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olicisme, la Renaissance, le traditionnisme et le
nationalisme
. L’Orient efféminé ; — en face : l’Ordre romain. Or l’ordre, pour M.
2
sa politique. 8. Les coussins Rothermere Le
nationalisme
de la plupart des États de l’Europe se formule en revendications d’ho
3
est son droit, ses intérêts. Mais, en Hongrie, le
nationalisme
est une passion toute nue, qui exprime l’être profond de la race. On
4
firent à faire d’un affairiste anglais l’idole du
nationalisme
magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls univ
5
tait-ce point, d’abord, céder à la tentation d’un
nationalisme
religieux plus injustifiable que l’autre ? Je sais bien que certains
6
bourgeoises qui nous ont valu la dernière guerre,
nationalisme
et doctrine de l’État souverain, par exemple. Elles préparent la jeun
7
ces, le capitalisme comme le stalinisme, tous les
nationalismes
, et toute révolution qui prétendrait fonder notre salut sur une organ
8
e, leurs mystiques et leurs créations politiques (
nationalisme
, SDN, etc.), condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeoise
9
politique. viii Les coussins Rothermere Le
nationalisme
de la plupart des États de l’Europe se formule en revendications d’ho
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est son droit, ses intérêts. Mais, en Hongrie, le
nationalisme
est une passion toute nue, qui exprime l’être profond de la race. On
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firent à faire d’un affairiste anglais l’idole du
nationalisme
magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls univ
12
ux sa politique. Les coussins Rothermere Le
nationalisme
de la plupart des États de l’Europe se formule en revendications d’ho
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est son droit, ses intérêts. Mais, en Hongrie, le
nationalisme
est une passion toute nue, qui exprime l’être profond de la race. On
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firent à faire d’un affairiste anglais l’idole du
nationalisme
magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls univ
15
le en soi (pas la morale en vertu d’un dogme), le
nationalisme
, l’ironie, le scepticisme, le pompiérisme, — mais ils savent que cela
16
u Rhône, la marche en montagne, le romantisme, le
nationalisme
, l’européanisme et la révolution. (Sur la confusion moderne entre le
17
triotisme « chose motivée et avantageuse », et le
nationalisme
artificiel mais régnant qui fait de la chose publique la chose désava
18
rrêt d’illusoire devenu réel que font les actuels
nationalismes
, ayant pour effet qu’au lieu d’être avantageuse, la chose publique em
19
bien moins encore par l’affirmation tardive d’un
nationalisme
traître à la patrie. Notre réponse ne prendra pas la forme d’une just
20
lle. Décadence de la nation française critique le
nationalisme
présent au nom de l’instinct qui relie l’homme à son lieu, à sa patri
21
elle certaines déclarations de l’AS condamnent le
nationalisme
mystique qui, par malheur, caractérise les efforts de La Cause. L’Ass
22
es — que la position nationaliste. Il y a dans le
nationalisme
moderne une véritable idolâtrie. La passion intolérante que manifeste
23
te jusque dans le domaine de la pensée ; refus du
nationalisme
mystique, considéré comme une captation, au profit de l’État et de la
24
e confond pas nation et état, nation et patrie14,
nationalisme
et autarchie, nation culturelle et région économique. On n’est pas sû
25
ous faisons sans cesse de patrie et de nation, de
nationalisme
et d’impérialisme. 15. Cf. Nous voulons, n° 9 de L’Ordre nouveau, ap
26
oisie parmi les plus pratiquement meurtrières (le
nationalisme
par exemple), avec ce qu’on nommait naguère lucidité, il se voit simp
27
hommes s’entretuent : capitalisme ou stalinisme,
nationalismes
de toutes farines, révolutions qui prétendraient fonder notre salut s
28
e, leurs mystiques et leurs créations politiques (
nationalisme
, SDN60, etc.), condamnation de l’individu, de la « pensée » bourgeois
29
te jusque dans le domaine de la pensée ; refus du
nationalisme
mystique, considéré comme une captation, au profit de l’État et de la
30
oisie parmi les plus pratiquement meurtrières (le
nationalisme
, par exemple), avec ce qu’on nommait naguère lucidité, il se voit sim
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hommes s’entretuent : capitalisme ou stalinisme,
nationalismes
de toutes farines, révolutions qui prétendraient fonder notre salut s
32
te jusque dans le domaine de la pensée ; refus du
nationalisme
mystique, considéré comme une captation, au profit de l’État et de la
33
ue nous disons ici de la nation un sens absolu de
nationalisme
autarchique qui est à l’opposé de notre pensée.
