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sadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’
obéissais
à ce que nos psychologues appellent une conduite magique. Or il est d
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u distinguer nettement à quels mobiles extérieurs
obéissait
son action. C’est peut-être qu’il n’y en a pas. Perken, comme Garine,
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sadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’
obéissais
à ce que nos psychologues appellent une conduite magique. Or il est d
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sadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’
obéissais
à ce que nos psychologues appellent une conduite magique. Or il est d
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n absolu qu’est sa vie. Le chrétien va chercher à
obéir
aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa vie : tel est le fo
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un peu plus dans la dépendance du préfet, lequel
obéit
aveuglément aux députés de son département. Les initiatives locales d
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a police ; puis vient un temps où l’on se lasse d’
obéir
à la force vivante, — et l’on institue la police pour soutenir un cor
8
pas. Mais elle garde chevillé au cœur le besoin d’
obéir
à des forces invisibles et de leur rendre un culte de latrie. Tous, n
9
ie. Tous, nous servons ces dieux, tous, nous leur
obéissons
, et certains d’entre nous sont prêts à leur sacrifier leur vie même.
10
e rien, et que tout ce qui se passe dans le monde
obéit
à des lois générales et historiques qui échappent à notre volonté et
11
te. L’écrivain sera créateur dans la mesure où il
obéira
à sa seule vocation personnelle : mais dans cette mesure-là, il assum
12
ersonne est le témoignage d’une vocation reçue et
obéie
. Je suis personne dans la mesure où mon action relève de ma vocation,
13
parole qu’on n’entend ni ne voit avant de l’avoir
obéie
dans un instant indescriptible et manifeste. Au commencement était le
14
é par ses plus conscientes victimes. Je veux bien
obéir
aux décrets du tyran ; je ne veux pas qu’on exige que ce soit de bon
15
ue ce bras s’est tendu. La foi est un ordre reçu,
obéi
et ordonnateur. Elle contient tout ensemble, dans l’instant de son ex
16
pas. Mais elle garde chevillé au cœur le besoin d’
obéir
à des forces invisibles et de leur rendre un culte de latrie. Tous, n
17
ie. Tous, nous servons ces dieux, tous, nous leur
obéissons
, et certains d’entre nous sont prêts à leur sacrifier leur vie même.
18
e rien, et que tout ce qui se passe dans le monde
obéit
à des lois générales et historiques qui échappent à notre volonté et
19
t quelques précisions. Dès que l’absolu auquel on
obéit
est qualifié humainement, dès que l’incroyant cesse d’être un homme q
20
bien absolu qu’est sa vie. Le chrétien cherche à
obéir
aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa vie : tel est le fo
21
romise à ses disciples pour l’instant même où ils
obéissent
au « suivez-moi », meurent au monde, et Le suivent. Les unes sont his
22
xcès ? Mais nous voyons trois peuples occidentaux
obéir
à des déterminations guère plus complexes que celles-là. La politique
23
d’être pauvre pour être heureux, mais il s’agit d’
obéir
à Dieu ; de Lui plaire, non pas de se plaire. 66. Par ce plus qui es
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é par ses plus conscientes victimes. S’il me faut
obéir
aux décrets du tyran, je ne veux pas qu’on exige que ce soit de bon c
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ue ce bras s’est tendu. La foi est un ordre reçu,
obéi
et ordonnateur. Elle contient tout ensemble, dans l’instant de son ex
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pas. Mais elle garde chevillé au cœur le besoin d’
obéir
à des forces invisibles et de leur rendre un culte de latrie. Tous, n
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ie. Tous, nous servons ces dieux, tous, nous leur
obéissons
, et certains d’entre nous sont prêts à leur sacrifier leur vie même.
