1
ce que produit la recherche de la vérité. Dès son
premier
livre, il s’est montré tout entier, il a bravement affirmé son unité.
2
adoxal que M. de Montherlant est justement un des
premiers
Français qui ait compris que le but du sport n’est pas la performance
3
sponsable de ces carnages ». Naguère il était des
premiers
; il s’affirme aujourd’hui des seconds. C’est pour avoir contemplé Ve
4
u-dedans de moi. Qu’est-ce que c’est donc ? » Ses
premiers
dessins sont de gauches copies de Millet. Mais son manque de talent n
5
choyé. « Maintenant, m’écriai-je — c’était un des
premiers
jours du printemps —, l’heure est venue de la violence. Jeunes tempêt
6
mais une secrète espérance m’emporte de nouveau,
premier
gage du divin… Reprendre l’offensive — au soir, je m’amuserai à mettr
7
n roman, parce que ça se vend mieux. Ce récit des
premiers
combats de taureaux du jeune Montherlant est en réalité un nouveau to
8
n a souvent parlé d’excès de lyrisme à propos des
premiers
ouvrages de Montherlant. Cette fois-ci, on le traite de naturaliste.
9
moral, nous avons élevé à la hauteur d’une vertu
première
— et qui légitime tous les dénis de morale à quoi nous obligeaient en
10
Sincérité envers soi-même Noli me tangere.
Premier
exemple. — Je m’assieds à mon bureau, je prends une feuille blanche,
11
e gardée du ci-devant soleil. C’est là qu’Urbain,
premier
du nom dans sa famille, laquelle n’avait compté jusqu’alors que d’aut
12
r excès de bonne humeur printanière, Urbain donc,
premier
mauvais garçon d’une race entre toutes bénie — par qui ? elle était a
13
autre sujet du roman, qui se mêle étroitement au
premier
… Mais combien cette analyse trahit Barbey : son art est justement de
14
a rue. Il doit être maintenant 5 heures du matin.
Premiers
appels d’autos dans la ville, mais il me semble que toutes choses s’é
15
ntr’acte est une aide puissante. Nous faisons nos
premiers
pas, étourdis, dans un pays d’illuminations vertigineuses, et nous en
16
de l’infini où chancellent parmi les éclairs nos
premiers
pas. Aragon, dans ces tempêtes de nuits filantes où s’enfuient, souff
17
s fini de chasser parce qu’elle n’a pas mérité du
premier
coup qu’on se donne la peine de l’écraser, — c’est qu’il symbolise to
18
ts garantis qui posent un critique d’art diplômé.
Premier
péché contre l’histoire : au seuil d’un article consacré aux jeunes a
19
Hollande, sa seconde patrie si la peinture est sa
première
et Neuchâtel la troisième… Il y a par Eugène Bouvier quelque chose de
20
ns l’œuvre de Bouvier. Sa technique qui paraît au
premier
abord masquer ses intentions, en réalité les exprime par ses défauts
21
Jean-Louis Vaudoyer,
Premières
amours (août 1927)an Ces trois nouvelles n’ont guère de commun ent
22
nd quelques droits. an. « Jean-Louis Vaudoyer :
Premières
amours (Plon, Paris) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève,
23
ente dans la production actuelle. On retrouve aux
premiers
chapitres de Catherine-Paris cette magie des sensations et des rêves
24
er s’il est possible d’échapper au fatal dilemme.
