1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 y, puisse rédiger des romans si bouillonnants, si mal équarris. Certes, ce n’est pas lui qui se refuserait à écrire — comme
2 ais la même inertie du peuple qui donnait tant de mal lorsqu’il fallait l’éveiller, l’entraîne au-delà du but. Le Tarramagn
3 artie, qui est confuse. Non pas que le roman soit mal construit, au contraire. Mais le tissu des faits se relâche parfois,
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
4 sme et un nihilisme exaspérés, pour notre nouveau mal du siècle, il n’est peut-être pas de pensée plus vivante, ni de plus
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
5 urs aux vivants et aux morts : Mère, je sais très mal comme l’on cherche les morts… « … Cette chose haute à la voix grave q
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
6 . On a mis le bonheur devant soi, dans un progrès mal défini, et l’on court après sans fin. Même ceux qui ont perdu la croy
7 chestre qui, sans eux, jouerait aussi bien, aussi mal . Quant aux meneurs de l’opinion publique, il est trop tard pour les é
8 rs articles2. Il rendait responsable de tout le «  mal  », le romantisme — et c’est plus que probable. Mais il en tirait une
9 êtrait Barrès dans des dilemmes où l’art trouvait mal sa nourriture. Drieu la Rochelle tente la même fuite. Mais trop lucid
10 t nous sommes malades dans les profondeurs. Et le mal est si cruellement isolé, commenté par ceux qui le portent en eux qu’
11 crivains ? Peut-être. En tout cas je vois bien le mal qu’ils ont fait et qu’au fond, leur refus d’agir sur l’époque, c’est
5 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
12 , j’en sais plusieurs qui ont ainsi « lâché » pas mal de préjugés en matières sociales. Mais ce qui est peut-être plus impo
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
13 tristesse règne sur nos villes. (Neurasthénie, ce mal de l’Occident.) Et notre vertu suprême, aussi, est douloureuse : le s
7 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
14 plus pures et loyales inquiétudes. Sincérité, le mal du siècle. Tout le monde en parle, et chacun s’en autorise pour excus
15 Pourquoi les romanciers modernes ont-ils tant de mal à créer des personnages ? C’est parce qu’une sorte de sincérité les r
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
16 it entre eux dans leur isolement, inexplicable et mal avoué. L’on songe à une fatalité intérieure qui les ferait se meurtri
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
17 ’empêcher de reconnaître la voix secrète de notre mal de vivre. Désespoir métaphysique. Je me souviens d’une phrase de Vine
18 t aussi pourtant des histoires de copains qui ont mal tourné, on pensait bien, ah ! cette jeunesse, mais voyons des affaire
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
19 dès lors il a esté corrompu et infect et adonné à mal  » (Calvin). Le tableau n’est pas beau, mais on y sent une « patte » q
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
20 vous alliez le dire — aux surréalistes ?   Si le mal du siècle consistait véritablement dans ces quelques effets, nous don
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
21 ingratitude salutaire, c’est refus de limiter le mal . Je vous vois envahi par des démons que vous prétendez m’interdire de
13 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
22 tout cela chanté dans une langue que je comprends mal . Je me penche vers un voisin pour lui demander je ne sais plus quoi.
