternité européenne ne pourrait-e
139 ces. Ils avaient été tirés des anciennes coutumes germaniques ou gothiques, améliorées et refondues par le droit romain, qui en ava
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
140 sseau le fédéraliste. C’est maintenant un siècle germanique qui vient brocher sur les xviiie et xixe siècles en prenant pour ax
141 e temps que la nouvelle religion, le même système germanique fondamental d’usages et d’idées… Quoi d’étonnant si ces peuples qui,
142 ce de l’Europe-dans-le-Monde qui marque la pensée germanique de l’époque : Pendant huit siècles depuis la ruine de l’Empire romai
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Napoléon et l’Europe
143 ieland, un Hegel, les plus « européens » du monde germanique , et même auprès d’un poète aussi peu politique que Jean Paul (Johann
95 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
144 n économiste pré-socialiste, Saint-Simon. Domaine germanique  : un groupe de romantiques catholicisants, Novalis, Görres, Baader et
96 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
145 centre naturel de ce nouveau Saint-Empire romain germanique , plus grand que l’ancien, fondé sans aucune contrainte par la Sainte-
146 barbares n’avaient pas eu lieu, si les peuplades germaniques n’avaient pas réussi à briser le joug romain, si au contraire tout le
147 toire », éminemment représentée par sa composante germanique , et comme le préciseront les hégéliens de droite, par l’État prussien
148 cinq populations avancées, française, italienne, germanique , britannique et espagnole, toujours solidaires depuis Charlemagne. — 
97 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
149 a allemand !… » Cette oscillation du nationalisme germanique au libéralisme universel, nous l’avons déjà constatée chez Herder et
150 urs, elle l’exerçait au moyen de la Confédération germanique . Cette Confédération a été faite contre Paris, qui était la cité révo
151 es couronnes, humilié les rois ; la Confédération germanique n’existe plus ; l’Allemagne aujourd’hui n’est plus qu’un chaos. C’est
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
152 issance à ce que nous appelons les souches celte, germanique et slave. S’il y a en Europe un élément d’unité prenant racine certai
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
153 s du passé. La Lorraine a fait partie de l’empire germanique , sans aucun doute ; mais la Hollande, la Suisse, l’Italie même, jusqu
154 ussi fait partie. L’Alsace est maintenant un pays germanique de langue et de race ; mais, avant d’être envahie par la race germani
155 de race ; mais, avant d’être envahie par la race germanique , l’Alsace était un pays celtique, ainsi qu’une partie de l’Allemagne
156 riotes fougueux de l’Allemagne réclament un droit germanique , nous pourrions réclamer un droit celtique antérieur, et avant la pér
157 t les civilisations hellénique, romaine, celte et germanique  ; civilisations qui dépassent de beaucoup celles d’Asie par le fait q
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
158 issances techniques de l’inhumain.288 La source germanique n’est même pas mentionnée par Valéry, dans son discours de 1922. Ce F
159 », pour les autres, parce qu’il était « de nation germanique  » ? C’est plutôt que la notion même de Saint-Empire n’est plus compri
160 Scandinavie.) Qui rendra donc justice à l’apport germanique  ? C’est un historien suisse, de vieille souche fribourgeoise, écrivan
161 hie du xxe siècle européen concernant l’héritage germanique  : 1° Fin de la légende des « Grandes invasions » ruinant l’Empire :
162 blesse de l’empire, il n’y aurait pas eu de péril germanique . Les Germains ne furent jamais assez nombreux pour le conquérir. Parl
163 ez nombreux pour le conquérir. Parler d’invasions germaniques et même de grandes invasions, est une sottise. Il y a les Germains d
164 orbé par l’État, terme fort. Le principe du droit germanique est, en effet, l’idée d’association. Genossenschaftsrecht, dit le gra
165 es nations et de l’Empire, des nations romanes et germaniques , du catholicisme et du protestantisme, de la théologie et de la philo
166 ont fait l’anglais. Et d’abord, bien sûr, la base germanique … Puis un important apport scandinave, dû à la conquête danoise. Puis