34
es irrationnelles de la race, de la classe ou des
nationalismes
exaspérés, n’ont cure de nos avis, de nos révoltes. Que nous soyons c
35
ous dire nationaux, contre l’idole sanguinaire du
nationalisme
moderne. Nous pouvons nous dire patriotes, contre les sociétés anonym
36
zeville ajoute pour sa part l’étatisme absolu, le
nationalisme
, « l’individualisme effréné », le racisme et le marxisme. Voilà pourq
37
e décidément nos universitaires. Elle relève d’un
nationalisme
de manuels, pour ne pas dire, avec E. R. Curtius, d’une « propagande
38
Hegel, d’où sont effectivement sortis un certain
nationalisme
et la doctrine du jeune Marx, on ne voit pas du tout le passage de Lu
39
D’abord « impérialisme » : c’est sans nul doute «
nationalisme
» que voulait dire l’inspecteur (à moins qu’il n’ait une conception c
40
il faudrait. Précisons, cela en vaut la peine. Le
nationalisme
existe parce qu’on l’enseigne ; c’est une mystique, un idéal abstrait
41
e, et qui connaît le modèle idéal ? Le malfaisant
nationalisme
n’est rien d’autre qu’une rationalisation mensongère du sentiment pat
42
idéré comme une forme de capitalisme d’État et de
nationalisme
russe, et là encore nous reconnaissons un point de vue qui nous est f
43
e la centralisation, contre l’étatisme, contre le
nationalisme
étatisé, contre toute espèce de fascisme imité de Mussolini, d’Hitler
44
ue nous disons ici de la nation un sens absolu de
nationalisme
autarchique qui est à l’opposé de notre pensée. 46. Cf. Dictature de
45
mystique de « l’union sacrée », autrement dit, le
nationalisme
. En vérité, les deux termes dont se compose le nom du parti hitlérie
46
me est une « nationalisation » de l’économie ; le
nationalisme
est une « socialisation » du sentiment patriotique. L’un n’est pas po
47
de passion et de préjugés, tels que patriotisme,
nationalisme
, impérialisme… ⁂ Tout concourt à créer et aggraver cette crise du sen
48
ait ici ! Vous condamnez notre centralisme, notre
nationalisme
, notre passion unitaire, notre éloquence démagogique, et vous ne voye
49
ous n’en êtes même plus conscients. Vous criez au
nationalisme
, c’est-à-dire à l’orgueil impérialiste je pense, dès qu’un peuple à c
50
de passion et de préjugés, tels que patriotisme,
nationalisme
, impérialisme… ⁂ Tout concourt à créer et aggraver cette crise du sen
51
le Français moyen traduit national-socialisme par
nationalisme
. Il se condamne ainsi à ne pas comprendre ce qu’il y a de religieusem
52
onalsozialismus » n’est pas le composé hybride de
nationalisme
et de socialisme que la traduction française du terme nous invite à i
53
économique d’une volonté tout à fait distincte du
nationalisme
et du socialisme. Volonté de fusion complète des actions et des idéau
54
es descendants des jacobins. Et tout le reste est
nationalisme
. C’est le parti radical qui est national. Il l’est si bien qu’il n’a
55
de passion et de préjugés, tels que patriotisme,
nationalisme
, impérialisme… ⁂ Tout concourt à créer et aggraver cette crise du sen
56
le Français moyen traduit national-socialisme par
nationalisme
. Il se condamne ainsi à ne pas comprendre ce qu’il y a de religieusem
57
onalsozialismus » n’est pas le composé hybride de
nationalisme
et de socialisme que la traduction française du terme nous invite à i
58
économique d’une volonté tout à fait distincte du
nationalisme
et du socialisme. Volonté de fusion complète des actions et des idéau
59
es descendants des jacobins. Et tout le reste est
nationalisme
. C’est le parti radical qui est national. Il l’est si bien qu’il n’a
60
ais internationalisme des capitaux financiers72 ;
nationalisme
de propagande mais besoin d’une économie rationnelle mondiale) — ne p
61
e Nietzsche a condamné l’antisémitisme, raillé le
nationalisme
, dénoncé le socialisme, et déclaré que l’État est le plus froid des m
62
de sa politique particulière conditionnée par le
nationalisme
