1
es se liront-ils d’eux-mêmes, sans le secours des
lecteurs
? Quand les hommes se comprendront-ils individuellement ? » Que M. Br
2
de psychologue se glisse dans leur flot. Voilà le
lecteur
entraîné, ébahi, passionné, contraint de suivre jusqu’au bout un roma
3
resque toutes les femmes auteur, et qui plaît aux
lectrices
— m’agace un peu ? C’est une vétille. s. « C.-C. Rivier : L’Athée (
4
lan moral. Telle action peut paraître gratuite au
lecteur
parce qu’il ne sait pas tout sur le personnage. Mais quant à l’auteur
5
lement sur ses causes… Nous ne proposerons pas,
lecteur
bénévole, un exercice mensuel à votre faculté d’indulgence. Par contr
6
is on ne vit, on ne meurt que de vices. ⁂ Ici le
lecteur
se rassure. « Il s’y retrouve. » Il pense que c’est bien jeune. Et :
7
cation dont cette revue entretenait récemment ses
lecteurs
. 8. Voir sur cet artiste neuchâtelois, de son vrai nom Ch. E. Jeanne
9
ons aucun remords d’avoir déçu cette catégorie de
lecteurs
. Aucun remord non plus d’avoir troublé quelques bonnes petites somnol
10
assez pour ranimer la curiosité des plus blasés.
Lecteur
, fais confiance au Central de Genève. Souviens-toi de la grandeur de
11
enons, ah ! comme nous y tenons ! q. « Adieu au
lecteur
», Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, n° 8,
12
omment expliquer que des centaines de milliers de
lecteurs
, dans une Europe « chrétienne », applaudissent sans réserve aux thèse
13
véhicule à la mode pour conduire des millions de
lecteurs
dans un monde purement fantaisiste où les équations tyranniques devie
14
cacher derrière le feuillet suivant, entraîne le
lecteur
par ruse jusqu’à la dernière page, et là déclare froidement ne pas ex
15
en a bien d’autres, d’aspects. Il est bon que le
lecteur
dérisoirement troublé par la crainte de n’avoir pas saisi le sens vér
16
ce qu’elles avaient à dire. Et d’autre part, les
lecteurs
de cette revue connaissent la thèse de la Trahison des Clercs 11, thè
17
ment irréalisable. Ici, je demanderai poliment au
lecteur
de vouloir bien ne point trop faire la bête, sinon je me verrai contr
18
ment irréalisable. Ici, je demanderai poliment au
lecteur
de vouloir bien ne point trop faire la bête, sinon je me verrai contr
19
nière page, l’artiste fait une belle grimace : le
lecteur
ne l’imitera pas. be. « Kikou Yamata : Saisons suisses (À l’Atelier
20
i : « Monsieur a du temps à perdre ! » s’écrie le
lecteur
, et comme il est, lui, de l’autre école, il referme ces pages et vaqu
21
r un autre pays que la Hongrie archi-connue, — le
lecteur
le sent vite, et devient extrêmement exigeant, car le plus beau menso
22
de beaucoup de chiffres vraisemblables ? Ainsi le
lecteur
superficiel aurait l’impression que je suis zur Sache, que je parle d
23
allusions et mots couverts. Il intimide un peu le
lecteur
qui ne se sent pas complice de ses secrets desseins. Au reste, le liv
24
de M. Malraux se ressemblent dans le souvenir du
lecteur
: leur tempérament est plus fortement marqué que leurs particularités
25
e Baring est entré dans l’intimité de milliers de
lecteurs
français avec un livre d’un rare prestige, Daphné Adeane. On vient de
26
t pas dépourvue d’un charme qui attirera certains
lecteurs
, qui agacera un peu les autres. M. Charles Du Bos, dans la très belle
27
est sans doute de faire sentir et « réaliser » au
lecteur
le tragique de la durée d’une vie. M. Baring nous fait suivre de sa n
28
rtains cas, paraîtra presque scandaleuse à maints
lecteurs
. Kagawa ne « décolle » jamais de la réalité psychologique et matériel
29
in purement moral ou immoral où Gide provoque ses
lecteurs
à le juger, sûr d’avance que l’intelligence sera de son côté. — « Cau
30
et morales. Nous sommes certains d’intéresser les
lecteurs
de cette revue en citant ici quelques passages de l’étude de Frommel.
