1
rmer des hommes maîtres d’eux-mêmes, c’est-à-dire
libres
. Et cela me semble d’autant plus paradoxal que M. de Montherlant est
2
! crieront les surréalistes. Voire. On est moins
libre
à Moscou qu’à Montparnasse. D’ailleurs leurs théories nous ramèneraie
3
se termina sous le plus beau soleil de printemps.
Libre
à qui veut d’y voir un symbole. On ne saurait exagérer l’importance d
4
entrant par la fenêtre, vint annoncer qu’on était
libre
— comme si on l’avait attendu pour le manifester ! — et qu’il suffisa
5
. Mais je crois que toute intelligence européenne
libre
peut souscrire aux critiques du Chinois et sympathiser avec son idéal
6
ter, doit nous construire — selon le mode le plus
libre
, le plus conscient à la fois et le plus voluptueux. Sincérité enve
7
r à Louis XIV l’exposé si dénué de parti pris, si
libre
et d’une si élégante science du sympathique professeur de Grenoble.
8
arbares, désordonnés, brumeux, absurdes, vivants,
libres
. Avec la poésie contre vos principes. Avec l’esprit contre votre rais
9
sir cruel. C’était un jeu très simple où l’esprit
libre
de calculs se tend ardemment vers la conclusion d’un hasard qui opère
10
ilà l’affaire lancée. La passion de Ford se donne
libre
cours. Il ne s’agit plus maintenant que de lui donner une apparence d
11
ou il a cassé les ressorts de sa joie : l’effort
libre
et généreux, le sentiment d’avoir inventé ou compris par soi-même, la
12
arente simplicité. Le récit s’avance à une allure
libre
et tranquille, anglo-saxonne et peu à peu entraîne tout un branle-bas
13
)s Prison Prisonnier de la nuit mais plus
libre
qu’un ange prisonnier dans ta tête mais libre comme avant cette naiss
14
lus libre qu’un ange prisonnier dans ta tête mais
libre
comme avant cette naissance aux lents vertiges Quand la nuit s’effeui
15
appliquent avec ferveur les principes de l’école
libre
, qui se moquent des programmes, et dont les classes joyeuses sont de
16
seconde. Laissons ce soin, à des générations plus
libres
d’imaginer, bénéficiant de notre colère jacobine et de cette formidab
17
. L’anarchiste que j’aime est simplement un homme
libre
qui a une foi (ou un amour) et qui s’y consacre. (Mais alors !… Je vo
18
étrompez-vous. Vous ne savez pas ce que c’est que
libre
, ou consacré.) L’utopiste, c’est l’inventeur. Les sots vont répétant
19
appliquent avec ferveur les principes de l’école
libre
, qui se moquent des programmes et dont les classes sont de vraies foi
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seconde. Laissons ce soin, à des générations plus
libres
d’imaginer, bénéficiant de notre colère jacobine et de cette formidab
21
. L’anarchiste que j’aime est simplement un homme
libre
qui a une foi (ou un amour) et qui s’y consacre. (Mais alors !… Je vo
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étrompez-vous. Vous ne savez pas ce que c’est que
libre
ou consacré.) L’utopiste, c’est l’inventeur. Les sots vont répétant q
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ans refuges… VI Prisonnier de la nuit mais plus
libre
qu’un ange prisonnier dans ta tête mais libre comme avant cette naiss
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lus libre qu’un ange prisonnier dans ta tête mais
libre
comme avant cette naissance aux lents vertiges — quand la nuit s’effe
25
tés redoutables pour atteindre la dernière chaise
libre
. En bas, il y a juste autant de vieilles dames et de ministres en ret
26
serait assez hongroise… Mais l’expression la plus
libre
et la plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien a
27
ectique faustienne dans la vie d’un être jeune et
libre
encore de toute contrainte sociale, culturelle, voire physiologique ;
28
rétien du Werther : — « J’ai souffert et me voilà
libre
à nouveau, écrit Goethe à un ami en 1768, au sortir d’une grave malad
29
e, c’est en vain que l’on chercherait un « esprit
libre
» selon le vœu de ce prêtre de l’abstentionnisme et du célibat spirit
30
tés redoutables pour atteindre la dernière chaise
libre
