1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 e morale qui « déforme », qui mutile une tendance naturelle , qui élague, qui opère un choix parmi les éléments mêlés de la person
2 ce de nos instincts, la conscience de nos limites naturelles , tout ce qui servirait de frein à notre glissade vers des folies. ⁂ R
3 n’y a de liberté que dans la soumission aux lois naturelles  ; et leur effort est de retrouver ces lois ; ils ne craignent pas de
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 pas tous les cultiver pour cela seul qu’ils sont naturels  : la nature est un champ de luttes, de tendances vers la destruction
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
5 ce, qui peut nous mener à des hauteurs où devient naturel ce cri de sagesse orgueilleuse : « Qu’avons-nous besoin d’un autre am
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
6 it balle au cerveau du poète qui meurt de sommeil naturel . Le tunnel sous la Manche escamoté, le train dépose des complets rigi
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
7 tae, pour notre plaisir, un peu plus viennois que naturel s’il parle de choses d’art comme on fait dans Proust, si les passions
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
8 offre l’exemple rare d’un homme que son évolution naturelle a rapproché, dans sa maturité, des jeunes générations, en sorte que l
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
9 le cinéma doit nous « transplanter », un certain naturel est de rigueur ; toute bizarrerie détourne du véritable miracle auque
8 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
10 fait des circonstances peut-être plus que par de naturelles affinités, se trouvent former un mouvement actif déjà, et dont Neuchâ
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
11 tournait vite à l’agressif — effet d’une timidité naturelle dont il paraissait lui-même gêné. En deux mots, vous ne me trouvez pa
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
12 aînés. Nous avons l’énorme candeur de trouver ça naturel . On nous a fait des reproches contradictoires. Nous les additionnons 
11 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
13 pointes » faciles mais cela même ne manque pas de naturel … On peut regretter que ce livre ne réalise pas une synthèse plus orga
12 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
14 son corps. Il a perdu le contact avec les choses naturelles , et par là même, avec les surnaturelles. Il en ressent une vague et i
13 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
15 mène 60 parties d’échecs simultanément, et c’est naturel  : je m’en avoue plus éloigné et m’en sais plus dépourvu si possible.
14 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
16 ailleurs correspondre à son état d’esprit le plus naturel . Mais de quoi vivent ces bourgeois aimables et insipides, qui passent
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
17 ; de la diversité des besoins ; enfin des rythmes naturels de l’esprit humain, qu’il se trouve que le Créateur n’a point accordé
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
18 nement. Cet avantage inappréciable sur le cerveau naturel explique que les autorités compétentes n’aient point hésité à l’adopt
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
19 ez avec moi que la famille était encore un milieu naturel , donc normatif. Le collège au contraire est un milieu antinaturel, et
20 n brutale de la nature, la haine des supériorités naturelles , l’habitude de l’ersatz et du travail bâclé. Elle apprend à lire les
21 lente, standardisation de toutes les mesquineries naturelles (je ne fais le procès de la bêtise humaine qu’en tant qu’elle est cul
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
22 é nous aiderait à retrouver l’accord avec l’ordre naturel . La culture de notre force de pensée nous rendrait une liberté sans l
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
23 ; de la diversité des besoins ; enfin des rythmes naturels de l’esprit humain, qu’il se trouve que le Créateur n’a point accordé
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
24 nement. Cet avantage inappréciable sur le cerveau naturel explique que les autorités compétentes n’aient point hésité à l’adopt
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
25 ez avec moi que la famille était encore un milieu naturel , donc normatif. Le collège au contraire est un milieu antinaturel, et
26 n brutale de la nature, la haine des supériorités naturelles , l’habitude de l’ersatz et du travail bâclé. Elle apprend à lire pour
27 lente, standardisation de toutes les mesquineries naturelles (je ne fais le procès de la bêtise humaine qu’en tant qu’elle est cul
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
28 é nous aiderait à retrouver l’accord avec l’ordre naturel . La culture de notre force de pensée nous rendrait une liberté sans l
