1 u est une arme admirable de précision, d’élégance mécanique et de rapidité. Il lassera, parce que c’est toujours le même déclic.

2 èrement à retrouver ces limites : la vie moderne, mécanique , nous les fait oublier, d’où cette fatigue générale qui fausse tout,

3 s pris dans l’absurde réseau des lignes, et cette mécanique me restitue chaque fois un peu plus de lassitude, un peu plus d’ennui

4 escend à sa rencontre parmi les éclairs d’un luxe mécanique , le visage dans sa fourrure. Elle découvre en passant près de lui le

5 hèvement d’un certain monde moderne, merveilleuse mécanique sévère et dénuée de tout secours de l’Esprit. Mais un jour viendra où

6 cepter la technique et ses conditions. Dans cette mécanique bien huilée, au mouvement si régulier qu’il en devient insensible et

7 s’inclinaient pour des baise-mains silencieux et mécaniques . Je reconnus des princes aux faces maigres qui ressemblaient terrible

8 s crânes ont été décervelés et dotés d’une petite mécanique à quatre sous qui suffit à régler désormais l’automatisme de la vie c

9 e détruit tout ce qui permettrait d’échapper à la mécanique . Bref, elle perpétue ce manque d’imagination dont les conséquences se

10 s crânes ont été décervelés et dotés d’une petite mécanique à quatre sous qui suffit à régler désormais l’automatisme de la vie c

11 le détruit tout ce qui permettait d’échapper à la mécanique . Bref, elle perpétue ce manque d’imagination dont les conséquences se

12 surances à tous les degrés — idéal antispirituel, mécanique et « formidablement ennuyeux » — un idéal de risque qui redonne à tou

13 certain » touchant les fins dernières du progrès mécanique  ? Il ne s’est même pas posé la question. La coutume du temps est de s

14 à la critique des aspects orduriers et bassement mécaniques de la vie moderne, illustre avec un talent qu’il n’est plus temps de

15 qu’il stigmatise les méfaits des « grandes brutes mécaniques  », sa verve — qu’il me pardonne l’image technique — n’embraye pas, et

16 peu. Car, ou bien M. Duhamel critique l’abus des mécaniques , ce qui revient à faire le vain procès de la bêtise humaine. Ou bien

17 s’inclinaient pour des baise-mains silencieux et mécaniques . Je reconnus des princes aux faces maigres qui ressemblaient terrible

18 Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de troisième terme, — ou

19 ut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique , accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos

20 s ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique . Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance

21 la religion dominante est la religion du travail mécanique . Cette société n’accorde pas au loisir, but secret1 de la plupart de

22 r. Un siècle de machinisme, ou plutôt d’inflation mécanique , si l’on convient que la mesure du travail ne peut être prise ailleur

23 ons en France : la police seule protège encore la mécanique , la police, c’est-à-dire, psychologiquement, la peur. C’est un état d

24 transition —, jusqu’au jour où les servants d’une mécanique parlementaire qui tourne à vide, vaincus par les événements qu’ils su

25 s le champ libre à la tyrannie, c’est-à-dire à la mécanique étatiste et dictatoriale qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renon

26 s, une réalité économique. Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier apparaisse solidaire d’une même civilis

27 Ramuz. Parce qu’il aime les choses et déteste les mécaniques interposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’éprouve-t-il pa

28 au problème de l’homme même dans la civilisation mécanique . Ainsi pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’ils

29 gnent d’un désir de changer quelque chose à cette mécanique qu’hier encore… Mais nous ne voulons pas ironiser trop facilement. Pr

30 s, une réalité économique. Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier apparaisse solidaire d’une même civilis

31 conomie et de distribution des tâches serviles et mécaniques , ou bien encore, une administration, dotée d’une police minime. Une a

32 Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième terme »,

33 ns repos, sans fatigue, dans l’innombrable rumeur mécanique . Je veux rester un homme ! Mais ne le suis-je pas par cette seule vol

