1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 n des points de vue catholique et protestant : la notion de « Saint » et son évolution au cours des siècles. Primitivement, le
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 petite faiblesse originale : tant qu’à la fin la notion concrète de sincérité s’évanouit en mille définitions tendancieuses e
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
3 rien dans mon esprit. Peut-être que j’ai perdu la notion du temps. Je ne me souviens plus que de cette déception insupportable
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 nieux : « Si j’essaie un instant de m’élever à la notion de Dieu, répond Aragon, je me révolte qu’elle puisse en aucun cas ser
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 néralement le contraire. Il est très vrai que les notions réaliste et idéaliste du monde ne sont séparées que par un léger déca
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
6 rnières pestes noires). Si vous creusez un peu la notion de démocratie, vous trouvez bien vite qu’elle repose sur des postulat
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
7 rnières pestes noires). Si vous creusez un peu la notion de démocratie, vous trouverez bien vite qu’elle repose sur des postul
8 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
8 entique. Le pittoresque. D’abord je crains que la notion n’en soit toute relative aux modes de « vie » bourgeois ; et puis la,
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 e. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la présence de l’Objet deviendrait plus pro
10 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
10 issaient devoir transmettre aux générations cette notion d’un équilibre proprement humain. Ainsi passèrent quelques siècles ;
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
11 tatillonne et qui flattait curieusement certaine notion de « correction » bourgeoise. Nullement chrétienne d’ailleurs, puisqu
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
12 urnant au marxisme, a provisoirement confondu ces notions .) Le communisme ramuzien, c’est celui qu’établissent la mort, la peur
13 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
13 etzsche, qui le premier substitua délibérément la notion de style à celle de correction, dans les démarches de l’esprit. Et Do
14 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
14 nt prévue au lendemain de la guerre, c’est sur la notion — et la pratique — du service nécessaire que se fait l’unanimité de l
15 que d’idées efficacement justes ; moins besoin de notions « correctes » que de notions dynamiques. Nietzsche réclamait une « ph
16 es ; moins besoin de notions « correctes » que de notions dynamiques. Nietzsche réclamait une « philosophie à coups de marteau 
17 es bourgeois, destinée à défendre et illustrer la notion bourgeoise de la vie, et payée — en la personne de ses grands maîtres
18 étaire pour Marx. Il s’en faut de beaucoup que la notion du prolétaire marxiste, fondée sur des considérations aussi abstraite
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
19 ersonne. Les marxistes nous accusent de mêler des notions « morales » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux force
20 des notions « morales » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiques et historiques qui selon eux dé
16 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
21 dent fâcheux. Telles, peut-être, se délimitent la notion chrétienne et la notion antique de l’homme ; telles, dans une certain
22 ut-être, se délimitent la notion chrétienne et la notion antique de l’homme ; telles, dans une certaine mesure, la notion germ
23 de l’homme ; telles, dans une certaine mesure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du
24 s une certaine mesure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une v
25 isions du monde dans celle, plus précise, de deux notions du tragique. Le monde latin connaît un tragique aux arêtes de pierre
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
26 e. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la présence de l’Objet deviendrait plus pro
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
27 architectures. Un château construit sur la seule notion du confort. Voilà sans doute la figuration la plus concrète de l’égar
28 ité, — au sens élevé et civilisateur du terme. La notion moderne de superflu, qui donne aux plaisirs mondains l’aspect absurde
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
29 entique. Le pittoresque. D’abord je crains que la notion n’en soit toute relative aux modes de « vie » bourgeois ; et puis, la
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
30 dent fâcheux. Telles, peut-être, se délimitent la notion chrétienne et la notion antique de l’homme ; telles dans une certaine
31 ut-être, se délimitent la notion chrétienne et la notion antique de l’homme ; telles dans une certaine mesure, la notion germa