23 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
29 ue évangélique. Que ce petit écrit d’un mouvement naturel nous ramène au centre des seuls problèmes qui ne soient pas insignifi
24 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
30 t d’incroyables araignées, partout où le désordre naturel des choses pouvait offrir asile à l’objet inconnu que je chercherai s
25 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
31 usant de cette sorte de désinvolture qui lui est naturelle , confie à des figures le soin hasardeux de résoudre ses antinomies (G
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
32 stinguent par une humanité charmante, « une façon naturelle de traiter les questions religieuses, sans fausse honte ». (Seuls, pa
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
33 , tenté, et décrivant ses tentations comme toutes naturelles , il surmonte les obstacles avec un contentement modeste et intelligen
34 traduit ou marque notre paresse et notre lâcheté naturelles , et l’incertitude qui est leur résultante. Quelques-uns s’en tirent e
28 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
35 ère en effet l’homme moderne, l’homme sans mesure naturelle  : s’il ne retrouve pas de loi interne et de tension par le péché, il
29 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
36 elle évoque peu à peu on ne sait quelle puissance naturelle , dans sa fascinante et grandiose monotonie. Art dont la mesure ne doi
30 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
37 ispose. Ni plus ni moins que l’étude des sciences naturelles , la régie d’un théâtre ou l’administration du Grand-Duché. « J’ai tou
31 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
38 e de Dieu est absolue, par rapport à notre pensée naturelle . Dès lors, pourquoi faire intervenir dans notre vie une recherche qui
32 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
39 connaissent (avec ou sans dégoût) leur crapulerie naturelle (lâchetés, compromissions, égoïsmes, tolérances diverses, absence de
40 r la Révolution est la marque de son imperfection naturelle . Le sang ! Et tous les « Mirobolants » de la terre pâlissent derrière
41 Nous ne sommes pas idéalistes : l’« imperfection naturelle  » ne sera jamais supprimée dans l’œuvre humaine3. Mais la santé révol
33 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
42 foi. Si l’on entend par vie non seulement la vie naturelle , mais l’ensemble des relations humaines, la foi est ce qui rend la vi
43 ésoudre dans la mesure de l’utile des difficultés naturelles . Mais la foi, bien souvent, ne peut qu’aiguiser ces oppositions natur
44 bien souvent, ne peut qu’aiguiser ces oppositions naturelles  ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvai
45 ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix d’ailleurs
46 d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonnait en paix à ses déterminations physiques et morales. Doit
34 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
47 me dire une phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle , voix de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais que la nuit va
35 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
48 t d’incroyables araignées, partout où le désordre naturel des choses pouvait offrir asile à l’Objet inconnu que je chercherai s
36 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
49 des objets que nous touchons, — ce mystique avec naturel de ce qui nous est invisible. Tous deux orientent la réflexion vers l
50 faitement compréhensible et d’une vulgarité toute naturelle . Il faut aller dormir. Rose de Tannenbourg L’esplanade du Brühl
51 seule domine l’amour. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et
37 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
52 iques jouent dans la vie de chaque jour leur rôle naturel et tonique. On lâche les garçons à cheval dès 6 ans ; plus tard on le
53 conduite des hommes, des animaux et des éléments naturels . Pour nous, nous développons un sens plutôt fictif de la responsabili
54 ine, ici s’apaise et laisse percevoir les rythmes naturels , l’ample respiration élémentaire. Je ne défendrai pas les junkers…
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
55 me dire une phrase à l’oreille, de leur voix trop naturelle , voix de jour. Paroles aussitôt oubliées, mais je sais que la nuit va
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
56 t d’incroyables araignées, partout où le désordre naturel des choses pouvait offrir asile à l’objet inconnu que je chercherai s
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
57 sique jouent dans la vie de chaque jour leur rôle naturel et tonique. On lâche les garçons à cheval dès 6 ans ; plus tard on le
58 conduite des hommes, des animaux et des éléments naturels . Pour nous, nous développons un sens plutôt fictif de la responsabili