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e rien, et que tout ce qui se passe dans le monde
obéit
à des lois générales et historiques qui échappent à notre volonté et
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t quelques précisions. Dès que l’absolu auquel on
obéit
est qualifié humainement, dès que l’incroyant cesse d’être un homme q
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bien absolu qu’est sa vie. Le chrétien cherche à
obéir
aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa vie : tel est le fo
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romise à ses disciples pour l’instant même où ils
obéissent
au « suivez-moi », meurent au monde, et le suivent. Les unes sont his
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xcès ? Mais nous voyons trois peuples occidentaux
obéir
à des déterminations guère plus complexes que celles-là. La politique
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d’être pauvre pour être heureux, mais il s’agit d’
obéir
à Dieu ; de Lui plaire, non pas de se plaire. 58. Par ce plus qui es
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celle d’accéder à l’exercice de la personne, — d’
obéir
à sa vocation. 22. Cf. Arnaud Dandieu : Y a-t-il un seuil entre cit
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it, consciemment, obéissante : sachant à Qui elle
obéit
; envers Qui elle est responsable. Si l’homme vient en aide à son voi
36
tionnée à la mesure de l’homme, l’homme cessait d’
obéir
à la mesure de la foi. Je n’étonnerai personne si je constate que dan
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naît : l’homme qui a reçu une vocation et qui lui
obéit
dans ses actes. Voici ce que disent les personnalistes : l’État et le
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consiste alors à nous faire croire que les faits
obéissent
à des lois sur lesquelles l’esprit ne peut rien. Comme si ce n’était
39
gir, et comment transformer, c’est-à-dire comment
obéir
à la Parole qui prophétise ? Le chemin est imprévisible. Ce que nous
40
emin commence à tout homme qui se met en devoir d’
obéir
à l’ordre qu’il reçoit de Dieu, — n’importe où et n’importe qui, à n’
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t, ici et maintenant, que je la croie, que je lui
obéisse
et qu’elle me sauve ? Frères catholiques, à la question que vous adre
42
porte-parole d’une volonté nationale à laquelle j’
obéirai
toujours aveuglément. (« Je marche comme un somnambule aux ordres de
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serait-elle mieux définie comme « ce à quoi l’on
obéit
» ? — Non : car il est courant que les hommes obéissent à certains or
44
éit » ? — Non : car il est courant que les hommes
obéissent
à certains ordres qui leur sont donnés sans autorité, mais qui sont a
45
ouvoir mécanique, à ce seul signe : les meilleurs
obéissent
à l’autorité nouvelle, tandis que les prudents, les médiocres, les in
46
t de la lutte des classes au mouvement culturel n’
obéit
pas à la loi de cause à effet. Leur unité n’est pas quelque chose de
47
tion de personnes et de groupes organiques, c’est
obéir
à notre vocation présente, mais c’est aussi assurer pour l’avenir l’e
48
on connaît avec assurance dès l’instant qu’on lui
obéit
. C’est lorsque la foi disparaît que le problème de Dieu se pose — éte
49
uple une conception et une pratique de la vie qui
obéissent
à un but commun, au service duquel s’harmonisent et se confondent les
50
t de la lutte des classes au mouvement culturel n’
obéit
pas à la loi de cause à effet. Leur unité n’est pas quelque chose de
51
nt à sa suite (Gefolgschaft, ensemble de ceux qui
obéissent
) des preuves convaincantes de son pouvoir d’action »48. — Voilà les f
52
Par acte de foi, j’entends précisément l’acte qui
obéit
non pas à un peut-être, mais à une vérité certaine, affirmée par cet
53
aiment qu’au lieu et à l’instant précis où je lui
obéis
en fait. L’acte de foi n’est donc pas un désir, une nostalgie confian
54
rche qui nous procure à chaque pas la certitude d’
obéir
au seul appel du but final. Cette méthode sera la mesure que nous che
55
tion de personnes et de groupes organiques, c’est
obéir
à notre vocation présente, mais c’est aussi assurer pour l’avenir l’e
56
tout est tellement mêlé, et qui peut se flatter d’
obéir