31
ns sa forme — ce dont certaine clarté dispense le
lecteur
. On pourrait dire aussi que l’indiscret est celui qui se préoccupe de
33
stule le christianisme. Mais c’est en vain que le
lecteur
cherchera la réalité constructive et absolue sur quoi se fonderait ce
34
i : « Monsieur a du temps à perdre ! » s’écrie le
lecteur
, et comme il est, lui, de l’autre école, il referme ces pages et vaqu
35
r un autre pays que la Hongrie archi-connue —, le
lecteur
le sent vite, et devient extrêmement exigeant, car le plus beau menso
36
de beaucoup de chiffres vraisemblables ? Ainsi le
lecteur
superficiel aurait-il l’impression que je suis zur Sache, que je parl
37
monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)p Le
lecteur
moderne est, paraît-il, un homme pressé, beaucoup plus pressé que ne
38
s à l’intellectualisme. Car, — et j’espère que le
lecteur
m’aura compris — ce n’est plus de jeux de l’esprit, d’acrobaties de p
39
ces généreux pluriels n’ont pas empêché certains
lecteurs
d’Europe — j’en ai reçu maints témoignages — de voir dans le début de
40
t « nous », sont de nature à induire en erreur un
lecteur
qui ignorerait — ce dont vous vous souvenez sans doute aussi bien que
41
je veux dissiper, c’est le malaise créé chez vos
lecteurs
, — que vous l’ayez ou non voulu, par la première partie de votre étud
42
reste, je ne puis mieux faire que de renvoyer ces
lecteurs
à l’article de Jean-Richard Bloch, que l’on trouvera vingt pages avan
43
bourrues, un peu précieuses, il jette l’esprit du
lecteur
dans le vif d’un sujet, et loin d’exploiter l’avantage de cette surpr
44
ue et obligatoire, à dix congénères endormis. Aux
lecteurs
exigeants que le cadre de cet article ne nous permet pas de satisfair
45
nt d’infatigables ergoteurs. Pour la commodité du
lecteur
, je recopie les passages phrases auxquels s’attachent mes gloses. Je
46
la Revue n’y suffiraient plus — ni la patience du
lecteur
à mon endroit, je le crains… 1. S’il n’y a pas de vérité absolue, en
47
ien de paysans, combien d’intellectuels parmi les
lecteurs
de Commune ? h. « Pour qui écrivez-vous ? », Commune, Paris, n° 5-6
48
concret par excellence. J’espère toutefois que le
lecteur
les aura transposées dans une actualité dont le moins qu’on puisse di
49
à même, il se rend plus directement accessible au
lecteur
français. Essayons de marquer les étapes de sa recherche. ⁂ Le protes
50
ièrement avec le réalisme brutal du sujet. Que le
lecteur
, pourtant, ne se laisse point arrêter par des définitions dont la sub
51
me paraît renfermer l’essentiel de son livre. Le
lecteur
se sent pris de vertige à découvrir la profondeur et la gravité des c
52
sans illusions. II. Qu’avons-nous fait ? Le
lecteur
voudra bien considérer que ce qu’on vient de lui dire n’est pas origi
53
er raison de l’espérance qui est en nous ». À nos
lecteurs
comme à nous-mêmes, nous demanderons le simple effort de confronter l
54
e que j’appelle avec joie et reconnaissance : mon
lecteur
. » Kierkegaard savait bien que lorsqu’on parle à tous ou contre tous,
55
ers sont très mal cultivés. Ils influencent leurs
lecteurs
au hasard, aux hasards des passions du jour, sans soupçonner les cons
56
ion de romans populaires : « Tenter d’arracher le
lecteur
aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraî
57
répète, mais il se peut tout de même que certains
lecteurs
français en soient choqués — le sentiment d’une fraternité humaine qu
58
Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon
lecteur
enthousiaste de Clochemerle, grand roman de la pissotière, croyez-vou
59
rmations aussi déconcertantes et aussi graves, le
lecteur
se sent autorisé à la plus grande exigence critique. À vrai dire, M.
