1
ture d’avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis, la
maison
paraît s’être un peu embourgeoisée… Disons plutôt que voici venu le t
2
te à la voix grave qu’on appelle un père dans les
maisons
. » Comme Valéry, ce poète sait « des complicités étranges pour assemb
3
pposent avec hostilité. Dans l’intérieur des deux
maisons
pourtant se débattent les mêmes brouilles de famille entre Art et Mor
4
immenses livrées au 100 à l’heure des autos. Les
maisons
habitées ne sont plus que des enceintes transparentes, et minces en r
5
ance plus intime de certaine tristesse. Seule une
maison
blanche est arrêtée tout près de l’eau. Mais ce n’est pas d’elle que
6
nue comme une envie de sommeil. Une lampe dans la
maison
blanche nous a révélé proche la nuit. Nous nous sommes retournés vers
7
encore sa femme, « mais comme on aime une petite
maison
de province quand on a failli hériter de Chenonceaux ». Peu à peu l’i
8
vu par les poursuivants, arbres au ciel renversé,
maisons
obliques, montagnes russes. (J’ai regretté que René Clair ne nous don
9
aussi. À Marin, près Neuchâtel, dans cette petite
maison
qu’on reconnaissait entre trente pareilles, aux cactus qui ornaient l
10
du cinéma ! Claretie raconte que les détenus des
maisons
de correction se jetaient sur ces volumes « au travers desquels ils r
11
ndre que les sources de la poésie sont dans notre
maison
. Voici un de ces passages où il sait être, avec sa verve doucement co
12
boulevards comme une nuée d’insectes affolés. Les
maisons
sont basses, couvertes du haut en bas d’affiches rouges et jaunes et
13
uge et jaune aussi). Soudain se dresse une énorme
maison
de pierre brune, puis une banque en style hongrois, façade aux grande
14
oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la
maison
de Madame Gontard12, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car
15
escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la
maison
, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
16
ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille
maison
souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
17
e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les
maisons
. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
18
et seulement de 2 à 4… Une rue étouffée entre des
maisons
pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
19
urer. Quel dommage qu’il s’égare parfois dans les
maisons
des grands bourgeois, où tout, soudain, devient plus terne. Mais bien
20
eusait et défonçait, or on lui avait commandé une
maison
. Nos trois compères se moquaient fort. Le journaliste expliquait qu’o
21
ol. Le jeanfoutre trouvait qu’il y a déjà tant de
maisons
. Cependant le maçon continuait de construire, et quand les fondations
22
temps c’est très loin parce que je me réjouis. La
Maison
des Ogres est au 53 rue de Rennes ; je ne vous le confie pas sans un
23
rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite
maison
du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
24
ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande
maison
calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. 2. La recher
25
de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des
maisons
pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
26
e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux
maisons
jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
27
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
maison
du poète, sur un coteau. Trois chambres boisées entourées d’une large
28
y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la
maison
, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
29
st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une
maison
dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
30
aux sables de la plaine du Hortobágy, aux longues
maisons
jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
31
noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de
maisons
basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
32
es. On nous connaît mal. Derrière le mur de notre
maison
on nous croyait peut-être enfermés dans un moralisme étriqué, ennuyeu
33
s à tous les vents ; de rentrer bien vite dans sa
maison
garnie de belles nattes et de se plonger dans ses livres de philosoph
34
ccès de désespoir, il tente de mettre le feu à sa
maison
. Il s’enfuit, et s’engage comme manœuvre dans les docks. La mort de s
35
ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande
maison
calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. ii La Reche
36
de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des
maisons
pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
37
e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux
maisons
jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
38
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
maison
du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d
39
y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la
maison
, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
40
st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une
maison
dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
41
aux sables de la plaine du Hortobágy, aux longues
maisons
jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
42
noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de
maisons
basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
43
oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la
maison
de Mme Gontard15, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce
44
escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la
maison
, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
45
ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille
maison
souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
46
e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les
maisons
. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
47
et seulement de 2 à 4. Une rue étouffée entre des
maisons
pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
48
