1
roduit la recherche de la vérité. Dès son premier
livre
, il s’est montré tout entier, il a bravement affirmé son unité. Car l
2
tie du Paradis à l’ombre des épées 1, son dernier
livre
, est consacrée à « fondre dans une unité supérieure » l’antinomie de
3
rouvaient au front. D’une phrase, il justifie son
livre
: « Ranimons ces horreurs pour les vouloir éviter, et ces grandeurs p
4
Il faut que la paix, ce soit vivre. » Par tout un
livre
libéré de souvenirs héroïques, peut-être trop grands pour la paix, c’
5
. Éluard le comprenait, qui écrivit : « Quand les
livres
se liront-ils d’eux-mêmes, sans le secours des lecteurs ? Quand les h
6
ntifique, « Prix Goncourt », curieux homme. Il se
livre
à des travaux de précision : il calcule un plan, un poème. Il écrit u
7
ision : il calcule un plan, un poème. Il écrit un
livre
sur Einstein, des articles sur Valéry, St John Perse. On le vit naguè
8
d’une belle richesse psychologique. En fermant le
livre
on a presque l’impression qu’il a réussi ce grand roman… Qu’y manque-
9
re d’ailleurs, il reste que le Tarramagnou est un
livre
émouvant, d’une saine puissance. Il reste que Lucien Fabre a tenté, e
10
re de citations à l’appui de ses sophismes, ne se
livre
pas moins à des déductions in abstracto qui le mènent à des conclusio
11
pas moins probante. Une œuvre d’art que ce petit
livre
? C’est avant tout une démonstration ; mais, puissante de sûreté et d
12
plus pour s’amuser : ni pour amuser un public. Un
livre
est une action, une expérience. Et, le plus souvent, sur soi-même. On
13
n vient d’esquisser. Mais on trouve tout dans les
livres
des jeunes, dites-vous, le pire et le meilleur, toutes les vieillerie
14
gré des longueurs, on ne lira pas sans plaisir ce
livre
où l’on voit un homme appeler en vain le vent du large, parmi des gen
15
vèlera peu à peu le sens divin de la destinée. Ce
livre
à thèse est plutôt une argumentation à coups d’exemples vivants qu’un
16
pirations modernes. Voici sans aucun doute un des
livres
les plus représentatifs de l’époque de Lénine, du fascisme, du ciment
17
orces qui se lèvent. Car telle est la vertu de ce
livre
, qu’on l’éprouve d’abord trop vivement pour le juger. L’auteur l’appe
18
isme. Une perpétuelle palpitation de vie anime ce
livre
et lui donne un rythme tel qu’il s’accorde d’emblée avec ce qu’il y a
19
ion ? Comme la vue des athlètes en action, un tel
livre
communique une puissance physique, un mouvement vers la vie ardente q
20
aucoup pourtant subsistent encore. Or, le nouveau
livre
de M. de Traz1, par les précisions importantes qu’il apporte sur les
21
de ses ruses de psychologue. C’est parce que son
livre
, aux petits chapitres à la fois si concis et achevés, n’est ni un alb
22
ent sont les œuvres des Orientaux. L’intérêt d’un
livre
comme celui-ci est plus dans l’opposition des deux mondes que dans la
23
de tout romantisme pour édifier aucun système. Le
livre
se termine par un voyage à Jérusalem : le christianisme n’est-il pas
24
que de M. de Traz diminue l’intérêt vivant de son
livre
: cette impartialité même, cette façon de se placer en face des chose
25
confusions qu’il y décèle. Le meilleur morceau du
livre
est l’essai sur Proust et sa théorie des « intermittences du cœur » d
26
ans les positions conquises. Il n’empêche que son
livre
manifeste une belle unité de pensée, et qu’il propose quelques direct
27
ntherlant actuel que l’on sent. C’est dire que le
livre
vaut par son allure plus que par des qualités de composition ou de pe
28
ant sous les allégories. L’étonnant, c’est que le
livre
soit réellement amusant, et qu’il trouve une sorte d’unité vivante da
29
et ne plus aimer ». Closain se tue pour finir le
livre
. Livre charmant et bizarre, où la sentimentalité moderne trouve l’exp
30
plus aimer ». Closain se tue pour finir le livre.