14 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
23 ent que le « service dans le temple » s’accommode mal de tant de gesticulations, de gros mots et de discours en très beau s
15 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
24 ent il se prend en pitié. Ces séances lui font du mal , l’énervent, mais l’aveu qu’il en consent l’attache plus secrètement
25 nt dans sa nuit. Je saute quelques délires et pas mal de superstitions. Enfin cette expérience folle le mène à une découver
16 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
26 rire par la clientèle des librairies romandes, en mal de cadeaux de Noël ou de première communion. Parmi les compatriotes d
17 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
27 malsain ce genre de tentatives : cela ne peut que mal finir. Ceux du bon sens hochent la tête et citent la phrase la plus m
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
28 is deux quatre, c’est stérile, mais ça ne fait de mal à personne, et de plus, toutes choses égales d’ailleurs, dans un cert
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
29 jaune.) Je n’ai ni le droit ni l’envie de dire du mal des petits bourgeois. Ils sont au moins aussi sympathiques que n’impo
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
30 comme ils disent avec une satisfaction sordide et mal dissimulée. Certes, je ne prétends pas que les créateurs de l’instruc
31 it. J’aime les tremblements de terre, vous tombez mal . J’appartiens à cette espèce de gens qui font confiance à leur sensib
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
32 eurs pour gibier de potence. Ils font beaucoup de mal , mais ils sont les premières victimes du système qu’il propagent et q
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
33 is deux quatre, c’est stérile, mais ça ne fait de mal à personne, et de plus, toutes choses égales d’ailleurs, dans un cert
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
34 jaune.) Je n’ai ni le droit ni l’envie de dire du mal des petits-bourgeois. Ils sont au moins aussi sympathiques que n’impo
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
35 comme ils disent avec une satisfaction sordide et mal dissimulée. Certes je ne prétends pas que les créateurs de l’instruct
36 ’aime bien les tremblements de terre, vous tombez mal . J’appartiens à cette espèce de gens qui font confiance à leur sensib
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
37 eurs pour gibier de potence. Ils font beaucoup de mal , mais ils sont les premières victimes d’un système qu’ils propagent e
26 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
38 fatale, où se mêle, selon l’auteur un peu ou pas mal de littérature. Et c’est à un tel amour qu’on va demander sa revanche
27 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
39 re, etc.) Actuellement, Nietzsche est encore très mal compris. 6. Il s’agit ici de la critique d’un certain état d’esprit
40 de questions qui dépassent un certain plan. C’est mal vu. » Ou si on les pose, ajouterai-je, c’est pour les résoudre aussit
28 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
41 douter de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’
29 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
42 ont renié. Mais pourquoi tant et toujours plus de mal à prouver la liberté humaine ? C’est que l’on s’est trop bien assimil
30 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
43 le plus bel âge de la vie… — Où était placé notre mal  ? dans quelle partie de notre vie. Voici ce que nous savons : les hom
44 i le nœud de divergence entre eux et nous — si le mal est si grand qu’ils le montrent — et il l’est — aucun bouleversement
31 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
45 rs la beauté de nouvelles routes. On nous connaît mal . Derrière le mur de notre maison on nous croyait peut-être enfermés d
32 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
46 ien du prophète oriental contre lequel des Massis mal informés nous mettaient naguère en garde. Keyserling voit la cause du
47 la pauvreté est considérée de nos jours comme un mal absolu et honteux. C’est ainsi encore que l’idéal chrétien de l’amour
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
48 raliste s’arroge le pouvoir de séparer le bien du mal parmi les actions d’autrui qu’il estime connaître. Simplement, il enr
49 la — bonheur ou catastrophe — non parce que c’est mal ou bien, mais en vertu d’une loi organique, inéluctable, amorale, tou
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
50 r il professe avec fanatisme la non-résistance au mal . Bientôt il prend figure de saint parmi le peuple qui le respecte, l’
51 il se peint, aux prises avec toutes les formes du mal , jamais vous ne surprendrez dans ses yeux rien du moralisme glacial d
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
52 besoin d’épanchement, s’est déversée, mais elle a mal choisi son confident : elle ne trouve aucune paix dans une intimité p
36 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
53 e — se mesure au pouvoir d’incarner sa vérité, le mal du siècle c’est l’impuissance. La proie de désirs divergents qui pren
54 indiscret nous vaut une description inégalable du mal du siècle. Ici le mépris ne porte aucune atteinte à la perspicacité p
