1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 douloureuse qui devait contracter mon visage. Je promenais sur tous des regards angoissés, avides, implorants. Oh ! toutes les f
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
2 expérience déjà riche de romancier. Son regard se promène sur le même monde où se plaisent nos jeunes poètes cosmopolites, mais
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 : Eugène Bouvier. Ce garçon aux allures discrètes promène sur le monde des yeux de Japonais d’une ironie mélancolique et qui vo
4 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
4 d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main. L’un après l’autre, dans cette paresse de j
5 chaque jour le fou au profil de vieille femme qui promène doucement dans cette calme Tubingue le secret d’une épouvantable méla
6 ux yeux voilés, aux pantalons trop courts, qui se promènent tout seuls… Et puis, il lui est arrivé quelque chose de terrible, où
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
7 fèrent d’aller à pied ; mais moi je me méfie ; se promener seul la nuit dans une ville étrangère, n’est-ce point la définition m
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 visiter : le Père des roses est peut-être allé se promener . Dehors, les roses crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
9 us changent des rêveries de Rousseau. Celui-ci se promène , l’autre escalade. Et comme elles s’opposent à la médiocre littératur
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 visiter : le Père des roses est peut-être allé se promener . Dehors, les roses Crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
11 d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main. L’un après l’autre, dans cette paresse de j
12 chaque jour le fou au profil de vieille femme qui promène doucement dans cette calme Tubingue le secret d’une épouvantable méla
13 ux yeux voilés, aux pantalons trop courts, qui se promènent tout seuls… Et puis, il lui est arrivé quelque chose de terrible, où
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
14 unettes. Viennent deux filles sans chapeau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les intéresse, elles s’accoudent
15 e ma jeunesse : dans ces campagnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour
16 connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
17 réfèrent aller à pied ; mais moi je me méfie ; se promener seul la nuit dans une ville étrangère, n’est-ce point la définition m
12 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
18 nnette. — Quand j’étais petite fille, j’aimais me promener à la lisière des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
19 visiter : le Père des roses est peut-être allé se promener . Dehors, les roses crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
20 d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main. L’un après l’autre, dans cette paresse de j
21 chaque jour le fou au profil de vieille femme qui promène doucement dans cette calme Tubingue le secret d’une épouvantable méla
22 ux yeux voilés, aux pantalons trop courts, qui se promènent tout seuls… Et puis, il lui est arrivé quelque chose de terrible, où
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
23 unettes. Viennent deux filles sans chapeau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les intéresse, elles s’accoudent
24 e ma jeunesse : dans ces campagnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour
25 connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
26 ible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées s
27 à comme passé dans le futur que j’anticipe. Je me promène dans un New York déjà quitté, récapitulant mes regrets… Nostalgie de
17 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
28 à l’existence du peintre. Cependant l’artiste se promène . Sur les plages, il vagabonde, il contemple, il apprend, il calcule.
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
29 s parts avec ses grands panneaux hauts en couleur promenés par les rues allemandes et italiennes, et jusque dans les pages illus
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
30 rences paisibles, est soudain devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui
20 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
31 illait une grande partie de la nuit. Il aimait se promener à l’aube. Puis il se remettait à écrire. Vers midi, on le voyait parc
21 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
32 arences paisibles est soudain devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui
22 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
33 à l’existence du peintre. Cependant l’artiste se promène . Sur les plages, il vagabonde, il contemple, il apprend, il calcule.
23 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
34 arences paisibles est soudain devenu flagrant. Il promène par les rues de nos villes européennes de grands panneaux-réclame qui
24 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
35 à l’existence du peintre. Cependant l’artiste se promène . Sur les plages, il vagabonde, il contemple, il apprend, il calcule.
25 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
36 Mais justement cette fringale d’expérience qu’il promena par toute l’Europe, et peut-être même chez les Turcs, le rendit atten
26 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
37 mit Alice, l’arceau sous lequel je dois passer se promène à l’autre bout du jeu et j’aurais dû croquer le hérisson de la Reine
27 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
38 mit Alice, l’arceau sous lequel je dois passer se promène à l’autre bout du jeu et j’aurais dû croquer le hérisson de la Reine
28 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
39 mit Alice, l’arceau sous lequel je dois passer se promène à l’autre bout du jeu et j’aurais dû croquer le hérisson de la Reine
29 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
40 dans la personne, celui qui a perdu son ombre, se promène parmi les hommes avec l’angoisse de voir révélée au grand jour non so
41 nt de ses pieds commençait à croître lorsqu’il se promenait dans le soleil. » Ici donc, pas de fixation morbide, comme dans Schle
30 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
42 se invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites, passant de l’
43 art des vitres sont cassées. Une poule blanche se promène quelquefois dans la cour. Mais on m’assure que ces habitations sont d
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
44 i, c’est cela, mais Kierkegaard ne faisait que se promener sur la lande danoise, loin de tout « dérangement domestique ». Il ava
45 Descartes ne voyait rien ni personne quand il se promenait . « Je vais me promener tous les jours parmi la confusion d’un grand p
46 n ni personne quand il se promenait. « Je vais me promener tous les jours parmi la confusion d’un grand peuple, avec autant de l
47 , nous crient quand nous passons : — Alors, on se promène  ? 14 juin 1934 Il vient de m’arriver quelque chose qui prouve c
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
48 se invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites, passant de l’
49 art des vitres sont cassées. Une poule blanche se promène quelquefois dans la cour. Mais on m’assure que ces habitations sont d
33 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
50 ans relever le menton… Un « opposant ». — Je me promène avec un de mes étudiants. Il est déjà doktor phil., et il voudrait se
34 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
51 aujourd’hui le Parti.   Un « opposant ». — Je me promène avec un de mes étudiants. Il est déjà doktor phil., et il voudrait se
52 viles, qu’ils se respectent davantage.)   — Je me promène dans les grandes artères, je regarde les gens, je me dis : au fond, i
35 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
53 her sur une route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer les belles autos, et s’indign
36 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
54 on appelle un plan, sans avoir passé la nuit à se promener et à retourner la position… Et l’attaque commencée, ils sont jusqu’au
37 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
55 choisir la pièce, puis la préparer, la jouer, la promener pour la rejouer je ne sais combien de fois, un peu plus chaque année.
