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u est une arme admirable de précision, d’élégance
mécanique
et de rapidité. Il lassera, parce que c’est toujours le même déclic.
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èrement à retrouver ces limites : la vie moderne,
mécanique
, nous les fait oublier, d’où cette fatigue générale qui fausse tout,
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escend à sa rencontre parmi les éclairs d’un luxe
mécanique
, le visage dans sa fourrure. Elle découvre en passant près de lui le
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hèvement d’un certain monde moderne, merveilleuse
mécanique
sévère et dénuée de tout secours de l’Esprit. Mais un jour viendra où
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s pris dans l’absurde réseau des lignes, et cette
mécanique
me restitue chaque fois un peu plus de lassitude, un peu plus d’ennui
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cepter la technique et ses conditions. Dans cette
mécanique
bien huilée, au mouvement si régulier qu’il en devient insensible et
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s’inclinaient pour des baise-mains silencieux et
mécaniques
. Je reconnus des princes aux faces maigres qui ressemblaient terrible
8
s crânes ont été décervelés et dotés d’une petite
mécanique
à quatre sous qui suffit à régler désormais l’automatisme de la vie c
9
e détruit tout ce qui permettrait d’échapper à la
mécanique
. Bref, elle perpétue ce manque d’imagination dont les conséquences se
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s crânes ont été décervelés et dotés d’une petite
mécanique
à quatre sous qui suffit à régler désormais l’automatisme de la vie c
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le détruit tout ce qui permettait d’échapper à la
mécanique
. Bref, elle perpétue ce manque d’imagination dont les conséquences se
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surances à tous les degrés — idéal antispirituel,
mécanique
et « formidablement ennuyeux » — un idéal de risque qui redonne à tou
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certain » touchant les fins dernières du progrès
mécanique
? Il ne s’est même pas posé la question. La coutume du temps est de s
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à la critique des aspects orduriers et bassement
mécaniques
de la vie moderne, illustre avec un talent qu’il n’est plus temps de
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qu’il stigmatise les méfaits des « grandes brutes
mécaniques
», sa verve — qu’il me pardonne l’image technique — n’embraye pas, et
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peu. Car, ou bien M. Duhamel critique l’abus des
mécaniques
, ce qui revient à faire le vain procès de la bêtise humaine. Ou bien
17
Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution
mécanique
du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de troisième terme, — ou
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s’inclinaient pour des baise-mains silencieux et
mécaniques
. Je reconnus des princes aux faces maigres qui ressemblaient terrible
19
ut entrer résolument dans le grand jour du siècle
mécanique
, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos
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s ne rencontreront partout que le fracas du néant
mécanique
. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance
21
la religion dominante est la religion du travail
mécanique
. Cette société n’accorde pas au loisir, but secret1 de la plupart de
22
r. Un siècle de machinisme, ou plutôt d’inflation
mécanique
, si l’on convient que la mesure du travail ne peut être prise ailleur
23
ons en France : la police seule protège encore la
mécanique
, la police, c’est-à-dire, psychologiquement, la peur. C’est un état d
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transition —, jusqu’au jour où les servants d’une
mécanique
parlementaire qui tourne à vide, vaincus par les événements qu’ils su
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s le champ libre à la tyrannie, c’est-à-dire à la
mécanique
étatiste et dictatoriale qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renon
26
s, une réalité économique. Nous devons au progrès
mécanique
que désormais le globe entier apparaisse solidaire d’une même civilis
27
Ramuz. Parce qu’il aime les choses et déteste les
mécaniques
interposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’éprouve-t-il pa
28
au problème de l’homme même dans la civilisation
mécanique
. Ainsi pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’ils
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gnent d’un désir de changer quelque chose à cette
mécanique
qu’hier encore… Mais nous ne voulons pas ironiser trop facilement. Pr
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et créateurs, sont simplement déterminés par une
mécanique
impersonnelle. Ils ne sont pas les actes d’un auteur, mais les contre
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n d’un atome. Mais il nous faut laisser ce modèle
mécanique
, puisqu’aussi bien la personne en elle-même n’est passible d’aucune d