59 ine, ici s’apaise et laisse percevoir les rythmes naturels , l’ample respiration élémentaire. Je ne défendrai pas les junkers…
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
60 des objets que nous touchons, — ce mystique avec naturel de ce qui nous est invisible. Tous deux orientent la réflexion vers l
61 faitement compréhensible et d’une vulgarité toute naturelle . Il faut aller dormir. Rose de Tannenbourg L’esplanade du Brühl
62 seule domine l’amour. Les plus grands spectacles naturels sont des spectacles de lenteur ou d’immobilité dans le mouvement. Et
42 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
63 nscience, parce qu’elle était notre manière toute naturelle de respirer et de penser, d’aller et venir, et d’entretenir nos souci
64 il y faut ce climat sentimental, cette espèce de naturel qui naît d’une entente tacite, d’une confiance, presque d’une insouci
65 e et du Pô. Il se peut que d’autres éléments dits naturels entrent en composition dans le mystère qui pèse sur ce massif, qui en
66 is qu’on leur a laissé le temps de revenir à leur naturel . (Et ce n’est pas toujours au galop.) Les quartiers extérieurs des vi
43 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
67 igner d’un mot simple, et qui figure dans l’ordre naturel comme un reflet de la communion des saints : notre histoire, le passé
44 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
68 auteur de Lettres sur l’état politique, civil et naturel de la Suisse, écrit en 1776 : « La constitution de Neuchâtel est une
45 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
69 demi-dieu, d’un héros ou d’un saint, un singe au naturel , en guise d’armes parlantes du beau mythe de l’Égalité… Et pourtant s
70 ais. Le peu que j’en dis l’eût gêné. Mais ce sens naturel du service, il lui fut donné de l’exercer dans d’autres dimensions hu
46 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
71 ame de Charrière. Un moraliste au style subtil et naturel , Félix Bovet. Mais la littérature au sens étroit du terme — le roman,
47 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
72 e manifeste le grand public allemand. Il est bien naturel qu’une société qui jouit d’une relative sécurité cherche son divertis
48 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
73 i les libère de leur férocité ou de leur quiétude naturelles , et les rend enfin responsables dans l’obéissance à la seule force né
49 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
74 me, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non pour Dieu. C’est maintenant au tou
75 ever maintenant la vraie défense de l’homme, lieu naturel du nécessaire conflit de l’ange et de la bête ? L’homme soviétique se
76 homme soviétique se trouve soustrait aux conflits naturels . Il vit dans un monde où il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni lu
77 iomphe assuré par sa victoire sur les difficultés naturelles , sur ce conflit qui constitue la raison d’être de la plupart des homm
50 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
78 es anicroches sont calculées jusqu’à restituer le naturel — tout cela sans effort, manifestant plutôt cette vivacité d’inventio
51 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
79 ir les ignorer (spiritualisme). Par un funeste et naturel retour elle risque aujourd’hui de succomber sous leur poids — littéra
52 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
80 ique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes naturels féconds et créateurs que nous voulons éliminer les antagonismes artif
53 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
81 née du mouvement ouvrier ; elle y fut le résultat naturel et fatal du développement de la pensée chez les intellectuels.5 Peu
82 ique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes naturels féconds et créateurs que nous voulons éliminer les antagonismes artif
54 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
83 a seule différence et je n’échappe point au règne naturel . L’indifférence d’un « esprit », qui s’imagine dégagé d’un tel choix,
84 une indifférence morbide à l’endroit des réalités naturelles et de l’« attente ardente » des créatures. De la séparation tragique,
85 us clément, qui conduisait un homme aux solitudes naturelles , la conscience de l’« étrangeté » d’un tel cas se voilait et faisait
86 cupés à supprimer ou à domestiquer les « facteurs naturels  » n’est rien de plus qu’un rêve, idéalisme meurtrier et qui fuit deva
55 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
87 out au contraire une sournoise révolte de l’homme naturel , une poussée de ressentiment contre l’héroïsme chrétien ; à l’origine
88 e moderne, emprisonné dans la catégorie du « tout naturel  » incapable, par suite, de s’interroger sur les sources de son être.