. En bas, il y a juste autant de vieilles dames et de ministres en ret
31
serait assez hongroise… Mais l’expression la plus
libre
et la plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien a
32
sée nous tenions pour nulles. Si j’étais vraiment
libre
, j’aurais fait place aux deux ouvrières laides, sans méfiance, — ou b
33
une fille, sans fausse honte. Si j’étais vraiment
libre
, je lui parlerais très doucement… La fumée des cigares lui fait peut-
34
tés redoutables pour atteindre la dernière chaise
libre
. En bas, il y a juste autant de vieilles dames et de ministres en ret
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serait assez hongroise… Mais l’expression la plus
libre
et la plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien a
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sée nous tenions pour nulles. Si j’étais vraiment
libre
, j’aurais fait place aux deux ouvrières laides, sans méfiance, — ou b
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une fille, sans fausse honte. Si j’étais vraiment
libre
, je lui parlerais très doucement… La fumée des cigares lui fait peut-
38
New York donc ? Si vous y connaissez des chambres
libres
, faites-moi signe. (Comme les Américains paraissent bizarres, ici. Co
39
annise les Européens, la police traque les hommes
libres
sans que personne ose dire pour quoi ni protester, et ce n’est plus q
40
d’une libération, et qu’un peuple n’est vraiment
libre
que s’il possède et maîtrise d’abord, dans la force et la grâce du te
41
du confort moyen et de la TSF dans un monde où le
libre
divertissement de chacun sera la condition du libre abrutissement de
42
bre divertissement de chacun sera la condition du
libre
abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre le travai
43
pas d’autres révolutions que spirituelles. L’acte
libre
est à l’origine, non pas à la fin. VI. — On a dit que l’esprit est
44
èle. On voudrait pourtant qu’il lui donne parfois
libre
carrière, qu’il ne le garde point sans cesse à portée d’un coup de pa
45
te histoire : « Vue d’en haut, c’est une série de
libres
actions divines : vue d’en bas, une série d’essais sans résultats au
46
ue ; — dans le domaine économique : les syndicats
libres
de production et d’instruction professionnelles, d’une part, et de l’
47
rofonde et effective entre le travail créateur et
libre
d’une part, et le travail indifférencié et parcellaire de l’autre. Ce
48
ue ; — dans le domaine économique : les syndicats
libres
de production et d’instruction professionnelle, d’une part, et de l’a
49
’heure actuelle est de dégager, dans un esprit de
libre
recherche et de respect pour le passé, les invariants chrétiens tels
50
i-je envie, dans une telle phrase, de remplacer «
libre
recherche » par « obéissance », — « respect pour le passé » par « res
51
rait, et par là même, ne laisse-t-il pas le champ
libre
à la tyrannie, c’est-à-dire à la mécanique étatiste et dictatoriale q
52
ait imaginer rien de plus opposé au trop fameux «
libre
examen » dont les rationalistes ont voulu faire l’apanage du protesta
53
me aussi le dernier refuge continental des hommes
libres
. Ce n’est pas notre faute si, pour sauver l’Occident et l’Europe, nou
54
e que les hommes aient jamais pu concevoir d’être
libres
. Tel est le sens de notre personnalisme. Nous n’insisterons jamais as
55
u Comité directeur de l’Ordre nouveau, il y a des
libres
penseurs, des catholiques, un juif et un protestant. 22. Je pense qu
56
e « protestant moyen » affirme son attachement au
libre
examen dans la mesure où cela le dispense de répondre d’une façon pré
57
voulu bannir la possibilité scandaleuse des actes
libres
de la Providence. Entreprise effroyable et vaine, qui serait d’un com
58
ne liberté, ou plus exactement, créer, c’est être
libre
. Un art nouveau, c’est une liberté nouvelle. Mais c’est aussi une obé
59
r les livres de M. Malraux. Je suis d’autant plus
libre
pour affirmer aujourd’hui que le roman d’Edschmid est d’une classe ne
60
