1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 Rougemont Denis de, « Conférence Guisan », Suisse libérale , Neuchâtel, 2 février 1926, p. 2.
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 emont Denis de, « Conférences d’Aubonne », Suisse libérale , Neuchâtel, 7 avril 1926, p. 2. e. Signé : Stud. litt.
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
3 liste qui a été établi par coup de force, que les libéraux ont admis, conformément à leurs maximes, et toléré malgré leur mauvai
4 . Tourmentés par les scrupules de leur conscience libérale , ils fuient la rigueur jusque dans leurs raisonnements. Pour moi qui
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
5 iste, qui a été établi par coup de force, que les libéraux ont admis, conformément à leurs maximes, et toléré malgré leur mauvai
6 . Tourmentés par les scrupules de leur conscience libérale , ils fuient la rigueur jusque dans leurs raisonnements. Pour moi qui
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
7 ent l’art. Il y avait une fois un journaliste, un libéral et un jeanfoutre qui regardaient travailler un maçon. Le maçon creusa
8 uait qu’on eut dû commencer par l’échafaudage. Le libéral déplorait que l’on défonçât le sol. Le jeanfoutre trouvait qu’il y a
6 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
9 it, aux yeux de nos contemporains, à un moralisme libéral . Nous savons ce qu’une telle vue a d’injuste, c’est-à-dire d’incomple
10 ilton. Mais le moralisme détendu que la théologie libérale prétendit conserver, fut bientôt réduit au rôle d’une censure tatillo
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
11 conception pourrait choquer certains protestants libéraux par exemple. Mais c’est précisément dans la facilité d’interprétation
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
12 condamnation d’une conception du monde à la fois libérale et inconsciemment matérialiste qui permet et favorise tout ce dont il
9 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
13 nête homme, fermement attaché aux vieux principes libéraux , ennemi de toute violence, et qui ne ferait pas de mal à une mouche.
14 es. Pourquoi prétendez-vous « défendre » un idéal libéral pour lequel vous refuseriez de recevoir le moindre petit coup de matr
15 . « … aux vieux principes… ». Les vieux principes libéraux contre-révolutionnaires ont le même âge que les canapés Louis-Philipp
16 és Louis-Philippe. C’est trop ou trop peu. 4. « … libéraux , … ». Le libéralisme de la bourgeoisie est un mensonge. Car, dans la
10 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
17 oluble, nous n’avons plus le droit d’y prêter une libérale complaisance. Laisse donc tous ces noms dont se meublent les notes de
11 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
18 nnelle plus réellement que ne le fait l’éducation libérale et bourgeoise. Ici le risque et la violence physiques jouent dans la
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
19 nnelle plus réellement que ne le fait l’éducation libérale et bourgeoise. Ici le risque et la violence physique jouent dans la v
13 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
20 comme « le temps vuide ». Cette nomination qu’un libéral voudra bien reconnaître insuffisante, nous a valu le siècle d’égareme
14 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
21 ituel de L’Ordre nouveau et l’esprit bourgeois ou libéral . Aucune confusion non plus, entre le spirituel chrétien et notre pers
22 l’on confond « l’esprit » avec l’intellectualité libérale , ou l’intelligentsia, ou la religiosité bourgeoise, qui toutes trois
15 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
23 ques aux­quelles donne naissance l’individualisme libéral . L’individu libéral, tel que l’ont créé les théoriciens du suffrage u
24 ne naissance l’individualisme libéral. L’individu libéral , tel que l’ont créé les théoriciens du suffrage universel, tout le mo
25 a de rappeler, d’autre part, que l’individualisme libéral est responsable de l’essor anarchique d’une économie devenue inhumain
26 un retournement pur et simple de l’individualisme libéral , procédant par ailleurs de conceptions positives et pseudo-scientifiq
27 t déjà contenues dans la définition de l’individu libéral . Il nous est possible maintenant de désigner d’un seul mot l’objectif
16 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