56 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
89 sans se poser jamais cette question pourtant bien naturelle  : Comment un siècle peut-il avoir un destin ?i Le destin, c’est le f
57 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
90 individu. Une personne qui n’est pas plus l’homme naturel de Rousseau, comme le suppose Fernandez, que l’homme intérieur de l’i
58 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
91 t c’est la maladie mortelle (le péché)54. L’homme naturel a beau dénombrer tout l’horrible, et tout épuiser, le chrétien se rit
59 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
92 ur de Parlement se licencie ainsi contre le droit naturel , contre l’honnêteté civile ! Ce recours à un droit universellement h
60 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
93 rsonne ; il n’est rien s’il n’est pas l’extension naturelle du risque et du concret de l’homme qui se dépasse. Qu’importe l’honne
94 scartes a détruit la personne, ou plutôt son lieu naturel , en séparant le corps et l’âme : c’est qu’il les a mal distingués. Du
61 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
95 J’ai, pour la politique, une espèce d’aversion naturelle . L’aveu paraîtra maladroit au seuil du livre que voici. Mais faut-il
62 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
96 pas trouvé par nos observations. En fait, l’homme naturel ne connaît pas l’Esprit, le seul auquel je croie, qui est le Saint-Es
97 auquel je croie, qui est le Saint-Esprit. L’homme naturel ne connaît que la « chair » selon l’expression de l’Apôtre. Cette « c
63 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
98 foi. Si l’on entend par vie non seulement la vie naturelle , mais l’ensemble des relations humaines, la foi est ce qui rend la vi
99 ésoudre dans la mesure de l’utile des difficultés naturelles . Mais la foi, bien souvent, ne peut qu’aiguiser ces oppositions natur
100 bien souvent, ne peut qu’aiguiser ces oppositions naturelles  ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvai
101 ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix, d’ailleurs
102 d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonnait en paix à ses déterminations physiques et morales. Doit
64 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
103 me, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non pour Dieu. C’est maintenant au tou
104 de l’homme, — de l’homme considéré comme le lieu naturel du nécessaire conflit de l’ange et de la bête ? L’homme soviétique se
105 homme soviétique se trouve soustrait aux conflits naturels . Il vit dans un monde où il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni lu
106 iomphe assuré par sa victoire sur les difficultés naturelles , sur ce conflit qui constitue la raison d’être de la plupart des homm
65 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
107 ndées, en effet, sur une notion totale de l’homme naturel . Par là même, elles sont mieux justifiées, aux yeux de l’incroyant du
66 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
108 emand par exemple enviera toujours ce sens fin et naturel qu’a tout Français pour les allusions, les tournures de langage conve
67 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
109 J’ai, pour la politique, une espèce d’aversion naturelle . L’aveu paraîtra maladroit au seuil du livre que voici. Mais faut-il
68 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
110 pas trouvé par nos observations. En fait, l’homme naturel ne connaît pas l’Esprit, le seul auquel je croie, qui est le Saint-Es
111 auquel je croie, qui est le Saint-Esprit. L’homme naturel ne connaît que la « chair » selon l’expression de l’Apôtre. Cette « c
69 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
112 foi. Si l’on entend par vie non seulement la vie naturelle , mais l’ensemble des relations humaines, la foi est ce qui rend la vi
113 ésoudre dans la mesure de l’utile des difficultés naturelles . Mais la foi, bien souvent, ne peut qu’aiguiser ces oppositions natur
114 bien souvent, ne peut qu’aiguiser ces oppositions naturelles  ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvai
115 ; bien plus, elle crée des conflits là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impose un choix, d’ailleurs
116 d’ailleurs humainement impossible, là où l’homme naturel s’abandonnait en paix à ses déterminations physiques et morales. Doit
70 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
117 me, si l’on peut définir le péché par la volonté, naturelle à l’homme, d’agir pour soi, et non pour Dieu. C’est maintenant au tou
118 de l’homme, — de l’homme considéré comme le lieu naturel du nécessaire conflit de l’ange et de la bête ? L’homme soviétique se
119 homme soviétique se trouve soustrait aux conflits naturels . Il vit dans un monde où il n’y aura bientôt plus — se dit-on — ni lu
120 iomphe assuré par sa victoire sur les difficultés naturelles , sur ce conflit qui constitue la raison d’être de la plupart des homm
71 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
121 , en effet, sur une notion « ouverte » de l’homme naturel . Par là même, elles sont mieux justifiées, aux yeux de l’incroyant du
72 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
122 and, par exemple, enviera toujours ce sens fin et naturel qu’a tout Français pour les allusions, les tournures de langage conve
73 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
123 ’organes ; il s’agit de lutter contre la tendance naturelle à la division du travail. Il faut créer des êtres dirigeants qui cons
74 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
124 ies morales ou sociales que nous croyons « toutes naturelles  ». Une forme peut être seulement interprétée, symboliquement et concr
125 où la réalité naît de l’union des contradictions naturelles , où l’homme est microcosme de la Création. Paracelse, Bruno, Nicolas
75 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
126 mme la Promenade au marais est une merveille de «  naturel  » dans tous les sens de ce terme ; je ne vois pas d’écrivain français