32 de l’homme ; telles dans une certaine mesure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du
33 s une certaine mesure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une v
34 isions du monde dans celle, plus précise, de deux notions du tragique. Le monde latin connaît un tragique aux arêtes de pierre
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
35 e. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la présence de l’Objet deviendrait plus pro
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
36 architectures. Un château construit sur la seule notion du confort : voilà sans doute la figuration la plus concrète de l’éga
37 ité, — au sens élevé et civilisateur du terme. La notion moderne de superflu, qui donne aux plaisirs mondains l’aspect absurde
23 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
38 adresse. À la faveur de cette « conversion », la notion même de positif est bouleversée. Critiquer les doctrines qui prétende
24 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
39 aller un peu loin, puisque ainsi l’on supprime la notion même d’intéressant. Donc Cingria défend une thèse : « Je m’appliquera
25 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
40 éclatent sont alors sanglants. L’évolution de la notion d’individu, d’homme en soi, d’homme type, est trop connue pour que no
41 que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé dans les mœurs au cours du xviiie siècle, à la faveur des th
26 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
42 que de la pauvreté volontaire, c’est-à-dire de la notion de sacrifice, et, par ailleurs, qualité pratique (et non pas vertu) r
43 seuls, est désormais une vertu sans lien avec la notion de sacrifice ou avec l’idéal évangélique et, pour comble, vertu de ri
27 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
44 r l’analyse qu’Aron et Dandieu nous proposent des notions d’échange10 et de travail, nous voudrions surtout insister sur la nou
45 cemment à ces auteurs13. La première porte sur la notion de la personne, évidemment centrale pour la construction de Dandieu :
28 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
46 dividu engagé dans un conflit concret). Sur cette notion d’acte pris comme point de départ 18 se fondent ses analyses du pouvo
47 20. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile définit la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pratique la m
29 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
48 raison d’être14. Nous sommes ici très loin de la notion bourgeoise de liberté, qui est absence d’obligations, de repères, de
30 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
49 fixer davantage les idées, de l’opposer ici à la notion de l’individu. L’individu est le terme dernier de la division objecti
31 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
50 la démocratie libérale ; elle est fondée sur une notion de l’individu qui défie l’expérience et la réalité humaine. Elle a po
51 inition répond à l’étymologie ; la quatrième à la notion que les personnalistes se font de l’individu ; la troisième à la conf
32 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
52 tres oppositions. Prenons, par exemple, ces trois notions  : le travail, le service, l’amour du prochain. Le travail est pour le
33 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
53 res du communisme sont fondées, en effet, sur une notion totale de l’homme naturel. Par là même, elles sont mieux justifiées,
54 que les prétentions du fascisme, fondées sur une notion disciplinaire de l’homme. Le marxisme est pour le chrétien un advers
34 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
55 ersonne. Les marxistes nous accusent de mêler des notions « morales » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux force
56 des notions « morales » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiques et historiques qui selon eux dé
35 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
57 éclatent sont alors sanglants. L’évolution de la notion d’individu, d’homme en soi, d’homme type, est trop connue pour que no
58 que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé dans les mœurs au cours du xviiie siècle, à la faveur des th
36 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
59 xal de la revendication d’égalité, s’introduit la notion de progrès. Elle est donc liée à l’insatisfaction. Curieuse incompati
37 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
60 dividu engagé dans un conflit concret). Sur cette notion de l’homme actif et créateur, se fondent une analyse du pouvoir et de
61 78. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile définit la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui qui pratique la m
38 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
62 r l’analyse qu’Aron et Dandieu nous proposent des notions d’échange80 et de travail, je voudrais insister surtout sur la nouvea
