1 d’aller plus loin et de prendre une connaissance positive de ce qu’il y a sous cette réalité. Il est certain que s’ils avaient

2 celles de mes pensées qui exigent des apparences positives . Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi,

3 aine menacée par le matérialisme : c’est un idéal positif , immédiat parce qu’éternel. Là où Keyserling dit seulement adaptation

4 r un principe destructeur. C’est au nom d’une foi positive que l’on attaque ici le moralisme survivant, c’est au nom d’une grand

5 celles de mes pensées qui exigent des apparences positives . Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi,

6 celles de mes pensées qui exigent des apparences positives . Ainsi donc j’ai cherché la Pierre des Philosophes. D’autres aussi, p

7 re christianisme contre le monde, comme une force positive contre une force de même ordre. Assez de cette « politique chrétienne

8 ques apportez-vous ? On voudrait quelque chose de positif … » Nous avons accueilli cette question de la façon dont nous voudrion

9 voilà bien la seule acception chrétienne du mot «  positif  ». Pour les uns, « positif », c’est ce qui rapporte. Pour les autres,

10 on chrétienne du mot « positif ». Pour les uns, «  positif  », c’est ce qui rapporte. Pour les autres, ce qui rassure. Pour le ch

11 donner des directives pratiques et des solutions positives , « discutables, certes, mais positives ». Si nous avions écrit, dans

12 solutions positives, « discutables, certes, mais positives  ». Si nous avions écrit, dans notre premier numéro, que la solution d

13 vé, qu’enfin ! nous apportions quelque chose de «  positif  » ! Comme si le christianisme n’était qu’une politique possible, entr

14 selon certaines règles et certaines directives «  positives  »… Mais si ces directives venaient à nous manquer, que ferions-nous d

15 faveur de cette « conversion », la notion même de positif est bouleversée. Critiquer les doctrines qui prétendent résoudre huma

16 r salut, — telle est la seule tâche véritablement positive que notre effort, ici, peut s’assigner sans fol orgueil. « Positif »

17 effort, ici, peut s’assigner sans fol orgueil. «  Positif  » est ce qui rapproche du Réel. Cela prend bien souvent l’aspect d’un

18 qui ne vide pas le loisir de toute signification positive mais bien au contraire en figure la plénitude, ce travail véritable a

19 onstamment ces deux attitudes l’une à l’autre, la positive et la négative, à expliquer le oui par le non, et le non par le oui,

20 idéaux, demande des apaisements ou des directions positives . Faut-il encore ajouter à son trouble, l’aggraver, le rendre littéral

21 me libéral, procédant par ailleurs de conceptions positives et pseudo-scientifiques qui étaient déjà contenues dans la définition

22 ue j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs , cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont tout-puissants sur

23 oncrète à l’être. Démarche négative du désespoir, positive de l’espérance, — elles sont inséparables jusqu’au bout, note M. Marc

24 nécessité intérieure, — c’est-à-dire sans message positif et populaire — n’ait été finalement utilisée par des puissances qu’el

25 ue j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs , cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont tout puissants sur

26 re christianisme contre le monde, comme une force positive contre une force de même ordre. Assez de cette « politique chrétienne

27 qui ne vide pas le loisir de toute signification positive mais bien au contraire en figure la plénitude, ce travail véritable a

28 it exemple fait apparaître immédiatement l’aspect positif de la formule « ni droite ni gauche ». C’est l’aspect décentralisateu

29 ue j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs , cette fois. Les dieux, les mythes du siècle, sont tout puissants sur

30 re christianisme contre le monde, comme une force positive contre une force de même ordre. Assez de cette « politique chrétienne

31 qui ne vide pas le loisir de toute signification positive mais bien au contraire en figure la plénitude, ce travail véritable a

32 ne me propose pas du tout de décevoir ce goût de positif que mes contemporains, à tort et à travers, opposent à toute critique

33 ’affirment dans l’Europe d’aujourd’hui. Ce projet positif présente un gros défaut pratique : il conduit à poser de vraies quest

34 Je n’entends pas que ce recueil n’apporte rien de positif , comme on dit. Il apporte d’abord un ton, ce n’est pas peu, si ce n’e

35 muz, dont il est bien facile de tirer une épreuve positive  : « Sa poésie commence avec le commencement de sa personne ; elle pre

36 roire dans un certain groupe — mais bien les buts positifs du marxisme stalinien, que je vise ici. 44. Et en Belgique, Suisse,

37 égoïstes plutôt que d’une considération virile et positive de la mission de l’esprit inventeur ; enfin que c’est le système capi

38 é. Mais on n’en avait pas une conscience assurée, positive . 6. Il est curieux de noter qu’à la page 36 de son livre, de Man so

39 ommunauté, contre toutes ses caricatures. L’idéal positif du siècle était en vérité une caricature d’idéal, aussi ne trouva-t-i

40 et très sévère. Il s’agit, pour parler un langage positif , de rétablir une situation désespérée qui fut notre douceur de vivre,

41 ’agissait de remplir. C’est en vertu d’une vision positive et créatrice, nous l’avons dit, que nous pouvons critiquer la culture

42 ommunauté, contre toutes ses caricatures. L’idéal positif du siècle était en vérité une caricature d’idéal, aussi ne trouva-t-i

43 et très sévère. Il s’agit, pour parler un langage positif , de rétablir une situation désespérée qui fut notre douceur de vivre,

44 ’agissait de remplir. C’est en vertu d’une vision positive et créatrice, nous l’avons dit, que nous pouvons critiquer la culture

45 e divise en trois parties 1° une partie politique positive  : documentation objective, condensée, sans commentaire, ni appréciati

46 vouloir rien affirmer de trop volontaire, de trop positif , de trop réellement révolutionnaire et constructif, le « romancier à

47 ’est l’évidence, parce qu’elles n’exigent rien de positif , ne construisent rien, n’animent rien, s’épuisent en excitations verb

48 . Ils ne songent pas à en tirer le moindre profit positif . Ils se nourrissent mal (légumes, soupes, fruits de mer, seiches, et

49 nes médiocres. Vous donnez par exemple une valeur positive à un principe fédéraliste qui ne traduit historiquement — de même que

50 ’est l’évidence, parce qu’elles n’exigent rien de positif , ne construisent rien, n’animent rien, s’épuisent en excitations verb

51 . Ils ne songent pas à en tirer le moindre profit positif . Ils se nourrissent mal (légumes, soupes, fruits de mer, seiches et p

52 une communauté, il faut d’abord un but commun, et positif , un principe créateur et pas seulement de la révolte. Ensuite, il fau

53 e, réellement, saura retrouver l’usage concret et positif des libertés qu’elle s’est conquises. Il s’agit de savoir si le désor

54 disait l’abbé Grégoire : c’est le « christianisme positif et allemand » des nazis… Tout cela fut écouté avec un intérêt courtoi

55 disait l’abbé Grégoire. C’est le « christianisme positif  » du 24e point d’Hitler, la « piété » des Deutsche Christen, la « foi

56 mme du Parti n’entend parler que de « religiosité positive  ». C’est uniquement parce que la religiosité courante en ce pays étai

57 arté, qu’on a utilisé le terme de « christianisme positif  ». La formation politico-culturelle consiste dans une prise de consci

58 Point d’anticléricalisme, car « devant le regard positif , toute religion finit par être vraie », et même « l’obligation de cro

59 concret de la vie. Aimer devient alors une action positive , une action de transformation. Éros cherchait le dépassement à l’infi

60 concret de la vie. Aimer devient alors une action positive , une action de transformation. Éros cherchait le dépassement à l’infi

61 concret de la vie. Aimer devient alors une action positive , une action de transformation. Éros cherchait le dépassement à l’infi

62 « neutralité ». Et ce sera pour découvrir le sens positif de ces termes, pour les sauver de la banalité scolaire, officielle ou

63 nts côtés qu’il impliquait une suite, une partie “ positive ”. C’est à cette demande que veut bien répondre notre collaborateur. »

64 La prochaine fois, nous parlerons d’une manière «  positive  », c’est promis !) « Si quelque chose aujourd’hui menace la liberté,

65 l’intérêt de l’Europe entière. Seule, la mission positive de la Suisse rend un sens et un poids aux arguments que nous jugions

66 données communes un sens spirituel, une vocation positive . Car le chrétien est, si j’ose dire, un spécialiste de la vocation. C

67 ’une rigoureuse critique, d’une critique utile et positive , qui prépare et qui définisse les reconstructions nécessaires. ⁂ La g

68 la manie de discuter. Elle attend des directions positives . Elle est prête à croire, et elle demande à la prédication de parler

69 lasse ; ou pour montrer à notre peuple sa mission positive dans l’Europe d’aujourd’hui. Toutes ces choses peuvent et doivent êtr

70 on « par en haut », elles auront eu pour résultat positif de réveiller des préoccupations civiques, et d’accélérer certaines év

71 nes médiocres. Vous donnez par exemple une valeur positive à un principe fédéraliste qui ne traduit historiquement — de même que

72 l’intérêt de l’Europe entière. Seule, la mission positive de la Suisse rend un sens et un poids aux arguments que nous jugions

73 re où nous aurions besoin, dit-on, d’un « message positif  » et rassurant ? Eh bien, surtout que l’on ne se rassure pas ! L’une

74 propre. Sa qualité de n’être pas ceci ou cela de positif lui donne une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’alibis à p

75 re où nous aurions besoin, dit-on, d’un « message positif  » et rassurant ? Eh bien, surtout que l’on ne se rassure pas ! L’une

76 propre. Sa qualité de n’être pas ceci ou cela de positif lui donne une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’alibis à p

77 re où nous aurions besoin, dit-on, d’un « message positif  » et rassurant ? Eh bien, surtout que l’on ne se rassure pas ! L’une

78 propre. Sa qualité de n’être pas ceci ou cela de positif lui donne une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’alibis à p

79 propre. Sa qualité de n’être pas ceci ou cela de positif lui donne une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’alibis à p

80 ortrait de Ramuz. Essayons d’en tirer une épreuve positive  : « Sa poésie commence avec le commencement de sa personne ; elle pre

81 d’après-guerre ne seront pas nécessairement plus positives ou plus cyniques — tout en prétendant l’être, à coup sûr. Mais sans a

82 se l’une de l’autre : équilibre entre les aspects positifs et négatifs des 4 instruments (bâtons, épées, coupes, deniers), c’est

83 ressemble à l’ONU comme le négatif d’un cliché au positif de la photo que l’on va proposer à notre admiration. Elle tient ses d

84 er aux théologiens le soin de définir la doctrine positive de l’union au nom de laquelle doit être condamnée l’hérésie unitaire.

85 osité et un grand désir de tirer quelque chose de positif des entretiens de Genève. Il faut que Genève devienne une sorte de Sa

86 ressemble à l’ONU comme le négatif d’un cliché au positif de la photo que l’on va proposer à notre admiration. Elle tient ses d

87 celles de mes pensées qui exigent des apparences positives . Ainsi donc, j’ai cherché la Pierre des philosophes. D’autres aussi,

88 ’est l’évidence, parce qu’elles n’exigent rien de positif , ne construisent rien, n’animent rien, s’épuisent en excitations verb

89 . Ils ne songent pas à en tirer le moindre profit positif . Ils se nourrissent mal (légumes, soupes, fruits de mer, seiches et p

90 une communauté, il faut d’abord un but commun, et positif , un principe créateur et pas seulement de la révolte. Ensuite, il fau

91 disait l’abbé Grégoire. C’est le « christianisme positif  » du 24e point d’Hitler, la « piété » des Deutsche Christen, la « foi

92 amme du Parti n’entend parler que de “religiosité positive ”. C’est uniquement parce que la religiosité courante en ce pays était

93 larté, qu’on a utilisé le terme de “christianisme positif “.  » La formation politico-culturelle consiste en une prise de consc

94 transcendante qu’elle sert : c’est là le principe positif de la liberté. Il peut faire appel, sans tricherie. L’ordre véritable

95 ressemble à l’ONU comme le négatif d’un cliché au positif que l’on va proposer à notre admiration. Elle tient ses dernières ass

96 t réciproquement. Ils conditionnent d’une manière positive l’action conjointe des trois partis qui les revendiquent principaleme

97 légaux à nos échanges doit correspondre un effort positif . Il serait insuffisant et vain de vouloir revenir simplement à la con

98 e aucune base de compromis, c’est-à-dire d’action positive . À ces deux conditions de l’union — les mieux faites pour la rendre i

99 perpétuelle. En même temps, elle prend un aspect positif . On sait en effet que le traité de Vienne dit en tous termes que « la

100 e soutenir que la neutralité représente un apport positif à la fédération du continent, c’est-à-dire à ses vrais intérêts. Mais

101 e aucune base de compromis, c’est-à-dire d’action positive . À ces deux conditions de l’union — les mieux faites pour la rendre i

102 ustifier son abstention. Mais sur quelles valeurs positives Nehru peut-il fonder le double refus qui paraît inspirer sa politique

103 ne morale qui ne sait plus lui donner des raisons positives de vivre. L’homme qui se sent vaguement coupable, sans trop savoir de

104 e et en Amérique — avec des résultats concrets et positifs . Tous les pays totalitaires l’ont supprimé, et c’est même à cette sup

105 avoir si le Progrès, au total, a vraiment un sens positif  ? Dans l’ensemble, il se peut qu’il n’en ait point, qu’il n’ait aucun

106 es mois qui viennent, de mettre en valeur le côté positif de cette opération. Un délai de grâce pour l’Europe Les Russes

107 de l’Europe. Si quelques conclusions communes et positives se dégagent de la confrontation de nos jugements sur le Projet, cette

108 icisme romain, d’autre part une tournure d’esprit positive et volontiers simpliste, une horreur congénitale de la rhétorique sou

109 nt les sceptiques pour mieux refuser toute action positive , mais qu’il s’agit maintenant de prendre au sérieux. 8. On sait que

110 , procède des options de Nicée. Le rapport est-il positif , dialectique, ou purement négatif ? Les aspects négatifs du rapport r

111 renouveler la question et de rappeler les aspects positifs  : ceux-ci sont à la fois plus « nouveaux » (voire choquants) pour les

112 les défaitistes de l’Occident, ils n’ont rien de positif à proposer aux Russes, et ne peuvent pas prétendre à représenter l’op

113 position gratuite et ouverte à tous des résultats positifs de nos libres discussions, constitue l’argument fondamental de l’Occi

114 ement d’une œuvre « européenne », au sens le plus positif du terme. x. « Pour les grands festivals de musique l’Europe est fa

115 qui doit être orientée dès le début dans un sens positif et créateur. aq. « Nouvelles culturelles européennes », Bulletin du

116 . L’Humanité n’en a pas moins loué « le caractère positif et progressiste » de la saisie du canal de Suez. Qu’importe le fascis

117 Jurons de faire l’Europe. C’est la seule réponse positive et finalement active dans l’Histoire. Mais en même temps, il faut agi

118 nnel des programmes ne dit-elle pas d’une manière positive ce qu’une telle mise en garde aurait pour but de signaler ? Sans comp

119 t. Sa faculté de revendiquer et d’imposer un sens positif à la vie, niée par Kafka, s’est attestée dans le soulèvement des écri

120 , procède des options de Nicée. Le rapport est-il positif , dialectique, ou purement négatif ? Les aspects négatifs ont été sou

121 renouveler la question et de rappeler les aspects positifs  : ceux-ci sont à la fois plus « nouveaux » (voire choquants) pour les

122 u repères ? Je fonderais pour ma part une réponse positive sur quelques motifs généraux que je ne puis qu’énumérer ici. Il m’app

123 des objections pour arriver à une définition plus positive de la communauté de culture propre à l’Europe, c’est-à-dire de l’unit