Livre
charmant et bizarre, où la sentimentalité moderne trouve l’expression
31
ore une vision de l’Occident qui naît de ce petit
livre
si dense, si inquiétant. Le Chinois voit dans l’Europe « une barbarie
32
bien le second. La qualité des souvenirs qu’il me
livre
me renseigne assez exactement, non sur mon passé, mais sur le moment
33
rne, cette espèce de confession romancée dont les
livres
de Bopp, d’Arland, de Soupault et surtout de René Crevel ont donné le
34
ples les plus récents et significatifs ? Tous ces
livres
évoquent assez précisément la forme d’un entonnoir. La vie serait le
35
; mais déjà c’est le chaos. Mon corps et moi, le
livre
si poignant de René Crevel, est la démonstration la plus cynique que
36
ecenser les incohérences pittoresques de ce petit
livre
. Quant à ceux que certaines envolées magnifiques et hagardes pourraie
37
nture, d’un parc public. Ce n’est pas le meilleur
livre
de l’auteur d’Anicet. C’est pourtant un des plus significatifs du rom
38
nue sous des dehors trop polis. Une fois fermé le
livre
de Barbey, on oublie la justesse de son analyse pour n’évoquer plus q
39
Pourtant, qu’elle ne laisse point oublier que ce
livre
d’une résonance si humaine, est mieux que charmant, — douloureux et d
40
s été tentée de lui faire ces confidences qu’elle
livre
si facilement au héros plus confiant et secrètement incertain de ce r
41
nationale dans les rues, faire la noce, écrire un
livre
de tendances très modernes. Et des gens pour se gausser quand nous éc
42
t les lèvres. Mais oui, c’est paradoxal. 11. Les
livres
les plus répandus à Genève sont Ma vie et mon œuvre de Ford et Mon cu
43
solente retombe devant le visage. Aurèle tient un
livre
ouvert, et ce n’est pas je pense qu’il le lise, mais il aime caresser
44
e d’art, compose des coussins, des couvertures de
livres
, des étoffes, d’une somptueuse fantaisie ; et qu’Alice Perrenoud comb
45
Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)ah Voici un
livre
dur et sans grâces, qui ne manque pas d’une beauté assez brutale, pou
46
bientôt considérer toute joie comme illusoire et
livre
l’individu pieds et poings liés à l’obsession qu’il voulait avouer po
47
érité audacieuse mais sans bravade qui donne à ce
livre
sa valeur de document humain, nuit à sa valeur littéraire. Je n’aime
48
ertains des morceaux très divers qui composent ce
livre
sont bien mauvais, à côté d’autres magnifiquement jetés. Mais cette i
49
a base de la société même. » Ceci est tiré d’un
livre
récent sur Aloysius Bertrand. Est-ce vraiment aux romantiques de 1830
50
juillet 1927)am Quand vous avez fermé ce petit
livre
, vous partez en chantonnant le titre sur un air sentimental, bien déc
51
vous venger, vous lui dites que, « d’abord », son
livre
n’est pas sérieux. Il sourit. Vous ajoutez que le lyrisme des noms gé
52
de Weber… Mais au fait, si vous n’aviez pas lu ce
livre
? Ah ! sans hésiter, je vous ferais un devoir de ce plaisir. Un devoi
53
feu. Je dis ces noms, ces opinions, ces titres de
livres
: tout cela jaillit, s’entrechoque, s’annule. Poussière. Ma vie est a
54
e germanique, il faudra opposer l’excellent petit
livre
d’Edmond Jaloux. C’est un recueil de divers articles et essais, dont
55
qui n’ont plus besoin de preuves. Il reste qu’un
livre
comme celui-ci tend un merveilleux piège sentimental à la raison rais
56
sco, Catherine-Paris (janvier 1928)aq C’est un
livre
sympathique ; et il vaut la peine de le dire car la chose n’est pas s
57
n résultent à la fois le défaut de composition du
livre
et sa richesse. L’enfance de Catherine à Paris est du roman pur ; la
58
e manque pas de naturel… On peut regretter que ce
livre
ne réalise pas une synthèse plus organique du roman et des mémoires.