39 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
63 la démocratie libérale ; elle est fondée sur une notion de l’individu qui défie l’expérience et la réalité humaine. Elle a po
64 nition répond à l’étymologie ; la quatrième, à la notion que les personnalités se font de l’individu ; la troisième, à la conf
40 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
65 tres oppositions. Prenons, par exemple, ces trois notions  : le travail, le service, l’amour du prochain. Le travail est pour le
41 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
66 res du communisme sont fondées, en effet, sur une notion « ouverte » de l’homme naturel. Par là même, elles sont mieux justifi
67 que les prétentions du fascisme, fondées sur une notion disciplinaire de l’homme. Le marxisme est pour le chrétien un adversa
42 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
68 ersonne. Les marxistes nous accusent de mêler des notions « morales » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux force
69 des notions « morales » — ainsi désignent-ils la notion de personne ! — aux forces politiques et historiques qui, selon eux,
43 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
70 clatent sont alors sanglants. L’évolution de la notion d’individu, d’homme en soi, d’homme type, est trop connue pour que no
71 que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé dans les mœurs au cours du xviiie siècle, à la faveur des th
44 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
72 xal de la revendication d’égalité, s’introduit la notion de progrès. Elle est donc liée à l’insatisfaction. Curieuse incompati
45 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
73 dividu engagé dans un conflit concret). Sur cette notion de l’homme actif et créateur, se fondait une analyse du pouvoir et de
46 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
74 » Au salut par l’éternité, voici donc opposée une notion beaucoup plus scientifique et beaucoup plus conforme aux exigences de
75 autre exemple : Nietzsche croit découvrir que la notion chrétienne du Dieu paternel dérive de la notion « de la famille patri
76 a notion chrétienne du Dieu paternel dérive de la notion « de la famille patriarcale ». Comme si l’on ne pouvait pas soutenir
77 ore un dieu : morale, devoir kantien, conscience, notion humaine de la justice, science, mystique de la vie, droit au bonheur,
78 heur ; et qu’il a seul le droit de contredire nos notions , trop humaines et trop intéressées, de toutes ces choses. N’est-ce pa
47 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
79 pposition de la contemplation et de l’action. Une notion claire de ce qu’est la vision eût peut-être évité bien des malentendu
48 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
80 toutes ses œuvres proprement religieuses, sur la notion de « contemporanéité » avec le Christ. Toute la polémique de Kierkega
81 par le passage où Barth traite précisément de la notion de contemporanéité avec la Parole de Dieu. Essayons de résumer sa des
82 à toutes les sauces humanistes et romantiques la notion , chère à Kierkegaard, de saut. 18. ou cinématographique ! Voir le fi
49 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
83 l y a des abus partout, mais de là à condamner la notion même d’expérience ! N’est-ce pas au récit de ses miracles que je l’ai
84 délicate que voulait établir le barthien entre la notion d’expérience et le concept d’existentiel, Nicodème soutenait leur ide
50 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
85 que les intellectuels, croient encore à certaines notions de justice et de respect de l’homme qui n’ont aucun rapport avec la m
51 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
86 a permis à beaucoup de réviser quelque peu leurs notions sur l’importance intellectuelle et littéraire du calvinisme, a donné
52 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
87 en de ceux que l’on enseigne, et qui composent la notion courante de l’esprit pur : ce sont ces lieux communs inoffensifs et s
88 ne pas admirer la merveilleuse convergence d’une notion trop désintéressée de l’esprit, qu’ont les clercs, et d’une notion mo
89 téressée de l’esprit, qu’ont les clercs, et d’une notion moins désintéressée de l’action, qu’ont les capitaines d’industrie ?
53 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
90 les hommes, ce n’est pas leur bourrer le crâne de notions inutiles, ni même de notions dites pratiques. Mais c’est encore moins
91 bourrer le crâne de notions inutiles, ni même de notions dites pratiques. Mais c’est encore moins les dresser à la brutalité.
54 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)
92 de retrouver intégrées à la position d’Esprit les notions de minimum vital intérieur et européen, de service civil (appelé ici
55 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
93 vité pratique. (Nous avons dit souvent sur quelle notion bourgeoise et libérale de l’esprit se fonde une pareille indulgence.)