en tout temps à une seule conduite définie ? (Mais aussi, ce qui impo
57
on connaît avec assurance dès l’instant qu’on lui
obéit
. C’est lorsque la foi disparaît que le problème de Dieu se pose — éte
58
uple une conception et une pratique de la vie qui
obéissent
à un but commun, au service duquel s’harmonisent et se confondent les
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t de la lutte des classes au mouvement culturel n’
obéit
pas à la loi de cause à effet. Leur unité n’est pas quelque chose de
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nt à sa suite (Gefolgschaft, ensemble de ceux qui
obéissent
) des preuves convaincantes de son pouvoir d’action49. » — Voilà les f
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Par acte de foi, j’entends précisément l’acte qui
obéit
non pas à un peut-être, mais à une vérité certaine, affirmée par cet
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aiment qu’au lieu et à l’instant précis où je lui
obéis
en fait. L’acte de foi n’est donc pas un désir, une nostalgie confian
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rche qui nous procure à chaque pas la certitude d’
obéir
au seul appel du but final. Cette méthode sera la mesure que nous che
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tion de personnes et de groupes organiques, c’est
obéir
à notre vocation présente, mais c’est aussi assurer pour l’avenir l’e
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tout est tellement mêlé, et qui peut se flatter d’
obéir
en tout temps à une seule conduite définie ? (Mais aussi, ce qui impo
66
, d’ailleurs) ne pourra pas se faire respecter et
obéir
s’il ne dispose d’aucun moyen de coercition. Or, si vous lui en donne
67
ute l’expérience du commandement démontre qu’on n’
obéit
volontairement et normalement qu’à ceux qui font preuve d’autorité ré
68
proprement humain (c’est-à-dire en tant que l’on
obéit
à l’Esprit, pour Paul, et en tant que l’on fait la révolution, pour M
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conciliateur ; et qu’il a pour mission actuelle d’
obéir
à une Parole qui est Jésus-Christ, le Médiateur. Mais cette Parole ju
70
’il soit, le « minimum vital » qui lui permette d’
obéir
à sa vocation. Toute la difficulté repose évidemment sur le fait que
71
adaire. Ce ne serait plus s’échapper, mais encore
obéir
, et à quoi ? À force de négliger et de déprécier les diversités humai
72
des personnes libres et responsables. Libres pour
obéir
à ce qu’elles ont accepté pour vocation, et responsables de cette voc
73
ent organisés ! (C’est pourtant à cette utopie qu’
obéit
sans le savoir le mal marié, lorsqu’il se persuade qu’un second ou qu
74
e le seul vrai problème est de savoir comment Lui
obéir
.) Car la fidélité est sans raisons — ou elle n’est pas — comme tout c
75
du désir ? Cela seulement : qu’il nous détourne d’
obéir
. Mais il perd sa puissance absolue quand nous cessons de le diviniser
76
e voit alors comblé sans cesse dans l’acte même d’
obéir
, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure, ni même de conscience
77
porte-parole d’une volonté nationale à laquelle j’
obéirai
toujours aveuglément. Voilà ce que j’appelle de la vraie démocratie !
78
rié et père de dix enfants, lorsqu’il crut devoir
obéir
à l’appel de la solitude. C’est donc au terme d’une féconde carrière
79
e ne saurait donc l’empêcher d’enlever Iseut et d’
obéir
à son destin. Les mœurs du temps sanctionnent le droit du plus fort,
80
e affirmation de la vie. En tout cela ; Tristan n’
obéit
qu’à la coutume féodale des chevaliers : il s’agit de faire preuve de
81
obéissance dans le présent. Car aimer Dieu, c’est
obéir
à Dieu qui nous ordonne de nous aimer les uns les autres. Que signifi
82
r assez pour vivre toute la vie nouvelle, et pour
obéir
sans tourments. Je ne trouve rien, dans Tristan, qui rappelle le « re
83
a volonté dépendent tous mes vœux ; Que mon feu m’
obéisse
, au lieu de me contraindre Que je puisse à mon gré l’enflammer, et l’
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ent organisés ! (C’est pourtant à cette utopie qu’
obéit
sans le savoir le mal marié, lorsqu’il se persuade qu’un second ou qu
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e le seul vrai problème est de savoir comment Lui
obéir
.) Car la fidélité est sans raisons — ou elle n’est pas — comme tout c