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s, une réalité économique. Nous devons au progrès
mécanique
que désormais le globe entier apparaisse solidaire d’une même civilis
33
conomie et de distribution des tâches serviles et
mécaniques
, ou bien encore, une administration, dotée d’une police minime. Une a
34
Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution
mécanique
du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième terme »,
35
ns repos, sans fatigue, dans l’innombrable rumeur
mécanique
. Je veux rester un homme ! Mais ne le suis-je pas par cette seule vol
36
la religion dominante est la religion du travail
mécanique
. Cette société n’accorde pas au loisir, but secret69 de la plupart de
37
r. Un siècle de machinisme, ou plutôt d’inflation
mécanique
, si l’on convient que la mesure du travail ne peut être prise ailleur
38
out comme Kierkegaard critiquait chez Hegel cette
mécanique
de l’histoire qui supprime l’individu, le conflit tragique et la resp
39
au problème de l’homme même dans la civilisation
mécanique
. Ainsi, pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’il
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s, une réalité économique. Nous devons au progrès
mécanique
que désormais le globe entier apparaisse solidaire d’une même civilis
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conomie et de distribution des tâches serviles et
mécaniques
, ou bien encore, une administration, dotée d’une police minime. Une a
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Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution
mécanique
du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième terme »,
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ns repos, sans fatigue, dans l’innombrable rumeur
mécanique
. Je veux rester un homme ! Mais ne le suis-je pas par cette seule vol
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la religion dominante est la religion du travail
mécanique
. Cette société n’accorde pas au loisir, but secret72 de la plupart de
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r. Un siècle de machinisme, ou plutôt d’inflation
mécanique
, si l’on convient que la mesure du travail ne peut être prise ailleur
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out comme Kierkegaard critiquait chez Hegel cette
mécanique
de l’histoire qui supprime l’individu, le conflit tragique et la resp
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au problème de l’homme même dans la civilisation
mécanique
. Ainsi, pour être moins bruyant et moins démagogique, le combat qu’il
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l’ordre scientifique, qui est celui du démontage
mécanique
, de l’isolation des parties. Interpréter les formes par les formes, n
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r terme deviendra quantité. (?) Ce processus tout
mécanique
de quantification, que l’on retrouve dans la théorie marxiste (voir M
50
ronage officiel. Exposer les dernières inventions
mécaniques
, ouvrir une bibliothèque de plus, chatouiller avec de grands mots dép
51
iquement, et à grande distance, c’est un massacre
mécanique
, un point c’est tout. Le tout au bénéfice du trust des armements, vou
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toujours distinguer l’autorité réelle du pouvoir
mécanique
, à ce seul signe : les meilleurs obéissent à l’autorité nouvelle, tan
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ois économiques. Nous pensons donc que le progrès
mécanique
ne comporte pas en soi de fatalité inhumaine, et que « le machinisme
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récise de la croyance originelle en l’évolution «
mécanique
». L’aspect schématique que revêtent les entreprises de Staline favor
55
thentiques. Elle est devenue la loi inexorable et
mécanique
qui plie l’individu à des calculs de masses, à des disciplines extéri
56
thentiques. Elle est devenue la loi inexorable et
mécanique
qui plie l’individu à des calculs de masses, à des disciplines extéri
57
récise de la croyance originelle en l’évolution «
mécanique
». On doit admettre que les définitions de la culture que je viens de
58
her la terre, scier du bois, ou monter des jouets
mécaniques
; ne veut pas dire non plus que le contact professionnel avec le maté
59
démodé (voir Ruskin) qui se refuserait aux aides
mécaniques
par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le
60
n faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de
mécaniques
susceptibles d’épargner la main-d’œuvre : malthusianisme économique.
61
er qu’une pensée qui s’abandonne au rythme de ses
mécaniques
, proprement, se prolétarise. Je veux dire qu’une telle pensée ne vit
62
de certain touchant les fins dernières du progrès
mécanique
? Il ne s’est même pas posé la question. Qu’il soit en théorie philan
63
ration se sont manifestés et prolongés selon leur
mécanique
propre. Et nous voici plus empêtrés qu’on ne le croirait dans le maté
64
fication de l’État contre les personnes. Voilà la
mécanique
fort simple d’une harmonie préétablie entre l’ancien libéralisme et l
65
e c’est l’homme qui « vit » d’un travail purement
mécanique
dont il ne possédera jamais les produits pour en disposer à son gré.