unitaire et antiallemand, l’on voit une méfiance hostile poindre chez
63
un rationalisme « libéral » et stérilisant, et un
nationalisme
dynamique et assassin. Je pense toutefois que les partisans du risque
64
christianisme par sa nature même, brisait avec le
nationalisme
exclusif du judaïsme et assumait une mission de portée universelle. I
65
rme antisuisse de centralisation qui s’appelle le
nationalisme
. Mais le plus gros effort s’esquisse à peine. Ce sera la tâche de la
66
force, à nous Suisses fédérés, n’est pas dans le
nationalisme
! Nous ne sommes pas une nation ; ni trois nations ; ni même vingt-de
67
« idéal fumeux » que j’oppose à la tentation d’un
nationalisme
helvétique. Je lui oppose la condition même de notre droit à l’existe
68
ps de paix, cela équivaut pratiquement à faire du
nationalisme
. Et il est aisé de voir que le nationalisme, en Suisse, signifierait
69
re du nationalisme. Et il est aisé de voir que le
nationalisme
, en Suisse, signifierait bientôt le partage de notre État en trois na
70
me est une façade. Je réponds : non, c’est leur «
nationalisme
» (au sens bourgeois) qui est pour eux un moyen de propagande, un moy
71
le socialisme « nationalise » l’économie ; et le
nationalisme
« socialise » le sentiment patriotique. L’un n’est plus possible sans
72
tiaires (fascisme) et les phénomènes secondaires (
nationalisme
et socialisme) d’une maladie aussi vieille que l’Europe, et qui est s
73
e la centralisation, contre l’étatisme, contre le
nationalisme
étatisé, contre toute espèce de fascisme imité de Mussolini, d’Hitler
74
ait ici ! Vous condamnez notre centralisme, notre
nationalisme
, notre passion unitaire, notre éloquence démagogique, et vous ne voye
75
ous n’en êtes plus même conscients. Vous criez au
nationalisme
, c’est-à-dire à l’orgueil impérialiste je pense, dès qu’un peuple à c
76
Hegel, par exemple, furent les premiers appuis du
nationalisme
allemand. D’où le caractère de plus en plus sanglant des guerres du x
77
ntes qu’on annexe, qu’on recense par une sorte de
nationalisme
huguenot, de ces hommes qui sont simplement « sortis » du protestanti
78
Hegel, par exemple, furent les premiers appuis du
nationalisme
allemand. D’où le caractère de plus en plus sanglant des guerres du x
79
Hegel, par exemple, furent les premiers appuis du
nationalisme
allemand. D’où le caractère de plus en plus sanglant des guerres du x
80
rieusement annexées et recensées par une sorte de
nationalisme
huguenot, de ces hommes qui ne sont en fait que « sortis » du protest
81
de sa politique particulière conditionnée par le
nationalisme
unitaire et antiallemand, l’on voit une méfiance hostile poindre chez
82
ional-socialisme », je note en marge : « Faire du
nationalisme
, c’est faire l’autre moitié… » Nous sommes d’accord pour condamner le
83
rieusement annexées et recensées par une sorte de
nationalisme
huguenot, de ces hommes qui ne sont en fait que « sortis » du protest
84
isme. » Certes, on peut lui répondre que faire du
nationalisme
, c’est faire l’autre moitié de ce tout. Mais enfin, l’important c’est
85
elle nous délivre de l’espèce d’étroitesse, de «
nationalisme
protestant », auquel nous sommes tentés de céder parfois, sous l’effe
86
l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du
nationalisme
. Lui seul avait vu le diable à l’œuvre dans ces œuvres — les nôtres,
87
l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du
nationalisme
. Lui seul avait vu le diable à l’œuvre dans ces œuvres — les nôtres,
88
l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du
nationalisme
. Lui seul avait vu le diable à l’œuvre dans ces œuvres — les nôtres,
89
l’irruption du libéralisme, du capitalisme et du
nationalisme
. Lui seul avait vu le diable à l’œuvre dans ces œuvres — les nôtres à
90
e. L’exaltation de ces valeurs en elles-mêmes, le
nationalisme
romantique, conduit à la guerre. L’affaiblissement de ces valeurs dan
92
dit « appartenir à la vie », création de nouveaux