e à travers les reflets jaunes, roses, verts, des
maisons
à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près
49
s’en vont, et avant de disparaître au coin d’une
maison
jaune, se retournent. Ce petit monde enclos par le pont et l’écluse,
50
ent mal ? 24 avril 1929 Les habitants de la
maison
me paraissent peu nombreux, mais sait-on bien d’où il peut en sortir
51
is quelques douceurs aux abris, près d’une de ces
maisons
isolées où je ne l’amènerai jamais, à cette heure qui serait celle de
52
e après ma mort, tant que je serai encore dans la
maison
, et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours assez, à l’époque de ma
53
t pas accomplis. Tant que je serai étendu dans la
maison
, je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors,
54
ntrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite
maison
couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui dét
55
gnal, voir le pays sous la lune, je choisirai une
maison
isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sai
56
rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite
maison
du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
57
e chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande
maison
fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante
58
des pistes, à travers la forêt —, nous gagnons la
maison
de l’inspecteur. On la distingue de loin, seule bâtisse de pierre par
59
it confort d’abord dit refus de tout style. Cette
maison
qui offre les commodités du plus luxueux home anglais, est monstrueus
60
temps c’est très loin parce que je me réjouis. La
Maison
des Ogres est au 53, rue de Rennes ; je ne vous le confie pas sans un
61
ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande
maison
calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. La recherche
62
de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des
maisons
pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
63
e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux
maisons
jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
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sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
maison
du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d
65
y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la
maison
, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
66
st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une
maison
dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
67
aux sables de la plaine de Hortobágy, aux longues
maisons
jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
68
noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de
maisons
basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
69
des pistes, à travers la forêt —, nous gagnons la
maison
de l’inspecteur. On la distingue de loin, seule bâtisse de pierre par
70
it confort d’abord dit refus de tout style. Cette
maison
qui offre les commodités du plus luxueux home anglais, est monstrueus
71
oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la
maison
de Mme Gontard14, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce
72
escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la
maison
, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
73
ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille
maison
souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
74
e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les
maisons
. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
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et seulement de 2 à 4. Une rue étouffée entre des
maisons
pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
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e à travers les reflets jaunes, roses, verts, des
maisons
à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près
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s’en vont, et avant de disparaître au coin d’une
maison
jaune, se retournent. Ce petit monde enclos par le pont et l’écluse,
78
ent mal ? 24 avril 1929 Les habitants de la
maison
me paraissent peu nombreux, mais sait-on d’où il peut en sortir encor
79
is quelques douceurs aux abris, près d’une de ces
maisons
isolées où je ne l’amènerai jamais, à cette heure qui serait celle de
80
e après ma mort, tant que je serai encore dans la
maison
, et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours assez, à l’époque de ma
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t pas accomplis. Tant que je serai étendu dans la
maison
, je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors,
82
ntrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite
maison
couverte de roses Crimson. Le père est un colonel en retraite qui dét
83
gnal, voir le pays sous la lune, je choisirai une
maison
isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sai
84
rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite
maison
du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
85
e chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande
maison
fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante
86
ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces
maisons
jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vi
87
uand l’avalanche balaye tout un village sauf deux
maisons
, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que ces scrupules ne so
88
bon choix, accumulés depuis des siècles dans les
maisons
publiques et privées ; pour tant de livres publiés, aussi, n’a rien p
89
udrait cette aventure, ma rentrée triomphale à la
maison
. (Faut-il avouer que je la regrette encore ?) Mais je restais là sans
90
ntaire », mauvais roman… Autre signe : les jeunes
maisons
, fondées depuis deux ans, se spécialisent de plus en plus dans la pub
91
stent et vous contredisent, comme par exemple une
maison
trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
92
s, il n’y a qu’un moyen : c’est de leur ouvrir sa
maison
. D’où les confessions privées ou publiques, qui sont l’un des traits
93
nt dégénérée, écrit-il. Les banques, l’armée, les
