1 . Et ce mouvement est sans retour. ⁂ Les origines iraniennes et orphiques du platonisme sont encore mal connues mais certaines. Et

2 es chez les autres peuples indo-européens : mages iraniens , brahmanes de l’Inde, pontifes et flamines de Rome. Le flamen porte d

3 c’est ici que se révèle la convergence des mythes iraniens , gnostiques, et hindouistes avec la religion fondamentale de l’Europe

4 s. Dieux lumineux : l’Ahura-Mazda (ou Ormuzd) des Iraniens , l’Apollon grec, l’Abellion celtibère. Dieux sombres : le Dyaus Pitar

5 eux sombres : le Dyaus Pitar sanskrit, l’Ahrriman iranien , le Zeus pater hellène, le Jupiter latin, le Dispater gaulois… Bien d

6 synthèse non moins « improbable » de manichéisme iranien , de néo-platonisme et d’islamisme s’était bel et bien opérée dans les

7 ès fortement pénétré de représentations mythiques iraniennes . En particulier, il empruntait aux doctrines avestiques — dont s’étai

8 ise d’Amour des cathares. b) selon le manichéisme iranien , dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de Sohrawar

9 Graal joue un rôle dans les religions hindoue et iranienne . La coupe sacrée des Celtes peut se confondre facilement avec la coup

10 orthodoxes que chez les dissidents ou les païens ( Iraniens et Arabes, voire bouddhistes). En tout état de cause, on ne saurait p

11 tienne, dans le Saint-Graal, la pierre sacrée des Iraniens et des cathares, la coupe de Gwyon159, divinité celtique ! ⁂ Que Wagn

12 . Et ce mouvement est sans retour. ⁂ Les origines iraniennes et orphiques du platonisme sont encore mal connues mais certaines. Et

13 es chez les autres peuples indo-européens : mages iraniens , brahmanes de l’Inde, pontifes et flamines de Rome. Le flamen porte d

14 c’est ici que se révèle la convergence des mythes iraniens , gnostiques, et hindouistes avec la religion fondamentale de l’Europe

15 s. Dieux lumineux : l’Ahura-Mazda (ou Ormuzd) des Iraniens , l’Apollon grec, l’Abellion celtibère. Dieux sombres : le Dyaus Pitar

16 Dieux sombres : le Dyaus Pitar hindou, l’Ahrriman iranien , le Jupiter latin, le Dispater gaulois… Bien d’autres rapprochements

17 synthèse non moins « improbable » de manichéisme iranien , de néo-platonisme et d’islamisme s’était bel et bien opérée en Arabi

18 ès fortement pénétré de représentations mythiques iraniennes . En particulier, il empruntait aux doctrines avestiques — dont s’étai

19 ise d’Amour des cathares. b) selon le manichéisme iranien , dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de Sohrawar

20 Graal joue un rôle dans les religions hindoue et iranienne . La coupe sacrée des Celtes peut se confondre facilement avec la coup

21 orthodoxes que chez les dissidents ou les païens ( Iraniens et Arabes, voire bouddhistes). En tout état de cause, on ne saurait p

22 tienne, dans le Saint-Graal, la pierre sacrée des Iraniens et des cathares, la coupe de Gwyon177, divinité celtique ! ⁂ Que Wagn

23 . Et ce mouvement est sans retour. ⁂ Les origines iraniennes et orphiques du platonisme sont encore mal connues mais certaines. Et

24 es chez les autres peuples indo-européens : mages iraniens , brahmanes de l’Inde, pontifes et flamines de Rome. Le flamen porte d

25 c’est ici que se révèle la convergence des mythes iraniens , gnostiques, et hindouistes avec la religion fondamentale de l’Europe

26 s. Dieux lumineux : l’Ahura-Mazda (ou Ormuzd) des Iraniens , l’Apollon grec, l’Abellion celtibère. Dieux sombres : le Dyaus Pitar

27 Dieux sombres : le Dyaus Pitar hindou, l’Ahriman iranien , le Jupiter latin, le Dispater gaulois… Bien d’autres rapprochements

28 synthèse non moins « improbable » de manichéisme iranien , de néo-platonisme et d’islamisme s’était bel et bien opérée en Arabi

29 ès fortement pénétré de représentations mythiques iraniennes . En particulier, il empruntait aux doctrines avestiques — dont s’étai

30 e d’Amour des cathares. b) selon le manichéisme iranien , dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de Sohrawar

31 Graal joue un rôle dans les religions hindoue et iranienne . La coupe sacrée des Celtes peut se confondre facilement avec la coup

32 orthodoxes que chez les dissidents ou les païens ( Iraniens et Arabes, voire bouddhistes). En tout état de cause, on ne saurait p

33 tienne, dans le Saint-Graal, la pierre sacrée des Iraniens et des cathares, la coupe de Gwyon165, divinité celtique ! ⁂ Que Wagn

34 ltes, les courants de pensée judaïques et arabes, iraniens et manichéens, et vingt écoles métaphysiques simultanées, sans primau

35 tes, les courants de pensées judaïques et arabes, iraniens et manichéens, et vingt écoles métaphysiques simultanées, sans primau

36 t-à-dire les apports germaniques, celtes, arabes, iraniens , et orientaux, qui sont venus s’ajouter au cours des âges. Mais surto

37 es sociétés qui ne sont pas un ordre.) L’école iranienne Il n’existe plus de communauté humaine, d’unité de civilisation qu

38 à Schopenhauer — participe du climat spirituel «  iranien  » et trouve en lui ses origines archétypales. La passion du héros, qu

39 sociétés qui ne sont pas un ordre.) ⁂ L’école iranienne Il n’existe plus de communauté humaine, d’unité de civilisation qu

40 à Schopenhauer — participe du climat spirituel «  iranien  » et trouve en lui ses origines archétypales. La passion du héros, qu

41 t de comprendre un message spirituel. Origines iraniennes du Graal Peu après la sortie de L’Amour et l’Occident , Albert Bé

42 l’avait entrevu F. von Suhtschek — est d’origine iranienne attestée, mithriaque, hermétique et en même temps proche de la mystiq

43 e représentent les quatre gros volumes de l’islam iranien d’Henry Corbin, œuvre aussi admirable par sa maîtrise technique que p

44 Empédocle, mai 1949. 223. Henry Corbin, En islam iranien . Aspects spirituels et philosophiques, Paris, 1971, tome II, chapitre

45 eu partie liée. Ainsi diva en syriaque, daeva en iranien , dew en arménien = démon. Mais le même mot dewa donne Zews, Zeus, The

46 un grand psychiatre américain, d’un contestataire iranien , d’un ancien président de la Confédération suisse, de Robert Jungk, e

47 « lumière de Byzance », Henry Corbin, « en islam iranien  », cherche les voies de l’âme unique et de la vocation illuminante. E

48 r le chapeau suivant : « Porté par tout le peuple iranien , l’ayatollah Khomeiny a pris le pouvoir. Le clergé chiite a donc succ

49 éens et de la Paix. 1. La révolte des chiites iraniens contre la modernisation entreprise par le Shah avec l’aide des États-

50 19. Note de février 1979 : la révolte des chiites iraniens contre la modernisation entreprise par le Shah avec l’aide des États-

51 et profond chef-d’œuvre d’Henry Corbin, En islam iranien , 4 vol., Gallimard, Paris. Ici au tome II, p. 187 à 189. Voir aussi :

52 Japonais, Chinois, Indiens, Afghans, Pakistanais, Iraniens , Turcs, etc., avant même d’envoyer leurs chars et leurs troupes à la

53 « Lumière de Byzance », Henry Corbin, « en islam iranien  » cherche les voies de l’âme unique et de la vocation illuminante. Et

54 ien parler à ces jeunes collègues de l’université iranienne comme à des élèves représentatifs de la culture traditionnelle la mêm

55 Alep, Paris, 1939, p. 19 et 24. 61. Cf. En islam iranien , tome I, p. 26-38. Ibid. pour les références qui suivent. 62. Plus p

56 Maisonneuve, 1939, p. 23, 24, 28. 65. En islam iranien , t. I, p. 8. bg. « Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous