1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ain… Mais Montherlant se redresse vite, frappe du pied et repart. Vers quels buts ? On verra plus tard. L’urgent c’est d’ava
2 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
2 ! je sens très bien cette force — ici, je tape du pied —, ces désirs, ce corps… J’ai un passé à moi, un milieu, des amis, ce
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
3 lissaient des reflets sur l’asphalte mouillé. Les pieds dans l’eau, les jambes fatiguées, les paupières lourdes, et ce chant
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
4 nt doigts dans deux lits. Combien cela fait-il de pieds et d’oreillles ? À signaler la fuite de Bec-de-Gaz, lequel s’éteignit
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
5 er toute joie comme illusoire et livre l’individu pieds et poings liés à l’obsession qu’il voulait avouer pour s’en délivrer
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
6 érature, il a toujours l’air de mettre un peu les pieds dans le plat, de dire de ces choses qu’entre gens du métier l’on a co
7 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
7 rues de longs cris en voyage. Je me sentis perdre pied délicieusement. Et de cette nuit peut-être, je ne saurai jamais rien…
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 e de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied . Vertige de te revoir, vertige de te perdre vraiment, parce que c’est
9 las pour s’étonner. Transi, je me balançais d’un pied sur l’autre dans de la neige fondante, tout en croquant une de ces sa
9 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
10 pas, on offre à Stéphane sa tête, son portrait en pied . Il se voit dans l’acte de se raser, de se baigner ; son image descen
10 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
11 8 La plupart des noctambules préfèrent d’aller à pied  ; mais moi je me méfie ; se promener seul la nuit dans une ville étra
12 la définition même de la luxure ? Quand je vais à pied , j’oublie en chemin les meilleures phrases que j’avais préparées pour
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 , les doigts levés. On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un archiduc. On salue profondément,
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
14 le. Cette tragédie difficile, trois fois remise à pied d’œuvre et jamais achevée, donne moins que les Poèmes cette impressio
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
15 t qu’il n’aborderait un génie français, et sur un pied véritablement européen. L’envergure en quelque sorte géographique d’u
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
16 un prix considérable. Sur le bateau qui l’amène à pied d’œuvre, il s’associe à un aventurier danois, Perken, personnage énig
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
17 es ou à des réductions du même ordre. Lui est des pieds à la tête un homme de 1930 ; et en même temps il se réclame d’un Espr
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
18 e votre père, qui est devenu moine, et qui marche pieds nus, à l’étranger lui aussi ; puis il y a eu votre pauvre tante Corné
17 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
19 mis, vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une somb
18 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
20 le milieu, fument des cigarettes en taquinant du pied la crosse de leur fusil (baïonnette au canon). On a parqué le public
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
21 e de mon amour. Je me sens voluptueusement perdre pied . Vertige de te revoir, vertige de te perdre vraiment, parce que c’est
22 las pour s’étonner. Transi, je me balançais d’un pied sur l’autre dans la neige fondante, tout en croquant une de ces sauci
20 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
23 nnant et rester longtemps, les yeux agrandis, aux pieds d’une femme qui ne le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’é
24 e regarde avec un reproche… Moi aussi, j’ai perdu pied . Ils sont toujours plus ivres. Rosette Anday levant sa coupe de champ
21 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 , les doigts levés. On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un archiduc. On salue profondément,
22 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
26 n salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous ces corridors si hauts où l’on devine à t
27 e soir-là dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer enfin calmé (il avait harcelé la servante avec c
23 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Le balcon sur l’eau
28 ppuyée debout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille derrière nous
24 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
29 des. La plupart des noctambules préfèrent aller à pied  ; mais moi je me méfie ; se promener seul la nuit dans une ville étra
30 la définition même de la luxure ? Quand je vais à pied , j’oublie en chemin les meilleures phrases que j’avais préparées pour
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
31 nnant et rester longtemps, les yeux agrandis, aux pieds d’une femme qui ne le regarderait pas, qui aurait l’air seulement d’é
32 e regarde avec un reproche… Moi aussi, j’ai perdu pied . Ils sont toujours plus ivres. Rosette Anday levant sa coupe de champ
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 , les doigts levés. On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul, un archiduc. On salue profondément,
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
34 ppuyée debout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille derrière nous
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
35 n salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et tous ces corridors si hauts où l’on devine à t