59
larité mondiale des « idées » d’Henry Ford et des
livres
qui les répandent. L’on ne pourra qu’y applaudir, semble-t-il, en sou
60
pparence d’utilité publique. À chaque page de ses
livres
, on pourrait relever les sophismes plus ou moins conscients par lesqu
61
? Un seul doute effleure Ford vers la fin de son
livre
: Le problème de la production a été brillamment résolu… Mais nous n
62
dées générales de cette sorte sont rares dans son
livre
. En général, il se borne à parler de problèmes techniques où son trio
63
1. Une enquête faite à Genève a révélé que les
livres
les plus lus du grand public sont Ma vie et mon œuvre, de Ford et Mon
64
se — c’est une façon de parler — à laquelle on se
livre
dans ces lieux de plaisir — autre façon de parler. On dit que j’ai vé
65
, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)ar
Livre
passionnant pour tous ceux que Jules Verne passionne. Pour les autres
66
ètes. Or Jules Verne fut poète avant tout — et ce
livre
le fera bien voir aux sceptiques. Il a aimé la science parce qu’elle
67
ience à la poésie. Et l’on ne veut voir que jolis
livres
d’étrennes dans les œuvres du plus grand créateur de mythes modernes,
68
nt donné quelque chose. C’est pourquoi j’ai lu ce
livre
, malgré son premier chapitre, variation sur un mot bien français et s
69
drôles ou quelconques. Mais la seconde partie du
livre
est admirable ; il suffit. Le titre ne ment pas ; ce livre traite du
70
admirable ; il suffit. Le titre ne ment pas ; ce
livre
traite du style, à coups d’exemples qui méritent de l’être. Et l’on v
71
pas forcément prince du rêve ; et par ailleurs ce
livre
sait bien le laisser voir. La qualité de l’illusion dont se nourrit L
72
dre habileté du biographe. D’ailleurs, réussir un
livre
attrayant sur une vie manquée n’était pas un problème aisé : Guy de P
73
s là encore il se singularise : il n’écrit pas de
livre
pour y pourchasser un moi qui feint toujours de se cacher derrière le
74
les Supervielle, Saisir (juin 1929)ay Ce petit
livre
de poèmes est comme une initiation au silence. Il faut s’en approcher
75
s qui n’est à personne paru l’année dernière — un
livre
assez troublant et qu’on a trop peu remarqué —, Jean Cassou revient à
76
ais méchants, et seulement aux dernières pages du
livre
, un peu amers… On voudrait un livre de Cassou qui ne serait fait que
77
ères pages du livre, un peu amers… On voudrait un
livre
de Cassou qui ne serait fait que de ces intermèdes ; pur de tout souc
78
l’œuvre de Jean Cassou, et singulièrement dans ce
livre
, beaucoup de ces petites merveilles qui valent de gros romans « bien
79
imbaud le voyant (août 1929)ba À lire ce petit
livre
et le parallèle qu’il établit entre le yogabb telle que l’enseignaien
80
évélé par le truchement de la poésie française. —
Livre
un peu didactique, trop attentif à sa propre démarche, mais inspiré p
81
oses douloureusement ennuyeuses qui sont dans les
livres
— et nulle part ailleurs. Maigre nourriture pour nos rêves. Nous arri
82
oses douloureusement ennuyeuses qui sont dans les
livres
— et nulle part ailleurs. Nous arrivions dans la vie avec des mention
83
que cela représente. 10. Voir note A à la fin du
livre
, p. 65. 11. Est-il besoin de déclarer formellement qu’une telle atti
84
ia de Logan Pearsall Smith — je n’avais pas lu de
livre
où s’exprimât avec une pareille sécurité dans l’insolite, ce qu’il y
85