76 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
127 psychologique nous y invite. Bien plus, la pente naturelle de notre esprit nous y pousse. D’une part, nous ne pouvons nous empêc
128 re — notre péché. Or, le péché, c’est notre pente naturelle . Et c’est elle, précisément, qui nous pousse à vouloir établir cette
129 é, qui nous inquiète, et qui corrige le mouvement naturel et perverti de nos pensées. Cette position du problème, que nous ven
77 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
130 ller. Et Poupette passa les petits fours, avec un naturel parfait. Le monologue de Nicodème ne paraissait pas avoir fait grande
78 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
131 ureuse dans l’exposé des sic et non, enfin ce ton naturel de grandeur qui s’accommode des plus savoureux contrastes, coupant co
79 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
132 uchante à vouloir « les gens » plus vivants, plus naturels , plus rayonnants, plus « solaires » qu’ils ne sont. En somme, bien qu
80 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
133 de plus raisonnable, je vous prie ? Quoi de plus naturel que de le célébrer ? Et plutôt que de ricaner, vous que ces problèmes
134 sition promise à la publicité universelle, trouve naturel de proposer que « l’esprit », dans cette entreprise, soit mis à part,
135 qualifie de bibliothèque, ne lui paraît pas moins naturel . Brochant sur ces deux faits une constatation évidente : l’opinion de
136 heur elle n’avait pas rejoint d’une manière aussi naturelle le « sens commun ». Sans doute ce préjugé contre l’esprit n’a pas tou
137 isan, le paysan et le boutiquier ont une tendance naturelle à estimer que la « pensée » est incapable, en fait, de les aider dans
81 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
138 parable. Si l’on tient compte du fait patriotique naturel , la seule formule « internationale » qui reste possible est celle-ci 
82 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
139 p grand besoin des différences et des oppositions naturelles pour vouloir les anéantir. Nous sommes fédéralistes, c’est-à-dire que
140 rt de la civilisation est là : tirer des conflits naturels et nécessaires des forces nouvelles, et non pas aboutir à la suppress
141 moyens, justement, de transporter leur brutalité naturelle dans des domaines où elle devienne féconde. Lui. — Je vous souhaite
83 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
142 elle évoque peu à peu on ne sait quelle puissance naturelle , dans sa fascinante monotonie. Un art dont la mesure ne doit pas être
84 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
143 antaisiste, le dédain de toutes les complications naturelles et sociales de l’amour, l’indulgence pour les mensonges et les égoïsm
85 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
144 vendication d’un équilibre vrai, d’une hiérarchie naturelle et féconde. Et quant au mot patrie, on le voit confondu, dans les dis
86 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
145 de ce terme. Ce n’est pas là, je crois, sa pente naturelle  ; plutôt l’effet d’une permanente correction que par scrupule humain,
87 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
146  grève perlée » : c’est à force de conscience, de naturel , d’exactitude dans l’exercice de leurs tâches banales et de leurs rel
88 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
147 qui posent des questions en vertu de la pétulance naturelle de leur pensée, mais voilà qu’au contraire certaines questions s’impo
89 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
148 s besoin de tonifiants élémentaires, de vitamines naturelles . Laissons là ces images qui pourraient encore égarer : la culture qu’
90 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
149 rdre et la mesure humaine à l’anarchie des forces naturelles , voilà l’affirmation, ou pour mieux dire l’agressivité originelle de
91 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
150 ance des « causes », mais bien des « signatures » naturelles . Elle ne veut pas utiliser les choses, mais distinguer en elles les i
92 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
151 ue nobilior est vulgaris : parce qu’elle nous est naturelle , et l’autre plus artificielle…) Mais parmi les idiomes vulgaires, le
93 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
152 vendication d’un équilibre vrai, d’une hiérarchie naturelle et féconde. Et quant au mot patrie, on le voit confondu, dans les dis
94 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
153 , de la perversité des uns triomphant de la bonté naturelle des autres. Mais les pires malentendus, à leur tour, naissent de conf
154 elle ne paraît pas telle ». Rien ne paraît plus «  naturel  » à l’intellectuel bourgeois que son souci d’impartialité méthodique,
95 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
155 qui posent des questions en vertu de la pétulance naturelle de leur pensée, mais voilà qu’au contraire certaines questions s’impo
96 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
156 s besoin de tonifiants élémentaires, de vitamines naturelles . Laissons là ces images qui pourraient encore égarer : la culture qu’
97 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
157 rdre et la mesure humaine à l’anarchie des forces naturelles , voilà l’affirmation, ou pour mieux dire l’agressivité originelle de
98 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
158 ance des « causes », mais bien des « signatures » naturelles . Elle ne veut pas utiliser les choses, mais distinguer en elles les i
99 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
159 ue nobilior est vulgaris : parce qu’elle nous est naturelle , et l’autre plus artificielle…) Mais parmi les idiomes vulgaires, le
100 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
160 vendication d’un équilibre vrai, d’une hiérarchie naturelle et féconde. Et quant au mot patrie, on le voit confondu, dans les dis