1
Ernest Seillière, Alexandre Vinet,
historien
de la pensée française (octobre 1925)k Peut-être n’est-il pas trop
2
ant ». k. « Ernest Seillière : Alexandre Vinet,
historien
de la pensée française (Payot) », Bibliothèque universelle et Revue d
3
’un exposé solidement documenté, et le scrupule d’
historien
et de chrétien qui permet à M. Guisan de montrer le point de vue adve
4
n. M. Esmonin, lui, se place au point de vue de l’
historien
scrupuleux, qui juge d’après les textes, les causes et les effets vér
5
eux mathématiciens et ingénieurs, un diplomate et
historien
, une alliance avec la fille de Corneille, et plus haut, dès le xiie
6
it des gens de Vattel. Nous avons eu d’excellents
historiens
: l’auteur de la Chronique des Chanoines (apocryphe), Chambrier pour
7
olkstum, ou les efforts d’un Eugen Rosenstock — l’
historien
des Révolutions européennes — dans le domaine du service civil et des
8
on moins remarquable, le met aux antipodes de ces
historiens
contemporains dont le succès consiste, lorsqu’ils citent des textes,
9
ée par l’insuffisance de la pensée ancienne ? Les
historiens
le croient volontiers. Mais on ne saurait dire qu’ils témoignent par
10
e rhétorique ? » Ce Jésus « reconstitué » par les
historiens
négateurs du surnaturel, M. Dominicé n’a pas de peine à montrer qu’il
11
s fascismes, et la théologie des sociologues, des
historiens
, des clercs bourgeois. Comment lui échapper ? N’est-il pas la voix mê
12
vérité psychologique, telle que la conçoivent les
historiens
, me paraît particulièrement improbable. Tout en admirant à chaque pag
13
oxe et courageuse. Au contraire de la plupart des
historiens
modernes qui ont voulu déduire de leur critique la relativité des art
14
de mourir presque en même temps qu’un autre grand
historien
protestant, Camille Jullian — avait adopté un parti tout différent, e
15
partialité systématique qui restera la marque des
historiens
du xixe siècle finissant, n’enlève rien à l’intérêt puissant de ce g
16
en faillite ? Comptabilité bonne peut-être pour l’
historien
de la littérature. Nous n’avons pas le cœur à ces injures. Le surréal
17
ute cette suite de décompositions morales que les
historiens
vont décrire mais que d’autres savants connaissent mieux encore : ceu
18
ute cette suite de décompositions morales que les
historiens
vont décrire mais que d’autres savants connaissent mieux encore : ceu
19
. L’Esprit souffle où il veut. Les prévisions des
historiens
de la pensée ne semblent pas peser bien lourd sur ses décisions souve
20
e établie par l’édit de Nantes, légende chère aux
historiens
de la Troisième République, cède aux premiers regards que nous pouvon
21
certains précédents, qui paraîtront, aux yeux des
historiens
futurs, bien anodins, n’est peut-être pas inutile, avant de passer à
22
ui caractérisera le monde bourgeois aux yeux de l’
historien
personnaliste, encore que très peu de bourgeois aient eu conscience d
23
ie moderniste (de Lessing à Fosdick), si cher aux
historiens
, aux psychologues, aux partisans de l’expérience religieuse « sentie
24
hilosophe des formes culturelles, plutôt que d’un
historien
de la science. Les historiens font la grimace, mais les lettrés et le
25
les, plutôt que d’un historien de la science. Les
historiens
font la grimace, mais les lettrés et les médecins de la jeune école s
26
echnicien de la pensée34 ». Quand ils ne sont pas
historiens
, les « philosophes » de l’Université s’occupent de psychologie. Mais
27
féconds et authentiques de ce siècle. J’imagine l’
historien
futur étudiant l’inventaire de Petit, comme nous lisons le Journal d’
28
oujours fait défaut. Tous vos manuels et tous vos
historiens
vantent les bienfaits de cette unité. Elle est passée dans vos mœurs,
29
ue l’on donne couramment à ce terme — est le seul
historien
clairvoyant. Séparer prophétie et histoire comme le font les mauvais
30
à toute foi incontrôlable. Je pense que tous les
historiens
(de gauche, de droite ou de Moscou) s’accorderont à reconnaître que l
31
lief un fait dont la simplicité peut échapper à l’
historien
méticuleux. Voici ce fait : la raison à la fois utilitaire et scienti
32
ins de droite. Ces attaques contre la méthode des
historiens
et philologues universitaires furent faussées dès le début par un par