Premiers
pas vers la solution : l’existence du dilemme. Second pas : en poser
25
hose. C’est pourquoi j’ai lu ce livre, malgré son
premier
chapitre, variation sur un mot bien français et ses applications faci
26
primer en un tel drame, et voici André Malraux au
premier
rang des romanciers contemporains. au. « André Malraux : Les Conqué
27
s encore apparaître sous cet aspect dans ces deux
premiers
tomes, où il décrit des scènes de son enfance et de sa jeunesse comme
28
rairies romandes, en mal de cadeaux de Noël ou de
première
communion. Parmi les compatriotes d’Amiel, Godet restera l’un des rar
29
reste de votre séjour ne fera que confirmer cette
première
impression. Vienne : assis sur les banquettes rembourrées de profonde
30
exemples cet axiome qui devint la formule de mes
premières
douleurs morales. Après six ans de ce régime, on m’avait suffisamment
31
ucune réalité. Ils ne renferment rien qui soit de
première
main, rien qui soit authentique. Ils négligent toutes les particulari
32
les hommes d’avenir. Un jour on voit s’étaler en
première
page des illustrés la face épanouie quoique énergique d’un de ces coq
33
ans toutes les démarches de notre vie. Mais cette
première
tâche constitue un programme si riche qu’il est superflu d’en formule
34
exemples cet axiome qui devint la formule de mes
premières
douleurs morales. Après six ans de ce régime, on m’avait suffisamment
35
ucune réalité. Ils ne renferment rien qui soit de
première
main, rien qui soit authentique. Ils négligent toutes les particulari
36
les hommes d’avenir. Un jour on voit s’étaler en
première
page des illustrés la face épanouie quoique énergique d’un de ces coq
37
ans toutes les démarches de notre vie. Mais cette
première
tâche constitue un programme si riche qu’il est superflu d’en formule
38
ut que vous les trouviez médiocrement riantes, au
premier
coup d’œil, assez dénuées de ces effets faciles qu’on aime à ménager
39
ut-être faut-il venir du Japon pour accueillir du
premier
regard, dans un matin plein de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me
40
neige. On la sent prête à fondre de tendresse au
premier
regard. Mais non, trop bien élevée, elle se ressaisit, pense à Genève
41
n dans mes relations avec le monde. En quoi cette
première
question est assez indiscrète. II Il y aurait beaucoup à dire sur l’
42
mis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées,
premiers
regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentati
43
ien d’ailleurs ; tout à ma chance hongroise en ce
premier
réveil — délivré. Chez moi je suis la proie de l’angoisse du courrier
44
l. Que Charles Du Bos mérite aujourd’hui l’un des
premiers
rangs dans la critique européenne, l’ampleur du champ qui lui est nat
45
’en attendre aujourd’hui d’un jeune écrivain. Son
premier
roman, Les Conquérants, décrivait la révolution communiste en Chine,
46
par Rembrandt, et qui permet de les identifier au
premier
coup d’œil, ce « commun dénominateur » d’expression et de masques si
47
ues, artistes ou écrivains, s’est muée le soir du
premier
vernissage en une sympathie sincère et souvent fort admirative. Le ti
48
ans ces indignations sentimentales la réponse aux
premiers
troubles que la grâce jette dans son âme. D’autre part, tous les cath
49
t d’attention soutenue que plusieurs chapitres du
premier
tome risqueraient de lasser, par une multiplicité de notations toucha
50
i répugne encore ? Il s’en rend compte lors de sa
première
visite aux bas-fonds : Eiichi était partagé entre deux désirs. L’un
51
e à lire tout l’Évangile selon saint Matthieu, du
premier
chapitre au dernier, priant continuellement pour obtenir la grâce de
52
mots : Kierkegaard, — et c’est Gide qui, l’un des
premiers
, l’a prononcé en France. Kierkegaard, un homme qui ne vous lâche plus
53
à celui des athées, — au lieu qu’il eût fallu du
premier
coup le dénoncer, comme radicalement contraire à notre foi originale.
54
ue d’une part notre conduite peut être aliénée au
premier
automatisme venu, même moral, cependant que d’autre part notre esprit
55
se de provoquer dans notre esprit l’étonnement du
premier
regard, c’est la similitude de forme, c’est-dire la similitude essent
56
mage ou ange… » rappelle étrangement ces vers du
Premier
Faust que l’on citait plus haut : « Moi qui me suis cru plus grand qu
57
Goethe, dès qu’il s’agit de faire état des causes
premières
, des fins dernières, en tant que telles. De là ce rationalisme agress
58
témoigner d’une certaine force de révolte. Notre
premier
mouvement nous porterait vers Rimbaud, nous détournant de Goethe. Mai
59
, qui n’ont eu de pensée raisonnable qu’avec leur
première
sensation religieuse, et croient qu’on ne peut aller plus loin parce
60
s. Mais en voilà assez, n’abusons pas des vérités
premières
, encore que la pensée bourgeoise contemporaine, comme l’a fort bien m
61
À l’index (
Première
liste) : Candide (octobre 1932)a Le numéro « exceptionnel » du 8 s
62
la haine qui se bat les flancs. a. « À l’index (
Première
liste) », Esprit, Paris, n° 1, octobre 1932, p. 194-195.