une mère qui souffre, un jeune frère qui rêve. Le
livre
se résout dans une amertume vague. Ceux qui ont lu la Mort difficile
86
de M. Jullien du Breuil. L’intérêt de ce genre de
livres
— ils se multiplient — vient, à mon sens, de quelque chose qu’ils exp
87
’un et l’autre qu’aux traductions ; le reste, les
livres
de M. Maurois par exemple, publiés par la Revue de Belles-Lettres ……
88
e sur son rocher. Fraîches, sentant bon, avec des
livres
sur des divans aux riches couleurs, des boissons préparées, l’ombre b
89
suite des poèmes, ils ne sont pas ce que ce petit
livre
contient de moins bouleversant. bi. « Hölderlin : La Mort d’Empédoc
90
ts abordés que par le style des « approches », le
livre
le plus significatif de son tempérament critique. Le style d’abord :
91
ale (février 1931)c M. André Malraux écrit des
livres
qu’on n’oublie pas facilement. C’est qu’il y apporte un peu plus d’ex
92
ste par goût de l’expérience, conférait à tout le
livre
un caractère assez directement autobiographique. La philosophie de ce
93
as complice de ses secrets desseins. Au reste, le
livre
s’achève par sa mort, sans qu’on ait pu distinguer nettement à quels
94
mer, d’où renaître. Je ne sais pas aujourd’hui le
livre
« bien pensant » qui pose avec une pareille acuité le problème centra
95
cent sous l’angle qu’il faut pour situer le petit
livre
de M. P. Nizan12, dans sa perspective la plus équitable. C’est le typ
96
a perspective la plus équitable. C’est le type du
livre
qui vaut surtout par l’attitude qu’il manifeste et commente. Son suj
97
sincérité, l’amitié, s’arrondissaient autour des
livres
dont nous savions de grands morceaux avec notre cœur. On remuait un c
98
s. Nous écrivions aux auteurs, nous recevions des
livres
, des lettres. Van Gogh, en qui nous aimions tout : le pasteur, le pei
99
intimité de milliers de lecteurs français avec un
livre
d’un rare prestige, Daphné Adeane. On vient de traduire un autre roma
100
visible, mais dont la présence constante donne au
livre
toute sa gravité. Maurice Baring exprime ce troisième sujet par deux
101
e qui arrive avant qu’ils n’aient lu eux-mêmes le
livre
. J’espère que les critiques ne le diront pas non plus ; mais je sais
102
’est là l’important. Le mérite le plus rare de ce
livre
est sans doute de faire sentir et « réaliser » au lecteur le tragique
103
n a lu la phrase par quoi se termine un précédent
livre
de notre auteur : « La veille de la Chandeleur 1909, je fus reçu dans
104
t pas par ce roman la série de traductions de ses
livres
. Mais ce Journal, s’il est l’œuvre la moins forte du Danois, n’en est
105
de de docteur ès lettres, vient de nous donner un
livre
bien utile22. En vérité, il fallait une sorte d’intrépidité pour entr
106
s Alpes n’avaient pas d’histoire. Enfin, voici ce
livre
, point trop volumineux — il trouvera sa place dans votre valise — et
107
’Aube, par Kagawa (septembre 1931)j Dire de ce
livre
qu’il ne ressemble à rien serait une louange trop littéraire. C’est u
108
rien serait une louange trop littéraire. C’est un
livre
entièrement simple qui nous introduit dans la connaissance de la misè
109
a grande majorité des chrétiens. Tant mieux si ce
livre
nous passionne. Il faudrait surtout qu’il nous trouble. ⁂ L’autobiogr
110
en France, sous celui d’Avant l’Aube, est un des
livres
les plus significatifs de ce temps. Non pas que nous manquions de tém
111