étise la dissolution du corps social en individus
libres
au terme d’une évolution scientifique et organisée (thèse de Marx et
61
re un dilemme absurde : ou bien la pensée reste «
libre
», comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la liberté du rêveur
62
tout finit en dictature : plus question de pensée
libre
, j’entends : de pensée responsable. Mais si l’intelligence, passant o
63
articularités concrètes. Ou encore : assurer leur
libre
jeu. C’est peut-être, en dernier ressort, remettre le pouvoir à quelq
64
istoire de l’Europe, la passion unitaire se donna
libre
cours. L’ancêtre du fascisme, c’est Louis XIV. Que furent les dragonn
65
t, les revues littéraires deviennent des tribunes
libres
où s’expriment les tendances les plus radicalement opposées… Libérali
66
du confort moyen et de la TSF dans un monde où le
libre
divertissement de chacun sera la condition du libre abrutissement de
67
bre divertissement de chacun sera la condition du
libre
abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre le travai
68
ut le reste de la production « qualifiée » serait
libre
, et placé sous la responsabilité de corporations régionales. Ainsi l’
69
re un dilemme absurde : ou bien la pensée reste «
libre
», comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la liberté du rêveur
70
tout finit en dictature : plus question de pensée
libre
, j’entends : de pensée responsable. Mais si l’intelligence, passant o
71
articularités concrètes. Ou encore : assurer leur
libre
jeu. C’est peut-être, en dernier ressort, remettre le pouvoir à quelq
72
istoire de l’Europe, la passion unitaire se donna
libre
cours. L’ancêtre du fascisme, c’est Louis XIV. Que furent les dragonn
73
t, les revues littéraires deviennent des tribunes
libres
où s’expriment les tendances les plus radicalement opposées… Libérali
74
du confort moyen et de la TSF dans un monde où le
libre
divertissement de chacun sera la condition du libre abrutissement de
75
bre divertissement de chacun sera la condition du
libre
abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre le travai
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ut le reste de la production « qualifiée » serait
libre
, et placé sous la responsabilité de corporations régionales. Ainsi l’
77
x publique, la grandeur morale de la nation et le
libre
déploiement de ses forces créatrices. Le but est d’abord de faire tri
78
sable. La honte n’en retombe pas sur des hommes «
libres
» !) À lire les revues et les hebdomadaires de gauche ou de droite, r
79
u moins en fait. Les penseurs les plus violemment
libres
du xixe siècle, un Nietzsche, un Kierkegaard, un Baudelaire82, ont é
80
l’équipe des dilettantes ; mais elle est un choix
libre
, et donc non conformiste : or c’est là ce que craint l’équipe des fon
81
la Réforme. Et que voulaient les calvinistes ? Le
libre
exercice de leur culte. Or, l’édit, en donnant cent places fortes aux
82
doivent avoir pour seul but d’assurer à chacun le
libre
et le plein exercice de sa vocation personnelle. Et c’est dans cet es
83
dénoncer et de combattre tout ce qui s’oppose au
libre
jeu des vocations dans la cité : dénoncer le capitalisme avec son pri
84
r toutes choses, et d’abord la cité, à l’exercice
libre
et fidèle des vocations, refaire un monde à la mesure de l’homme conc
85
in n’est guère partisan, on le voit, de ce fameux
libre
examen dont on persiste à lui attribuer l’invention, par une erreur a
86
er dans l’économie un secteur plané et un secteur
libre
commence d’apparaître aux yeux des syndicalistes, des néos, et d’une
87
roche de salut. Les plus grands ont été les moins
libres
de n’en faire qu’à leur agrément. En bref, on peut reprocher à Monthe
88
ouirai hautement. Et je me sentirai d’autant plus
libre
de leur demander sérieusement, c’est-à-dire sans aucune intention pol
89
u Saint-Esprit. » 33. L’acte de la grâce, l’acte
libre
et parfait de la libre grâce que Dieu nous fait ; et non point cette
90
L’acte de la grâce, l’acte libre et parfait de la