34 la religion dominante est la religion du travail mécanique . Cette société n’accorde pas au loisir, but secret69 de la plupart de

35 r. Un siècle de machinisme, ou plutôt d’inflation mécanique , si l’on convient que la mesure du travail ne peut être prise ailleur

36 out comme Kierkegaard critiquait chez Hegel cette mécanique de l’histoire qui supprime l’individu, le conflit tragique et la resp

37 au problème de l’homme même dans la civilisation mécanique . Ainsi, pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’il

38 et créateurs, sont simplement déterminés par une mécanique impersonnelle. Ils ne sont pas les actes d’un auteur, mais les contre

39 n d’un atome. Mais il nous faut laisser ce modèle mécanique , puisqu’aussi bien la personne en elle-même n’est passible d’aucune d

40 s, une réalité économique. Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier apparaisse solidaire d’une même civilis

41 conomie et de distribution des tâches serviles et mécaniques , ou bien encore, une administration, dotée d’une police minime. Une a

42 Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième terme »,

43 ns repos, sans fatigue, dans l’innombrable rumeur mécanique . Je veux rester un homme ! Mais ne le suis-je pas par cette seule vol

44 la religion dominante est la religion du travail mécanique . Cette société n’accorde pas au loisir, but secret72 de la plupart de

45 r. Un siècle de machinisme, ou plutôt d’inflation mécanique , si l’on convient que la mesure du travail ne peut être prise ailleur

46 out comme Kierkegaard critiquait chez Hegel cette mécanique de l’histoire qui supprime l’individu, le conflit tragique et la resp

47 au problème de l’homme même dans la civilisation mécanique . Ainsi, pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’il

48 l’ordre scientifique, qui est celui du démontage mécanique , de l’isolation des parties. Interpréter les formes par les formes, n

49 r terme deviendra quantité. (?) Ce processus tout mécanique de quantification, que l’on retrouve dans la théorie marxiste (voir M

50 ronage officiel. Exposer les dernières inventions mécaniques , ouvrir une bibliothèque de plus, chatouiller avec de grands mots dép

51 iquement, et à grande distance, c’est un massacre mécanique , un point c’est tout. Le tout au bénéfice du trust des armements, vou

52 toujours distinguer l’autorité réelle du pouvoir mécanique , à ce seul signe : les meilleurs obéissent à l’autorité nouvelle, tan

53 ois économiques. Nous pensons donc que le progrès mécanique ne comporte pas en soi de fatalité inhumaine, et que « le machinisme

54 récise de la croyance originelle en l’évolution «  mécanique  ». L’aspect schématique que revêtent les entreprises de Staline favor

55 thentiques. Elle est devenue la loi inexorable et mécanique qui plie l’individu à des calculs de masses, à des disciplines extéri

56 récise de la croyance originelle en l’évolution «  mécanique  ». On doit admettre que les définitions de la culture que je viens de

57 her la terre, scier du bois, ou monter des jouets mécaniques  ; ne veut pas dire non plus que le contact professionnel avec le maté

58 démodé (voir Ruskin) qui se refuserait aux aides mécaniques par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le

59 n faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de mécaniques susceptibles d’épargner la main-d’œuvre : malthusianisme économique.

60 er qu’une pensée qui s’abandonne au rythme de ses mécaniques , proprement, se prolétarise. Je veux dire qu’une telle pensée ne vit

61 de certain touchant les fins dernières du progrès mécanique  ? Il ne s’est même pas posé la question. Qu’il soit en théorie philan

62 ration se sont manifestés et prolongés selon leur mécanique propre. Et nous voici plus empêtrés qu’on ne le croirait dans le maté

63 fication de l’État contre les personnes. Voilà la mécanique fort simple d’une harmonie préétablie entre l’ancien libéralisme et l

64 e c’est l’homme qui « vit » d’un travail purement mécanique dont il ne possédera jamais les produits pour en disposer à son gré.