37 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
55 protestants par tradition », pourtant cache assez mal la faiblesse d’un compromis foncier. Le fort est celui qui refuse la
56 ou du moins meilleure, si on la « préservait » du mal . Ainsi Rousseau le libertaire doit et peut être moraliste, tandis que
38 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
57 e accablante simplicité. Me tromperais-je ? Ai-je mal su lire tant de brillants essais sur le monde actuel et futur ? Est-c
58 aits forcenés, de ces ricanements d’intellectuels mal guéris. Certes Ramuz attend beaucoup du peuple russe, de « cette imme
59 Où tendent nos métaphysiques et nos philosophies mal embrayées ?… Nous voici ramenés aux questions simples, et réputées gr
39 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
60 pour la première fois Ainsi Comme on vit mal comme on vit peu de temps au seul désir tant de corps refusés a
40 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
61 ennemi de toute violence, et qui ne ferait pas de mal à une mouche. ⁂ Des millions de gens vous répondront cela. Des milli
62 volution est sanglante dans la mesure où elle est mal préparée. 2° le sang répandu par la Révolution est la marque de son i
63 t à nous persuader. 6. « … qu’il ne ferait pas de mal à une mouche. » Peut-être est-il prudent de corriger cette exagératio
64 d’une méchanceté cérastoïde. Il ne ferait pas de mal à un lion. » 1. Interventions chirurgicales. 2. Aron et Dandieu :
41 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
65 d’un classicisme nettement pessimiste, s’accorde mal avec l’impénitente foi dans le genre humain que M. Duhamel ne cesse d
42 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
66 atéchisme centenaire d’un matérialisme d’ailleurs mal compris, ils ne bougent plus le petit doigt, s’arrêtent de penser et
43 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
67 , parce qu’elles sont trop gênantes. Le livre est mal composé. Ses phrases courtes se pressent en paragraphes hachés, sur u
68 n « Europe ». 40. Et pourtant, M. Nizan cite pas mal de textes qui prouveraient le contraire. o. « Penser dangereusement 
44 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
69 écrits de notre temps il est question de bien, de mal , de vice et de vertu, de péché même, parfois, quels sont les écrivain
70 ou n’ose plus définir et assumer son bien ni son mal , — et sans cesse il en parle, car la Société vit sous le règne des ju
71 . Mais d’autre part, peut-on parler réellement du mal , quand presque plus personne n’y croit avec sérieux, ni à l’enfer ? Q
72 espèce de « dialectique » formelle du bien et du mal qu’il publie en marge de son œuvre romanesque. Un Kierkegaard critiqu
73 se place dans ces marches extrêmes du bien et du mal où l’apologie de l’un équivaut presque à celle de l’autre. C’est là q
74 e, mais que dans chaque instant de l’existence le mal et le bien conservent toutes leurs chances d’être préférés, et toutes
75 té toujours plus folle dans le bien comme dans le mal . « Je mettrais volontiers dans le même sac honnêtes et malhonnêtes ge
76 st qu’ils supposent l’existence d’un bien et d’un mal concrets dont les Binche ou M. Godeau ou plus récemment les héros de
77 complexités. Il s’agit, on le sait, du bien et du mal selon l’Église. Mais l’émouvante et ironique dialectique de Jouhandea
78  ? La dialectique paulinienne postule que bien et mal appartiennent au règne de la loi (de la morale). Et c’est la foi qui
79 eloppe tout ensemble les catégories du bien et du mal  : le péché. Le contraire d’un péché, c’est-à-dire ce qui le supprime,
80 ien vulgaire des moralistes, Jouhandeau oppose le mal  ; à celui-ci le Bien ; d’où naissent le désir et la nécessité du Mal
81 Bien ; d’où naissent le désir et la nécessité du Mal absolu ; sur quoi il reste béant. Mais la réalité de la foi est inver
82 réalité de la foi est inverse. Elle fait voir le mal comme donnée immédiate ; puis le bien ; puis le péché et le pardon. E
83 déjà dans l’œil qui sait voir le péché au sein du mal et du bien à la fois. « Mal » ou « péché » — le débat se ramène sur c
84 r le péché au sein du mal et du bien à la fois. «  Mal  » ou « péché » — le débat se ramène sur cette page, à une question de
45 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
85 ez nous. Laissons les Américains. Ils réussissent mal à nos satiristes. M. Hermann-Paul en les peignant « chez nous » — d’a
46 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
86 tait à dire : comme elles sont bien peintes ! (ou mal ). — Pauvre type ! Peut-être aurai-je pourtant la force d’avoir pitié
47 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
87 pour autre chose, dans une société organisée (et mal ) contre les « risques-vie », livrée aux basses rigueurs d’un cadre po
88 son » déjà qui se trouvait à l’origine de tout le mal  ?   Telles sont les composantes de notre situation. Nous sommes là :
89 en voie de réalisation en URSS, la seconde encore mal dégagée de sa période de gestation doctrinale. Tout le monde sait ce
48 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
90 tout cela chanté dans une langue que je comprends mal . Je me penche vers un voisin pour lui demander je ne sais plus quoi.
49 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
91 . — « Comme elle est laide, mais une voix à faire mal de bonheur, mais laide !… ah ! magnifique ! », dit quelqu’un près de
50 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
92 douter de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’
93 é est fondée sur la peur du risque. Je vis plutôt mal . 8. Il faut ajouter aux autres causes de l’incompréhension des journ
51 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
94 malsain ce genre de tentatives : cela ne peut que mal finir. Ceux du bon sens hochent la tête et citent la phrase la plus m
52 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
95 mait le train, est-ce qu’ils font encore vraiment mal  ? 24 avril 1929 Les habitants de la maison me paraissent peu no
96 e, et qui m’attend peut-être, derrière ses volets mal clos… 20 juin 1929 Hier, au moment de me quitter après une prom
97 oucement… La fumée des cigares lui fait peut-être mal au cœur, et aussi la curiosité sournoise des ouvriers, des deux femme
98 e et oppressant ; et cette fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh ! la pauvre interroga
53 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
99 urprendre les chevreuils et repérer les « bocks » mal encornés. Le fusil déposé sur nos genoux, par habitude, ce sera pour
54 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
100 Sapin Vert. Ô glossolalies amoureuses, ô sirènes mal défendues, parmi les entreprises des fantômes… Enfin, un Étranger rac
55 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
101 . — « Comme elle est laide, mais une voix à faire mal de bonheur, mais laide !… ah ! magnifique ! », dit quelqu’un près de
56 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
102 douter de la vie, comme d’autres aux approches du mal de mer. À la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses, d’
57 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
103 surprendre les chevreuils et repérer un « Bock » mal encorné. Le fusil déposé sur nos genoux, par habitude, ce sera pour t
104 ation de l’Empire. Voilà qui serait presque aussi mal vu de l’excellent burgrave, lequel me disait en me montrant les armoi
58 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
105 malsain ce genre de tentatives : cela ne peut que mal finir. Ceux du bon sens hochent la tête et citent la phrase la plus m
59 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
106 mait le train, est-ce qu’ils font encore vraiment mal  ? 24 avril 1929 Les habitants de la maison me paraissent peu no
107 e, et qui m’attend peut-être, derrière ses volets mal clos… 20 juin 1929 Hier, au moment de me quitter après une prom
108 oucement… La fumée des cigares lui fait peut-être mal au cœur, et aussi la curiosité sournoise des ouvriers, des deux femme
109 e et oppressant ; et cette fumée et cette fatigue mal lavée — et cette robe verte seule pure —, et oh ! la pauvre interroga
60 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
110 lennelle. Il est vrai qu’aujourd’hui, je sais pas mal de choses sur ce lieu et son rôle historique. (J’en ai même beaucoup
111 e qu’on les tient pour moins sérieux. Nous étions mal placés pour discuter cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qu
112 je ne sais pas du tout si l’Amérique est bien ou mal , si elle vaut mieux que l’Europe, si j’y reviendrai jamais ! Et l’hom
113 . Mais ce cliché et ces jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seule
114 e par le gangstérisme à la mode. C’est clair : le mal y est mal vu, tout simplement. On le tient encore pour anormal. J’ai
115 angstérisme à la mode. C’est clair : le mal y est mal vu, tout simplement. On le tient encore pour anormal. J’ai l’impressi
116 e bienveillance universelle. Et que la Suisse est mal préparée, par sa probité même, à faire face aux gangsters. Rien de mo
61 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
117 rnières minutes, la dernière cigarette d’une nuit mal dormie, le moment de refermer les valises entre deux coups d’œil par
62 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
118 re, pasteur. Cela fait, au début et à la fin, pas mal de robes et de rabats, soit de justice, soit d’église ; et entre-temp
63 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
119 es. Voici pourtant un fait que je m’explique très mal , et qui touche à ma profession : Neuchâtel, pour tant de culture, pou
64 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
120 ait cette chose absurde et magnifique, entre haut mal et bien suprême, qu’on nomme si légèrement l’amour.