maisons
de prostitution, les cabarets, les magasins de tabac, les journaux, n
94
ste monde. À ceux-là, je dois la nourriture de ma
maison
, comme à des dieux. « Aidez-moi ! », dit cette femme. Mais la plupar
95
venirs, tout ce que symbolise l’expression « à la
maison
», l’habitation des villes ne diffère pas essentiellement de celle d’
96
nt rompre ?30 Le jugement va commencer par la
maison
de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme e
97
nt rompre ?23 Le jugement va commencer par la
maison
de Dieu. I. Pierre, 4, 17. Le faux rapport entre le christianisme
98
un sourire ; il peut le mettre sur la face d’une
maison
, aux plis d’un jardin… Et encore : Je sentais que ce maître de ses
99
’ai regardé durant un bon moment cette ville, ses
maisons
de campagne et ses jardins d’agrément et le large cercle de ses colli
100
vous est une occasion de triompher, ici, dans la
maison
de Nicodème ! Tenez, j’ai l’impression, depuis que nous nous sommes m
101
n et de la rentabilité du capital investi dans la
maison
obligent l’éditeur à n’accepter que des livres susceptibles de se ven
102
. Ils se font les agents de publicité des grandes
maisons
. Ils parlent du « livre dont on parle ». Et pourquoi « parle »-t-on d
103
omplaisances diverses que l’on n’accorde qu’à une
maison
puissante). Il faudrait, c’est l’évidence, que les chroniqueurs parle
104
e conformisme pour ainsi dire normal des vieilles
maisons
. Ils compensaient leur incapacité à lutter sur le plan publicitaire p
105
s besoins du public, mais d’après le budget de la
maison
. 2. Le déluge de livres qui en résulte oblige l’éditeur à augmenter s
106
iste pas sur l’abaissement immédiat du niveau des
maisons
passées aux mains des Messageries. La loi des gros chiffres, imposée
107
stent et vous contredisent, comme par exemple une
maison
trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
108
n la vision classique : « Cessons de regarder les
maisons
: ce qui m’intéresse ici, c’est la foule. » Je me souviens alors de G
109
cte matériel qui consiste par exemple à bâtir une
maison
, à tirer du canon, à donner un soufflet ou à planter des choux ? Je p
110
cte matériel qui consiste par exemple à bâtir une
maison
, à tirer du canon, à donner un soufflet ou à planter des choux ? Je p
111
Chançay (mars 1937)aa D’abord, c’est une
maison
humaine (un seul étage) ou plutôt c’est deux maisons basses réunies p
112
ison humaine (un seul étage) ou plutôt c’est deux
maisons
basses réunies par une longue galerie, le tout accoté à une falaise d
113
rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une
maison
vide, une occasion de solitude désirée en secret dès longtemps. Je vo
114
ien peu pour partir : la France a des milliers de
maisons
vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
115
maines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre
maison
, c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison : une ancienne magnan
116
e maison, c’est le rocher, la montagne brûlée. La
maison
: une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons roug
117
t grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La
maison
du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière des palmiers et de
118
petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la
maison
de vos vacances… » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, sa fem
119
basset Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette
maison
pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y tr
120
orté d’URSS, et récemment. On me dit qu’ici trois
maisons
seulement, sur 200, ont l’eau courante. Les femmes vont avec des cruc
121
icocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la
maison
, suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire, Madame Turc
122
s depuis longtemps avant la construction de cette
maison
… On n’y avait pas pensé ? Je passe au fond, dans une chambre obscure
123
s. » Elle accepte de venir faire une lessive à la
maison
pour remplacer sa mère. Nous manquons de corde pour étendre le linge
124
ère bonnetterie, ces derniers jours. Le tiers des
maisons
est en ruines, — tout le centre. On croirait une ville bombardée, 230
125
nnes au culte. Dans la campagne environnante, une
maison
sur dix habitée. Dès 1934, la soie japonaise a fait son apparition su
126
te noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des
maisons
au-dessous d’une tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie
127
de crépuscule réunit les champs, les arbres, les
maisons
. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur
128
nit les champs, les arbres, les maisons. Dans ces
maisons
, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur ce que c’est que
129
nt qu’on installe l’eau et l’électricité dans les
maisons
, etc. C’est l’élément réveillé et entreprenant de la population. — Ma
130
935 La mort et les cérémonies dans le Gard. — La
maison
de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
131
son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces
maisons
vides des environs seront habitées par des colonies de jeunes gens —
132
t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette
maison
couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
133
. 6 mai La mort et les cérémonies dans le Gard La
maison
de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
134
… — Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la
maison
, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
135
t : c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre
maison
qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
136
plus lavé la vaisselle. Mais ce n’est pas la même
maison
. — Je ne comprends pas. Madame Calixte. Pourquoi ne peut-on pas laver
137
s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la
maison
? II faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
138
nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les
maisons
vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
139
La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une