ais le rare, c’est qu’un de ces meneurs écrive un
livre
pour nous dire comment il voit le peuple, comment il l’aime, et quel
112
e aux dépenses du voyage, il décida de vendre ses
livres
. Mais son retour au foyer provoque des scènes terribles avec son pèr
113
garnie de belles nattes et de se plonger dans ses
livres
de philosophie. Il entendait une voix intérieure qui lui disait : « S
114
est le signe et la mesure certaine. Au cours d’un
livre
où il se peint, aux prises avec toutes les formes du mal, jamais vous
115
sa puissance. ⁂ Mais il est temps de tirer de ce
livre
une conclusion capitale qui, sans doute, fut l’objet déterminant de s
116
— (ils le devraient.). Pour celui qui referme le
livre
de Kagawa, une certitude s’impose. Je la formulerai brièvement : Tant
117
norme sociale. Mais à cause de la grandeur. ⁂ Ce
livre
manque d’ange et de bête. Il est merveilleusement intelligent. On n’y
118
t le laisser supposer qu’il écrivit en préface au
livre
récent d’un jeune aviateur, Antoine de Saint-Exupéry. (Mais par quoi
119
est faite du morcellement et de l’adaptation d’un
livre
unique, son journal intime — que Loti est un journal intime, comme Gi
120
rçait la volonté, où se formait le caractère, les
livres
étaient conduits, ils avaient une unité, un terme auquel ils arrivaie
121
u’une suite d’événements qui se succèdent, et les
livres
sont fragmentaires, ils se composent d’une série de tableaux parallèl
122
me, hors de quoi il n’est qu’indiscrétion, et qui
livre
la clef de la pensée de Kassner, comme aussi de son apparente obscuri
123
ensées —, nous connaissons le modèle immortel, le
Livre
de Job. Il serait curieux d’en suivre la filiation, jusqu’au Soulier
124
te. Mais le mérite original et important d’un tel
livre
me paraît résider avant tout dans l’ordre des faits qu’il met en jeu,
125
romans de faire figure, aux yeux de beaucoup, de
livres
« bien protestants ». Je serais même tenté de dire, forçant un peu ma
126
astiche de Ramuz —, c’est qu’une seule page de ce
livre
lue avec cette lenteur qu’elle impose, nous replace dans la vision gr
127
enant l’actualité tout à fait singulière d’un tel
livre
. Il y a des sujets éternels, ou mieux, perpétuels — sujets d’étonneme
128
t Religion.) 7. « Et l’ange me dit : « Prends le
livre
et avale-le. » Ainsi Jean reçoit le pouvoir de prophétiser. (Apoc. X.
129
occidental, dont le Second Faust restera comme le
livre
sacré. Que cette discipline libératrice comporte pour Rimbaud le sile
130
rupture. Elles sont le champ même15 où Rimbaud se
livre
à l’expérience spirituelle, où il se livre tout entier. Et c’est là s
131
aud se livre à l’expérience spirituelle, où il se
livre
tout entier. Et c’est là sa pureté, mais c’est aussi ce qui l’accule
132
rent une grande confusion. En ce sens, le dernier
livre
de M. Duhamel, consacré à la critique des aspects orduriers et bassem
133
que foncière et qui porte sur le thème général du
livre
. Il est inquiétant de voir un esprit de cette qualité, et qui certes
134
lui fais encore confiance ». Ainsi se termine ce
livre
amer, sans qu’à vrai dire l’on distingue sur quoi s’appuie pareil opt
135
ens matériels. ⁂ Arrêtons-nous aujourd’hui à deux
livres
caractéristiques de ce double péril qui menace une génération : péril
136
nne humaine. Le choix des sujets abordés dans son
livre
montre un esprit averti des vraies valeurs de ce temps. Il réfute MM.
