1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 r un coureur : « À peine a-t-il touché la piste d’ herbe , c’est une allégresse héroïque qu’infuse à son corps la douce matière
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
2 mpas. « Le voilà qui s’avance, foulant les hautes herbes du ciel. » Le gaucho a dompté Pégase et caracole dans les étoiles. J’
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
3 Nocturnes aux caresses coupantes comme certaines herbes . Capitale de la douleurak, ce sont de belles syllabes sereines, et da
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 r des phrases, tout en allant comme en rêve sur l’ herbe où s’étouffait tout bruit. « Ô crépuscule adolescent, disais-je, chas
5 s devant moi, une biche dresse la tête au ras des herbes , se lève, saute sur place, — n’est plus là. — J’ai poursuivi longtemp
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
6 e tenace comme toutes ces odeurs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent
6 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
7 ière des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’ herbe était pleine de sales limaces et de petits escargots, et les frambois
8 n », je pensais en dessous que j’aimais mieux les herbes mouillées. Lord Artur. — On dit souvent des femmes qu’elles sont nat
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
9 e tenace comme toutes ces odeurs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
10 r des phrases, tout en allant comme en rêve sur l’ herbe où s’étouffait tout bruit. « Ô crépuscule adolescent, disais-je, chas
11 s devant moi, une biche dresse la tête au ras des herbes , se lève, saute sur place, — n’est plus là. —J’ai poursuivi longtemps
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
12 is mon pas : au bout de mon pied, dans un creux d’ herbe , un petit lièvre frémissait, immobile et terrorisé. Nous nous sommes
10 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
13 enragés. Fatigués de leur innocence, voyant que l’ herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger,
11 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
14 it à conquérir : c’était là proprement « couper l’ herbe sous les pieds » à la guerre. Mais le geste du capitaliste, qui eût é
12 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
15 Pendant son absence, ses moissons sont abîmées, l’ herbe folle envahit ses champs, le bétail, faute de soins, dépérit. À son r
13 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
16 vre, sec et lumineux. Toutes les nuances du gris, herbes , pierres, oliviers, et quelques touches de vert humide au fond des va
14 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
17 r sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’élève de l’ herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est v
15 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
18 vre, sec et lumineux. Toutes les nuances du gris, herbes , pierres, oliviers, et quelques touches de vert humide au fond des va
19 r sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’élève de l’ herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est v
16 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
20 enragés. Fatigués de leur innocence, voyant que l’ herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger,
17 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
21 erd dans la hauteur. Nous nous sommes assis sur l’ herbe , à côté des porte-drapeaux de la Vieille garde du Parti, quatre civil
18 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
22 re, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’ herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terrain par-desso
23 assé, sans avenir. Tout le présent limité par ces herbes où circulent des bestioles maladroites. Le drap du pantalon colle au
19 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
24 a nuit pleuvait dans les futaies épaisses, et les herbes sauvages fouettaient les jambes nues. Au fond du parc, près de la por
20 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
25 i vu, aux frontières de la Suisse, l’invasion des herbes sauvages venant des terres abandonnées du Nord, et que nos paysans s’
21 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
26 enragés. Fatigués de leur innocence, voyant que l’ herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger,
22 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
27 i vu, aux frontières de la Suisse, l’invasion des herbes sauvages venant des terres abandonnées du Nord et que nos paysans s’e
23 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
28 atues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’ herbe , près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la cour sablée
24 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
29 ux, aux esplanades, aux terrains vagues envahis d’ herbes . Les arbres cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, e
30 atues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’ herbe , près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la cour sablée
25 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
31 re, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’ herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terrain par-desso
32 assé, sans avenir. Tout le présent limité par ces herbes où circulent des bestioles maladroites. Le drap du pantalon colle au
26 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
33 i vu, aux frontières de la Suisse, l’invasion des herbes sauvages venant des terres abandonnées du Nord et que nos paysans s’e
27 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
34 ux, aux esplanades, aux terrains vagues envahis d’ herbes . Les arbres cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, e
28 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
35 par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’ herbe d’un marais. Buenos Aires, début de septembre 1941 Un seul grat
36 umets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’ herbe je sens vivre une terre étrange, plus jeune et plus ancienne qu’aucun
29 1946, Journal des deux mondes. Virginie