65 stice n’est pas si facile. Elle ne sort pas d’une mécanique . Elle ne peut qu’être créée. 80. Des réalistes nous diront : oui, m

66 bstrait », ne laisse-t-il pas le champ libre à la mécanique étatiste qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renonce à assumer per

67 l’espace est entièrement déterminée par les lois mécaniques . Fatalement, elles nous entraînent dans une dissolution atomique : el

68 thentiques. Elle est devenue la loi inexorable et mécanique qui plie l’individu à des calculs de masses, à des disciplines extéri

69 thentiques. Elle est devenue la loi inexorable et mécanique qui plie l’individu à des calculs de masses, à des disciplines extéri

70 ise de la croyance des militants en l’évolution «  mécanique  ». On doit admettre que les définitions de la culture que je viens de

71 her la terre, scier du bois, ou monter des jouets mécaniques  ; ne veut pas dire non plus que le contact professionnel avec le maté

72 démodé (voir Ruskin) qui se refuserait aux aides mécaniques par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le

73 n faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de mécaniques susceptibles d’épargner la main-d’œuvre : malthusianisme technologiqu

74 er qu’une pensée qui s’abandonne au rythme de ses mécaniques , proprement, se prolétarise. Je veux dire qu’une telle pensée ne vit

75 de certain touchant les fins dernières du progrès mécanique  ? Il ne s’est même pas posé la question. Qu’il soit en théorie philan

76 ration se sont manifestés et prolongés selon leur mécanique propre. Et nous voici plus empêtrés qu’on ne le croirait dans le maté

77 fication de l’État contre les personnes. Voilà la mécanique fort simple d’une harmonie préétablie entre l’ancien libéralisme et l

78 e c’est l’homme qui « vit » d’un travail purement mécanique dont il ne possédera jamais les produits pour en disposer à son gré.

79 stice n’est pas si facile. Elle ne sort pas d’une mécanique . Elle ne peut qu’être créée. 82. Des réalistes nous diront : oui,

80 bstrait », ne laisse-t-il pas le champ libre à la mécanique étatiste qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renonce à assumer per

81 l’espace est entièrement déterminée par les lois mécaniques . Fatalement, elles nous entraînent dans une dissolution atomique : el

82 même temps, il s’acharne à compenser ce fatalisme mécanique par une glorification de la volonté humaine, qui doit vouloir son des

83 ement descriptive il est vrai, solitaire, presque mécanique  : il dresse un vaste catalogue de toutes les plantes de la terre. C’e

84 nous y sommes) est l’expression architecturale et mécanique de l’état de fièvre. C’est une divagation souterraine de lueurs et de

85 sable à un caractère de contrainte externe, comme mécanique , et qui ne tient pas compte de la nature spirituelle, passionnelle ou

86 en toute tranquillité avant les découvertes de la mécanique ondulatoire, — qui nous en donnent aujourd’hui l’équivalent le plus é

87 oi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des autres ; écoute bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’il

88 oi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des autres : écoute bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’il

89 tunistes qui ont pu servir à l’établir. Elle a sa mécanique propre, et qui broie tout, idées et hommes, et qui coule tout dans le

90 le chez les individus charriés par les mouvements mécaniques d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le Führer, nous en r

91 raux. À les lire, on conçoit très bien comment la mécanique a joué en fait, et que c’était fatal, et que c’est très dangereux. Re

92 e de la violence en soi, mais bien de cette forme mécanique qu’elle revêt dans la guerre moderne. Aussi bien, la page que je vien

93 ande. Mais ils viennent d’acquérir une lessiveuse mécanique au prix de 120 marks (c’est deux mois de ménage). Durant les années q

94 iquement, et à grande distance, c’est un massacre mécanique , un point c’est tout. Le tout au bénéfice du trust des armements, vou

95 le chez les individus charriés par les mouvements mécaniques d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le Führer, nous en r

96 raux. À les lire, on conçoit très bien comment la mécanique a joué en fait, et que c’était fatal, et que c’est très dangereux. Re

97 ui va devenir le principal moteur de la recherche mécanique  : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus

98 ut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique , accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos

99  ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécanique , tout en nous et autour de nous glorifie à tel point la passion que n

100 e et xviiie siècles, sera de dominer le monstre mécanique , afin de sauver autant que possible le caractère humain de la guerre.