maison
de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
140
n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la
maison
de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
141
ette fait entendre un long cri presque humain. La
maison
la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On
142
mettre en boule dans la plate-bande qui borde la
maison
, sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
143
urs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la
maison
, j’essaierai cela. La Toscane me paraît bien gouvernée, tout y présen
144
dans l’harmonie de cette lande où l’homme et ses
maisons
mettent les seules verticales. Existence ramenée à ces deux dimension
145
vre beaucoup de personnes de l’île. La moitié des
maisons
sont vides, et quelques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce ré
146
rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une
maison
vide pendant l’hiver, une occasion de solitude désirée en secret dès
147
ien peu pour partir : la France a des milliers de
maisons
vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
148
s ce jardin de curé, qui a juste la largeur de la
maison
. On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
149
eaux, et parfois traversé par un nuage rapide. La
maison
compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
150
sa symétrie architecturale. Il domine toutes les
maisons
et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
151
De trois côtés de la place généralement vide, les
maisons
s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
152
i est une vieille amie des propriétaires de notre
maison
, est venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a demandé avec tout
153
igne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la
maison
, plus claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourm
154
és ce jardin de curé qui a juste la largeur de la
maison
. On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
155
s, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La
maison
compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
156
sa symétrie architecturale. Il domine toutes les
maisons
et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
157
De trois côtés de la place généralement vide, les
maisons
s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
158
mettre en boule dans la plate-bande qui borde la
maison
, sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
159
nder autour de moi si l’on ne connaissait pas une
maison
vide quelque part… On me la trouva bien vite : au bout du monde, dans
160
L’année suivante, ce fut le Midi : là encore une
maison
abandonnée qu’on nous prêtait. Il y en a comme cela des centaines, de
161
le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des
maisons
mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
162
des fragments de silhouettes d’arbres devant les
maisons
. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
163
des bouleversements que nous avons infligés à la
maison
. Pas question d’aller quérir du renfort à A. Il faut encore boucler l
164
omme il ne s’agit là que du catalogue d’une seule
maison
, on ne saurait tirer de ces chiffres aucune conclusion définitive sur
165
estent les lecteurs allemands. Il existe d’autres
maisons
d’édition qui se spécialisent dans la littérature pure, et chez lesqu
166
traversons de longs villages blancs et bleus aux
maisons
basses, des champs pauvres, des landes où le soleil qui reparaît fait
167
vers l’ouest. Sur la dernière lande, la dernière
maison
luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie, où les volets
168
leu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est une
maison
simplette, telle qu’en dessinent les enfants, joli rectangle clair po
169
rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une
maison
vide pendant l’hiver, une occasion de solitude désirée en secret dès
170
ien peu pour partir : la France a des milliers de
maisons
vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
171
és ce jardin de curé qui a juste la largeur de la
maison
. On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
172
s, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La
maison
compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
173
sa symétrie architecturale. Il domine toutes les
maisons
et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
174
De trois côtés de la place généralement vide, les
maisons
s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
175
i est une vieille amie des propriétaires de notre
maison
, est venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a demandé avec tout
176
mettre en boule dans la plate-bande qui borde la
maison
, sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
177
urs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la
maison
, j’essaierai cela. La Toscane me paraît bien gouvernée, tout y présen
178
’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette
maison
glaciale et humide. Il n’y avait plus de pétrole, et il était trop ta
179
ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la
maison
. Nous avons trouvé des noix et bu un verre de vin, à la lueur d’une b
180
dans l’harmonie de cette lande où l’homme et ses
maisons
mettent les seules verticales. Existence ramenée à ses deux dimension
181
vre beaucoup de personnes de l’île. La moitié des
maisons
sont vides, et quelques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce ré
182
igne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la
maison
plus claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi
183
au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une
maison
pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une invitation à
184
un an bientôt que j’ai quitté Paris pour notre «
Maison
du berger ». Voici un an que je dors bien, que je travaille sans fièv
185
maines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre
maison
, c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison : une ancienne magnan