nationalismes
religieux et virulents. Mais si une Église veut être en mesure d’inte
93
ucun lien défini avec une communauté réelle et b)
nationalisme
, autarchie spirituelle. La vocation d’un homme ou d’un groupe est à l
94
u premier rang, on ne manquera pas de désigner le
nationalisme
en plein essor, contrecoup fatal de la guerre, et fièvre spécifique d
95
permanente de désordres et de troubles. Tous les
nationalismes
européens les effraient. De même qu’il y a en Europe un grand sentime
96
ront au nom des principes non chrétiens (comme le
nationalisme
) qu’ils croyaient pouvoir tolérer ; qu’il a été abattu finalement, da
97
onnent aux vieilleries et tentent de restaurer le
nationalisme
, condamné par les catastrophes récentes. Les autres pensent qu’en dép
98
le : It’s unamerican, « ce n’est pas américain. »
Nationalisme
, direz-vous. Oui, mais pas à la manière européenne. La phrase veut di
99
digne du mythe, du rêve américain. Voilà donc un
nationalisme
« ouvert » et pour qui la nation est en avant dans un élan, un rêve,
100
sang et le sol. Ce qu’il y a de répugnant dans le
nationalisme
européen, c’est que l’on y sent une volonté de resserrement, une soif
101
. Au contraire, ce qu’il y a de rassurant dans le
nationalisme
américain, c’est qu’on y sent une volonté d’élargissement, une soif d
102
retentissante des systèmes centralisateurs et du
nationalisme
étatisé. C’est la guerre la plus antisuisse de toute l’histoire. C’es
103
premier rang, je ne manquerai de vous désigner le
nationalisme
en plein essor, contrecoup fatal de la guerre, et fièvre spécifique d
104
premier rang, je ne manquerai de vous désigner le
nationalisme
en plein essor, contrecoup fatal de la guerre, et fièvre spécifique d
105
ux sa politique. Les coussins Rothermere Le
nationalisme
de la plupart des États de l’Europe se formule en revendications d’ho
106
est son droit, ses intérêts. Mais, en Hongrie, le
nationalisme
est une passion toute nue, qui exprime l’être profond de la race. On
107
firent à faire d’un affairiste anglais l’idole du
nationalisme
magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés, dans les halls univ
108
France fera de nouveau des enfants, par suite du
nationalisme
, par suite la guerre. Cette alternative est inévitable dans le régime
109
un rationalisme « libéral » et stérilisant, et un
nationalisme
dynamique et assassin. Je pense toutefois que les partisans du risque
110
me est une façade. Je réponds : non, c’est leur «
nationalisme
» (au sens bourgeois) qui est pour eux un moyen de propagande, un moy
111
le socialisme « nationalise » l’économie ; et le
nationalisme
« socialise » le sentiment patriotique. L’un n’est plus possible sans
112
me, totalitarisme) et les phénomènes secondaires (
nationalisme
et socialisme) d’une maladie aussi vieille que, l’Europe, et qui est
113
listes majoritaires, sans parler d’autres dont le
nationalisme
nous épouvantait lorsque nous fûmes, en 1924, à Hambourg, au premier
114
retentissante des systèmes centralisateurs et du
nationalisme
étatisé. C’est la guerre la plus antisuisse de toute l’Histoire. C’es
115
la vraie nature des forces qui s’y opposent : le
nationalisme
et l’esprit totalitaire. Sur quoi les adversaires du gouvernement mon
116
is cent ans, à savoir bêtise armée sous le nom de
nationalisme
. Quatre foyers de contradictions Le monde s’offre à nos yeux, c
117
ar balkanisation la désintégration de l’Europe en
nationalismes
rivaux, et par helvétisation au contraire, l’intégration fédérale des
118
se cachent en réalité trois formes de sabotage :
nationalisme
, défaitisme et stalinisme. Le nationalisme n’est en fait qu’une crisp
119
tage : nationalisme, défaitisme et stalinisme. Le
nationalisme
n’est en fait qu’une crispation de névrose féodale, un complexe de re
120
ces, de langues et de religions sclérosés dans le
nationalisme
et le problème des minorités. Et surtout il peut dépasser l’oppositi