137
République. On peut recommander la lecture de ce
livre
, parce qu’il a le mérite de poser simplement, brutalement, une de ces
138
« naïves », parce qu’elles sont trop gênantes. Le
livre
est mal composé. Ses phrases courtes se pressent en paragraphes haché
139
pouvons connaître. Mais, en vérité, la lecture du
livre
de M. Nizan n’inspire pas la certitude qu’il aime les hommes, qu’il a
140
er à la fois l’importance et les limites du petit
livre
si justement paradoxal de Jouhandeau, — de cette espèce de « dialecti
141
ressort de l’action. La preuve est dans tous les
livres
d’histoire. Les peuples calvinistes ont été les plus « actifs » des t
142
se — c’est une façon de parler — à laquelle on se
livre
dans ces lieux de plaisir — autre façon de parler. On dit que j’ai vé
143
rendre ce qui se passe… Mais le poète referme son
livre
, plie ses lunettes, baise la main de la maîtresse de maison qui lui o
144
e sur son rocher. Fraîches, sentant bon, avec des
livres
sur des divans aux riches couleurs, des boissons préparées, l’ombre b
145
le jour où il me confiera quelques fragments du «
livre
de sa vie », dont il compose chaque matin deux pages à la machine. Il
146
r d’autre à cette « Germanie aimée18 » ? Ah ! les
livres
nous avaient bien trompés. Pas trace ici de « merveilleux ». Tout ce
147
de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon
livre
. Et la foule menaçante se pressait autour du char de la princesse qu’
148
-voix. 20. Depuis lors a paru Samsara — un beau
livre
baroque — et dont le titre explique tout ce qui peut être expliqué.
149
rendre ce qui se passe… Mais le poète referme son
livre
, plie ses lunettes, baise la main de la maîtresse de maison qui lui o
150
e sur son rocher. Fraîches, sentant bon, avec des
livres
sur des divans aux riches couleurs, des boissons préparées, l’ombre b
151
le jour où il me confiera quelques fragments du «
livre
de sa vie », dont il compose chaque matin deux pages à la machine. Il
152
r d’autre à cette « Germanie aimée16 » ? Ah ! les
livres
nous avaient bien trompés. Pas trace ici de « merveilleux ». Tout ce
153
de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon
livre
. « Et la foule menaçante se pressait autour du char de la princesse q
154
ris le mécanisme du souvenir conditionné. Il nous
livre
à l’accidentel, et ses accidents sont petits : une madeleine trempée
155
V J’ai refermé les
livres
, les mémoires. L’année finit. J’écris sans hâte. Quel silence ! Et je
156
n : Neuchâtel, pour tant de culture, pour tant de
livres
lus, relus, et de bon choix, accumulés depuis des siècles dans les ma
157
s les maisons publiques et privées ; pour tant de
livres
publiés, aussi, n’a rien produit qui marque dans la langue, à part la
158
. Que doit lire un homme pressé, s’il demande aux
livres
autre chose que ce que peut lui offrir le conte du journal, c’est-à-d
159
la politique, de la morale et de la religion. Des
livres
comme l’Essai sur la France, de E. R. Curtius, dont il fut parlé ici
160
ères années de l’après-guerre, illustrées par les
livres
monumentaux de Spengler (Le Déclin de l’Occident) et du comte Keyserl
161
tre chez lui après 8 heures de bureau demande aux
livres
une évasion facile hors de la médiocre existence quotidienne. Mais l’
162
le « grand public » considéra que la lecture d’un
livre
n’était qu’un moyen de « passer une heure agréablement ». Le goût des
163
le seul grand succès, dans cet ordre, est allé au
livre
de Céline, Voyage au bout de la nuit, chef-d’œuvre de « documentaire
164
événements. Nous reviendrons prochainement sur ce
livre
brillant et séduisant. p. « Histoires du monde, s’il vous plaît ! »,
165
s et sociaux. La parution coup sur coup, de trois
livres
importants de Gogarten, de Brunner et de de Quervain sur la « théolog
166
(avril 1933)k « Les modernes qui écrivent des
livres
sur Pétrarque voudraient pouvoir faire une part au Moyen Âge (qui les
167
gnificative. La publication de cet étonnant petit
livre
sur Pétrarque, venant après celle d’une Civilisation de Saint-Gall no
168
ns du latin, du bas latin et de l’italien dont ce
livre
est abondamment orné permettra de goûter dans le détail ce que l’on v
169