65 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
121 i l’on va se moquer doucement de ceux qui parlent mal , au lieu de tourner en ridicule ceux qui essaient de bien dire, d’art
66 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
122 e commencement de la fin, c’était se préparer à «  mal finir ». Est-ce le cinéma qui a changé tout cela ? L’explication tent
67 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
123 pour la rendormir, mais en vain : elle s’est fait mal , et la douleur tient réveillé. On a essayé de nous faire croire que c
124 ue les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de négliger. Il n’y a pas, en vérité, de « forces chrétienn
125 roduites dans le monde par Dieu, que nous aurions mal dirigées, compromises par maladresse, et que nous pourrions, par exem
68 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
126 t à personne. Bien souvent, parmi nous, on répond mal aux questions parce qu’on se borne à répondre à leurs mots, alors qu’
127 par ces mots. Mais, bien souvent aussi, on répond mal parce qu’on prend au sérieux des fumistes. Nous appelons fumistes ces
128 versel fournissant la mesure exacte du bien et du mal en toute chose. La révélation qu’ils ont reçue et qu’ils reçoivent es
129 mes. Nous ne pouvons qu’aggraver à vos yeux votre mal . Nous ne pouvons rien vous apporter d’autre que l’injonction de prend
69 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
130 fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal . Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « 
70 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
131 nfidence encore contrainte : « Ah ! comme je suis mal fait pour ma part, si j’ose ainsi parler de moi, mais je ne parle pas
132 parle pas que de moi, parce que nous sommes tous mal faits. » On n’attendait pas de Ramuz un examen de conscience. S’il s’
133 on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal . J’aime les choses qui sont à leur façon, tandis que je suis à la mie
71 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
134 nom du « temps vuide » et c’est chômage. Tout le mal est venu d’une séparation, d’une disjonction. Ou plutôt, car les chos
135 ujours plus complexes que nos sommations, tout le mal moderne est symbolisé par cette disjonction du travail et du loisir,
136 ît maintenant évidente : remontant à la racine du mal , nous réduirons d’abord l’erreur cartésianiste11, la séparation de la
72 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
137 d’un Gombaud. Et je cite au hasard d’une mémoire mal informée. Et je ne dis rien de la dialectique de Polyeucte… 2° La vis
73 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
138 ent pas encore en mesure de rénover radicalement. Mal préparées, dans la fièvre et le désespoir de situations économiques q
74 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
139 t siècle, contient peut-être le secret de tout le mal dont nous souffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de poser ce
140 re qu’en cette année 1934, l’homme se défend très mal . Et comment se défendrait-il quand il adore tout ce qui veut sa perte
141 îmes, tôt après la guerre, reparaître le fameux «  mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plu
142 aincre les destins du siècle, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui est au fond de notre désespoir. Les
75 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
143 t tenté de dire : d’une action, si le mot n’était mal entendu de la plupart de nos contemporains. « L’action », Dandieu ne
76 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
144 atérialisme sans âme. ⁂ À ce degré d’évolution du mal , la conscience du danger s’obscurcit. Une espèce d’indifférence monst
77 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
145 on hésite à le suivre, — et que peut-être il sert mal sa pensée. Car cette définition ne vaut, précisément, que pour la foi
78 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
146 le, se devaient en conséquence de finir carrément mal  ? Non, car le christianisme se passe dans cette vie ou bien n’est pas