60
cette méfiance méthodique suffit à convaincre le
lecteur
qu’il s’agit bien ici d’une science ? Il y a deux raisons d’en douter
61
siècle, mais encore parce que, à tout moment, le
lecteur
se voit incité à imaginer ce qu’il fut advenu de la France si l’édit
62
que, sobrement. ⁂ J’imagine assez bien la gêne du
lecteur
qui s’avance à travers cette introduction tortueuse. « Où veut-il en
63
e, et il nous laisse très perplexes, etc. » Si le
lecteur
se pose ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’
64
ction a réussi, je veux dire qu’elle a conduit ce
lecteur
au carrefour de quelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se po
65
répète inlassablement Kierkegaard. C’est de toi,
lecteur
, qu’il s’agit, et non pas d’un auteur nouveau. Koch n’a pas simplifié
66
que, sobrement. ⁂ J’imagine assez bien la gêne du
lecteur
qui s’avance à travers cette introduction tortueuse. « Où veut-il en
67
e, et il nous laisse très perplexes, etc. » Si le
lecteur
se pose ces questions-là, mon introduction a réussi, je veux dire qu’
68
ction a réussi, je veux dire qu’elle a conduit ce
lecteur
au carrefour de quelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se po
69
irement que la famille c’est l’héritage. 80. Les
lecteurs
de cette revue savent que la nation n’est une expression de l’univers
70
la grandeur, de cet ouvrage ? Je crois que maint
lecteur
y découvrira peu à peu quelque raison très personnelle de l’aimer.
71
dis pas que tout cela aille sans fatigue pour le
lecteur
; ni sans quelque fatras, ni sans préciosité dans l’analyse de soi…
72
e. Je ne vois pas de meilleur moyen de donner aux
lecteurs
de Foi et Vie une idée, même assez grossière, de la richesse de cet
73
ent, peut-être, d’indiquer à l’imagination de mon
lecteur
quelques-unes des perspectives qui rayonnent autour du mystère dont j
74
et développe. Je voudrais maintenant entraîner le
lecteur
dans une brève incursion à travers ces domaines que l’on pourrait nom
75
aste, risquent de paraître assez “hermétiques” au
lecteur
peu familiarisé avec cet ordre de spéculations. Certains mots employé
76
e. Pourquoi résister au plaisir de proposer à mes
lecteurs
la méditation de ce texte à maints égards révélateur ? « L’Esprit
77
t tragi-comique, et même à un degré que le simple
lecteur
de journaux d’opinion, peu initié aux parlottes parisiennes, aux comp
78
ir ; ce qui l’amuse, c’est peut-être zéro pour le
lecteur
. S’il a le droit de déconcerter, c’est pour mieux souligner ce qu’il
79
à qui ont besoin de la critique pour atteindre le
lecteur
. Mais alors c’est le public qui fait pression sur les critiques, et q
80
qui roulent encore grâce à l’élan acquis. (Si le
lecteur
trouve notre description un peu abstraite, qu’il essaie de l’illustre
81
s devaient être radicalement niés, on a incité le
lecteur
, non prévenu ou mal prévenu, à tenir Kierkegaard pour une espèce d’es
82
bscurités, les gaucheries qui arrêtent parfois le
lecteur
des meilleures traductions françaises de Kierkegaard. P.-S. Cette c
83
en qu’à un moindre degré, en Angleterre… 45. Les
lecteurs
de cette revue savent que la nation n’est une expression de l’univers
84
non pas le machinisme et l’électricité. Tous nos
lecteurs
savent que ces thèses sont pour nous fondamentales. Nous pensons, com
85
nsolite et dramatique ont bien de quoi retenir le
lecteur
même incroyant ou ignorant de ces débats. Wilfred Monod nous apparaît
86
e, telle qu’il songe que ses pères l’ont eue. Nos
lecteurs
se souviennent des pages sur le journalisme, la condition du fonction
87
lement il est mal entendu par la grande masse des
lecteurs
ordinaires, disons des lecteurs de journaux, mais encore il s’est div
88
grande masse des lecteurs ordinaires, disons des
lecteurs
de journaux, mais encore il s’est divisé en une foule de dialectes és
89
ement l’écrivain moderne use d’une langue dont le
lecteur
moyen trouve parfaitement normal de déclarer que « c’est du latin » p
90
e que nous sommes en train de jouer, écrivains ou
lecteurs
, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et
91
Claudel, Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de
lecteurs
durant la période de leur vie ou paraissaient leurs œuvres capitales.