libre
grâce que Dieu nous fait ; et non point cette infusio, ce principium
91
persistant, il n’y aura plus en France d’édition
libre
. Et le seul moyen d’y remédier, ce sera de créer ou de multiplier des
92
mars ne consistaient nullement en une concurrence
libre
de groupes ou d’opinions : un seul parti présentait des candidats, et
93
nous au régime parlementaire, c’est-à-dire à la «
libre
» concurrence des groupes, tandis qu’il ne désigne en Allemagne qu’un
94
e. Là-dessus les plus gros malentendus se donnent
libre
cours. Le « spirituel », aux yeux de la grande masse, est à peu près
95
pas l’esprit pur d’une élite qui laisse les mains
libres
aux affairistes et aux politiciens. L’esprit, le spirituel, au sens o
96
x publique, la grandeur morale de la nation et le
libre
déploiement de ses forces créatrices. Le but est d’abord de faire tri
97
sable. La honte n’en retombe pas sur des hommes «
libres
» !) À lire les revues et les hebdomadaires de gauche ou de droite, r
98
iens trop rigides par le recours à une piété plus
libre
. On sait que pour l’école de Barth, tout au contraire, le rôle de la
99
u’une fièvre morbide. Mais la forme excessivement
libre
de cet ouvrage le sauve de l’ennui inhérent aux gros livres. C’est un
100
le pain assuré, quand les poètes se virent enfin
libres
de chanter l’homme tout entier, non plus seulement l’homme technicien
101
ns partisanes, vieillards aux commandes, presse «
libre
» aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement, et dix
102
ore une vie à bien des égards plus facile et plus
libre
que les nouvelles. Elles ont gardé un certain nombre de possibilités
103
outenir les hommes, cette ruine a laissé le champ
libre
à des religions toutes nouvelles, communisme, national-socialisme. Ma
104
libérales, est dans la création d’une communauté
libre
. Notre chance est dans l’invention, et non dans la défense, ou dans l
105
e dans l’Allemagne de Hitler, l’esprit soit moins
libre
, plus courbé, craintif (terrorisé), plus vassalisé. » — Dictature du
106
eur, c’est la révolte du destin profane contre la
libre
vocation de Dieu. Et de même que cette révolte est symbolisée au conc
107
le pain assuré, quand les poètes se virent enfin
libres
de chanter l’homme tout entier, non plus seulement l’homme technicien
108
. C’est lui qui conformera le destin futur de son
libre
peuple. Ses paroles sont le programme de notre lutte. Elles sont les
109
rer. Une dictature ne peut durer contre l’opinion
libre
et anarchique. Elle ne peut tolérer d’opposition. Or on ne se défend
110
ns partisanes, vieillards aux commandes, presse «
libre
» aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement, et dix
111
ore une vie à bien des égards plus facile et plus
libre
que les nouvelles. Elles ont gardé un certain nombre de possibilités
112
outenir les hommes, cette ruine a laissé le champ
libre
à des religions toutes nouvelles : communisme, national-socialisme. M
113
libérales, est dans la création d’une communauté
libre
. Notre chance est dans l’invention, et non dans la défense, ou dans l
114
s dans le conflit et l’acte personnels. La pensée
libre
du bourgeois et la science des faits du marxiste restent des abstract
115
de penser ne doit pas signifier que la pensée est
libre
au sens idéaliste, qu’on lui donne vacance, ou qu’elle n’a plus de co
116
condition concrète. La pensée qui agit n’est pas
libre
, mais au contraire libératrice. Et c’est une tâche révolutionnaire q
117
son : cela rendrait un peu de sérieux aux esprits
libres
. Je sais bien que ce vœu signifie pour beaucoup un appel aux « lois s
118
u’il y a de plus humain dans l’homme, la personne
libre
mais responsable…) Un style soumis à la rudesse nouvelle, non pas aux
119
un être « abstrait », ne laisse-t-il pas le champ
libre
à la mécanique étatiste qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renonc
120
’acte qui unit deux hommes par un lien d’entraide
libre
, au service d’un même but, et non point par une discipline de marche.