66
stice n’est pas si facile. Elle ne sort pas d’une
mécanique
. Elle ne peut qu’être créée. 80. Des réalistes nous diront : oui, m
67
bstrait », ne laisse-t-il pas le champ libre à la
mécanique
étatiste qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renonce à assumer per
68
l’espace est entièrement déterminée par les lois
mécaniques
. Fatalement, elles nous entraînent dans une dissolution atomique : el
69
thentiques. Elle est devenue la loi inexorable et
mécanique
qui plie l’individu à des calculs de masses, à des disciplines extéri
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ise de la croyance des militants en l’évolution «
mécanique
». On doit admettre que les définitions de la culture que je viens de
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her la terre, scier du bois, ou monter des jouets
mécaniques
; ne veut pas dire non plus que le contact professionnel avec le maté
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démodé (voir Ruskin) qui se refuserait aux aides
mécaniques
par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le
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n faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de
mécaniques
susceptibles d’épargner la main-d’œuvre : malthusianisme technologiqu
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er qu’une pensée qui s’abandonne au rythme de ses
mécaniques
, proprement, se prolétarise. Je veux dire qu’une telle pensée ne vit
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de certain touchant les fins dernières du progrès
mécanique
? Il ne s’est même pas posé la question. Qu’il soit en théorie philan
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ration se sont manifestés et prolongés selon leur
mécanique
propre. Et nous voici plus empêtrés qu’on ne le croirait dans le maté
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fication de l’État contre les personnes. Voilà la
mécanique
fort simple d’une harmonie préétablie entre l’ancien libéralisme et l
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e c’est l’homme qui « vit » d’un travail purement
mécanique
dont il ne possédera jamais les produits pour en disposer à son gré.
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stice n’est pas si facile. Elle ne sort pas d’une
mécanique
. Elle ne peut qu’être créée. 82. Des réalistes nous diront : oui,
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bstrait », ne laisse-t-il pas le champ libre à la
mécanique
étatiste qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renonce à assumer per
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l’espace est entièrement déterminée par les lois
mécaniques
. Fatalement, elles nous entraînent dans une dissolution atomique : el
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ement descriptive il est vrai, solitaire, presque
mécanique
: il dresse un vaste catalogue de toutes les plantes de la terre. C’e
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même temps, il s’acharne à compenser ce fatalisme
mécanique
par une glorification de la volonté humaine, qui doit vouloir son des
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sable à un caractère de contrainte externe, comme
mécanique
, et qui ne tient pas compte de la nature spirituelle, passionnelle ou
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en toute tranquillité avant les découvertes de la
mécanique
ondulatoire, — qui nous en donnent aujourd’hui l’équivalent le plus é
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oi et regarde les choses, les gestes incongrus et
mécaniques
des autres ; écoute bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’il
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nous y sommes) est l’expression architecturale et
mécanique
de l’état de fièvre. C’est une divagation souterraine de lueurs et de
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oi et regarde les choses, les gestes incongrus et
mécaniques
des autres : écoute bien ce qu’ils disent à travers les paroles qu’il
89
le chez les individus charriés par les mouvements
mécaniques
d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le Führer, nous en r
90
raux. À les lire, on conçoit très bien comment la
mécanique
a joué en fait, et que c’était fatal, et que c’est très dangereux. Re
91
e de la violence en soi, mais bien de cette forme
mécanique
qu’elle revêt dans la guerre moderne. Aussi bien, la page que je vien
92
ui va devenir le principal moteur de la recherche
mécanique
: on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus
93
ande. Mais ils viennent d’acquérir une lessiveuse
mécanique
au prix de 120 marks (c’est deux mois de ménage). Durant les années q
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iquement, et à grande distance, c’est un massacre
mécanique
, un point c’est tout. Le tout au bénéfice du trust des armements, vou
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le chez les individus charriés par les mouvements
mécaniques
d’une foule ? L. hoche la tête : — Allez écouter le Führer, nous en r
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raux. À les lire, on conçoit très bien comment la
mécanique
a joué en fait, et que c’était fatal, et que c’est très dangereux. Re
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ut entrer résolument dans le grand jour du siècle
mécanique
, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos
98
incus des guerres de l’Empire ? On me dira que la
mécanique
des guerres modernes, cette technique de la mort à grande distance, l
99
l’obstétrique, à la vénerie, à l’orfèvrerie, à la
mécanique
, à l’astronomie. Schmidt nous aide à concevoir l’espèce de fureur tit
100
; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui
mécanique
, tout en nous et autour de nous glorifie à tel point la passion que n
101
e et xviiie siècles, sera de dominer le monstre
mécanique
, afin de sauver autant que possible le caractère humain de la guerre.