92
cation active du vrai. Il habitue des millions de
lecteurs
au rendu approximatif des faits, des choses, ou des idées. Il flatte
93
uvante précision. Le personnage de Garta, dont le
lecteur
ne tardera pas à voir qu’il figure la conscience exigeante, et comme
94
à l’édition posthume du Procès : je doute que les
lecteurs
de ce livre étonnant, le plus profond qu’on puisse imaginer, aient le
95
nce nécessaire, le gage tout humain dont certains
lecteurs
ont besoin, pour se risquer à découvrir un génie tellement « étranger
96
en voilà sans doute assez pour faire entrevoir au
lecteur
l’arrière-plan et les prolongements de l’aventure du « vieux Pragois
97
rtion qu’il n’est pas raisonnable d’espérer qu’un
lecteur
d’aujourd’hui soit bien au clair sur ses besoins quand il entre chez
98
parti pris de création dont j’espère bien que le
lecteur
éprouvera çà et là la poussée, le coup de pouce simplificateur. Méfio
99
jamais, qui pourrait s’insinuer dans l’esprit du
lecteur
. C’est une occupation pénible à laquelle sont soumis ceux qui écriven
100
ards ! Mais je vais sans doute un peu vite. Et le
lecteur
soucieux de juger à son aise de l’honnêteté d’une déduction, même sub
101
lement il est mal entendu par la grande masse des
lecteurs
ordinaires, disons des lecteurs de journaux, mais encore il s’est div
102
grande masse des lecteurs ordinaires, disons des
lecteurs
de journaux, mais encore il s’est divisé en une foule de dialectes és
103
ement l’écrivain moderne use d’une langue dont le
lecteur
moyen trouve parfaitement normal de déclarer que « c’est du latin » p
104
, que nous sommes en train de jouer, écrivains ou
lecteurs
, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et
105
Claudel, Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de
lecteurs
durant la période de leur vie où paraissaient leurs œuvres capitales.
106
cation active du vrai. Il habitue des millions de
lecteurs
au rendu approximatif des faits, des choses, ou des idées. Il flatte
107
tes préoccupés de confirmer les préjugés de leurs
lecteurs
, et de donner de nouveaux arguments aux partis de gauche ou de droite
108
ssez totale pour mériter notre acte de foi ? ⁂ Le
lecteur
qui n’est pas philosophe ne manquera pas de dire que j’entraîne le pr
109
e toute œuvre qui laisse son auteur intact, et le
lecteur
à son confort. Vaine et mauvaise toute œuvre qui ne te saisit pas com
110
t qui me paraît susceptible de fixer les idées du
lecteur
, même le moins religieux. Si les intellectuels ont succombé aux tenta
111
afin de mieux fixer, par exemple, les idées d’un
lecteur
sympathique, je tiens à marquer toutefois que le complexe auquel je t
112
lé : Le Bilan de l’Intelligence (Variété III). Le
lecteur
y aura trouvé déjà, du phénomène que j’indique ici, et surtout de son
113
as ce livre pour poser des énigmes et fatiguer le
lecteur
à force de paradoxes. Je pourrais aussi essayer d’énumérer une foule
114
s exemples. Mais je n’écris pas pour dispenser le
lecteur
de réfléchir, ni pour l’étourdir de constatations évidentes ou ingéni
115