186
e maison, c’est le rocher, la montagne brûlée. La
maison
: une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons roug
187
t grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La
maison
du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière des palmiers et de
188
petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la
maison
de vos vacances… » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, « Fern
189
asset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette
maison
pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y tr
190
orté d’URSS, et récemment. On me dit qu’ici trois
maisons
seulement, sur deux-cents, ont l’eau courante. Les femmes vont avec d
191
icocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la
maison
, suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire, Mme Turc. E
192
sortant que pour les bricolages habituels dans la
maison
. Ce matin quelqu’un sonne. Un grand jeune homme crépu se présente : i
193
s depuis longtemps avant la construction de cette
maison
… Je passe au fond dans une chambre obscure mais qui me paraît propre
194
s. » Elle accepte de venir faire une lessive à la
maison
pour remplacer sa mère. Nous manquons de corde pour étendre le linge
195
ière bonneterie, ces derniers jours. Le tiers des
maisons
est en ruines, — tout le centre. On croirait une ville bombardée. 230
196
nnes au culte. Dans la campagne environnante, une
maison
sur dix habitée. Dès 1934, la soie japonaise a fait son apparition su
197
te noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des
maisons
au-dessous d’une tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie
198
de crépuscule roussit les champs, les arbres, les
maisons
. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur
199
sit les champs, les arbres, les maisons. Dans ces
maisons
, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur ce que c’est que
200
nt qu’on installe l’eau et l’électricité dans les
maisons
, etc. C’est l’élément réveillé et entreprenant de la population. — Ma
201
té rugueuse ». 8 janvier 1935 Accueil de la
maison
: le courrier passé sous la porte nageait dans une flaque d’eau de pl
202
de son amour pour les feux qui prennent mal, les
maisons
trop grandes…) 12 janvier 1935 Ces cochons-là ! — Simard le ja
203
t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette
maison
couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
204
r une espèce de malade qu’on a relégué dans cette
maison
perdue, faute de savoir comment le soigner. Un bourgeois sans fortune
205
35 La mort et les cérémonies dans le Gard. La
maison
de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
206
… — Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la
maison
, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
207
t : c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre
maison
qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
208
s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la
maison
? Il faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
209
nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les
maisons
vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
210
La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une
maison
de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
211
n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la
maison
de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
212
ette fait entendre un long cri presque humain. La
maison
la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On
213
son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces
maisons
vides des environs seront habitées par des colonies de jeunes gens —
214
jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la
maison
donne sur la route en face de très grands prés, on peut pêcher. — Eau
215
premier lieu, comme étant les enfants aînés en la
maison
de Dieu. » (Commentaires, sur Rom. II, 26.) Le sort du monde, et l’on
216
le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des
maisons
mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
217
des fragments de silhouettes d’arbres devant les
maisons
. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
218
des bouleversements que nous avons infligés à la
maison
. Pas question d’aller quérir du renfort à A. Il faut encore boucler l
219
p ? — Eh bien voilà : nous étions dans une grande
maison
, logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour c
220
e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux
maisons
jaunes, basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers l
221
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
maison
du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d
222
y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la
maison
, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
223
ssance page 92. L’auteur habite avec sa femme une
maison
prêtée ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du jardin, cette
224
habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la
maison
, il y a un jardin ; au fond du jardin, cette poule. Elle n’a pas fait
225
es avenues luisantes et ombragées. La plupart des
maisons
à vendre ou à louer. Sur les plus belles flotte un drapeau à croix ga
226
rtiers : un ou deux par villa seulement. Mais les
maisons
des rues commerçantes et des quartiers populaires sont rouges du haut
227
p ? — Eh bien voilà : nous étions dans une grande
maison
, logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour c
228
es chez les Allemands. Les propriétaires de notre
maison
sont ruinés. Ils n’ont plus d’autre argent liquide que celui que leur
229
opension des gens ruinés à bâtir, à agrandir leur
maison
, à perfectionner leurs appareils ménagers. C’est un des secrets de l’
230
e guerre, et qui ne peut plus s’occuper que de la
maison
et des comptes de location. Il a coutume de descendre les escaliers e
231
ons vis-à-vis du régime, je l’emmène parfois à la
maison
pour bavarder. Lui. — Quoi de neuf depuis notre dernière rencontre ?