36 t autour de nous, des fenêtres s’allumaient à nos pieds dans le bourg, et le père Reinecke refusait de croire à mes histoires
37 e soir-là dans l’Auberge du Cerf, au premier, les pieds contre mon schnauzer enfin calmé (il avait harcelé la servante avec c
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
38 sque j’y vins pour la première fois, descendant à pied d’Andermatt et passant par le Pont du diable. Et ce qui me saisit ne
39 provençales. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas dans
40 ruit de notre ancienne maison de campagne, et mon pied reconnaît cette brique, près de l’escalier, qui basculait un peu du t
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
41 pouvais dire à mes amis : là, dans ces arbres, au pied de cette colline, j’ai passé mon adolescence.) Voilà donc ce qui atte
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
42 j’étais seul devant l’admirable visage, debout au pied du lit, prolongeant le gisant, j’ai su que j’étais d’une lignée. 20
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
43 ce qu’on imagine, le pays qui nous tient par les pieds , par le cœur, et le rassemblement des nations invisibles, on nous dit
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
44 élevées, dit-on, par un ministre fou.) Cyprès au pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pe
45  ? …Et nous n’irons jamais au lac d’Amatitlán, au pied du fabuleux volcan de Sant’Anna, mais je l’emporte avec les autres sa
46 nt doublé, déjà prise de nuit, rêvant jusqu’à mes pieds . Par une chaude soirée du mois d’août 192., un jeune homme, simplemen
47 ortif plus que de puritain.) Il ralentit, pose un pied sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui lui arri
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
48 ue. Soudain je suspendis mon pas : au bout de mon pied , dans un creux d’herbe, un petit lièvre frémissait, immobile et terro
49 l’individu et la patrie, on ne sait plus sur quel pied danser.) Pour moi, j’ai pris le parti de laisser les étrangers vanter
35 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
50 geois. Il n’y a qu’une façon réelle de mettre les pieds dans le plat : c’est de croire. Il n’y a qu’une façon réelle de croir
51 à la vertu des « évasions ». Elle sait voyager à pied , camper, nager, vivre en communauté, aller en prison, se taire, négli
52 nistes et de tous ceux qui ont fait des voyages à pied . Cela ne peut pas être expliqué par les dispositions prises au départ
36 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
53 geois. Il n’y a qu’une façon réelle de mettre les pieds dans le plat : c’est de croire. Il n’y a qu’une façon réelle de croir
54 à la vertu des « évasions ». Elle sait voyager à pied , camper, nager, vivre en communauté, aller en prison, se taire, négli
55 nistes et de tous ceux qui ont fait des voyages à pied . Cela ne peut pas être expliqué par les dispositions prises au départ
37 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
56 des idéaux et des nations, et leur fédération sur pied d’égalité. Ainsi encore, notre méthode dichotomique — que beaucoup on
38 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
57 ce, voyant que l’herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger, aux éclairs de chaleur d’une révo
39 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
58 jours plus tard, je me vis obligé de traverser à pied la banlieue parisienne. C’était du côté des faubourgs qui portent ce
40 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
59 une personne. 5. « Ta Parole est une lampe à mes pieds , une lumière sur mon sentier » 6. Die Chimäre, trad. française dans
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
60 des idéaux et des nations, et leur fédération sur pied d’égalité. Ainsi encore, notre méthode dichotomique — que beaucoup on
42 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
61 sou est un sou, ne pas se laisser marcher sur les pieds , chacun pour soi et Dieu pour tous, etc. —, c’est bien à ce slogan-là
43 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
62 poque que d’autres peuples ont vécue, et tomber à pieds joints dans l’avenir. À quoi les ergoteurs ne manqueront pas de répli
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
63 d’un tour proverbial : « Voilà un écrit qui a des pieds et des mains !33 » 23. Toute mesure vraie doit être « universelle »
45 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
64 d’un tour proverbial : « Voilà un écrit qui a des pieds et des mains !34 » 24. Toute mesure vraie doit être « universelle »
46 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
65 : c’était là proprement « couper l’herbe sous les pieds  » à la guerre. Mais le geste du capitaliste, qui eût été la plus bell
47 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
66 ent. Le réel sera donc construit ! Et l’on met le pied soudain sur ce centre de tout : tous les problèmes s’émeuvent à la fo
48 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
67 succès commercial, c’est le moment de fourrer les pieds dans le plat et d’éclabousser les convives. Nous ferons notre pain no
49 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
68 laine. La petite ville reste invisible, massée au pied des rochers, en retrait sur notre gauche. À peine s’il nous en vient
69 lait verdi. C’est à peine si l’on peut marcher à pied sec dans les passages étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes
70 ésert. Nous nous sommes assis sur la terrasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison,
71 u lit, un gros édredon ramassé sur le ventre, les pieds découverts, un foulard noir sur les épaules, et je crois bien sa blou
72 un ample paysage horizontal. La plaine est à nos pieds , des Cévennes grises au nord jusqu’à l’horizon des collines vers Uzès
50 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
73 grande joie qu’une nouvelle ombre partant de ses pieds commençait à croître lorsqu’il se promenait dans le soleil. » Ici don
51 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
74 ne veulent avoir du fruit, ils coupent l’arbre au pied et cueillent le fruit. Voilà le gouvernement despotique. » Le refu
52 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
75 re la table, embarrassés de leurs mains, de leurs pieds , de leur casquette. Coups d’œil malicieux aux copains de la salle. Le
53 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
76 désir de sympathie humaine, d’échange direct sur pied d’égalité. Le père Renaud est un ancien marin, barbu, jovial, déjà to
77 j’étais à bout de ressources, ne bougeais plus ni pied ni patte et n’écrivais plus à personne. Je crois à la valeur d’appel
54 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
78 lontés convergentes de construction, de reprise à pied d’œuvre ; un souci de l’action possible ou nécessaire, mais par les m
55 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
79 la tête : que le génie de Marx l’a remise sur ses pieds en la fondant sur la matière économique ; qu’ainsi lestée, elle a pu
56 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
80 é sur l’infini néant des eaux, je considère à mes pieds les dessins du sable qui s’écoule à chaque retrait des vagues, et l’u
81 désir de sympathie humaine, d’échange direct sur pied d’égalité. Le père Renaud est un ancien marin, barbu, jovial, déjà t
82 re la table. Embarrassés de leurs mains, de leurs pieds , de leur casquette. Coups d’œil malicieux aux copains de la salle. Le
83 chômage déclasse l’intellectuel. Il le met sur un pied d’égalité paradoxal avec les hommes qui l’entourent. Il le dépouille
84 e pas de quoi durer, ni rien de ferme où poser le pied . Il se donne tort, et non au monde. Tout le problème de l’équilibre g
85 e-Conche. Une plage immense, en arc de cercle, au pied des dunes, très doucement inclinée, et sans une pierre. Merveilleuse
86 j’étais à bout de ressources, ne bougeais plus ni pied ni patte, et n’écrivais plus à personne. Je crois à la valeur d’appel
57 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
87 laine. La petite ville reste invisible, massée au pied des rochers, en retrait sur notre gauche. À peine s’il nous en vient
88 lait verdi. C’est à peine si l’on peut marcher à pied sec dans les passages étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes
89 ésert. Nous nous sommes assis sur la terrasse, au pied d’un grand micocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison,
90 u lit, un gros édredon ramassé sur le ventre, les pieds découverts, un foulard noir sur les épaules, et je crois bien sa blou
91 un ample paysage horizontal. La plaine est à nos pieds , des Cévennes grises au nord jusqu’à l’horizon des collines vers Uzès
92 ansparence vert bleu sur des cailloux ronds où le pied enfonce, entre deux rochers et le ciel. J’y reviens chaque année. Com
58 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
93 é. Sur les trottoirs immenses, des enfants jouent pieds nus, heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts, ici ; il y a
94 revient avec un genou. Je bouge encore, voilà son pied maintenant qui pèse sur le bord de mon soulier. Je ne puis presque pl
95 tits carreaux ornée d’un nœud papillon mauve. Son pied pèse toujours et insiste. Je retire vivement le mien. Lui revient. Je
59 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
96 les autocars, et l’afflux des campagnards venus à pied , il y aura un million d’auditeurs immédiats. Quelques femmes s’évanou
60 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
97 ce, voyant que l’herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger, aux éclairs de chaleur d’une révo
61 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
98 m d’un idéal latent de fédération des peuples sur pied d’égalité. Une vague de fond s’éleva contre la prétention allemande,
62 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
99 les autocars, et l’afflux des campagnards venus à pied , il y aura un million d’auditeurs immédiats. Je suis venu avec l’idée
100 Dans la nuit noire, sur une plaine inégale, où le pied bute, nous suivons des foules silencieuses et hâtives, vers ce carré
63 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
101 poque que d’autres peuples ont vécue, et tomber à pieds joints dans l’avenir. À quoi les ergoteurs ne manqueront pas de répli
64 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
102 ersations littéraires. Un fin gravier protège les pieds des hommes de lettres contre un contact salissant avec la glèbe impur
65 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
103 et qu’on peut seulement ressentir quand on a les pieds dans la boue, vers quatre heures du matin, après l’alarme. La plupart
66 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
104 courant du xve siècle, l’on se met à combattre à pied et en rangs. Autre transformation significative à la fin du siècle :
105 s, et si possible tranchés en deux de la tête aux pieds d’un formidable coup d’épée. Les exagérations sauvages de ces récits
67 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
106 us avons longuement parlé ; on prit le symbole au pied de la lettre, on « mystifia » l’amour profane. Et c’est de là que nou
68 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
107 ens et de bon conseil, un solide paysan, les deux pieds sur la terre, et non pas un sectaire ou un illuminé auquel des ouvrag
69 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
108 mi les incroyants, sentent le besoin de reprendre pied sur les vieilles bases spirituelles, rudes et monumentales, posées pa
109 ’un certain enthousiasme qui nous ferait tomber à pieds joints dans la fatale confusion du temporel et du spirituel. Parler d
70 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
110 il a délivré mon âme de la mort. Il garantit mon pied de toute chute ! Chœur céleste. (Au plan 3, invisible.)  —  Nicola
71 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
111 salut ! Qu’ils sont beaux sur nos montagnes — les pieds ailés du messager — qui vient publier la paix ! (Au plan 2, un messa
72 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
112 , dormir dans la même chambre qu’elle, puis à ses pieds . Pendant les quatre mois suivants et tout en continuant à la servir c
73 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
113 courant du xve siècle, l’on se met à combattre à pied et en rangs. Autre transformation significative à la fin du siècle :
114 s, et si possible tranchés en deux de la tête aux pieds d’un formidable coup d’épée. Les exagérations sauvages de ces récits
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
115 , dormir dans la même chambre qu’elle, puis à ses pieds . Pendant les quatre mois suivants et tout en continuant à la servir c
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
116 courant du xve siècle, l’on se met à combattre à pied et en rangs. Autre transformation significative à la fin du siècle :
76 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
117 que. Imaginez une personne qui n’a jamais mis les pieds dans un de nos temples, qui ne sait rien du protestantisme, ou qui es
77 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). II. Le symbole du Gothard
118 illeures forces, notre grande espérance. C’est au pied du Gothard dont elles gardaient les cols que les premières communes d
78 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
119 mi les incroyants, sentent le besoin de reprendre pied sur les vieilles bases spirituelles, rudes et monumentales, posées pa
120 nous de certains élans qui nous feraient tomber à pieds joints dans la fatale confusion du temporel et du spirituel. Parler d
79 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
121 cement du siècle suivant, par le rattachement sur pied d’égalité des cantons italiens et romands. Notre fédéralisme actuel n
80 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
122 t sur la route à prendre. Et soudain je vis à mes pieds , tracé à la craie sur le sol, un grand cercle entourant une inscripti
81 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
123 it voir, à travers ses jumelles, un champ, à 3000 pieds au-dessous, et parfois attraper le clair reflet d’une robe d’été et i
82 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
124 fatigue ou quelque vertige l’emporte, ou si votre pied glisse, ou si le terrain cède, que se passera-t-il ? Vous commencere
83 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
125 t un personnage doté d’une tête cornue et de deux pieds fourchus, mais dont le corps restait invisible. Et le titre était : N
84 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
126 up de dictature, juste assez pour se remettre sur pied … Viendront alors les grands Dieticians. Ils prescriront divers régime
85 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
127 fatigue ou quelque vertige l’emporte, ou si votre pied glisse, ou si le terrain cède, que se passera-t-il ? Vous commencerez
86 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
128 t un personnage doté d’une tête cornue et de deux pieds fourchus, mais dont le corps restait invisible. Et le titre était : N
87 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
129 up de dictature, juste assez pour se remettre sur pied … Viendront alors les grands diététiciens. Ils prescriront divers rég
88 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
130 fatigue ou quelque vertige l’emporte, ou si votre pied glisse, ou si le terrain cède, que se passera-t-il ? Vous commencerez
89 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
131 sur le chemin à prendre. Et soudain, je vis à mes pieds , tracé à la craie sur le sol, un grand cercle entourant une inscripti
90 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
132 mis, vers ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une somb
91 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
133 ne Personne. 29. « Ta parole est une lampe à mes pieds , une lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. 30. Die Chimäre,
92 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
134 cutait d’une telle façon qu’il retombait les deux pieds sur la terre et pouvait dès lors y agir et s’y promener comme si de r
93 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
135 aciale : c’est tout cela que symbolise le verre à pied saisi dans le mouvement du croquis. Et dans la lampe, il y a la mysti
94 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
136 gaie trahit seul le glissement d’un canoë vers le pied du rocher où j’écris. Deux voiles inclinées se croisent lentement ent
95 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
137 étaient venus ; ils se versaient à boire, et, les pieds sur une chaise, me posaient avec naturel des questions follement indi
96 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
138 éluge, en comparaison, n’aurait été qu’un bain de pieds . Le gouvernement américain ayant également annoncé son intention de j
97 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
139 éluge, en comparaison, n’aurait été qu’un bain de pieds . D’autres nous parlent d’une contamination des atomes d’uranium nagea
98 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
140 ce, voyant que l’herbe se faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient plus de berger, aux éclairs de chaleur d’une révo
99 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
141 ile achetée, il ne dépendait que de lui d’aller à pied quand cela lui chantait. Mais je m’avise ici d’une contradiction étra
100 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
142 provençales. La brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dan