56 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
94 ge culturel ». Cet automatisme en dit long sur la notion courante de la culture, non seulement dans la bourgeoisie mais encore
95 ent, la seule représentation réelle à laquelle la notion de culture socialiste puisse se rapporter, c’est l’idée que le social
57 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
96 sme… Et toute cette « ismomanie » culmine dans la notion de plan, espèce de dénominateur commun de trois systèmes par ailleurs
58 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
97 VImportance de la notion de commune mesure Ce raccourci d’une évolution séculaire est sans n
98 uccessivement certains aspects fondamentaux de la notion de commune mesure. Le type à peu près idéal d’une mesure à la fois so
59 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
99 crés à l’invention de métaphores qui enrobent les notions les plus hautes dans un vêtement quotidien ; on dirait : un vêtement
100 22. « L’embarras de l’hébreu pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le Livre de Job, dans l’Ecclési
60 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
101 ssent sans gravité pratique. (J’ai dit sur quelle notion de l’esprit se fonde une pareille indulgence.) L’important, à leurs y
61 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
102 e valeur personnelle. (Caricature politique de la notion chrétienne de personne.)   Mission historique d’une partie de la pop
103 e qui puisse légitimer le recours provisoire à la notion de primauté du matériel. Tout le reste est littérature, sophisme, et
62 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
104 , c’est concevoir en actes, et cela s’oppose à la notion rationaliste d’une pensée qui ne serait rien qu’un commentaire tardif
105 me qui le délivre de l’obligation de conclure. La notion de sérieux se confond une fois de plus avec celle d’inefficacité. Et
106 e créateur, aujourd’hui suspendues à cette pauvre notion d’une correction intellectuelle. Nous assistons, du côté de l’esprit,
107 n qui s’excite au fond des provinces. b) Mais la notion d’assurance matérielle nous révèle une attache plus intime encore, s’
108 nde sur les seules statistiques de production. La notion de minimum de vie n’est d’ailleurs qu’une caricature du « Donne-nous
63 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
109 Ici paraît le grand malentendu : il porte sur la notion d’autorité. L’élite et les meneurs ignorent, même s’ils l’exercent, c
110 tzsche qui, le premier, substitua délibérément la notion de style à celle de correction dans les démarches de l’esprit. Il fau
64 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
111 iolence de l’acte. Quand on descend au fond de la notion de force, on est obligé de faire appel à l’idée de choc, de rupture,
65 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
112 ge culturel ». Cet automatisme en dit long sur la notion courante de la culture, non seulement dans la bourgeoisie mais encore
113 ent, la seule représentation réelle à laquelle la notion de culture socialiste puisse se rapporter, c’est l’idée que le social
66 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
114 sme… Et toute cette « ismomanie » culmine dans la notion de plan, espèce de dénominateur commun de trois systèmes par ailleurs
67 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
115 VImportance de la notion de commune mesure Ce raccourci d’une évolution séculaire est sans n
116 uccessivement certains aspects fondamentaux de la notion de commune mesure. Le type à peu près idéal d’une mesure à la fois so
68 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
117 crés à l’invention de métaphores qui enrobent les notions les plus hautes dans un vêtement quotidien ; on dirait : un vêtement
118 22. « L’embarras de l’hébreu pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le Livre de Job, dans l’Ecclési
69 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
119 ssent sans gravité pratique. (J’ai dit sur quelle notion de l’esprit se fonde une pareille indulgence.) L’important, à leurs y
70 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
120 e valeur personnelle. (Caricature politique de la notion chrétienne de personne.)   Mission historique d’une partie de la pop
121 l qui puisse légitimer le recours provisoire à la notion de primauté du matériel. Tout le reste est littérature, sophisme, et
71 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
122 , c’est concevoir en actes, et cela s’oppose à la notion rationaliste d’une pensée qui ne serait rien qu’un commentaire tardif
123 me qui le délivre de l’obligation de conclure. La notion de sérieux se confond une fois de plus avec celle d’inefficacité. Et
124 e créateur, aujourd’hui suspendues à cette pauvre notion d’une correction intellectuelle. Nous assistons, du côté de l’esprit,
125 n qui s’excite au fond des provinces. b) Mais la notion d’assurance matérielle nous révèle une attache plus intime encore, s’
126 nde sur les seules statistiques de production. La notion de minimum de vie n’est d’ailleurs qu’une caricature du « Donne-nous
72 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
127 Ici paraît le grand malentendu : il porte sur la notion d’autorité. L’élite et les meneurs ignorent, même s’ils l’exercent, c