28 s tout cela, les belles synthèses de la théologie libérale  ? L’arrière-plan de bourgeoisie et d’optimisme culturel sur lequel, t
17 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
29 refusait pourtant la distinction rationaliste et libérale entre la pensée pure et l’acte qui l’atteste. Il professait que « l’é
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
30 onne (janvier 1934)g h L’individu, tel que les libéraux — en politique — et les idéalistes — en philosophie — nous l’ont légu
31 stion sociale. On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La solution des grands problèm
32 est-il autre chose qu’une moyenne entre le je des libéraux et le ils des collectivistes ? N’est-il pas, lui aussi, inactuel et a
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
33 omber. En cela, ils sont peut-être supérieurs aux libéraux et aux dilettantes qui tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer
34 me, ne mérite pas qu’on le pleure. L’individu des libéraux , c’était, par excellence, un homme sans destin, un homme sans vocatio
35 iomphe des masses. C’est parce que l’individu des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’
20 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
36 ec le Christ vivant », répétaient les théologiens libéraux . La question était ainsi nettement posée : pour devenir chrétien, il
21 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
37 e l’homme. Et de quel homme ? De cet individu des libéraux rationalistes, de cet être isolé dans sa prétendue « vie privée », de
38 pape”, dans Europe, janvier 1933. Europe : revue libérale orientée à gauche.) »
22 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
39 nt plus « bestial » en ses débuts que la doctrine libérale qu’il renverse était plus « angélique » dans ses prétentions. 17. Et
23 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
40 nalités ? L’aventure du romantisme et l’équivoque libérale ayant rapidement achevé de disqualifier l’esprit pur, il ne reste à n
24 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
41 l’impuissance des vieilles formules marxistes ou libérales , et la nécessité d’une construction nouvelle ; elle travaille donc po
25 1934, Politique de la personne. Introduction — 1. L’engagement politique
42 a pensée reste « libre », comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la liberté du rêveur impuissant, la même, exactement, qu
26 1934, Politique de la personne. Introduction — 3. Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
43 ps irresponsables l’un de l’autre. La bourgeoisie libérale ne sait plus honorer l’esprit qui fit sa force. Elle cherche à compen
27 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
44 omber. En cela, ils sont peut-être supérieurs aux libéraux et aux dilettantes qui tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer
45 me, ne mérite pas qu’on le pleure. L’individu des libéraux , c’était, par excellence, un homme sans destin, un homme sans vocatio
46 iomphe des masses. C’est parce que l’individu des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’
28 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (D’après une discussion)
47 l’individu. Dans ces conditions, l’individualisme libéral n’est pas justifié, et les individualistes à la mode du xixe siècle
48 t à une espèce d’abdication logique des doctrines libérales . Laissons aux communistes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous
49 e ce système à ceux qu’on a fondés sur l’individu libéral , c’est le fédéralisme. L’individu étant conçu par les juristes à part
50 voque fondamentale. C’est le cas de la démocratie libérale  ; elle est fondée sur une notion de l’individu qui défie l’expérience
29 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
51 ature de la société moderne. Aux grands bourgeois libéraux , philanthropes et déjà démocrates, qui croyaient sincèrement constitu
52 Tant que le marxisme s’opposait à une bourgeoisie libérale dite « spiritualiste » qui ne se savait pas liée au capitalisme, les
53 es marxistes croient (comme certain christianisme libéral et comme tous les moralismes) que l’« esprit » et la « liberté » sont
30 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
54 nt plus « bestial » en ses débuts que la doctrine libérale qu’il renverse était plus « angélique » dans ses prétentions. 25. Re
31 1934, Politique de la personne. Appendice — 2. Loisir ou temps vide ?