63
antes par lesquelles il inaugurait la rubrique au
premier
numéro, suggérait une méthode d’« observation affectueuse » des vies
64
e un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux
premiers
termes. Ainsi des conflits individu-société, petite patrie-nation cul
65
mis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées,
premiers
regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentati
66
ien d’ailleurs ; tout à ma chance hongroise en ce
premier
réveil — délivré. Chez moi je suis la proie de l’angoisse du courrier
67
de la rivière et de l’écluse proche, — ce sera sa
première
habitude. 22 avril 1929 Mes fenêtres donnent sur la rivière. En
68
is entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du
premier
Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nous rapproche
69
ais attablé ce soir-là dans l’Auberge du Cerf, au
premier
, les pieds contre mon schnauzer enfin calmé (il avait harcelé la serv
70
neige. On la sent prête à fondre de tendresse au
premier
regard. Mais non, trop bien élevée, elle se ressaisit, pense à Genève
71
mis me sourient. Ô liberté aérienne des arrivées,
premiers
regards aux rues croisées qui font des signes pour demain, présentati
72
ien d’ailleurs ; tout à ma chance hongroise en ce
premier
réveil — délivré. Chez moi je suis la proie de l’angoisse du courrier
73
de la rivière et de l’écluse proche, — ce sera sa
première
habitude. 22 avril 1929 Mes fenêtres donnent sur la rivière. En
74
is entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du
premier
Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malentendu qui nous rapproche
75
ais attablé ce soir-là dans l’Auberge du Cerf, au
premier
, les pieds contre mon schnauzer enfin calmé (il avait harcelé la serv
76
e-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des
premiers
nuages. Une grande nuit s’ouvre au travail paisible. D’heure en heure
77
esure, toute la Terre promise à tout l’homme !
Premier
retour Paris, début avril 1946 LaGuardia Field dans une matinée bl
78
une harmonie qui fait venir les larmes aux yeux.
Premier
bruit de pas dans la rue. Semelles de bois. Une femme de ménage sort
79
plus grandes, et vers la liberté de l’esprit. Sa
première
allégeance était l’Église, et par là même l’universel, c’est-à-dire l
80
e… Enfin la variété des objets, des lumières, des
premiers
plans et des éloignements qu’un peu de vent déplace, illumine ou étei
81
nneau comme le veut la coutume, l’histoire de mes
Premières
Amours. On m’a conspué. J’ai 16 ans. C’est horrible. Mon seul amour d
82
ste du genre. Son succès en Allemagne remonte aux
premières
années de l’après-guerre, illustrées par les livres monumentaux de Sp
83
de) et F. Heuson (Amérique). C’est un document de
premier
ordre sur la « rupture » à laquelle nous travaillons tous ici. 9. S
84
)c Beaucoup de personnes, après avoir lu notre
premier
cahier, nous ont écrit ceci : « Quelles solutions pratiques apportez-
85
ais positives ». Si nous avions écrit, dans notre
premier
numéro, que la solution des problèmes sociaux réside, par exemple, da
86
sonnet publié par Albert-Marie Schmidt dans notre
premier
numéro « est bien la première poésie dialectique qui lui soit tombée
87
si dans leur expression elles ne comportaient, à
première
vue, une similitude si troublante avec les thèses barthiennes, et si
88
s notre parler quotidien. Nous dirons donc : Dieu
premier
et dernier, et ensuite seulement notre recherche, mais en même temps,
89
s que l’on voit « s’échauffer, se brouiller » aux
premières
instances d’un choix radical et véritablement ordonnateur. Le chapitr
90
ent, maintenant, cela se voit. Depuis la chute du
premier
homme, depuis le déluge, le monde se débat dans une crise millénaire
91
voilà peut-être les divinités maîtresses de cette
première
moitié du siècle. Qu’il s’agisse bien là de dieux, c’est ce que nous
92
souviens d’avoir été vivement frappé, lors de ma
première
rencontre avec Dandieu, par l’apparente contradiction entre sa face e
93
nt la question. La Nature n’est plus que matières
premières
, surfaces d’exploitations, richesses du sous-sol ; par une charité de
94
ponse, une explication certaine, digne de foi, de
première
source, une réponse de Dieu, qui, même si elle foudroie, est plus mag
95
e par le traducteur). Mais il ne s’agit là que du
premier
volet d’un triptyque dont il nous faut attendre les deux autres parti
96
7. Converti au catholicisme après avoir écrit ses
premières
œuvres, et devenu l’un des chefs du parti catholique parmi les intell
97
u de méthode politique. N’a-t-il pas été l’un des
premiers
à dénoncer la décadence bureaucratique des partis marxistes, et à déc
98
e à son acuité extrême le paradoxe défini dans ma
première
partie. Elle ne saurait être mise en symétrie avec aucune des autres
99
unier, directeur de la revue, définissait dès son
premier
numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela
100
e sa chambre aux misérables sans-abris. Ses trois
premiers
hôtes sont un galeux, un alcoolique qu’il nomme la « statue de cuivre
101
qu’il était le meilleur écrivain de son pays. Sa
première
œuvre eut un immense succès ; mais à mesure qu’il se fit mieux compre
102
isme officiel et les évêques qui avaient loué ses
premières
œuvres, il se vit abandonné dans la plus complète solitude qu’ait jam
103
oi sur les vérités qui font vivre, cette solitude
première
devant Dieu, est-ce bien cela que revendiquent les défenseurs du prim
104
somptueuse paraît le Très Vénérable et Très Noble
Premier
Prédicateur Général de la Cour, le favori élu par la bonne société ;
105
ndus seraient ici possibles ; que l’on écarte, au
premier
pas, trois mots qui faussent tout : anarchie, romantisme, individu. I
106
e quoi tu agiras, si tu agis. Un « moi pur », son
premier
devoir, c’est de persévérer dans son être agissant : en cette extrémi
107
on peut distinguer trois espèces de littérateurs.