128 tzsche qui, le premier, substitua délibérément la notion de style à celle de correction dans les démarches de l’esprit. Il fau
73 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
129 u l’arbitre souverain des conflits sociaux, et la notion de Bien commun national s’est substituée à celle du bien particulier
74 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
130 rdement de ce genre. Ce serait toute une série de notions à acquérir, d’opinions à se former, de classements à établir, bref un
75 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
131 nautés humaines réelles et fécondes. 75. Sur la notion de commune mesure, cf. D. de Rougemont, Penser avec les mains , Albi
76 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
132 structure. L’importance attachée par Calvin à la notion de vocation personnelle suffit à expliquer ce processus. À une éthiqu
133 nce déclarée que dans les pays calvinistes, où la notion de l’autonomie des groupes reste vivace (Angleterre, Écosse, Suisse,
134 ssaire, par Aron et Dandieu, et sa critique de la notion d’échange chez Marx.) 56. « Les pharisiens lui ayant demandé quand v
135 se, I, p. 271.) 62. C’est-à-dire : fondée sur la notion de vocation. 63. L’URSS est le seul État totalement totalitaire, dis
77 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
136 et dénoncent leur idolâtrie66. Remarquons que la notion d’idolâtrie déborde ici singulièrement le culte des images d’où elle
137 crés à l’invention de métaphores qui enrobent les notions les plus hautes dans un vêtement quotidien ; on dirait : un vêtement
138 ’Église — héritage humain, d’autre part, de cette notion de la mesure « totalitaire » qui devait assurer la grandeur de l’Égli
139 raciste. 65. Sur l’importance capitale de cette notion de commune mesure pour toute culture ou civilisation, j’ai donné de p
140 69. « L’embarras de l’hébreu pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le Livre de Job, dans l’Ecclési
141 nsable de ce qui n’est que « profanations » de la notion de mesure totalitaire. 75. Cf. Ramuz. 76. Par exemple : cohésion sp
78 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
142 heur » (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels
79 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
143 les hommes, ce n’est pas leur bourrer le crâne de notions inutiles, ni même de notions dites pratiques. Mais c’est encore moins
144 bourrer le crâne de notions inutiles, ni même de notions dites pratiques. Mais c’est encore moins les dresser à la brutalité.
80 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
145 e de leurs baïonnettes ne correspondait pas à des notions bien claires dans le cerveau d’un paysan prussien. D’où les malentend
146 pas de comparaisons abstraites. C’est en quoi les notions française et allemande de justice s’opposeront pendant plusieurs déca
81 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
147 D’après ce que nous en savons, il comportait des notions tout à fait comparables à celles des troubadours : refus de la consom
82 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
148 le plus simple use couramment d’expressions et de notions qui remontent à Platon.26 » Mais il en abuse dans le sens où l’inclin
83 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
149 s symboles. Or passion signifie souffrance. Notre notion de l’amour enveloppant celle que nous avons de la femme, se trouve do
150 nous avons de la femme, se trouve donc liée à une notion de la souffrance féconde qui flatte ou légitime obscurément, au plus
151 ns ces erreurs quand il s’est mis à abandonner la notion droite et simple des lois de la guerre, à spiritualiser la matière, e
84 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
152 heur » (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels
85 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
153 , une discussion générale s’est instituée sur les notions de personne, d’individu et de personnalité. Il existe un mouvement pe
154 ersonnaliste qui a pris pour tâche de démêler ces notions et de fonder sur elles un ordre social renouvelé. Des philosophes tel
155 les équivoques que risquent d’entraîner de telles notions , me paraissent revêtir une importance particulière pour notre pensée
156 ersonne et personnalité. Je préfère illustrer ces notions par des exemples historiques susceptibles de faire image. Si nous rem
157 erchons comment sont apparues dans l’Histoire les notions d’individu et de personne, et les systèmes qui s’y opposent, nous ver
158 qui poussa les physiciens de la Grèce à créer la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’individuation, les
159 ant aux décisions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour
160 utôt illustrées d’exemples historiques, certaines notions fondamentales telles que l’individu et la personne, abordons notre si
161 rsque l’on fonde cette défense spirituelle sur la notion de « Suisse chrétienne », défions-nous d’un certain enthousiasme qui
162 ente, en sa pureté, le centre et l’axe même de la notion chrétienne de la personne, à la fois libre et engagée. Il en résulte
86 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
163 le plus simple use couramment d’expressions et de notions qui remontent à Platon28. » Mais il en abuse dans le sens où l’inclin
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
164 s symboles. Or passion signifie souffrance. Notre notion de l’amour, enveloppant celle que nous avons de la femme, se trouve d
165 nous avons de la femme, se trouve donc liée à une notion de la souffrance féconde qui flatte ou légitime obscurément, au plus
166 ns ces erreurs quand il s’est mis à abandonner la notion droite et simple des lois de la guerre, à spiritualiser la matière, e
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
167 heur » (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels
89 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
168 le plus simple use couramment d’expressions et de notions qui remontent à Platon. »20 Mais il en abuse dans le sens où l’inclin
90 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
169 s symboles. Or passion signifie souffrance. Notre notion de l’amour, enveloppant celle que nous avons de la femme, se trouve d
170 nous avons de la femme, se trouve donc liée à une notion de la souffrance féconde qui flatte ou légitime obscurément, au plus
171 ns ces erreurs quand il s’est mis à abandonner la notion droite et simple des lois de la guerre, à spiritualiser la matière, e
91 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
172 heur » (nous reviendrons tout à l’heure sur cette notion centrale). Cette dépréciation générale des obstacles institutionnels
92 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
173 ique, cependant, on pourrait toujours dire que la notion d’art se refuse à toute extension lorsque le rapport quantitatif entr
93 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
174 oordonnés, orientés par une vue générale, par une notion générale de l’homme et des buts de sa destinée, ils pouvaient créer u
175 . Ils ont reconnu, depuis quelques années, que la notion de lois tout objectives, de lois absolument indépendantes de l’homme,
94 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
176 ation de tous les groupes vivants du pays. 7. Les notions de « droite » et de « gauche » se trouvent pratiquement dépassées par
95 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
177 , une discussion générale s’est instituée sur les notions de personne, d’individu et de personnalité. Il existe un mouvement pe
178 ersonnaliste qui a pris pour tâche de démêler ces notions et de fonder sur elles un ordre social renouvelé. Des philosophes tel
179 ersonne et personnalité. Je préfère illustrer ces notions par des exemples historiques susceptibles de faire image. Si nous rem
180 erchons comment sont apparues dans l’Histoire les notions d’individu et de personne, et les systèmes qui s’y opposent, nous ver
181 qui poussa les physiciens de la Grèce à créer la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’individuation, les
182 ant aux décisions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour
183 utôt illustrées d’exemples historiques, certaines notions fondamentales telles que l’individu et la personne, abordons notre si
184 lorsqu’on fonde cette défense spirituelle sur la notion de « Suisse chrétienne », défions-nous de certains élans qui nous fer
185 ente, en sa pureté, le centre et l’axe même de la notion chrétienne de la personne, à la fois libre et engagée. Il en résulte
96 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
186 oordonnés, orientés par une vue générale, par une notion générale de l’homme et des buts de sa destinée, ils pouvaient créer u
187 . Ils ont reconnu, depuis quelques années, que la notion de lois tout objectives, de lois absolument indépendantes de l’homme,
97 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
188 , une discussion générale s’est instituée sur les notions de personne, d’individu et de personnalité. Il existe un mouvement pe
189 ersonnaliste qui a pris pour tâche de démêler ces notions et de fonder sur elles un ordre social renouvelé. Des philosophes tel
190 ersonne et personnalité. Je préfère illustrer ces notions par des exemples historiques susceptibles de faire image. Si nous rem
191 erchons comment sont apparues dans l’Histoire les notions d’individu et de personne, et les systèmes qui s’y opposent, nous ver
192 qui poussa les physiciens de la Grèce à créer la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’individuation, les
193 ant aux décisions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour
194 utôt illustrées d’exemples historiques, certaines notions fondamentales telles que l’individu et la personne, abordons notre si
195 ente, en sa pureté, le centre et l’axe même de la notion chrétienne de la personne, à la fois libre et engagée. Il en résulte
98 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
196 représente en effet le centre et l’axe même de la notion chrétienne de personne, à la fois libre et engagée. Par l’organisatio
99 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
197 plus inacceptables à mesure que se répandent les notions de Progrès indéfini, de confort à tout prix, de succès rapide, et à m
100 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
198 plus inacceptables à mesure que se répandent les notions de Progrès indéfini, de confort à tout prix, de succès rapide, et à m