37 atues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’ herbe , près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la cour sablée
30 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
38 e tenace comme toutes ces odeurs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
39 r des phrases, tout en allant comme en rêve sur l’ herbe où s’étouffait tout bruit. « Ô crépuscule adolescent, disais-je, chas
40 s devant moi, une biche dresse la tête au ras des herbes , se lève, saute sur place, — n’est plus là. — J’ai poursuivi longtemp
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
41 vre, sec et lumineux. Toutes les nuances du gris, herbes , pierres, oliviers, et quelques touches de vert humide au fond des va
42 r sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’élève de l’ herbe pauvre des terrasses, ni de ces arbres moirés et allègres. Tout est v
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
43 erd dans la hauteur. Nous nous sommes assis sur l’ herbe , à côté des porte-drapeaux de la vieille garde du Parti, quatre civil
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
44 enragés. Fatigués de leur innocence, voyant que l’ herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger,
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
45 re, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’ herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terrain par-desso
46 assé, sans avenir. Tout le présent limité par ces herbes où circulent des bestioles maladroites. Le drap du pantalon colle au
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
47 i vu, aux frontières de la Suisse, l’invasion des herbes sauvages venant des terres abandonnées du Nord et que nos paysans s’e
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
48 ux, aux esplanades, aux terrains vagues envahis d’ herbes . Les arbres cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, e
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
49 par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’ herbe d’un marais, près d’un cimetière, tandis qu’une amie me disait : « La
50 et venteuse où rien ne pousse naturellement que l’ herbe grise. La maison de maître se découvre enfin, isolée dans ces immensi
51 umets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’ herbe , je sens vivre une terre étrange, plus jeune et plus ancienne qu’aucu
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
52 atues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’ herbe , près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la cour sablée
40 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
53 ière des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’ herbe était pleine de limaces et de petits escargots, et les framboises hum
54 n », je pensais en dessous que j’aimais mieux les herbes mouillées. Lord Artur. On dit souvent des femmes qu’elles sont natur
41 1948, Suite neuchâteloise. VIII
55 is mon pas : au bout de mon pied, dans un creux d’ herbe , un petit lièvre frémissait, immobile et terrorisé. Nous nous sommes
42 1951, Preuves, articles (1951–1968). Culture et famine (novembre 1951)
56 trouvé le procédé pour détruire les racines d’une herbe nommée kans, fléau de riches vallées à blé de l’Inde centrale. Avec l
43 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
57 nventa le procédé pour détruire les racines d’une herbe nommée kans, fléau des riches vallées à blé de l’Inde centrale. Avec
44 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
58 art ; celle des Mongols qui ne laisse rien qu’une herbe rase. Mais les civilisations anciennes de l’Égypte et du Proche-Orien
45 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
59 etit monde complexe et fortuit, terre et pierres, herbe humide, ciel clair entre les branches, aubépines, profondeur des bois
60 rps et à la sensation. (« Toute chair est comme l’ herbe . » Amour de la chair pour ce qui la transcende et l’anime, car la pou
46 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
61 rps et à la sensation. (« Toute chair est comme l’ herbe . » Amour de la chair pour ce qui la transcende et l’anime, car la pou
62 etit monde complexe et fortuit, terre et pierres, herbe humide, ciel clair entre les branches, aubépines, profondeur des bois
47 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
63 ves, à deux-mille mètres, parmi les pâturages à l’ herbe rase, plantes grasses, petites fleurs intenses. Une place de bourg au
48 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
64 a courte halte sur le talus, le nez plongé dans l’ herbe fraîche. Plusieurs en profitaient pour rajuster minutieusement une co
65 male ! Nous gravissions maintenant les flancs à l’ herbe rase d’une montagne en forme de lion couché. Je me souviens de l’élas
49 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
66 in. Et, au milieu, dans un cirque de prairies à l’ herbe grasse, environné de hautes pentes dénudées que couronne parfois la t
50 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
67 autes fenêtres sans vitraux, on voit des pentes d’ herbe rase, des pans de forêts, des rochers sur le ciel. Ces noms mêmes et
51 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
68 eaux vives à 2000 mètres, parmi les pâturages à l’ herbe rase, plantes grasses, petites fleurs intenses. Une place de bourg au
52 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
69 Terre, de la surface terrestre, des arbres, de l’ herbe … Ce sont des réactions subjectives que nous exprimons. Mais on peut i
53 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
70 Iseut : Il ne m’aime pas, ne je lui. Fors par un herbe dont je bui Et il en but : ce fu péchiez. Le procédé de Béroul, qui
54 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
71 modernes entre la croissance vivante, celle de l’ herbe , des arbres, des bêtes et de l’homme, et l’accroissement quantitatif
55 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
72 is désirable et redouté. Ne pas manger son blé en herbe , voilà la formule primitive, le fondement symbolique et le principe p
56 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
73 enragés. Fatigués de leur innocence, voyant que l’ herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger,