1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 é affolée et ridiculement opportuniste où mène la pente de notre civilisation. Meneurs et chefs : des économistes, des financ
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
2 inutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin ou les pentes de Chésières en les parant d’une grâce malicieuse et sensuelle dont n
3 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
3 t sans puissances de mythe ; des philosophes sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème, d’ailleurs insoluble 
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
4 un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait l
5 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait l
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 . Là, toute démarche de la pensée s’accorde à des pentes variées et réelles, aux collines thuringiennes sous un très grand cie
7 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
7 emps sur la campagne recueillie, tempêtes sur les pentes , — beau temps de la présence. Car tu sais pour quel « bien » désiré t
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait l
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
9 . Là, toute démarche de la pensée s’accorde à des pentes variées et réelles, aux collines thuringiennes sous un très grand cie
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
10 ants, et si profonds ses lointains de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines, sont le cadre qui donne au tabl
11 sse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes , échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du noir Monte Baldo co
11 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
12 ment et le large cercle de ses collines et de ses pentes habitées ; enfin je finis par me dire ; je vois des visages de généra
12 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
13 que et psychologique nous y invite. Bien plus, la pente naturelle de notre esprit nous y pousse. D’une part, nous ne pouvons
14 rupture — notre péché. Or, le péché, c’est notre pente naturelle. Et c’est elle, précisément, qui nous pousse à vouloir étab
13 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
15 temps s’y inscrivent aussi bien que l’allure des pentes . « D’où cette démarche qu’ils ont, d’où encore la nécessité quelquefo
16 sité quelquefois de refaire son pas, parce que la pente vous porte en arrière, parce qu’on l’a mal calculé et il faut d’abord
14 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
17 ethéen de ce terme. Ce n’est pas là, je crois, sa pente naturelle ; plutôt l’effet d’une permanente correction que par scrupu
15 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
18 ond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châtaigneraies. Au sud, on voit un co
16 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
19 désertes, et ces olivettes moirant les dernières pentes des Cévennes. Il y a aussi de ces rencontres qui soudain vous rendrai
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
20 ond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châtaigneraies. Au sud, on voit un co
18 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
21 éoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente , n’en doutons pas, est du côté de la tyrannie. » C’est Vinet qui parl
22 rlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente … w. « La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ?
19 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
23 éoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente , n’en doutons pas, est du côté de la tyrannie. » Et qu’il suffise enf
20 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
24 éoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente , n’en doutons pas, est du côté de la tyrannie. » Et qu’il suffise enf
21 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
25 éoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente , n’en doutons pas, est du côté de la tyrannie. » C’est Vinet qui parl
26 rlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente … 6. Cultures. — C’est quand on doute de soi qu’on a peur du voisin. L
22 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
27 me, peut-être, salutaire. Victor Hugo a gravi les pentes du Pilate, et il contemple, du sommet, le panorama des Alpes : C’éta
23 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
28 éoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente , n’en doutons pas, est du côté de la tyrannie. » C’est Vinet qui parl
29 rlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente … 6. Cultures. — C’est quand on doute de soi qu’on a peur du voisin. L
24 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
30 e don viril et l’abandon, Satan ménage plus d’une pente insensible. Il sait que l’amour est le domaine par excellence des qui
25 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
31 e don viril et l’abandon, Satan ménage plus d’une pente insensible. Il sait que l’amour est le domaine par excellence des qui
26 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
32 don de soi et l’abandon, Satan ménage plus d’une pente insensible. Il sait que l’amour est le domaine par excellence des qui
27 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
33 lemande. Or s’il est vrai que Goethe ait suivi sa pente , il se trouve que, selon le mot de Gide, c’est en la remontant. Du fa
28 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
34 temps s’y inscrivent aussi bien que l’allure des pentes . « D’où cette démarche qu’ils ont ; d’où encore la nécessité quelquef
35 sité quelquefois de refaire son pas, parce que la pente vous porte en arrière, parce qu’on l’a mal calculé et il faut d’abord
29 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
36 etrouveront dans la tempête la coutume des hautes pentes . Car celui seul qui accepte la mort n’est pas le jouet du vertige. Le
30 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
37 ci, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline, nous voyo
31 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
38 ici et s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline, nous voyo
32 1946, Journal des deux mondes. Virginie
39 ci, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline, nous voyo
33 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
40 et passionnants. Je retombe à plat, au bas de ma pente à gravir. Et plus d’Ennemi numéro Un, après douze ans. Nous étions «
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
41 un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait l
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
42 . Là, toute démarche de la pensée s’accorde à des pentes variées et réelles, aux collines thuringiennes sous un très grand cie
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
43 ond des vallons, de vert sombre sur les premières pentes des Cévennes, où commencent les châtaigneraies. Au sud, on voit un co
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
44 ci, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus, en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline, nous voyo
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
45 et passionnants. Je retombe à plat, au bas de ma pente à gravir. Et plus d’Ennemi numéro Un, après douze ans. Nous étions «
46 e de l’extérieur, quand on arrive par la forêt en pente , a dix-huit chambres et s’ouvre vers le lac par une galerie de bois m
39 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