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du désir ? Cela seulement : qu’il nous détourne d’
obéir
. Mais il perd sa puissance absolue quand nous cessons de le diviniser
87
e voit alors comblé sans cesse dans l’acte même d’
obéir
, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure, ni même de conscience
88
in précise que l’État, quel qu’il soit, doit être
obéi
par chacun. Mais il ajoute une restriction mémorable, qui figure en p
89
e m’avait dit : Nicolas, sacrifie ton salut ! — J’
obéirai
, je descendrai. (Il s’appuie sur Haimo, et tous deux, très lentement
90
e ne saurait donc l’empêcher d’enlever Iseut et d’
obéir
à son destin. Les mœurs du temps sanctionnent le droit du plus fort,
91
ne affirmation de la vie. En tout cela, Tristan n’
obéit
qu’à la coutume féodale des chevaliers : il s’agit de faire preuve de
92
obéissance dans le présent. Car aimer Dieu, c’est
obéir
à Dieu qui nous ordonne de nous aimer les uns les autres. Que signifi
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r assez pour vivre toute la vie nouvelle, et pour
obéir
sans tourments. Je ne trouve rien, dans Tristan, qui rappelle le « re
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a volonté dépendent tous mes vœux ; Que mon feu m’
obéisse
, au lieu de me contraindre Que je puisse à mon gré l’enflammer, et l’
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ent organisés ! (C’est pourtant à cette utopie qu’
obéit
sans le savoir le mal marié, lorsqu’il se persuade qu’un second ou qu
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e le seul vrai problème est de savoir comment Lui
obéir
.) Car la fidélité est sans raisons — ou elle n’est pas — comme tout c
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e voit alors comblé sans cesse dans l’acte même d’
obéir
, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure, ni même de conscience
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e ne saurait donc l’empêcher d’enlever Iseut et d’
obéir
à son destin. Les mœurs du temps sanctionnent le droit du plus fort,
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ne affirmation de la vie. En tout cela, Tristan n’
obéit
qu’à la coutume féodale des chevaliers : il s’agit de faire preuve de
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obéissance dans le présent. Car aimer Dieu, c’est
obéir
à Dieu qui nous ordonne de nous aimer les uns les autres. Que signifi
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r assez pour vivre toute la vie nouvelle, et pour
obéir
sans tourments. Je ne trouve rien, dans Tristan, qui rappelle le « re
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a volonté dépendent tous mes vœux ; Que mon feu m’
obéisse
, au lieu de me contraindre Que je puisse à mon gré l’enflammer, et l’
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ent organisés ! (C’est pourtant à cette utopie qu’
obéit
sans le savoir le mal marié, lorsqu’il se persuade qu’un second ou qu
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e le seul vrai problème est de savoir comment Lui
obéir
.) Car la fidélité est sans raisons — ou elle n’est pas — comme tout c
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e voit alors comblé sans cesse dans l’acte même d’
obéir
, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure, ni même de conscience
106
héologie. Dans toutes ces civilisations, l’action
obéissait
spontanément aux mêmes lois que la pensée. Mais aujourd’hui que la Lo
107
l’individualiste anarchisant, ce sera le refus d’
obéir
à l’État ; dans tel pays, la liberté consiste à s’armer jusqu’aux den
108
el, Auguste Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire
obéit
à des lois contre lesquelles l’homme ne peut rien. Conception très lu
109
r avant, critiquer après, mais pendant l’action :
obéir
. Ainsi l’organisation de la Ligue correspond à la fois à la tradition
110
omme et son travail passent avant le profit. 3. D’
obéir
activement aux directives qui seront données soit par l’organisation
111
in précise que l’État, quel qu’il soit, doit être
obéi
par chacun. Mais il ajoute une restriction mémorable, qui figure en p
112
héologie. Dans toutes ces civilisations, l’action
obéissait
spontanément aux mêmes lois que la pensée. Mais aujourd’hui que la Lo
113