st par là qu’une œuvre touche le spectateur ou le
lecteur
, qu’elle l’émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas, à la lecture
116
ion de romans populaires : « Tenter d’arracher le
lecteur
aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraî
117
rtion qu’il n’est pas raisonnable d’espérer qu’un
lecteur
d’aujourd’hui soit bien au clair sur ses besoins quand il entre chez
118
parti pris de création dont j’espère bien que le
lecteur
éprouvera çà et là la poussée, le coup de pouce simplificateur. Méfio
119
jamais, qui pourrait s’insinuer dans l’esprit du
lecteur
. C’est une occupation pénible à laquelle sont soumis ceux qui écriven
120
ards ! Mais je vais sans doute un peu vite. Et le
lecteur
soucieux de juger à son aise de l’honnêteté d’une déduction, même sub
121
lement il est mal entendu par la grande masse des
lecteurs
ordinaires, disons des lecteurs de journaux, mais encore il s’est div
122
grande masse des lecteurs ordinaires, disons des
lecteurs
de journaux, mais encore il s’est divisé en une foule de dialectes és
123
ement l’écrivain moderne use d’une langue dont le
lecteur
moyen trouve parfaitement normal de déclarer que « c’est du latin » p
124
, que nous sommes en train de jouer, écrivains ou
lecteurs
, citoyens ou hommes d’État. Les uns tiennent le parti de l’esprit et
125
Claudel, Gide, Péguy n’ont guère eu davantage de
lecteurs
durant la période de leur vie où paraissaient leurs œuvres capitales.
126
cation active du vrai. Il habitue des millions de
lecteurs
au rendu approximatif des faits, des choses, ou des idées. Il flatte
127
tes préoccupés de confirmer les préjugés de leurs
lecteurs
, et de donner de nouveaux arguments aux partis de gauche ou de droite
128
ssez totale pour mériter notre acte de foi ? ⁂ Le
lecteur
qui n’est pas philosophe ne manquera pas de dire que j’entraîne le pr
129
e toute œuvre qui laisse son auteur intact, et le
lecteur
à son confort. Vaine et mauvaise toute œuvre qui ne te saisit pas com
130
t qui me paraît susceptible de fixer les idées du
lecteur
, même le moins religieux. Si les intellectuels ont succombé aux tenta
131
afin de mieux fixer, par exemple, les idées d’un
lecteur
sympathique, je tiens à marquer toutefois que le complexe auquel je t
132
lé : Le Bilan de l’intelligence (Variété iii). Le
lecteur
y aura trouvé déjà, du phénomène que j’indique ici, et surtout de son
133
as ce livre pour poser des énigmes et fatiguer le
lecteur
à force de paradoxes. Je pourrais aussi essayer d’énumérer une foule
134
s exemples. Mais je n’écris pas pour dispenser le
lecteur
de réfléchir, ni pour l’étourdir de constatations évidentes ou ingéni
135
st par là qu’une œuvre touche le spectateur ou le
lecteur
, qu’elle l’émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas, à la lecture
136
ion de romans populaires : « Tenter d’arracher le
lecteur
aux petits soucis quotidiens, aux préoccupations constantes qu’entraî
137
iser. (Apoc. 10,9.) 104. « Nous » : vous et moi,
lecteurs
et auteur, ensemble s’il se peut au terme du dialogue.
138
e à ses adhérents. Ceux-ci ne sont pas de simples
lecteurs
passifs, mais des membres actifs, qui participent à une œuvre commune
139
le pourrait être une sorte d’école permanente des
lecteurs
de journaux ; 3° une partie documentaire sur la presse. Tout en cherc
140
ous présentons ci-dessous à tous nos camarades et
lecteurs
de La Flèche le manifeste des clubs de presse en formation. À l’heure
141
charmer, ou à se laisser charmer — ceci pour moi
lecteur
— par le tableau de sa déchéance. aa. « Robert Briffaut, Europe, tr
142
t cela pour des raisons d’ordre technique dont le
lecteur
ignore le plus souvent les mécanismes. Parlons un peu, à ce propos, d
143
serait le gogo intégral. Ce serait par exemple le
lecteur
qui n’aurait pas remarqué, entre autres, que cette brochure-manifeste
144
i des lacunes provisoires45 — de ce mouvement. Le
lecteur
qui se souvient encore du Cahier de revendications, publié ici même e
145
es spéculaient commercialement sur la paresse des
lecteurs
. Dans les deux cas, ce sont d’abord les écrivains qui ont manqué à le
146
si l’on me comprend, pour éduquer la méfiance du
lecteur
. f. « À qui la liberté ? », À nous la liberté, Paris, n° 1, 5 mars
147
plus grands romanciers, songez à leurs meilleurs
lecteurs
, aux plus crédules, aux plus avilies, à ces jeunes gens qui choisisse
148
ns qui savent le communiquer à leur œuvre, et des
lecteurs
assez ardents pour le subir autrement qu’en imagination. Et rien n’es
149
ence n’est pas moins grande, sur la vie privée du
lecteur
. Ils ne veulent rien dire, mais, pourtant, ils disent ! En d’autres t
150
e, cela signifie simplement ménager et flatter le
lecteur
, la conscience bourgeoise du lecteur, ou plus précisément de la lectr
151
t flatter le lecteur, la conscience bourgeoise du
lecteur
, ou plus précisément de la lectrice, car en France, paraît-il, ce son
152
bourgeoise du lecteur, ou plus précisément de la
lectrice
, car en France, paraît-il, ce sont les femmes qui lisent et qui se pa
153
s du rêve. Ce sera sans doute pour la plupart des
lecteurs
non spécialisés une découverte pleine d’attraits : nous étions loin d
154
s 1937)ae Ce livre eût passionné Lénine, grand
lecteur
, comme on sait, de Clausewitz. Il passionnera d’ailleurs tous ceux qu
155
l’écrivain n’est-elle pas justement d’éduquer le
lecteur
, j’entends de l’amener à réfléchir sur les raisons de ses partis pris
156
ue les arguments qu’il m’oppose… — Tout ce que le
lecteur
demande, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je
157
e dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le
lecteur
veut des histoires inventées. — Mais si je lui dis que j’invente mon
158
e clichés hargneux, travaille pour le bien de ses
lecteurs
? Si l’on prend au sérieux le sort qui est fait aux ouvriers — ce n’e
159
eut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du
lecteur
philosophe. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne
160
C’est sans doute dans cette perspective que le
lecteur
peu familiarisé avec la pensée luthérienne parviendra le plus aisémen
161
ares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’un
lecteur
qui refuse l’essentiel soit tout de même attiré et subjugué par le st
162
en fait, dans ce Traité, pour heurter de front le
lecteur
incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des apôtres.
163
exigence de la vérité en action. Que trouvera le
lecteur
profane, et peu au fait de la problématique chrétienne, dans cet ouvr
164
ares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’un
lecteur
qui refuse l’essentiel — c’est-à-dire la foi de Luther — soit tout de
165
crit, d’écouter ce qu’un autre leur dit. Quand un
lecteur
vous écrit, il s’exprime le plus souvent dans un langage conventionne
166
ès difficiles au jugement du clerc en chambre. Le
lecteur
réel, l’auditeur réel, est toujours autrement intelligent qu’on ne l’
167
ins écrits. Cette conclusion est la suivante : le
lecteur
en son particulier — précisons : le lecteur sérieux, personnellement
168
: le lecteur en son particulier — précisons : le
lecteur
sérieux, personnellement intéressé à un problème — juge à peu près ré
169
rivés à parler dans le vide, à ne parler qu’à ces
lecteurs
qui achètent les livres pour remplir les rayons d’un studio-divan. No
170
sans nous. Nous le retrouverons intact. C’est le
lecteur
que nous avons trahi, c’est avec lui que nous devons retrouver un con
171
eut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du
lecteur
philosophe. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois ne
172
hie peut-être plus virile que l’auteur demande au
lecteur
pour tous les êtres auxquels il est mêlé. Et qu’il l’obtienne à cette
173
n : cette façon de ne pas insister, de laisser le
lecteur
seul avec l’émotion, cette malice cordiale, cette variété et, à la fo
174
A. Mermoud, nous sommes en mesure d’offrir à nos
lecteurs
la primeur de quelques pages de ce livre. Dans ces pages, l’auteur pe
175
ns Esprit , c’est une question qui se pose à nos
lecteurs
, parce que, sous une forme plus générale, la question de la littératu
176
s manœuvres de régiment ou de brigade stupéfie le
lecteur
étranger. Mais plus encore le ton de ces comptes rendus, où les clich
177
e d’intérêt — si j’ose dire — que manifestent les
lecteurs
allemands. Il existe d’autres maisons d’édition qui se spécialisent d
178
elle du public ; s’il traduit la pensée réelle du
lecteur
allemand moyen. Il faut se rappeler que dans un état totalitaire, la
179
nnée, un article destiné à diriger le goût de ses
lecteurs
au moment des achats de Noël. Voici les vingt-deux titres qu’il propo
180
ermanique. Je vous laisse à imaginer les rêves du
lecteur
allemand, heureux bénéficiaire de ces « cadeaux de Noël ». d. « Lec
181
plat que j’appelle un Français aplati, un parfait
lecteur
de journaux, un minimum de Français, et non pas du tout une moyenne.
182
s, tout ce qui met une certaine distance entre le
lecteur
et l’« artiste », mais aussi tout ce qui peut agrandir et clarifier l
183
Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon
lecteur
enthousiaste de Clochemerle, grand roman de la pissotière, croyez-vou
184
l’écrivain n’est-elle pas justement d’éduquer le
lecteur
, j’entends de l’amener à réfléchir sur les raisons de ses partis pris
185
ue les arguments qu’il m’oppose… — Tout ce que le
lecteur
demande, c’est qu’on lui raconte une histoire, me dit R. — Mais si je
186
e dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le
lecteur
veut des histoires inventées. — Mais si je lui dis que j’invente mon
187
crit, d’écouter ce qu’un autre leur dit. Quand un
lecteur
vous écrit, il s’exprime le plus souvent dans un langage conventionne
188
ès difficiles au jugement du clerc en chambre. Le
lecteur
réel, l’auditeur réel, est toujours autrement intelligent qu’on ne l’
189
ins écrits. Cette conclusion est la suivante : le
lecteur
en son particulier — précisons : le lecteur sérieux, personnellement
190
: le lecteur en son particulier — précisons : le
lecteur
sérieux, personnellement intéressé à un problème — juge à peu près ré
191
rivés à parler dans le vide, à ne parler qu’à ces
lecteurs
qui achètent les livres pour remplir les rayons d’un studio-divan. No
192
sans nous. Nous le retrouverons intact. C’est le
lecteur
que nous avons trahi, c’est avec lui que nous devons retrouver un con
193
e clichés hargneux, travaille pour le bien de ses
lecteurs
? Si l’on prend au sérieux le sort qui est fait aux ouvriers — ce n’e
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eut-être des réflexions fécondes dans l’esprit du
lecteur
philosophe. Déjà huit mois que nous sommes ici, et combien de fois n
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C’est sans doute dans cette perspective que le
lecteur
, peu familiarisé avec la pensée luthérienne, parviendra le plus aisém
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ares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’un
lecteur
qui refuse l’essentiel soit tout de même attiré et subjugué par le st
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fait, dans notre Traité, pour heurter de front le
lecteur
incroyant, ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des Apôtres.
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manquer de frapper, de retenir ou de repousser le
lecteur
non prévenu : la « difficulté » de Kierkegaard et sa dialectique du s
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x » de Kierkegaard, il est de nature à tromper le
lecteur
mille manières. On peut se laisser prendre à la fantaisie baroque de
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critique prétend que ce livre peut introduire le
lecteur
« dans un monde où l’on pardonnera aux poules d’avoir des mœurs un pe
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poule noire mise en scène p. 92 de son livre. Nos
lecteurs
jugeront eux-mêmes s’il faut voir là une preuve nouvelle d’une grossi
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mbat de la foi et du monde, devient alors pour le
lecteur
non averti une « poésie » équivoque et brûlante. Poésie toute profane
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trop faciles à concevoir, on craint d’attaquer le
lecteur
dans ses croyances les plus intimes et les plus solidement ancrées. O