55 comme « le temps vuide ». Cette nomination qu’un libéral voudra bien reconnaître insuffisante, nous a valu le siècle d’égareme
32 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
56 uction dégagée des lois fatales de la concurrence libérale et de la concentration capitaliste : le service civil de travail dépe
33 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
57 son risque et son pouvoir de création (démocratie libérale ). Le droit de la personne à primer sur l’ensemble demeure indéfendabl
34 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 1. L’engagement politique
58 a pensée reste « libre », comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la liberté du rêveur impuissant, la même, exactement, qu
35 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 3. Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
59 ps irresponsables l’un de l’autre. La bourgeoisie libérale ne sait plus honorer l’esprit qui fit sa force. Elle cherche à compen
36 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
60 omber. En cela, ils sont peut-être supérieurs aux libéraux et aux dilettantes qui tombent, eux aussi, mais continuent d’évoquer
61 me, ne mérite pas qu’on le pleure. L’individu des libéraux , c’était, par excellence, un homme sans destin, un homme sans vocatio
62 iomphe des masses. C’est parce que l’individu des libéraux était sans destin, qu’il a cru au destin des autres ; c’est parce qu’
37 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — II. Personne ou individu ? (d’après une discussion)
63 l’individu. Dans ces conditions, l’individualisme libéral n’est pas justifié, et les individualistes à la mode du xixe siècle
64 t à une espèce d’abdication logique des doctrines libérales . Laissons aux communistes le soin de s’en réjouir. Si maintenant nous
65 e ce système à ceux qu’on a fondés sur l’individu libéral , c’est le fédéralisme. L’individu étant conçu par les juristes à part
66 voque fondamentale. C’est le cas de la démocratie libérale  ; elle est fondée sur une notion de l’individu qui défie l’expérience
38 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
67 ature de la société moderne. Aux grands bourgeois libéraux , philanthropes et déjà démocrates, qui croyaient sincèrement constitu
68 Tant que le marxisme s’opposait à une bourgeoisie libérale dite « spiritualiste » qui ne se savait pas liée au capitalisme, les
69 es marxistes croient (comme certain christianisme libéral et comme tous les moralismes) que l’« esprit » et la « liberté » sont
39 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
70 nt plus « bestial » en ses débuts que la doctrine libérale qu’il renverse était plus « angélique » dans ses prétentions. 20. Re
40 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 2. Loisir ou temps vide ?
71 comme « le temps vuide ». Cette nomination qu’un libéral voudra bien reconnaître insuffisante, nous a valu le siècle d’égareme
41 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 3. Groupements personnalistes
72 uction dégagée des lois fatales de la concurrence libérale et de la concentration capitaliste : le service civil de travail dépe
42 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 5. Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
73 de surmonter enfin ce vice qu’est la distinction libérale entre la pensée et l’action. Au lieu de préciser, par exemple, le sen
74 a liberté réelle n’a pas de pires ennemis que les libéraux  ; sinon en intention, du moins en fait. Les penseurs les plus violemm
75 pas pour si peu une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un
76 qui, par sa nature et son mouvement originel, est libérale , irresponsable, ne devient pas libératrice et responsable du seul fai
77 le fascisme et le stalinisme. Et c’est la pensée libérale . Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et mar
78 Et c’est la pensée libérale. Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas dès qu’une menace
79 se contre les libertés françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défe
80 t exprimé en toute clarté qu’ils étaient de vrais libéraux , irresponsables nés83, égarés pour un temps dans les voies de « l’eng
81 s poètes — qu’il opposait à celle des philosophes libéraux  — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique ! 83. Je fa
43 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
82 i empêche, en particulier, une certaine théologie libérale de reconnaître que le Dieu de la Bible — ancien et nouveau Testament
44 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
83 asse où nous conduisent non seulement la pensée «  libérale  », mais aussi, je le répète, notre nature humaine irrépressible, dès
45 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
84 si c’est un « barthien », au sens que certains «  libéraux  » prêtent à ce terme malheureux. Assurément, il doit avoir lu Barth m
46 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
85 intellectuelle et à l’encombrement des carrières libérales . L’agriculture manque de bras, — dit-on… J’espère avoir une solution
47 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
86 i enfin les « libertins », ceux que nous appelons libéraux qui « gazouillent » à tort et à travers et se répandent en orgueilleu
48 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