121
n mécanismes tout faits. D’un côté, un champ plus
libre
conquis pour l’esprit, de l’autre une pression accrue sur l’inerte. R
122
eur, c’est la révolte du destin profane contre la
libre
vocation de Dieu. Et de même que cette révolte est symbolisée au conc
123
le pain assuré, quand les poètes se virent enfin
libres
de chanter l’homme tout entier, non plus seulement l’homme technicien
124
. C’est lui qui conformera le destin futur de son
libre
peuple. Ses paroles sont le programme de notre lutte. Elles sont les
125
rer. Une dictature ne peut durer contre l’opinion
libre
et anarchique. Elle ne peut tolérer d’opposition. Or on ne se défend
126
ns partisanes, vieillards aux commandes, presse «
libre
» aux ordres des grands trusts, anarchie dans l’enseignement, et dix
127
ore une vie à bien des égards plus facile et plus
libre
que les nouvelles. Elles ont gardé un certain nombre de possibilités
128
outenir les hommes, cette ruine a laissé le champ
libre
à des religions toutes nouvelles : communisme, national-socialisme. L
129
libérales, est dans la création d’une communauté
libre
. Notre chance est dans l’invention, et non dans la défense, ou dans l
130
s dans le conflit et l’acte personnels. La pensée
libre
du bourgeois et la science des faits du marxiste restent des abstract
131
de penser ne doit pas signifier que la pensée est
libre
au sens idéaliste, qu’on lui donne vacance, ou qu’elle n’a plus de co
132
condition concrète. La pensée qui agit n’est pas
libre
, mais au contraire libératrice . Et c’est une tâche révolutionnaire q
133
son : cela rendrait un peu de sérieux aux esprits
libres
. Je sais bien que ce vœu signifie pour beaucoup un appel aux « lois s
134
u’il y a de plus humain dans l’homme, la personne
libre
mais responsable…) Un style soumis à la rudesse nouvelle, non pas aux
135
un être « abstrait », ne laisse-t-il pas le champ
libre
à la mécanique étatiste qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renonc
136
’acte qui unit deux hommes par un lien d’entraide
libre
, au service d’un même but, et non point par une discipline de marche.
137
puissants et un prolétariat désespéré. Le paysan
libre
disparaît, et, avec lui, le soldat-citoyen. La terre est aux riches,
138
t essentiellement négatif. Car à la vérité, et si
libre
qu’elle soit encore, Dieu merci, la culture française est malade elle
139
s : L’homme ne peut penser et créer que s’il est
libre
. — Nous avons toujours admis la légitimité de la propriété. — Dans le
140
e leur rendre la pareille. Alors le champ devient
libre
pour une « littérature » commerciale qui, elle, ne sera soucieuse que
141
critique. Thibaudet, lui, s’ébat dans le secteur
libre
. Il en abuse merveilleusement. C’est le chef-d’œuvre de la critique i
142
e luttes, de sacrifices et d’éloquence, de pensée
libre
, de raison cartésienne, de soif de Justice et de passion libertaire,
143
ner la dignité suprême de l’homme sans Dieu. Être
libre
, c’est vouloir l’éternité de son destin. (Pour le chrétien, c’est acc
144
et de force, écrit G. Bataille, la seule société
libre
est la société bi ou polycéphale qui donne aux antagonismes fondament
145
dire à une fédération dont la vie même suppose la
libre
et pleine expression des diversités. ⁂ Ajoutons, pour terminer, que,
146
ique aussi bien dans la distinction entre secteur
libre
et secteur plané que dans celle entre service civil et travail qualif
147
fois matérielles et abstraites, géométriques. La
libre
manifestation des antagonismes réels lui est encore plus intolérable
148
nous aime. Il faut choisir. Mais le choix est-il
libre
? On retombe au débat de Luther et d’Érasme. Le trop prudent humanist
149
st fait de nos monades superstitieuses ? Accorder
libre
cours à nos superstitions, qui au point de vue psychologique sont not
150
it des irréductibles, dans le sens du jeu le plus
libre
des superstitions que j’ai dites, et dont l’éducation se fait très le