il nous venait d’Allemagne et de Russie plusieurs
livres
fameux proclamant la « mission de la jeune génération », la France ju
170
René Dupuis et Alexandre Marc n’ont pas écrit un
livre
de doctrine. S’adressant au grand public avec autant de précision que
171
sprit critique. Il résulte de cette étude un gros
livre
que trois éditeurs refusent mais qui paraît finalement en librairie a
172
Nous n’avons rien dit des qualités humaines de ce
livre
, de son éloquence martelante (que les traducteurs ont fort bien rendu
173
morphose. Mais voici un fait plus inquiétant : ce
livre
montre, par vingt exemples irréfutables, que la classe joue chez les
174
d’en trouver, une note ici ou là, quelques petits
livres
à tirage limité. N’allez pas croire qu’il s’agisse d’auteurs comiques
175
qu’il y a d’ailleurs de plus significatif dans le
livre
, ce sont les motifs qui ont poussé M. Dominicé à l’écrire, et qu’il e
176
ueux des objections possibles. Il est vrai que ce
livre
est une thèse. Mais il n’est pas moins vrai que Calvin sut parler un
177
st peut-être qu’elle en institue une nouvelle. Le
livre
qu’il publiait, à Oxford, en 1927, sur Marcel Proust et sa Révélation
178
u n’y fait intervenir aucun lyrisme personnel. Ce
livre
aigu, technique, dont la rigueur se fait volontiers agressive sans ja
179
sans jamais s’abaisser aux clichés polémiques, ce
livre
de recherche et de découvertes précises, et le plus dépourvu qui soit
180
antipodes d’une critique universitaire. Ce petit
livre
a l’aspect d’un chantier, et non point d’un salon littéraire. Il est
181
e contre l’envahissante prolétarisation. Ces deux
livres
sont au début de quelque chose. On serait tenté de dire : d’une actio
182
nos vies de soucis dégradants. J’ai fait lire ce
livre
à des gens de toutes conditions, « de toutes croyances ou de toutes i
183
uelle heure je l’ai terminé cette nuit ». — « Des
livres
comme celui-là, ça aide à vivre ! » Tout le charme profond de Selma L
184
t on dirait qu’elle est le vrai sujet de ce grand
livre
. Je ne vous conterai pas « l’histoire ». Cette chronique d’une vie de
185
rselle ne doit pas nous tromper sur le dessein du
livre
. Nul romantisme dans cette analyse, aucune exaltation de nos démons o
186
les premiers chapitres donnent à cette partie du
livre
une apparence abstraite qui contraste singulièrement avec le réalisme
187
. On ne saurait trop insister sur l’utilité de ce
livre
. Il rendra vaines, désormais, les introductions que les différents tr
188
, et qui est celle du Point de vue explicatif. Le
livre
de Carl Koch est la démonstration de l’emprise que peut exercer Kierk
189
e bonhomique : ce n’est pas le moindre piquant du
livre
. Fallait-il souhaiter à Kierkegaard une introduction plus systématiqu
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actions vécues » que Scheler étudie dans ce petit
livre
, c’est le phénomène que Nietzsche a baptisé ressentiment. Pour Nietzs
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aires, qui me paraît renfermer l’essentiel de son
livre
. Le lecteur se sent pris de vertige à découvrir la profondeur et la g
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nous assurent que les problèmes débattus dans ce
livre
sont de ceux qui se posent ; non point de ceux que l’on se plaît à po
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sme violent. On voit percer par endroits, dans ce
livre
, une espèce de ressentiment à l’égard de la Réforme : d’où une série
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vre de Kafka, mais il est difficile d’imaginer un
livre
plus profond. On a même l’impression en le lisant, de lire pour la pr
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on en le lisant, de lire pour la première fois un
livre
absolument profond. Non qu’il prétende percer les apparences du monde
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end compte de presque toutes les situations de ce
livre
? Cette Loi qui nous condamne quoi que nous fassions, ce Juge impitoy
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mon article du numéro 11, que je m’en prenais au
livre
de M. Jean-Richard Bloch intitulé Destin du siècle. Il n’en est rien.