147 sur ces vies douloureuses, banales ou touchantes, mal engagées ou menacées, harmonieuses ou durement rabrouées par le sort,
79 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
148 un esthète. Comme Nietzsche, avec lequel il a pas mal de traits communs, Kierkegaard nous laisse un ouvrage d’autocritique2
80 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
149 les « petits groupes » — qu’il a tort de juger «  mal fondés en doctrine » — avait beaucoup plus de chances de faire la tro
81 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
150 nt nationaliste. L’Association Sully a publié pas mal de tracts et de brochures, dont la diffusion, je crois, est restée as
151 sens étymologique du terme : c’est aux racines du mal qu’ils s’attaquent. D’où leur force d’entraînement lente et profonde,
82 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
152 contraire la façon la plus sage de supporter les maux de ce bas monde tel qu’il est ! L’Église, par la voix de ses évêques,
153 mauté de l’acte spirituel : Kierkegaard. Le grand mal de l’époque, et la terreur que commencent d’y semer nos faux dieux, o
154 re faire ce qu’on veut, que ce soit le bien ou le mal , une seule condition leur importe : qu’ils soient toujours comme tous
155 foule » dans notre existence morale. Une question mal posée. Un regard trouble porté sur la réalité. t. « Nécessité de Kie
83 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
156 lons-nous tirer, mes amis, sinon la négation d’un mal , et ce n’est pas encore le bien sauveur ! Voici notre erreur perpétue
157 tant de peine à définir et nommer clairement les maux dont nous souffrons, et le bien qui nous les révèle. En vérité, nous
158 ouches. Certes, il faut commencer par dénoncer le mal . Mais que l’on sache d’abord au nom de quoi l’on parle ! Et qu’on le
159 u’à « bien » dire, — et c’est pourquoi elle parle mal . Or ceux qui l’ont attaquée jusqu’ici n’ont rien fait d’autre, ou n’o
160 apport à leurs fins. Elle dit : c’est bien écrit, mal composé, intéressant ; elle dose des influences, elle prévoit des suc
161 a culture, tout d’abord. Nos romanciers sont très mal cultivés. Ils influencent leurs lecteurs au hasard, aux hasards des p
162 me nouveau (AEAR). Tout de même qu’une révolution mal fondée en doctrine, ou qui trahit ses buts humains finaux, aboutit fa
84 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
163 as Hardy, par exemple, se devaient de finir aussi mal que possible ? Non, car le christianisme se passe dans cette vie ou b
164 sur ces vies douloureuses, banales ou touchantes, mal engagées ou menacées, harmonieuses ou durement rabrouées par le sort,
85 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
165 doise, qui a eu des malheurs, qui les conte assez mal — Giono s’en mêle trop — et qui a cherché à s’en tirer par ses moyens
166 côté de moi. Ils m’ont dit : — Fais voir où tu as mal , petite fille. — Puis ils m’ont dit : — Je m’appelle Whitman. Je m’ap
167 essé de leur donner à bon marché. Ils s’expriment mal , ils trahissent leur pensée, leurs désirs, ils n’osent pas dire, ils
86 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
168 suspectes, de rancunes sociales, de nietzschéisme mal digéré. Les excuses qu’on leur offre ne sont guère plus reluisantes :
87 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
169 ux définitions. Les philosophes se résignent très mal à cette limitation de leur pouvoir : il nous faut pourtant bien admet
170 e spiritualisme : c’est qu’il nous a fait plus de mal , et que l’erreur matérialiste est bâtarde de ses excès. Ceci pourtant
171 en séparant le corps et l’âme : c’est qu’il les a mal distingués. Du point de vue de la personne, le corps et l’âme sont de
88 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
172 Schelling dont, par ailleurs, Breton dit tant de mal (Introduction aux contes d’Arnim). Mais pourquoi nous glisser ce vieu
173 ses périodes font la roue. Mais il se débrouille mal avec des données scientifiques ; sa syntaxe s’embarrasse et s’alourdi
89 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