Première
espèce : les romanciers de la vie des classes possédantes. Le bourgeo
108
d la plupart des auteurs qui se gaussent des deux
premières
, ceux qui méprisent la vie bourgeoise, l’amour et le mariage bourgeoi
109
vidualisme politique. « Dernière heure de l’État,
première
heure des hommes. » Nous dirons première heure de la personne. Ceux q
110
l’État, première heure des hommes. » Nous dirons
première
heure de la personne. Ceux qui n’ont pas en eux cette mesure de l’hom
111
ns de cette démission de la France que, dès notre
premier
numéro, nous dénoncions. Qu’allons-nous retenir de tous ces plans don
112
e humain, la personne est par excellence le terme
premier
, dont dépend toute réalité collective. À l’utopie sociologique qui pr
113
n’y a de rapport humain réel que par l’apparition
première
de la personne, fondement nécessaire et suffisant de toute communauté
114
urréalisme, en somme, qui demeure responsable des
premières
graves confusions commises depuis la guerre sur le mot de révolution.
115
rdage lyrique dont Breton sera, je crois, le tout
premier
à reconnaître qu’il sue le plus insupportable ennui. Ouvrez une revue
116
ls n’ont triomphé que par l’abdication de l’idéal
premier
. En échange de leur promesse d’abandonner leurs exigences trop réelle
117
ent, maintenant, cela se voit. Depuis la chute du
premier
homme, depuis le déluge, le monde se débat dans une crise millénaire
118
voilà peut-être les divinités maîtresses de cette
première
moitié du siècle. Qu’il s’agisse bien là de dieux, c’est ce que nous
119
ersonne ou individu ? (D’après une discussion)
Première
question. — Vous parlez beaucoup de la personne… De mon temps, nous d
120
sion normale du bien particulier. La personne est
première
ou n’est pas. Cela revient à dire, sur le plan politique, que l’État
121
arx, a été beaucoup plus loin que son indignation
première
. De cet argument polémique, de ce rappel à la vraie nature des choses
122
es fins à leur tour du point de vue de la réalité
première
qu’est la personne, je ne m’attarderai pas à dénoncer les excès trop
123
nte l’État pour les fascistes ? Il répond en tout
premier
lieu à la nostalgie d’unité qui s’empare des peuples fatigués — démor
124
. Et de là viennent cette folie des grandeurs aux
premiers
temps, cet activisme délirant, cette stérilité verbeuse, puis toute c
125
e un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux
premiers
termes. Ainsi des conflits individu-société, petite-patrie nation cul
126
erniers », c’est-à-dire : ce que l’homme place au
premier
rang d’un « ordre » humain et rien qu’humain sera au dernier rang de
127
la sorte, elles étranglent la révolution dès ses
premiers
succès.) 6. Les « centres nerveux » d’un pays, dont il s’agit de se r
128
unier, directeur de la revue, définissait dès son
premier
numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela
129
ls n’ont triomphé que par l’abdication de l’idéal
premier
. En échange de leur promesse d’abandonner leurs exigences trop réelle
130
nt, maintenant, cela se voit. Depuis la chute du
premier
homme, depuis le déluge, le monde se débat dans une crise dont les pé
131
voilà peut-être les divinités maîtresses de cette
première
moitié du siècle. Qu’il s’agisse bien là de dieux, c’est ce que nous
132
sonne ou individu ? (d’après une discussion)
Première
question. — Vous parlez beaucoup de la personne… De mon temps, nous d
133
sion normale du bien particulier. La personne est
première
ou n’est pas. Cela revient à dire, sur le plan politique, que l’État
134
arx, a été beaucoup plus loin que son indignation
première
. De cet argument polémique, de ce rappel à la vraie nature des choses
135
es fins à leur tour du point de vue de la réalité
première