121
», et il insinue que si j’attaque aujourd’hui le
nationalisme
, c’est pour mieux « passer sous silence l’hitlérisme ». Qui croire
122
par le culte de la vérité objective, et malgré le
nationalisme
. Hitler représentait exactement, et point par point, le refus et la d
123
faire rejaillir de tous côtés les étincelles. Le
nationalisme
fait rage, cette maladie romantique de l’Europe. Lui seul, sous le co
124
qu’il était sans cesse bridé et contrarié par le
nationalisme
, par les guerres, et par tous les barrages de douanes ou de coutumes
125
ous ! Ce n’est donc pas au nom de je ne sais quel
nationalisme
européen qu’il nous faut défendre l’Europe, mais au seul nom de l’hum
126
nales provoquera, sous Napoléon, la naissance des
nationalismes
. Telle est la cause de presque toutes nos guerres. J’ai dit, et je ne
127
e répéterai jamais assez, qu’il faut voir dans le
nationalisme
la maladie européenne, l’anti-Europe par excellence. Je compare le na
128
enne, l’anti-Europe par excellence. Je compare le
nationalisme
à une espèce de court-circuit dans la tension normale qu’il s’agit de
129
rticulier et le général. D’une part, en effet, le
nationalisme
écrase les diversités vivantes, sous prétexte d’unification, et alors
130
tout, c’est l’Europe qui a sécrété ce contagieux
nationalisme
, c’est à elle d’inventer son antidote. Elle est seule en mesure de le
131
n résoudre, et au contraire, ce serait exalter le
nationalisme
aux dimensions continentales. Ce qu’il nous faut demander, et obtenir
132
ront au nom des principes non chrétiens (comme le
nationalisme
) qu’ils croyaient pouvoir tolérer ; qu’il a été abattu finalement, da
133
onnent aux vieilleries et tentent de restaurer le
nationalisme
, condamné par les catastrophes récentes. Les autres pensent qu’en dép
134
ssible : It’s unamerican, ce n’est pas américain.
Nationalisme
, direz-vous. Oui, mais non pas à la manière européenne. Car la phrase
135
digne du mythe, du rêve américain. Voici donc un
nationalisme
« ouvert » et pour qui la nation est en avant, dans un élan, un rêve,
136
sang et le sol. Ce qu’il y a de répugnant dans le
nationalisme
européen, c’est que l’on y sent une volonté de resserrement, une soif
137
. Au contraire, ce qu’il y a de rassurant dans le
nationalisme
américain, c’est qu’on y sent une volonté d’élargissement, une soif d
138
ous ! Ce n’est donc pas au nom de je ne sais quel
nationalisme
européen qu’il nous faut défendre l’Europe, mais au seul nom de l’hum
139
résoudre, et, au contraire, ce serait exalter le
nationalisme
aux dimensions continentales. Ce qu’il nous faut demander, et obtenir
140
ces, de langues et de religions sclérosés dans le
nationalisme
et le problème des minorités. Et surtout, il peut dépasser l’oppositi
141
it pratiquement la désintégration du continent en
nationalismes
rivaux. L’helvétisation signifierait l’intégration fédérale des natio
142
par le culte de la vérité objective, et malgré le
nationalisme
. Hitler représentait exactement, et point par point, le refus et la d
143
faire rejaillir de tous côtés les étincelles. Le
nationalisme
fait rage, cette maladie romantique de l’Europe. Lui seul, sous le co
144
qu’il était sans cesse bridé et contrarié par le
nationalisme
, par les guerres, et par tous les barrages de douanes ou de coutumes
145
ous ! Ce n’est donc pas au nom de je ne sais quel
nationalisme
européen qu’il nous faut défendre l’Europe, mais au seul nom de l’hum
146
nales provoquera, sous Napoléon, la naissance des
nationalismes
. Telle est la cause de presque toutes nos guerres. J’ai dit, et je ne
147
e répéterai jamais assez, qu’il faut voir dans le
nationalisme
la maladie européenne, l’anti-Europe par excellence. Je compare le na
148
enne, l’anti-Europe par excellence. Je compare le
nationalisme
à une espèce de court-circuit dans la tension normale qu’il s’agit de
149
rticulier et le général. D’une part, en effet, le
nationalisme