174 t par ailleurs l’utilité de sa démarche. Bon gré, mal gré, tout ce que l’on écrit contribue en quelque façon au bien ou au
175 on écrit contribue en quelque façon au bien ou au mal de beaucoup. Lorsque l’intelligence, dégoûtée, déserte le Forum, c’es
90 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
176 lusions ni romantisme. L’enjeu d’une partie aussi mal engagée que celle que doit jouer notre génération, n’est pas de ceux
91 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
177 s’ils étaient anges, et agissent comme bêtes. Le mal qui est dans l’action n’a pas d’autres racines que le mal qui est dan
178 est dans l’action n’a pas d’autres racines que le mal qui est dans la pensée. Politiciens ou clercs, ils oublient ce qu’est
179 andale. Les groupes qui le défendent sont petits, mal connus7. On les accuse d’utopie. Ils tablent en effet sur la chance d
180 ffisante netteté, c’est que l’un des prodromes du mal dont la crise finale s’appelle dictature, réside dans notre culte du
92 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
181 tions du spectacle qu’ils offrent, à ce ballet si mal réglé que dansent les droites et les gauches. Changeons de plan ! Rep
93 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
182 t siècle, contient peut-être le secret de tout le mal dont nous souffrons. Il suffit, pour le faire apparaître, de poser ce
183 re qu’en cette année 1934, l’homme se défend très mal . Et comment se défendrait-il, quand il adore tout ce qui veut sa pert
184 îmes, tôt après la guerre, reparaître le fameux «  mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plu
185 aincre les destins du siècle, lui seul atteint le mal à sa racine, qui est en nous, qui est au fond de notre désespoir. Les
94 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
186 pour la rendormir, mais en vain : elle s’est fait mal , et la douleur tient réveillé. On a essayé de nous faire croire que c
187 ue les hommes auraient eu le tort, simplement, de mal utiliser, de négliger. Il n’y a pas, en vérité, de « forces chrétienn
188 roduites dans le monde par Dieu, que nous aurions mal dirigées, compromises par maladresse, et que nous pourrions, par exem
95 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
189 fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal . Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « 
96 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
190 X.Fascisme Une question mal posée Si le fascisme en France n’existait pas, l’antifascisme l’au
191 on d’État ? C’est bien déjà la folie unitaire, le mal fasciste, qui pousse le Roi-Soleil à persécuter la Réforme, à révoque
97 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
192 son » déjà qui se trouvait à l’origine de tout le mal  ? Telles sont les composantes de notre situation. Nous sommes là : n’
193 en voie de réalisation en URSS, la seconde encore mal dégagée de sa période de gestation doctrinale. Tout le monde sait ce
98 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
194 e ? Il faut croire que non, et que je suis encore mal assuré dans la vérité que je sais. Je voudrais un aveu plus profond.
99 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
195 moyens n’ont pas d’importance quand les fins sont mal définies. Mais nous visons des buts bien définis : il ne faut pas épa
196 coup férir par quelques milliers de bolchéviques mal armés, mais bien dirigés. Sur le plan de la tactique révolutionnaire,
197 majorité des hommes sont courtes, et trop souvent mal exprimées. C’est la doctrine de la révolution qui les rassemble, les
198 volution est sanglante dans la mesure où elle est mal préparée67. » C’est dire que le sang versé par les émeutes mesure tou
100 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
199 nom du « temps vuide » et c’est chômage. Tout le mal est venu d’une séparation, d’une disjonction. Ou plutôt, car les chos
200 ujours plus complexes que nos sommations, tout le mal moderne est symbolisé par cette disjonction du travail et du loisir,
201 ît maintenant évidente : remontant à la racine du mal , nous réduirons d’abord l’erreur cartésienne, la séparation de la « p