102
a victoire dépend en fin de compte des lois de la
mécanique
plutôt que des prévisions de la psychologie. L’instinct combatif est
103
ui va devenir le principal moteur de la recherche
mécanique
: on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus
104
; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui
mécanique
, tout en nous et autour de nous glorifie à tel point la passion que n
105
e et xviiie siècles, sera de dominer le monstre
mécanique
, afin de sauver autant que possible le caractère humain de la guerre.
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a victoire dépend en fin de compte des lois de la
mécanique
plutôt que des prévisions, de la psychologie. L’instinct combatif est
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ui va devenir le principal moteur de la recherche
mécanique
: on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus
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; enfin le besoin d’évasion exaspéré par l’ennui
mécanique
, tout en nous et autour de nous glorifie à tel point la passion que n
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e et xviiie siècles, sera de dominer le monstre
mécanique
, afin de sauver autant que possible le caractère humain de la guerre.
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a victoire dépend en fin de compte des lois de la
mécanique
plutôt que des prévisions de la psychologie. L’instinct combatif est
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ui va devenir le principal moteur de la recherche
mécanique
: on l’a bien vu depuis 1915. Mais cette union tout à fait monstrueus
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e est une doctrine antisociale. Elle a pour effet
mécanique
de dissocier toute communauté naturelle. Et alors se produit le phéno
113
elle des hasards anonymes qui organisent un monde
mécanique
(radio, capital, urbanisme) au sein duquel la plus « active » des cul
114
s ne rencontreront partout que le fracas du néant
mécanique
. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance
115
, est une doctrine antisociale. Elle a pour effet
mécanique
de dissocier toute communauté naturelle. Et alors se produit le phéno
116
ctivités créatrices et quelles sont les activités
mécaniques
. Dans le domaine industriel, cette enquête n’est plus à faire : n’imp
117
que le péché normal. C’est notre propension toute
mécanique
à violer les dix commandements, c’est-à-dire à commettre des péchés,
118
er des actes étonnants d’énergie et de discipline
mécanique
, jusqu’à la mort, terme idéal de toute passion. Autrefois les hommes
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s ne rencontreront partout que le fracas du néant
mécanique
. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance
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que le péché normal. C’est notre propension toute
mécanique
à violer les dix commandements, c’est-à-dire à commettre des péchés,
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er des actes étonnants d’énergie et de discipline
mécanique
, jusqu’à la mort, terme idéal de toute passion. Autrefois les hommes
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s ne rencontreront partout que le fracas du néant
mécanique
. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance
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e Dieu vous donne, alors vous échapperez au cycle
mécanique
où vous ont jeté votre naissance et votre race, vos fautes, et l’opin
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que le péché normal. C’est notre propension toute
mécanique
à violer les dix commandements, c’est-à-dire à commettre des péchés,
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er des actes étonnants d’énergie et de discipline
mécanique
, jusqu’à la mort, terme idéal de toute passion. Autrefois les hommes
126
s ne rencontreront partout que le fracas du néant
mécanique
. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance
127
e Dieu vous donne, alors vous échapperez au cycle
mécanique
où vous ont jeté votre naissance et votre race, vos fautes, et l’opin
128
ut entrer résolument dans le grand jour du siècle
mécanique
, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos
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amuz. Parce qu’il aime les choses et se méfie des
mécaniques
interposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’éprouve-t-il pa
130
unitariennes, cherchant à établir une homogénéité
mécanique
et rigide, qu’elle soit imposée d’en haut (État, tyran), ou d’en bas
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ubliques. Ceci compense cela, sans doute, par une
mécanique
inconsciente. On n’en finirait pas d’énumérer les exemples courants e
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ut entrer résolument dans le grand jour du siècle
mécanique
, accepter pour un temps sa loi, en préservant, s’il se peut, dans nos
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elle des hasards anonymes qui organisent un monde
mécanique
(radio, capital, urbanisme) au sein duquel la plus « active » des cul
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incus des guerres de l’Empire ? On me dira que la
mécanique
des guerres modernes, cette technique de la mort à grande distance, l
135
s ne rencontreront partout que le fracas du néant
mécanique
. Jusqu’au jour bien plus terrifiant que le jour de la pire vengeance