écrase les diversités vivantes, sous prétexte d’unification, et alors
150
tout, c’est l’Europe qui a sécrété ce contagieux
nationalisme
, c’est à elle d’inventer son antidote. Elle est seule en mesure de le
151
résoudre, et, au contraire, ce serait exalter le
nationalisme
aux dimensions continentales. Ce qu’il nous faut demander, et obtenir
152
entre l’URSS et les USA, et s’enfermaient dans un
nationalisme
purement verbal et négatif, d’autres tentaient de transformer la doub
153
ar balkanisation la désintégration de l’Europe en
nationalismes
rivaux, et par helvétisation, au contraire, l’intégration fédérale de
154
se cachent en réalité trois formes de sabotage :
nationalisme
, défaitisme, et stalinisme. Le nationalisme n’est, en fait, qu’une cr
155
age : nationalisme, défaitisme, et stalinisme. Le
nationalisme
n’est, en fait, qu’une crispation de névrose féodale, un complexe de
156
ces, de langues et de religions sclérosés dans le
nationalisme
, et le problème des minorités. Et surtout, il peut dépasser l’opposit
157
partis, n’invente pas les moyens de surmonter le
nationalisme
et l’esprit partisan, je ne vois personne au monde qui puisse le fair
158
que) en laissant en friche le champ des passions (
nationalisme
, politique partisane). Les passions s’emparent de la technique et pro
159
lition. Il y eut Montesquieu, premier critique du
nationalisme
naissant. Il y eut Victor Hugo, prophétisant l’avènement du fédéralis
160
té politique de l’Europe était l’essor des grands
nationalismes
. Il y eut enfin, après la Première Guerre mondiale, le mouvement pane
161
l ne s’agit nullement de fomenter on ne sait quel
nationalisme
européen, mais au contraire de restaurer le rayonnement des valeurs q
162
re social à tout prix, ni la notion d’État, ni le
nationalisme
, car l’Amérique ou la Russie s’en chargent. Et s’il ne s’agissait que
163
liberté des échanges n’a pas suffi à réduire les
nationalismes
; bien au contraire, c’est elle qui, par la suite, a succombé devant
164
ien clair que nous n’entendons pas substituer aux
nationalismes
locaux une sorte de nationalisme européen. L’Europe s’est, de tout te
165
substituer aux nationalismes locaux une sorte de
nationalisme
européen. L’Europe s’est, de tout temps, ouverte au monde entier. Ell
166
monde. Une Europe affaiblie, et divisée par vingt
nationalismes
et autant de barrières de douanes, ne saurait plus être un pôle d’att
167
. Vous y trouverez beaucoup d’attaques contre le
nationalisme
, contre l’État-nation, contre sa prétendue souveraineté sans limites.
168
sent plus que d’autres en leur île : j’entends le
nationalisme
étatisé et le mythe survivant des souverainetés. L’un nourrit l’autre
169
bi de profondes transformations pendant l’ère des
nationalismes
et de la souveraineté sans limites de l’État. Créatrice des richesses
170
sent plus que d’autres en leur île : j’entends le
nationalisme
étatisé et le mythe survivant des souverainetés. L’un nourrit l’autre
171
ions collectives et les systèmes totalitaires. Le
nationalisme
, tout d’abord, s’est substitué au patriotisme local et instinctif ; l
172
remplacé les convictions traditionnelles. Mais le
nationalisme
et l’esprit partisan eussent échoué à donner à l’homme des masses une
173
sse des partis politiques proprement dits, ou des
nationalismes
hérités d’un autre âge. On répète que ce sont les intérêts qui nous o
174
ennemis héréditaires, mais ils oublient que leurs
nationalismes
ne remontent qu’au siècle dernier, et qu’ils ont deux-mille ans d’usa
175
personne. Nationalisation de nos cultures Le
nationalisme
, qui atteint de nos jours ses conséquences extrêmes avec le concept d
176
nes libertés essentielles : tout cela provient du
nationalisme
culturel, et tout cela tend, pratiquement, à faire dépendre la vie de
177
e la culture. La phase relativement créatrice des
nationalismes
se trouve dépassée en fait. Mais il n’en subsiste pas seulement des c