l’individualiste anarchisant, ce sera le refus d’
obéir
à l’État ; dans tel pays, la liberté consiste à s’armer jusqu’aux den
114
el, Auguste Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire
obéit
à des lois contre lesquelles l’homme ne peut rien. Conception très lu
115
que Vinet nous révèle en écrivant : « C’est pour
obéir
que nous sommes libres ». Vinet entend évidemment : pour obéir à Dieu
116
s sommes libres ». Vinet entend évidemment : pour
obéir
à Dieu plutôt qu’aux hommes. Ceux qui ne savent pas que le but de tou
117
tés est uniquement de laisser à chacun le droit d’
obéir
à Dieu seul, plutôt qu’à soi-même ou aux autres, ceux-là penseront to
118
in précise que l’État, quel qu’il soit, doit être
obéi
par chacun. Mais il ajoute une restriction mémorable, qui figure en p
119
n elles et par elles. Dans la mesure où nous leur
obéissons
, nous ne sommes donc plus responsables de nos actes, mais elles le so
120
ntemporains, la liberté, c’est le droit de ne pas
obéir
. Quand on le leur laisse, ils s’ennuient, et bientôt ils appellent un
121
mais c’est le droit que l’État laisse à l’homme d’
obéir
à sa vocation. Si l’homme ne se reconnaît point de vocation, la liber
122
n elles et par elles. Dans la mesure où nous leur
obéissons
, nous ne sommes donc plus responsables de nos actes, mais elles le so
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ntemporains, la liberté, c’est le droit de ne pas
obéir
. Quand on le leur laisse, ils s’ennuient, et bientôt ils appellent un
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mais c’est le droit que l’État laisse à l’homme d’
obéir
à sa vocation. Si l’homme ne se reconnaît point de vocation, la liber
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n elles et par elles. Dans la mesure où nous leur
obéissons
, nous ne sommes donc plus responsables de nos actes, mais elles le so
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n elles et par elles. Dans la mesure où nous leur
obéissons
, nous ne sommes donc plus responsables de nos actes, mais elles le so
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gir, et comment transformer, c’est-à-dire comment
obéir
à la Parole qui prophétise ? Le chemin est imprévisible. Ce que nous
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emin commence à tout homme qui se met en devoir d’
obéir
à l’ordre qu’il reçoit de Dieu, — n’importe où et n’importe qui, à n’
129
i sait que Dieu existe, mais qui ne peut plus lui
obéir
, et qui ne sait pas comment l’atteindre, parce qu’il ne connaît pas «
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i a lieu dans un espace nettement délimité et qui
obéit
, entre ces limites spatiales et temporelles, à des règles indiscutées
131
fère une dignité inaliénable dans la mesure où il
obéit
à cet appel. C’est le principe fondamental de tout ordre social que l
132
gime social qui dépouille l’homme de la liberté d’
obéir
à sa vocation sont incompatibles avec le christianisme. Par exemple,
133
s, et de tous les irresponsables qui nous mènent,
obéit
secrètement au bon sens. Elle nous mène à la mort, c’est clair. Mais
134
e ou sortir. S’il se soumet, il court le risque d’
obéir
aux hommes plutôt qu’à Dieu. S’il sort, c’est avec amertume, et l’Égl
135
élargie de mon diable, j’ai saisi l’occasion pour
obéir
aux avertissements du médecin et me faire accorder un congé de plusie
136
s, et de tous les irresponsables qui nous mènent,
obéit
secrètement au bon sens. Elle nous mène à la mort, c’est clair. Mais
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s, et de tous les irresponsables qui nous mènent,
obéit
secrètement au bon sens. Elle nous mène à la mort, c’est clair. Mais
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sadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’
obéissais
à ce que nos psychologues appellent une conduite magique. Or il est d
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’il soit, le « minimum vital » qui lui permette d’
obéir
à sa vocation. Toute la difficulté repose évidemment sur le fait que
140
teur du rugby. » (Eddington.) Si on ne faisait qu’
obéir
aux règles de la tribu, point de développement civilisateur. Mais si
141
élargie de mon diable, j’ai saisi l’occasion pour
obéir
aux conseils du médecin et me faire accorder un congé de plusieurs mo