101 a victoire dépend en fin de compte des lois de la mécanique plutôt que des prévisions de la psychologie. L’instinct combatif est

102 ui va devenir le principal moteur de la recherche mécanique  : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus

103 incus des guerres de l’Empire ? On me dira que la mécanique des guerres modernes, cette technique de la mort à grande distance, l

104 l’obstétrique, à la vénerie, à l’orfèvrerie, à la mécanique , à l’astronomie. Schmidt nous aide à concevoir l’espèce de fureur tit

105  ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécanique , tout en nous et autour de nous glorifie à tel point la passion que n

106 e et xviiie siècles, sera de dominer le monstre mécanique , afin de sauver autant que possible le caractère humain de la guerre.

107 a victoire dépend en fin de compte des lois de la mécanique plutôt que des prévisions, de la psychologie. L’instinct combatif est

108 ui va devenir le principal moteur de la recherche mécanique  : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus

109  ; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui mécanique , tout en nous et autour de nous glorifie à tel point la passion que n

110 e et xviiie siècles, sera de dominer le monstre mécanique , afin de sauver autant que possible le caractère humain de la guerre.

111 a victoire dépend en fin de compte des lois de la mécanique plutôt que des prévisions de la psychologie. L’instinct combatif est

112 ui va devenir le principal moteur de la recherche mécanique  : on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus

113 e est une doctrine antisociale. Elle a pour effet mécanique de dissocier toute communauté naturelle. Et alors se produit le phéno

114 elle des hasards anonymes qui organisent un monde mécanique (radio, capital, urbanisme) au sein duquel la plus « active » des cul

115 , est une doctrine antisociale. Elle a pour effet mécanique de dissocier toute communauté naturelle. Et alors se produit le phéno

116 ctivités créatrices et quelles sont les activités mécaniques . Dans le domaine industriel, cette enquête n’est plus à faire : n’imp

117 s ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique . Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance

118 ! Il ne rencontrera jamais que le fracas du néant mécanique . Quand il aura fait table rase de l’Europe et de ses traditions, ce m

119 t donc l’autonomie, et quelles sont les activités mécaniques exigeant la centralisation. Dans le domaine industriel, cette enquête

120 achiavels de la confusion.) La guerre est devenue mécanique et la machine est toujours une solution simplifiée. Mais la paix est

121 que le péché normal. C’est notre propension toute mécanique à violer les dix commandements, c’est-à-dire à commettre des péchés,

122 er des actes étonnants d’énergie et de discipline mécanique , jusqu’à la mort, terme idéal de toute passion. Autrefois les hommes

123 s ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique . Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance

124 que le péché normal. C’est notre propension toute mécanique à violer les dix commandements, c’est-à-dire à commettre des péchés,

125 er des actes étonnants d’énergie et de discipline mécanique , jusqu’à la mort, terme idéal de toute passion. Autrefois les hommes

126 s ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique . Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance

127 e Dieu vous donne, alors vous échapperez au cycle mécanique où vous ont jeté votre naissance et votre race, vos fautes, et l’opin

128 que le péché normal. C’est notre propension toute mécanique à violer les dix commandements, c’est-à-dire à commettre des péchés,

129 er des actes étonnants d’énergie et de discipline mécanique , jusqu’à la mort, terme idéal de toute passion. Autrefois les hommes

130 s ne rencontreront partout que le fracas du néant mécanique . Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance

131 e Dieu vous donne, alors vous échapperez au cycle mécanique où vous ont jeté votre naissance et votre race, vos fautes, et l’opin

132 ut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique , accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos

133 amuz. Parce qu’il aime les choses et se méfie des mécaniques interposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’éprouve-t-il pa

134 unitariennes, cherchant à établir une homogénéité mécanique et rigide, qu’elle soit imposée d’en haut (État, tyran), ou d’en bas