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e de la Révolution qui ouvre la seconde partie du
livre
. Esprit et Révolution… « Le malaise révolutionnaire et la confusion
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ite d’aller droit aux problèmes réels que pose ce
livre
, sur le plan philosophique. 14. Mais le concret, c’est l’acte justem
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tort, et l’on s’en convaincra en lisant le petit
livre
d’Harold Begbie, Vies transformées 7, qui raconte les origines du Mou
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he à décrire son esprit. Ce n’est pas le meilleur
livre
qu’on ait écrit sur les Groupes. Mais enfin, c’est le seul qui existe
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rs entretiens. À lire certains récits du meilleur
livre
qu’on ait fait sur le Mouvement, For Sinners only (Pour les pécheurs
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uels nous puissions être le prochain. Et quand ce
livre
n’aurait pas d’autre valeur, il a celle-là, qui compte, de nous montr
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n grand mystique, c’est-à-dire un grand poète. Le
livre
d’Axling nous donne d’admirables citations de ses Méditations. Si les
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prévoit des succès ; elle s’applique à parler du
livre
dont on parle plutôt que de celui dont il faudrait parler, et qu’on i
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ont cette valeur humaine qu’ont les mémoires et «
livres
de raison » rédigés sans littérature. Voilà qui est banal ? Je n’en s
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d, Destin allemand (octobre 1934)u Le meilleur
livre
de l’année. Je crois bien pouvoir l’affirmer. Le roman le plus fort,
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cet aspect-là, qui suffit d’ailleurs à rendre le
livre
passionnant et presque obsédant, ne suffit pas à expliquer l’impressi
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e sentir à quelle hauteur se situe le drame de ce
livre
. Nous sommes bien loin de la « propagande » nationaliste et des rodom
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l est, je crois, le problème central qu’impose ce
livre
, et l’on admettra bien, quelque opinion qu’on ait sur le point de vue
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interrogation, cette anxieuse espérance, dans le
livre
d’Edschmid. Et l’on découvre, pour la première fois peut-être, l’arri
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ce même d’un peuple. Il faut avoir éprouvé par ce
livre
la grandeur d’une telle espérance, si l’on veut juger sainement la po
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casion de dire, ici même, mon admiration pour les
livres
de M. Malraux. Je suis d’autant plus libre pour affirmer aujourd’hui
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du talent de M. Malraux que de constater que ses
livres
sont les seuls ouvrages français qu’on puisse comparer, tant pour leu
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sais quel sort le Troisième Reich a réservé à ce
livre
, qui parut au moment de l’avènement d’Hitler. Mais je le crois trop f
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faut d’abord les trouver là où ils sont. Ainsi ce
livre
est consolant, parce qu’il ne cache rien ; parce qu’il vient nous pre
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t on dirait qu’elle est le vrai sujet de ce grand
livre
. Le silence à peu près général de la critique à propos d’une telle œu
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s. Car Sara Alelia trouvera son public ; c’est un
livre
qui a le temps pour lui. 9. Hildur Dixelius von Aster : Sara Alelia
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tout votre trésor littéraire, vous n’avez pas de
livres
remèdes ? Pourquoi vous ne pensez jamais aux désespérés ? Tous vos li
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i vous ne pensez jamais aux désespérés ? Tous vos
livres
disent non à la vie. C’est facile d’être négatif. Et je n’avais pas b
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ssez moi-même. — Aidez-moi… — Les uns, avec leurs
livres
, ont passé à côté de moi sans rien dire, sans même me voir, sans me s
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chercher dans quel trou va la cheville, voilà vos
livres
. Voilà à quoi vous perdez votre temps, vous autres. Ah ! vous n’êtes
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t de répondre à la demande du public. Il faut des
livres
faciles, des livres gais, etc. C’est, disent-ils, ce qu’on demande. —
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emande du public. Il faut des livres faciles, des
livres
gais, etc. C’est, disent-ils, ce qu’on demande. — Hé ! oui, parbleu,
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suivi le conseil de cet homme, et n’ai pas lu le
livre
. Je lui laisse donc la responsabilité du compte rendu qu’il m’en a fa