47 r la campagne recueillie, tempêtes sur les hautes pentes — c’est mon beau temps, le temps de la présence. Car je sais pour que
40 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
48 etrouveront dans la tempête la coutume des hautes pentes . Car celui seul qui accepte la mort n’est pas le jouet du vertige. Le
41 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
49 ants, et si profonds ses lointains de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines, sont le cadre qui donne au tabl
50 sse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes , échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du noir Monte Baldo co
42 1948, Suite neuchâteloise. VII
51 ants, et si profonds ses lointains de lumière. La pente derrière moi, l’horizon des collines, sont le cadre qui donne au tabl
52 sse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes , échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du noir Monte Baldo co
43 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
53 re un poème. Plus tard, comme nous remontions les pentes de Malabar Hill par des chemins encaissés entre les murs de parc des
44 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Orienter les espoirs européens (décembre 1954-janvier 1955)
54 . Première zone : elle est créée par l’absence de pente , le défaut d’orientation générale. On veut bien quelque union, confus
45 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
55 érique ! Elle révèle donc une forme de l’âme, une pente de l’âme, voire une « orientation » de la psyché occidentale. Mais, d
46 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
56 érique ! Elle révèle donc une forme de l’âme, une pente de l’âme, voire une « orientation » de la psyché occidentale. Mais, d
47 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
57 érique ! Elle révèle donc une forme de l’âme, une pente de l’âme, voire une « orientation » de la psyché occidentale. Ajouto
48 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
58 érique ! Elle révèle donc une forme de l’âme, une pente de l’âme, voire une « orientation » de la psyché occidentale42. Ajo
49 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
59 nt, ils sont bornés par les Provençaux et par les pentes de l’Apennin. Pierre Dubois (env. 1250-1320) Contemporain de l
50 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
60 ’Ouest qui « s’abâtardissent journellement par la pente générale de prendre les goûts et les mœurs des Français ». Au cosmopo
51 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
61 contraire de ce qu’on croit, n’est pas suivre sa pente (même en la remontant) mais c’est être emporté malgré soi vers des bu
52 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
62 venue sinueuse dans un parc aux prairies nues, en pente douce vers un bâtiment rouge. Parking sous de grands arbres aux branc
63 tyle champêtre ultramoderne. Tout autour, sur les pentes , des rangées de cabanes d’une seule pièce dénommée cubicles sont rése
53 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
64 ond jusqu’au lac Noir. De là, nous gravirions les pentes des Préalpes, puis nous longerions la vallée qui monte lentement jusq
65 cloutées, et de l’alacrité de l’air alpestre. La pente était fort raide, et l’avance très lente, mais l’attrait du sommet qu
54 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
66 eur aventureux, dans l’espace brillant des hautes pentes . Monde vide où pourtant tout signifie, profondeurs nacrées, rives gla
55 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
67 de prairies à l’herbe grasse, environné de hautes pentes dénudées que couronne parfois la tranche d’un glacier, les villages d
56 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
68 pieds munis de crampons de fer, ils dévalent les pentes herbues, s’agrippent au sol juste au-dessus des cavaliers qu’ils démo
57 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
69 ar brefs lacets dans la forêt. Tout au haut de la pente paraît un fin clocher ajouré, puis le bord d’un village aux maisons b
70 par les hautes fenêtres sans vitraux, on voit des pentes d’herbe rase, des pans de forêts, des rochers sur le ciel. Ces noms m
58 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
71 du territoire suisse, glaciers, névés, rochers et pentes trop raides, est totalement improductif. Les matières premières que p
59 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
72 res, tourmentés, irréguliers, et tout au haut des pentes , au-dessus des arolles, des rochers effilés en aiguilles, Piz Duan, p
73 sité quelquefois de refaire son pas, parce que la pente vous porte en arrière, parce qu’on l’a mal calculé, et il faut d’abor
74 e, correspond à une éthique de l’effort contre la pente  : Certains hommes tiennent pour un gain tout ce qui leur rapporte un
60 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Stampa, vieux village… (15-16 janvier 1966)
75 de l’église ; de maigres peupliers noueux sur des pentes bosselées et semées de rochers, et tout en haut les futs très effilés
76 et le père d’Alberto aimait à le conduire sur ces pentes désertes, au pied démesuré des roches surgissantes qu’une force irrés
61 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
77 e de l’extérieur, quand on arrive par la forêt en pente , a dix-huit chambres et s’ouvre vers le lac par une galerie de bois m
62 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
78 que j’ai passés, je me verrais plutôt entre deux pentes , soit sur le chemin de crête, tenté par deux vertiges, soit au fond d
79 nger la rivière jusqu’à sa source, là où les deux pentes se rejoignent — seul moyen de les remonter les deux à la fois !) ⁂ L’
63 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
80 quilibre mi-française mi-suisse, serrée entre les pentes du Jura et le Léman, ne favorise-t-elle pas la pensée philosophique c
64 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
81 pagnarde en pierre rose, au tournant d’une rue en pente qui continue entre deux murs de vignes vers le lac — c’est un village
82 , par exemple, qui règle son allure sur celle des pentes de ses vignes ou de ses champs à la montagne. « D’où cette démarche q
83 sité quelquefois de refaire son pas, parce que la pente vous porte en arrière, parce qu’on l’a mal calculé et il faut d’abord
65 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre-décembre 1981)
84 effets et leur correspondance (ou non) avec telle pente générale de l’esprit humain. Si l’informatique mérite vraiment d’être
66 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre 1981)
85 s effets et leur correspondance ou non avec telle pente générale de l’esprit humain. Si l’informatique mérite vraiment d’être
67 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
86 que j’ai passés, je me verrais plutôt entre deux pentes , soit sur le chemin de crête, tenté par deux vertiges, soit au fond d
87 nger la rivière jusqu’à sa source, là où les deux pentes se rejoignent — seul moyen de les remonter les deux à la fois !) L’a
68 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
88 , qu’est-ce donc qui peut arrêter le monde sur la pente fatale où déjà il s’est engagé ? Si les délégués des peuples européen
69 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
89 chez moi — j’avais loué une petite maison sur les pentes du Gurten, au-dessus de Berne. « Le général vous condamne à quinze jo
70 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
90 moi, de sens que pour moi… » Malgré la dangereuse pente monadique (et donc plutôt individualiste) de ce propos, il est permis