qu’est la personne, je ne m’attarderai pas à dénoncer les excès trop
136
nte l’État pour les fascistes ? Il répond en tout
premier
lieu à la nostalgie d’unité qui s’empare des peuples fatigués — démor
137
. Et de là viennent cette folie des grandeurs aux
premiers
temps, cet activisme délirant, cette stérilité verbeuse, puis toute c
138
e un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux
premiers
termes. Ainsi des conflits individu-société, petite patrie-nation cul
139
erniers », c’est-à-dire : ce que l’homme place au
premier
rang d’un « ordre » humain et rien qu’humain sera au dernier rang de
140
la sorte, elles étranglent la révolution dès ses
premiers
succès.) 6. Les « centres nerveux » d’un pays, dont il s’agit de se r
141
unier, directeur de la revue, définissait dès son
premier
numéro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela
142
contraire, dans sa démarche intime, dans son élan
premier
, dans sa prise sur le réel et dans sa volonté de le transformer, donc
143
ans ces conditions, une erreur “insignifiante” au
premier
abord peut avoir les plus déplorables conséquences et il faut être av
144
ences humaines. Au contraire, nous poserons comme
première
condition de toute révolution vraie, que ceux qui luttent pour elle t
145
lution « appartient » de fait et de droit à cette
première
communauté, mais il faut dire encore qu’une telle communauté est la R
146
e qu’il faut penser d’une allégation qui paraît à
première
vue aussi exorbitante : je n’ai lu que de courts fragments des posthu
147
ieu, en la liberté et en l’immortalité, comme ses
premières
dents ; ce n’est qu’ensuite que vous pousse la véritable dentition.
148
ion militaire, j’indiquerai l’ordre de la marche.
Premier
principe : Tout ce qui est réel est moteur, et donc informateur ou cr
149
x historiens de la Troisième République, cède aux
premiers
regards que nous pouvons porter sur les grands faits moraux et matéri
150
nos manuels d’histoire — le très piteux Malet au
premier
rang — peuvent réprouver l’acte de révocation, alors qu’ils aboutisse
151
l’Histoire, de se transporter en imagination aux
premières
années de notre ère, en Judée, de nous remettre tant bien que mal dan
152
de Dieu. Nous la trouvons aux pages 148 à 155 du
premier
tome (en cours de traduction). Il y a trois sortes de temps, dit Bart
153
ettez-moi de vous le lire. C’est à la page 512 du
premier
tome : « … n’avoir pas fait une expérience est à la portée d’un quelc
154
le de poser la question ? N’est-il pas évident, à
première
vue, que le chrétien ne peut plus rien, que personne ne l’écoute plus
155
la justice de Dieu ? Et qu’il trahit sa vocation
première
? Je pense que beaucoup d’entre vous ont, dès longtemps, résolu ces q
156
première question. Et si l’on répond non à cette
première
question, est-il possible alors, ou désirable, qu’un chrétien entre d
157
araît qu’aucun doute n’est permis. De Constantin,
premier
empereur chrétien commandant aux chrétiens de faire la guerre, à Char
158
davantage, et qu’aucun ne saurait m’apparaître, à
première
vue, plus conforme à notre espérance de justice. Vous dirai-je que c’
159
ssi les mêmes, dans bien des cas. Mais les motifs
premiers
, les buts derniers sont autres. Et ce sont ces motifs et ces buts qui
160
essoires du stupide xixe siècle. ⁂ Je résume ces
premières
conclusions : ni politique chrétienne, ni parti chrétien, ni parti po
161
é ne se borne pas là : prêcher, certes, c’est son
premier
devoir, mais ce devoir en appelle d’autres. Kagawa recueille dans sa
162
étudiants, c’est-à-dire des intellectuels. Notre
premier
devoir dans la cité n’est-il pas de travailler en tant qu’intellectue
163
conomique et culturel. Ici, la vérité est mise au
premier
rang : le succès même lui est subordonné. Je demande où est le parti