33
en passant, de ce fait : le prophète est le seul
historien
clairvoyant. Séparer prophétie et histoire comme le font les mauvais
34
à toute foi incontrôlable. Je pense que tous les
historiens
(de gauche, de droite ou de Moscou) s’accorderont à reconnaître que l
35
lief un fait dont la simplicité peut échapper à l’
historien
méticuleux. Voici ce fait : la raison à la fois utilitaire et scienti
36
ins de droite. Ces attaques contre la méthode des
historiens
et philologues universitaires furent faussées dès le début par leur p
37
porain, il est curieux que Thibaudet, son premier
historien
, ne tente d’en sauver que les plus gros morceaux — au poids — les « r
38
e maîtrise qui le met du coup au premier rang des
historiens
modernes de la culture. C’est en effet au romantisme allemand qu’il f
39
r 1934 La presse. — Je note à l’usage d’un futur
historien
des mœurs que la presse « de droite » reflète assez exactement la men
40
il s’agit de réfuter les hypothèses d’un collègue
historien
. Je ne nie pas la valeur intrinsèque de la thèse que défend M. Lamm e
41
934 La presse. — Je note à l’usage d’un futur
historien
des mœurs que la presse « de droite » reflète assez exactement la men
42
qu’un texte que je trouve dans le plus grand des
historiens
profanes des Juifs : Josèphe. « Notre législateur (Moïse), écrit-il d
43
it à quel point cette codification fut poussée. L’
historien
juif Josèphe écrit dans sa Réponse à Appion (I, 2) qu’un registre des
44
se peut que l’hitlérisme apparaisse aux yeux des
historiens
futurs, comme une école civique élémentaire qui aura donné au peuple
45
l’histoire : c’est la version très officielle des
historiens
fascistes eux-mêmes. Une seule fois, nous apprennent-ils, la police s
46
chose se fasse, la seule question qui se pose à l’
historien
, au sociologue, c’est de savoir quel mécanisme social va se déclenche
47
se peut que l’hitlérisme apparaisse aux yeux des
historiens
futurs, comme une école civique élémentaire qui aura donné au peuple
48
oujours fait défaut. Tous vos manuels et tous vos
historiens
vantent les bienfaits de cette unité. Elle est passée dans vos mœurs,
49
, dominer ainsi toute la littérature ? Beaucoup d’
historiens
, d’érudits, se sont posé la question sans pouvoir la résoudre. Pour m
50
ter sur le fait qu’il n’a pas voulu faire œuvre d’
historien
. Même si les historiens trouvent que j’ai tort sur un point particuli
51
’a pas voulu faire œuvre d’historien. Même si les
historiens
trouvent que j’ai tort sur un point particulier, précise-t-il, cela m
52
trouver l’explication d’un fait connu de tous les
historiens
: c’est l’incapacité des romantiques à donner des œuvres achevées. En
53
st un livre d’histoire » et que je ne suis pas un
historien
. Je vois bien que vous non plus ne voulez pas l’être comme tant d’aut
54
rent et le restent. Toutefois, c’est bien comme «
historien
» que vous m’attaquez, et certes je ne fais pas de ce mot une injure,
55
t. Je ne crois pas aux « faits objectifs » dont l’
historien
prétend communément « partir »109. Je crois qu’il y a un matériel hét
56
stes et de paroles, matériel avec l’aide duquel l’
historien
compose des faits, comme le poète une poésie. Que faut-il pour écrire
57
tation. Or c’est l’erreur commune, bien moins des
historiens
— qui ne peuvent plus se faire d’illusions — que du public qui croit
58
te réponse écrite, j’ai lu votre « Tristesse de l’
historien
». (Mounier et Niklaus, qui sortent de chez moi, peuvent témoigner de
59
faire confiance à l’intuition. » — Tristesse de l’
historien
n’est-ce pas ? Et c’est pourtant celui-là même qu’avec combien de rai
60
ils auront bientôt fait de retrouver la joie de l’
historien
!) 109. Je lisais hier encore dans une étude de Lucien Febvre : « L
61
ns une étude de Lucien Febvre : « La méthode de l’
historien
, c’est partir des faits… modestement ». Dans la mesure où c’est réell
62
tre eux, au moins, les eût créés !). Or dès qu’un
historien
se risque à formuler une hypothèse sur l’origine de la rhétorique cou
63
Certes. Mais là-dessus, l’auteur annonce qu’« en
historien
scrupuleux », il se garde bien de se prononcer. Ce qui revient à dire
64
objets que nous considérons54. L’un des meilleurs
historiens