87 re apparence. L’erreur courante, qui est celle du libéral rationaliste, c’est de croire que la proposition « l’Angleterre est l
49 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
88 ationalisme ou au psychologisme ou à l’historisme libéral , qui ont trouvé, eux aussi, des critères tout à fait intéressants pou
50 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
89 éfinit d’emblée la situation typique du penseur «  libéral  ». (Calvin disait : « libertin spirituel ».) Il s’agit de confondre l
90 oblème du Bien, c’est qu’au moyen d’une méthode «  libérale  » et partant d’un point de vue « libéral » — encore que l’auteur s’en
91 thode « libérale » et partant d’un point de vue «  libéral  » — encore que l’auteur s’en défende, l’adjectif ayant pris peu à peu
51 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
92 avons dit souvent sur quelle notion bourgeoise et libérale de l’esprit se fonde une pareille indulgence.) L’important, à leurs y
93 b) Vous souffrez vous aussi, dans vos démocraties libérales et parlementaires, des maux qui étaient devenus aigus chez nous : lut
94 deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette liberté dont e
95 conformisme brutal », tout cela qui épouvante les libéraux n’est en fait que l’ensemble des conditions pratiquement nécessaires
96 t par de faciles railleries à l’adresse des États libéraux .   2. Situation qui nous est faite. Au terme du libéralisme, à l’orig
97 ssité cosmique qu’il exprime. Les criticailleries libérales à l’adresse des grandes dictatures ne sont dangereuses que pour ceux
98 t pas un danger interne pour les vieilles nations libérales , elles constituent cependant une menace extérieure matériellement con
99 otre seule chance de salut, à nous autres nations libérales , est dans la création d’une communauté libre. Notre chance est dans l
100 iaux est là. L’avenir dira si la révolution des «  libéraux  » peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dre
52 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
101 apitalistes, par les intellectuels anarchistes ou libéraux , par la presse d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse
53 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
102 parfois plus raisonnable que le laisser-aller des libéraux , mais si grossier que l’on voit mal l’usage qu’en pourraient faire le
54 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
103 b) Vous souffrez vous aussi, dans vos démocraties libérales et parlementaires, des maux qui étaient devenus aigus chez nous : lut
55 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
104 gradée, mystérieuse, pleine d’appels. (L’anarchie libérale avait du moins cet avantage qu’elle était bien visible, et qu’on avai
56 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
105 deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette liberté dont e
106 onformisme brutal », tout cela, qui épouvante les libéraux , n’est en fait que l’ensemble des conditions pratiquement nécessaires
107 e par de faciles railleries à l’adresse des États libéraux . J’écris ce livre et je pose ces problèmes dans l’optique des États l
108 et je pose ces problèmes dans l’optique des États libéraux . Qu’on n’entende point par là que j’accepte leurs régimes : mais j’en
109 le mesure vraie n’est encore restaurée. Le régime libéral n’a plus la force de concevoir un principe d’action créatrice, ou une
110 ssité cosmique qu’il exprime. Les criticailleries libérales à l’adresse des grandes dictatures ne sont dangereuses que pour ceux
111 t pas un danger interne pour les vieilles nations libérales , elles constituent cependant une menace extérieure matériellement con
112 otre seule chance de salut, à nous autres nations libérales , est dans la création d’une communauté libre. Notre chance est dans l
113 riaux, est là. L’avenir dira si la révolution des libéraux peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dress
57 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
114 enter dès à présent vers une communauté solide et libérale  ? ⁂ Je pars d’une image, d’un geste, d’une espèce de métaphore, dont
58 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
115 est un art d’agrément, un héritage, une carrière libérale , ou un capital bien placé. Cerveaux sans mains ! et qui jugent de hau
116 seule chose intéresse le théologien moderniste ou libéral  : l’expérience religieuse et la conscience que l’on en prend ; la réa
117 n ; correct et consciencieux, savant, courtois et libéral  ; facilement étonné ; bourgeois jusque dans le respect craintif qu’il
118 igine réelle du concept de dictature que nos bons libéraux voudraient attribuer à je ne sais quel satanisme dont ils se sentent
119 ise ou prolétarisée est à la fois déterministe et libérale . Déterministe à cause des lois ; libérale dans la vie intérieure qu’e
120 iste et libérale. Déterministe à cause des lois ; libérale dans la vie intérieure qu’elle mène à l’abri du réel abandonné au jeu
121 s. Ironie, disions-nous : communistes, bourgeois, libéraux et fascistes ont tout mis à feu et à sang pour installer sur notre te
59 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
122 crainte n’est pas théorique. Car si notre culture libérale se révèle impuissante à ressaisir les secrets de sa force, et la cons
123 iolence La violence est considérée par l’élite libérale d’aujourd’hui comme une brutalité, un veto matériel, une coercition p
124 les mauvaises raisons par lesquelles la critique libérale a prétendu légitimer ce mal. Il nous faut revenir encore au méchant
125 et qui se crée ses propres risques et périls, si libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable produit elle-
126 stion sociale. On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La solution des grands problèm
127 t être autre chose qu’une moyenne entre le je des libéraux et le ils des collectivistes ? Selon nos mœurs et notre vocabulaire,
128 formule de nos désordres en décrivant notre élite libérale . J’ai fait un pas de plus vers le concret en situant dans l’homme qui
60 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
129 apitalistes, par les intellectuels anarchistes ou libéraux , par la presse d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse
61 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
130 uront beau jeu : ils traiteront Gide de bourgeois libéral , de monsieur susceptible et réactionnaire. Si l’on accepte vraiment l
62 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
131 apitalistes, par les intellectuels anarchistes ou libéraux , par la presse d’opposition, par Staline qui fait taire cette presse
63 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XI. La mesure nationale-socialiste
132 parfois plus raisonnable que le laisser-aller des libéraux , mais si grossier que l’on voit mal l’usage qu’en pourraient faire le
64 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XII. Leçon des dictatures
133 b) Vous souffrez vous aussi, dans vos démocraties libérales et parlementaires, des maux qui étaient devenus aigus chez nous : lut
65 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
134 gradée, mystérieuse, pleine d’appels. (L’anarchie libérale avait du moins cet avantage qu’elle était bien visible, et qu’on avai
66 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
135 deux traits définissent l’atmosphère des nations libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette liberté dont e
136 onformisme brutal », tout cela, qui épouvante les libéraux , n’est en fait que l’ensemble des conditions pratiquement nécessaires
137 e par de faciles railleries à l’adresse des États libéraux . J’écris ce livre et je pose ces problèmes dans l’optique des États l
138 et je pose ces problèmes dans l’optique des États libéraux . Qu’on n’entende point par là que j’accepte leurs régimes : mais j’en
139 le mesure vraie n’est encore restaurée. Le régime libéral n’a plus la force de concevoir un principe d’action créatrice, ou une
140 ssité cosmique qu’il exprime. Les criticailleries libérales à l’adresse des grandes dictatures ne sont dangereuses que pour ceux
141 t pas un danger interne pour les vieilles nations libérales , elles n’en sont pas moins une menace extérieure matériellement consi
142 otre seule chance de salut, à nous autres nations libérales , est dans la création d’une communauté libre. Notre chance est dans l
143 riaux, est là. L’avenir dira si la révolution des libéraux peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dress
67 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
144 enter dès à présent vers une communauté solide et libérale  ? ⁂ Je pars d’une image, d’un geste, d’une espèce de métaphore, dont
68 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
145 est un art d’agrément, un héritage, une carrière libérale , ou un capital bien placé. Cerveaux sans mains ! et qui jugent de hau
146 seule chose intéresse le théologien moderniste ou libéral  : l’expérience religieuse et la conscience que l’on en prend ; la réa
147 n ; correct et consciencieux, savant, courtois et libéral  ; facilement étonné ; bourgeois jusque dans le respect craintif qu’il
148 igine réelle du concept de dictature que nos bons libéraux voudraient attribuer à je ne sais quel satanisme dont ils se sentent
149 ise ou prolétarisée est à la fois déterministe et libérale . Déterministe à cause des lois ; libérale dans la vie intérieure qu’e
150 iste et libérale. Déterministe à cause des lois ; libérale dans la vie intérieure qu’elle mène à l’abri du réel abandonné au jeu
151 s. Ironie, disions-nous : communistes, bourgeois, libéraux et fascistes ont tout mis à feu et à sang pour installer sur notre te
69 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
152 crainte n’est pas théorique. Car si notre culture libérale se révèle impuissante à ressaisir les secrets de sa force, et la cons
153 lence La violence n’est considérée par l’élite libérale d’aujourd’hui que sous l’aspect d’une brutalité, d’un veto matériel,
154 les mauvaises raisons par lesquelles la critique libérale a prétendu légitimer ce mal. Il nous faut revenir encore au méchant c
155 et qui se crée ses propres risques et périls, si libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable produit elle-
156 stion sociale. On se souvient peut-être aussi des libéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La solution des grands problèm
157 t être autre chose qu’une moyenne entre le je des libéraux et le ils des collectivistes ? Selon nos mœurs et notre vocabulaire,
158 formule de nos désordres en décrivant notre élite libérale . J’ai fait un pas de plus vers le concret en situant dans l’homme qui
70 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
159 elle de la Restauration. Professeurs et bourgeois libéraux , grands patrons du capitalisme naissant en Angleterre et en Allemagne
160 lonté du marxisme, plutôt qu’un reste d’humanisme libéral . Le fait est que la grosse majorité des communistes suit Staline. D’o
71 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
161 ent tous les humanistes — des marxistes aux vieux libéraux — y applaudissent ouvertement, mais encore jusque chez les chrétiens,
72 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
162 ndition faite aux écrivains par un état de choses libéral certes, mais anarchique, et dominé par les seules nécessités de l’arg
73 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
163 cer, ils ressemblent beaucoup à ces gouvernements libéraux qui, par crainte de s’imposer ou par ignorance de ce qu’il faudrait i
74 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
164 nt tous les humanistes, — des marxistes aux vieux libéraux , — y applaudissent ouvertement, mais encore jusque chez les chrétiens
75 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
165 vise une finalité quelconque. Issu de la doctrine libérale de la séparation des pouvoirs, le Conseil d’État manque de toute espè
76 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
166 s laisse plus de choix qu’entre un rationalisme «  libéral  » et stérilisant, et un nationalisme dynamique et assassin. Je pense
167 aute, en tout cela, revient évidemment au système libéral , qui n’a pas su organiser à temps ce qui doit l’être. D’où suit que l
77 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
168 e communiste en Europe, le fasciste à Londres, le libéral à Nuremberg, le « national » place de la République, le « populaire »
78 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
169 que j’observe quotidiennement dans la bourgeoisie libérale , de droite ou de gauche d’ailleurs. Il est des gens qui viennent m’ob
170 ièce de ces régimes pour l’admirer isolément. Les libéraux qui parlent ainsi ignorent sereinement de quoi ils parlent. Ils ignor
171 t la condamnation radicale et brutale de l’esprit libéral au nom duquel ils admirent ceci ou cela, pris à part, tout en n’accep
172 sur le libéralisme impénitent, que cette manière libérale d’admirer les totalitaires. Comme si le mot totalitaire ne signifiait
173 e puisse être obtenu à bas prix, par des méthodes libérales  ? Ne voit-on pas que cet ordre est simplement la suppression brutale
79 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
174 de surmonter enfin ce vice qu’est la distinction libérale entre la pensée et l’action. Au lieu de préciser, par exemple, le sen
175 a liberté réelle n’a pas de pires ennemis que les libéraux  ; sinon en intention, du moins en fait. Les penseurs les plus violemm
176 pas pour si peu une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un
177 qui, par sa nature et son mouvement originel, est libérale , irresponsable, ne devient pas libératrice et responsable du seul fai
178 le fascisme et le stalinisme. Et c’est la pensée libérale . Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et mar
179 Et c’est la pensée libérale. Voyez donc comme nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas dès qu’une menace
180 se contre les libertés françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défe
181 t exprimé en toute clarté qu’ils étaient de vrais libéraux , irresponsables nés79, égarés pour un temps dans les voies de « l’eng
182 s poètes — qu’il opposait à celle des philosophes libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique ! 79. Je fa
80 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
183 bon, et fournit de la copie aux marxistes et aux libéraux . À les lire, on conçoit très bien comment la mécanique a joué en fait
184 et la Russie.) Mesurons maintenant la naïveté des libéraux qui tiennent fréquemment ce propos : « Tout n’est pas mal de ce qui s
185 e sur le libéralisme impénitent que cette manière libérale de « rendre justice » au totalitarisme. Comme si le mot totalitaire n
81 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
186 n’entends pas le spirituel au sens évanescent des libéraux , mais bien comme une action, tant publique que secrète, qui mobilise
82 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
187 Mais cela supposait la complicité des ministères libéraux qui dirigeaient cette police. Pour ne rien dire, naturellement, des g
83 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
188 doute plus que tout autre : c’est pourquoi il est libéral . Rien de moins juif, à mon sens, que Marx.) Ce qui est passé, c’est u
189 eurs6. Je noterai simplement qu’un juif, cultivé, libéral et bourgeois, ne peut vraiment concevoir l’hitlérisme qu’en tant qu’a
190 arler se confond presque avec le type européen du libéral . Il en est d’autres (on le prétend), qui sont devenus marxistes et mê
191 it la Liberté ou les « valeurs spirituelles » des libéraux  ? Non, c’était plus sérieux que cela. Ils ont dit non parce que l’Éta
84 1938, Journal d’Allemagne. II. Conclusion 1938
192 bon, et fournit de la copie aux marxistes et aux libéraux . À les lire, on conçoit très bien comment la mécanique a joué en fait
193 e sur le libéralisme impénitent que cette manière libérale de « rendre justice » au totalitarisme. Comme si le mot totalitaire n
85 1938, Journal d’Allemagne. Appendice i. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
194 n chrétienne et la marxiste sont l’une et l’autre libérales , parce qu’individualistes… La piété germanique n’est qu’une attitude
86 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
195 e de gagner maigrement sa vie dans une profession libérale  ? On le croit souvent. Pour ma part, je ne l’ai jamais cru, et aujour
87 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
196 il ne cesse de nous travailler dans nos sociétés libérales . C’est l’éventualité de la paix que j’envisagerai dans les deux livre
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
197 il ne cesse de nous travailler dans nos sociétés libérales . C’est l’éventualité de la paix que j’envisagerai dans les deux livre
89 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
198 il ne cesse de nous travailler dans nos sociétés libérales . C’est l’éventualité de la paix que j’envisageai dans les deux livres
90 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
199 ent. » Position caractéristique du protestantisme libéral tel qu’il se développa au siècle dernier. « Je l’ai souvent dit à Cla
91 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
200 l’invoque, n’est-ce pas ? Mais pour l’économiste libéral , cela signifie le droit de ruiner le voisin par le jeu de la concurre
201 à présent vers une communauté solide et pourtant libérale  ? Il nous faut rapprendre à penser, à penser dans le train de l’actio
202 que l’homme soit foule. Le monde rationaliste et libéral supposait que l’humanité n’était qu’un assemblage d’individus, d’homm
203 qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale  : c’est tout le problème à résoudre. La solution fédéraliste Pa
204 de l’esprit. La tolérance était la pâle vertu des libéraux individualistes. L’intolérance est la sombre vertu des partisans coll
205 même il offre tous les avantages de la tolérance libérale , mais non pas ses inconvénients : car chacun dans le groupe où il est
92 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
206 u-dessus de la matière et de ses lois — selon les libéraux  — soit qu’au contraire, humble et servile, elle se borne à refléter c
207 l’invoque, n’est-ce pas ? Mais pour l’économiste libéral , cela signifie le droit de ruiner le voisin par le jeu de la concurre
208 à présent vers une communauté solide et pourtant libérale  ? Car tout vient de là, et tout dépend en premier lieu, de notre état
209 que l’homme soit foule. Le monde rationaliste et libéral supposait que l’humanité n’était qu’un assemblage d’individus, d’homm
210 qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale  : c’est tout le problème à résoudre. La solution fédéraliste Pa
211 de l’esprit. La tolérance était la pâle vertu des libéraux individualistes. L’intolérance est la sombre vertu des partisans coll
212 même il offre tous les avantages de la tolérance libérale , mais non pas ses inconvénients : car chacun, dans le groupe où il es
93 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
213 radicalement antisuisse s’ils progressent. Les «  libéraux  » et les conservateurs « fédéralistes » ne sont que des réactionnaire
94 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
214 n sportive, aux réalistes qui l’engendrèrent, aux libéraux qui ne peuvent en croire leurs yeux. Avis aux Suisses. Les Suisses on
95 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
215 n sportive, aux réalistes qui l’engendrèrent, aux libéraux qui ne peuvent en croire leurs yeux. Avis aux Suisses. Les Suisses on
96 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
216 radicalement antisuisse s’ils progressent. Les «  libéraux  » et les conservateurs « fédéralistes » ne sont que des réactionnaire
97 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Blind alley of Europe (1941)
217 iques en France et en Angleterre. Tout ce que les libéraux et capitalistes déclaraient impossible et funeste en temps de paix es
218 que soit d’ailleurs le vainqueur, le capitalisme libéral pourra être rebâti en France ; que les partis traditionnels pourront
219 on insurmontable entre notre économie capitaliste libérale et les souverainetés étatiques ; entre nos théories sur la justice so
220 qu’un seul État qui représente un espoir de force libérale  : la confédération des USA. Blind alley. Tout est remis en question.
98 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
221 ntre le parti des centralisateurs et le parti des libéraux (ou régionalistes), le personnaliste envisage la recherche en commun
99 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
222 ont civilisées, raffinées, pacifiques, prospères, libérales , etc. Bien, chacun sait cela. Les disciples des dictateurs le savent
223 atique entre les magiciens de notre époque et les libéraux privés de foi positive, si nombreux encore dans nos démocraties, les
224 ’indignation bien pensante et pourtant futile des libéraux . Les démocraties ne résisteront à la contagion totalitaire que si ell
100 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
225 ocrates américains à nos radicaux, conservateurs, libéraux et socialistes. Ni les républicains ni les démocrates ne possèdent un