232
oble escalier, les pièces aux meubles rares de la
maison
de Goethe, plus isolée encore et plus intime dans ce temps. Le Goethe
233
doit être le discours du Führer. Personne dans la
maison
ne répond plus aux sonneries, et toutes les portes ont été fermées à
234
vent lieu de vie intérieure. Il me reçoit dans la
maison
de M. Charles Du Bos, à La Celle-Saint-Cloud, maison simple, sans aus
235
son de M. Charles Du Bos, à La Celle-Saint-Cloud,
maison
simple, sans austérité, tout de suite familière, où il passe l’hiver
236
t aménagé avec goût comme tout ce qui touche à la
maison
de la rue Sébastien-Bottin. Une tonnelle verte invite aux conversatio
237
la table, imprime à notre rencontre la note de la
maison
. ⁂ Que dire de Denis de Rougemont ? À peine connu il y a trois ou qua
238
la garde d’un personnage qualifié dans une grande
maison
, la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide,
239
un personnage qualifié dans une grande maison, la
maison
des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide, et se trou
240
tes au moment de la puberté, donc au sortir de la
maison
des hommes, devaient accomplir un exploit (meurtre d’un étranger ou c
241
vaient correspondre à des symboles déterminés. La
maison
de verre par exemple, dans laquelle Tristan fou veut emmener Iseut, é
242
cle céleste du Gwynfyd. Dans la Folie Tristan, la
maison
de verre n’est plus qu’une image émouvante née de la fantaisie poétiq
243
d’Autriche fit rechercher en 1570 dans toutes les
maisons
du Tyrol les livres favorables à la Réforme, afin de les brûler ; dan
244
Chœur des enfants. (Tandis qu’ils sortent de la
maison
.) 1. Des matines jusqu’au soir Quelle est ma chanson ? Du plus beau
245
tites filles ont pris le bébé et rentrent dans la
maison
.) Scène ii. Dorothée. — Pour la première fois, Nicolas, tu r
246
— Pour la première fois, Nicolas, tu restes à la
maison
au lieu d’aller aux champs. Nicolas. — On pourra bientôt faire sa
247
ois que Dieu veut que je quitte maintenant… cette
maison
— et nos enfants, — et toi… Pour aller vivre seul… comme un ermite… a
248
x, et chantent jusqu’à ce qu’ils soient devant la
maison
. Dorothée est rentrée.) Jean. — Ils ont bien travaillé, les gars !
249
Nicolas. — Adieu ! (Ils courent tous dans la
maison
. Dorothée les suit. On les entend chanter.) Scène vii. (La nuit
250
ient. Nicolas est resté seul un instant devant la
maison
. Des lumières s’allument aux fenêtres. Il s’approche du bord du plan
251
tout mon amour, tous mes devoirs sont là, dans la
maison
de mes ancêtres ! Où me veux-tu ? Où dois-je aller, s’il faut partir
252
2, puis s’arrête et s’agenouille. La porte de la
maison
s’entr’ouvre et, dans la faible lumière qui en sort, on voit paraître
253
is que Dorothée s’est furtivement retirée vers la
maison
.) Scène viii. (Nicolas se relève, fait quelques pas vers la mai
254
(Nicolas se relève, fait quelques pas vers la
maison
.) Nicolas (sourdement, comme un gémissement). — Dorothée. Au secou
255
olas. — Quiconque aura quitté à cause de Dieu sa
maison
, ou sa femme, ou ses enfants, il recevra bien davantage dans ce siècl
256
d, nous comprendrons. (Ils disparaissent dans la
maison
.) Récitatif. (Le chœur chante à bouche fermée.) Dure est la peine,
257
ur d’entre nous s’en va ! Qui maintiendra dans ta
maison
le droit ? Qui portera le poids du sacrifice ? Père, père, où sont te
258
re. Dorothée et les enfants sont sortis devant la
maison
.) Chœur des enfants. Avec tous les chœurs du ciel Dans la claire
259
du poème est troublante. Peire Vidal énumère les
maisons
qui l’ont bien reçu et les régions qu’hélas ! il doit quitter pour al
260
ont des foyers connus de l’hérésie, ou même des «
maisons
d’hérétiques » (sortes de couvents) ; que ces comtés sont notoirement
261
la garde d’un personnage qualifié dans une grande
maison
, la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide,
262
un personnage qualifié dans une grande maison, la
maison
des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide, et se trou
263
tes au moment de la puberté, donc au sortir de la
maison
des hommes, devaient accomplir un exploit (meurtre d’un étranger ou c
264
du poème est troublante. Peire Vidal énumère les
maisons
qui l’ont bien reçu et les régions qu’hélas il doit quitter pour alle
265
ont des foyers connus de l’hérésie, ou même des «
maisons
d’hérétiques » (sortes de couvents) ; que ces comtés sont notoirement
266
la garde d’un personnage qualifié dans une grande
maison
, la maison des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide,
267
un personnage qualifié dans une grande maison, la
maison
des hommes ». Ils y recevaient l’enseignement d’un druide, et se trou
268
tes au moment de la puberté, donc au sortir de la
maison
des hommes, devaient accomplir un exploit (meurtre d’un étranger ou c
269
vaient correspondre à des symboles déterminés. La
maison
de verre par exemple, dans laquelle Tristan fou veut emmener Iseut, é
270
cle céleste du Gwynfyd. Dans la Folie Tristan, la
maison
de verre n’est plus qu’une image émouvante née de la fantaisie poétiq
271
n sorcier, ou d’un esprit qui rôde autour de leur
maison
. Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’adversaire, est devant eux
272
s de chiffres, dont la balance est favorable à ma
maison
. — L’exemple peut paraître caricatural. Toutefois, je le certifie exa
273
— nous entendons la TSF monologuer dans sa petite
maison
blanche aux volets bleus. Débarquement… fusillade… cuirassés… C’est l
274
rdu chez les braves gens, mais accueilli dans une
maison
de Dieu. Ce que je voudrais dire encore sur ce sujet est peut-être un
275
n sorcier, ou d’un esprit qui rôde autour de leur
maison
. Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’adversaire, est devant eux
276
s de chiffres, dont la balance est favorable à ma
maison
. L’exemple peut paraître caricatural. Toutefois, je le certifie exact
277
iasme, j’évoque Berne, avec sa force calme et ses
maisons
aux puissantes assises, ses ours qui furent conquis sur le duc de Mil
278
n’imagine pas en Amérique… Cherchant à louer une
maison
, je parcours les annonces. J’en trouve plusieurs de ce type : « Six p
279
ng village en bordure de la route. D’un côté, les
maisons
dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
280
tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de
maisons
à traverser, et l’on parvient dans la grand-rue : comme elle est vide
281
nd à droite, vers la plaine, escortée de quelques
maisons
; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Je m’
282
st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la
maison
, vous supprimez à la fois toutes les questions possibles et donc tout
283
t position à quelques kilomètres de leurs propres
maisons
. Ils savent ce qu’ils défendent. Il n’est pas besoin de leur faire de
284
rt, ses entrées fermées par des barricades et les
maisons
transformées en des forteresses en miniature. Vous ouvrez la porte de
285
rielle. Et c’est probablement de ces débris de la
Maison
désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait
286
le monde comme un maniaque qui entrerait dans une
maison
et qui essaierait d’ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste,
287
la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une
maison
, il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
288
écemment en Illinois : des ouvriers montaient une
maison
préfabriquée avec une telle rapidité que l’un d’eux resta pris dans l
289
invention diabolique. « En effet, disait-il, une
maison
devrait être conçue normalement pour abriter les hommes. Il n’est pas
290
st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la
maison
, vous supprimez à la fois toutes les questions possibles, et donc tou
291
rielle. Et c’est probablement de ces débris de la
Maison
désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait
292
le monde comme un maniaque qui entrerait dans une
maison
et qui essaierait d’ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste,
293
la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une
maison
, il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
294
écemment en Illinois : des ouvriers montaient une
maison
préfabriquée avec une telle rapidité que l’un d’eux resta pris dans l
295
invention diabolique. « En effet, disait-il, une
maison
devrait être conçue normalement pour abriter les hommes. Il n’est pas
296
st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la
maison
, vous supprimez à la fois toutes les questions possibles, et donc tou
297
rielle. Et c’est probablement de ces débris de la
Maison
désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait
298
le monde comme un maniaque qui entrerait dans une
maison
et qui essaierait d’ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste,
299
la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une
maison
, il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
300
écemment en Illinois : des ouvriers montaient une
maison
préfabriquée avec une telle rapidité que l’un d’eux resta pris dans l
301
invention diabolique. « En effet, disait-il, une
maison
devrait être conçue normalement pour abriter les hommes. Il n’est pas
302
st pas plus réelle que ce qui s’est passé dans la
maison
, vous supprimez à la fois toutes les questions possibles, et donc tou
303
ng village en bordure de la route. D’un côté, les
maisons
dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
304
tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de
maisons
à traverser, et l’on parvient à la grand-rue : comme elle est vide !
305
nd à droite, vers la plaine, escortée de quelques
maisons
; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Je m’
306
la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une
maison
, il faut des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; e
307
stent et vous contredisent, comme par exemple une
maison
trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
308
l’action est circonscrit : c’est généralement une
maison
dont il semble que personne n’ait pu y entrer ni en sortir, et qui co
309
rsité des membres dans un même corps, beaucoup de
maisons
dans le Royaume de Dieu. Un ordre social ne peut être qualifié de chr
310
avons parlé abondamment ces derniers jours : les
maisons
à hélicoptères vont rétablir le nomadisme ; les grandes cités deviend