des mœurs médiévales, J. Huizinga, nous propose sur ce point des exem
65
’influence de Freud sur ce mouvement. Supposons l’
historien
futur de notre civilisation détruite : il a devant les yeux quelques
66
us veniez de commettre.78 » Libre après cela aux
historiens
de la littérature de parler d’aventures incroyables, de merveilleux f
67
ché (op. cit.) combat l’opinion courante chez les
historiens
officiels, et affirme en s’appuyant sur Ch. Molinier qu’on ne saurait
68
chose se fasse, la seule question qui se pose à l’
historien
, au sociologue, c’est de savoir quel mécanisme va se déclencher pour
69
-être délégué par le mouvement ? Les plus récents
historiens
l’ont admis, après de nombreux tâtonnements. D’autre part, la fameuse
70
bliait, au lendemain de la guerre, Robert Dürrer,
historien
du canton d’Unterwald. C’est une véritable somme critique de tout ce
71
la tiare papale) en une vision de la Trinité. Les
historiens
ne sont guère d’accord, et je n’ai pas qualité pour trancher ce probl
72
te thèse pourra paraître un peu forcée à certains
historiens
méticuleux. Mais elle devient presque évidente dès que l’on réfléchit
73
ssein » d’une fédération européenne ? Certes, les
historiens
attribuent à ces faits des causes politiques précises. Ils disent que
74
ntre eux, au moins, les eût créés !) Or dès qu’un
historien
se risque à formuler une hypothèse sur l’origine de la rhétorique cou
75
Certes. Mais là-dessus, l’auteur annonce qu’« en
historien
scrupuleux », il se garde bien de se prononcer. Ce qui revient à dire
76
objets que nous considérons56. L’un des meilleurs
historiens
des mœurs médiévales, J. Huizinga, nous propose sur ce point des exem
77
’influence de Freud sur ce mouvement. Supposons l’
historien
futur de notre civilisation détruite : il a devant les yeux quelques
78
précis des influences, à la manière de beaucoup d’
historiens
pour qui le réel n’est défini que par des documents écrits. J’irai ma
79
e pure fantasmagorie sentimentale. 6. Excuse aux
historiens
. — Je ne crois guère à l’histoire « scientifique » comme critère des
80
ous veniez de commettre91. » Libre après cela aux
historiens
de la littérature de parler d’aventures incroyables, de merveilleux f
81
chose se fasse, la seule question qui se pose à l’
historien
, au sociologue, c’est de savoir quel mécanisme va se déclencher pour
82
demeurent cachés, mais qui donnera peut-être aux
historiens
futurs de notre société occidentale, la clé d’une crise dont nous ne
83
yses dont je sens qu’elles aggravent mon cas. Les
historiens
ont déploré mon insistance sur les relations troublantes que j’observ
84
ssage sans lesquelles nous ne saurions vivre. Aux
historiens
, je répondrai simplement que j’étais à la recherche d’un sens existen
85
tre eux, au moins, les eût créés !). Or dès qu’un
historien
se risque à formuler une hypothèse sur l’origine de la rhétorique cou
86
Certes. Mais là-dessus, l’auteur annonce qu’« en
historien
scrupuleux », il se garde bien de se prononcer. Ce qui revient à dire
87
objets que nous considérons49. L’un des meilleurs
historiens
des mœurs médiévales, J. Huizinga, nous propose sur ce point des exem
88
’influence de Freud sur ce mouvement. Supposons l’
historien
futur de notre civilisation détruite : il a devant les yeux quelques
89
précis des influences, à la manière de beaucoup d’
historiens
pour qui le réel n’est défini que par des documents écrits. J’irai ma
90
pure fantasmagorie sentimentale. ] 6. Excuse aux
historiens
. — Je ne crois guère à l’histoire « scientifique » comme critère des
91
us veniez de commettre. »83 Libre après cela aux
historiens
de la littérature de parler d’aventures incroyables, de merveilleux f
92
chose se fasse, la seule question qui se pose à l’
historien
, au sociologue, c’est de savoir quel mécanisme va se déclencher pour
93
demeurent cachés, mais qui donnera peut-être aux
historiens
futurs de notre société occidentale, la clé d’une crise dont nous ne
94
des béguines réduit à néant les raisonnements des
historiens
qui s’efforçaient de démontrer, contre ma thèse, qu’un « abîme sépare
95
orte raison pourrons-nous dénoncer l’illusion des
historiens
et sociologues qui prétendaient décrire objectivement les lois rigide
96
peuple ami. (Il entendait : son peuple tchèque.)
Historien
futur ! — s’il en reste — tels étaient les propos amers qui se tenaie
97
te thèse pourra paraître un peu forcée à certains
historiens
méticuleux. Mais elle devient presque évidente dès que l’on réfléchit
98
ssein » d’une fédération européenne ? Certes, les
historiens
attribuent à ces faits des causes politiques précises. Ils disent que
99
orte raison pourrons-nous dénoncer l’illusion des
historiens
et sociologues qui prétendaient décrire objectivement les lois rigide
100
décrire tous les faits des temps révolus ? Chaque
historien
, si scrupuleux soit-il, est bien obligé de choisir, dans la masse de
101
sions du monde, autant de systèmes de faits. Et l’
historien
qui croit pouvoir être impartial est simplement un homme qui refuse d
102
on compte ? C’est alors qu’éclate la Réforme. Les
historiens
modernes accusent parfois Zwingli d’avoir brisé l’essor guerrier des
103
te thèse pourra paraître un peu forcée à certains
historiens
méticuleux. Mais elle devient presque évidente dès que l’on réfléchit
104
ssein » d’une fédération européenne ? Certes, les
historiens
attribuent à ces faits des causes politiques précises. Ils disent que
105
pose.) « Le diable n’est qu’un mythe, nous dira l’
historien
. Preuve en soit que je puis vous tracer son histoire, de sa naissance
106
illusion morbide. » Tel est le point de vue de l’
historien
. Il est exact tant qu’il n’explique rien, et qu’il se borne à réciter
107
els que soient les prétextes que nous offrent les
historiens
de l’économie matérialiste. Nous nous réfugions dans l’Ennui plutôt q
108
pose.) — Le diable n’est qu’un mythe, nous dira l’
historien
. Preuve en soit que je puis vous tracer son histoire, de sa naissance
109
re illusion morbide. Tel est le point de vue de l’
historien
. Il est exact tant qu’il n’explique rien, et qu’il se borne à réciter
110
els que soient les prétextes que nous offrent les
historiens
de l’économie matérialiste. Nous nous réfugions dans l’Ennui plutôt q
111
isme, il domine l’athéologie des sociologues, des
historiens
, des clercs bourgeois. Comment lui échapper ? Qui l’a tenté vraiment,
112
donné l’occasion à un certain nombre de savants,
historiens
et écrivains de travailler pour les Églises dans leur ensemble. Mais
113
peuple ami. (Il entendait : son peuple tchèque.)
Historien
futur ! — s’il en reste — tels étaient les propos amers qui se tenaie
114
La « route de Lisbonne » restera, aux yeux de l’
historien
futur, l’un des symboles les plus typiques de l’an de grâce 1940. « A
115
différence toutes celles que peuvent imaginer les
historiens
soucieux de découper en siècles, périodiser et styliser une infinie c
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934 La presse. — Je note à l’usage d’un futur
historien
des mœurs que la presse « de droite » reflète assez exactement la men
117
se peut que l’hitlérisme apparaisse aux yeux des
historiens
futurs, comme une école civique élémentaire qui aura donné au peuple
118
peuple ami. (Il entendait : son peuple tchèque.)
Historien
futur ! — s’il en reste — tels étaient les propos amers qui se tenaie
119
de plus graves, et personne n’a crié au fou. ⁂ L’
historien
Gonzague de Reynold vient d’être reçu au palais de Venise et me racon
120
ités métalliques, mais dans le grave), Golo Mann,
historien
, fils de Thomas, George Davis, directeur du fameux magazine Mademoise
121
conférence de mardi soir, ce qui étonne tous les
historiens
de notre Confédération, c’est justement l’extrême rapidité avec laque
122
chez les gens ou pouvoir. Ce qui étonne tous les
historiens
de la Confédération helvétique, c’est justement l’extrême rapidité av
123
leur tension féconde. ⁂ Lorsqu’on lit les anciens
historiens
suisses, j’entends ceux d’avant 1848, on est frappé de constater qu’i
124
e comme malgré soi recréatrice d’un Chamisso. Les
historiens
de la littérature devraient se garder d’affadir une telle œuvre, n’y
125
néral comme un système sans avenir. Le plus grand
historien
de notre temps, Arnold Toynbee, fait observer que les utopies classiq
126
chez les gens au pouvoir. Ce qui étonne tous les
historiens
de notre Confédération, c’est justement l’extrême rapidité avec laque
127
s leur tension féconde. Lorsqu’on lit les anciens
historiens
suisses, j’entends ceux d’avant 1848, on est frappé de constater qu’i
128
éral comme un système sans avenir. Le plus grand
historien
de notre temps, Arnold Toynbee, fait observer que les utopies classiq
129
ise notre temps restera sans doute, aux yeux de l’
historien
, l’emploi simultané de certaines expressions telles que démocratie, d
130
dans leur imagination du futur que la plupart des
historiens
dans leurs descriptions du passé. Comme l’a fait remarquer Toynbee, l
131
incapable de preuve, à titre de curiosité pour l’
historien
futur.) 4. Surmonter l’Ennui Dans l’éventualité d’une réponse v
132
eux mathématiciens et ingénieurs, un diplomate et
historien
, une alliance avec la fille de Corneille, et plus haut, dès le xiie
133
it des gens de Vattel. Nous avons eu d’excellents
historiens
: l’auteur de la Chronique des Chanoines (apocryphe), Chambrier pour
134
e élite européenne ; et il rassemble une équipe d’
historiens
, en vue de la révision des manuels scolaires, qui furent depuis cent
135
se définissent-elles ? Toynbee, qui est un grand
historien
, écrit au Times qu’elles ne font point partie de la doctrine et des d
136
se définissent-elles ? Toynbee, qui est un grand
historien
, écrit au Times qu’elles ne font point partie de la doctrine et des d
137
r ce point qu’il eût été intéressant d’entendre l’
historien
respecté de Lausanne. h. « Réplique à M. Lasserre », Les Cahiers pr
138
l’expression est passée au rang de cliché. Mais l’
historien
jugera différemment. Car à ses yeux cette notion fondamentale, cette
139
ans. Il n’existe pas de culture nationale, aucun
historien
sérieux ne peut défendre cette idée. La culture a toujours été intern
140
enons trois exemples précis. Notre Commission des
historiens
a cessé de se réunir, à la suite de certaines défections, mais aussi
141
: reprendre les travaux de nos deux commissions d’
historiens
et de savants ; grouper non plus quelques centaines, mais des millier
142
uite magistrale et souriante d’un des plus grands
historiens
de notre temps, M. Toynbee, appuyé par l’autorité d’un savant humanis
143
aucun degré, malgré ce qu’aimaient à suggérer les
historiens
du siècle dernier, une préfiguration des documents qui marquèrent l’a
144
uvement des communes. C’est ainsi que le meilleur
historien
moderne de la Suisse peut écrire : La naissance de la Confédération
145
ontraindre, de l’intérieur : la Réformation. Les
historiens
modernes accusent parfois Zwingli d’avoir brisé l’essor de la Confédé
146
ace l’épisode de Guillaume Tell, contesté par les
historiens
du xixe siècle, confirmé par la plus récente critique. 2. E. Gagli
147
tenable. Sous le régime du Pacte de 1815, écrit l’
historien
William Martin, « la Suisse ressemblait à l’Europe d’aujourd’hui. Les
148
Sur les origines du christianisme en Suisse, l’
historien
ne dispose que de récits légendaires. Il semble que dès le iiie sièc
149
aire, antiaristocratisme) apparaissent à certains
historiens
modernes comme des survivances du passé alémanique. À l’exception de
150
uite magistrale et souriante d’un des plus grands
historiens
de notre temps, M. Toynbee, appuyé par l’autorité d’un savant humanis
151
stérieuse, ils en parurent soulagés. Laissant aux
historiens
futurs le soin de tirer les conclusions de ce pataquès exemplaire, no
152
stérieuse, ils en parurent soulagés. Laissant aux
historiens
futurs le soin de tirer les conclusions de ce pataquès exemplaire, no
153
amour ? une invention du xiie siècle », a dit un
historien
sérieux. À l’appui de cette remarque fameuse, rappelons une série de