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
56 her sur une route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer les belles autos, et s’indign
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
57 on appelle un plan, sans avoir passé la nuit à se promener et à retourner la position… Et l’attaque commencée, ils sont jusqu’au
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
58 her sur une route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer les belles autos, et s’indign
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
59 on appelle un plan, sans avoir passé la nuit à se promener et à retourner la position… Et l’attaque commencée, ils sont jusqu’au
42 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
60 tout semé comme les autres années… Monsieur Turc promène un regard précis et compétent sur le vallon et les cultures. Médite e
43 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
61 lui expose son tourment : elle ne pouvait plus se promener dans la rue sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis de
44 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
62 , et lui expose son tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis de
45 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
63 , et lui expose son tourment : elle ne pouvait se promener dans la rue sans se voir aussitôt attaquée par les oiseaux. Depuis de
46 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
64 ensent qu’elle est la même que la déesse Volupie. Promenons -nous aux alentours de ce colloque. La Volupté n’est pas le plaisir m
47 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
65 ds sur la terre et pouvait dès lors y agir et s’y promener comme si de rien n’était. Il avait « l’air d’un percepteur » et il ét
48 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
66 tte-ciel du monde, c’est vrai. Mais Le Corbusier, promené pendant une heure dans la ville par des journalistes, et finalement i
49 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
67 des « missions » comme on dit. Une mission ne se promène pas, ne voit rien, n’a pas de temps à perdre. C’est un raid. Nous n’a
50 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : Post-scriptum (27 avril 1946)
68 pitales d’Europe, on voyait en 1939 les civils se promener avec leur boîte à masque en bandoulière. Eh bien, la guerre des gaz n
51 1946, Combat, articles (1946–1950). Post-scriptum (24 mai 1946)
69 pitales d’Europe, on voyait en 1939 les civils se promener avec leur boîte à masque en bandoulière. Eh bien, la guerre des gaz n
52 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
70 des « missions », comme on dit. Une mission ne se promène pas, ne voit rien, n’a pas de temps à perdre. C’est un raid. Nous n’a
53 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
71 ant dans l’Océan. Ou de nuages radioactifs qui se promèneraient autour du globe, semant la mort et la consomption lente dans les pays
54 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
72 t de parole rapide. Peut-être le soleil éteint se promène-t -il depuis quelques instants dans un ciel sale. Qui sortirait pour voi
55 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
73 ible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches, posées
56 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
74 mbre. La maîtresse de maison est sortie à cheval. Promenons -nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans
57 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
75 ible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches, posées
76 mbre. La maîtresse de maison est sortie à cheval. Promenons -nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans
58 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
77 oir à regagner sa banque : d’ailleurs sa femme me promènera dans Buda, et me fera visiter le Musée, — à ce soir ! Il s’en va, trè
59 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
78  ! J’ai tout semé comme les autres années… M. Pin promène un regard précis et compétent sur le vallon et les cultures. Médite e
60 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
79 blanc, mais peu de fermes isolées. J’ai voulu me promener dans les bois. C’était la brousse. Peu ou point de chemins marqués, n
80 dont les orne la moindre boutique. Santa Claus se promène de porte en porte, et jamais mes enfants n’avaient eu un Noël aussi r
61 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
81 cabine. Le petit ventilateur pivotant sur son axe promène de gauche à droite, de droite à gauche, une lente caresse fraîche. Je
62 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
82 nd il vient à New York pour quelques jours, il se promène interminablement, suivant au long d’avenues anonymes des caravanes de
63 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
83 ible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées s
64 1946, Journal des deux mondes. Virginie
84 mbre. La maîtresse de maison est sortie à cheval. Promenons -nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans
65 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
85 u comme passé dans le futur que j’anticipe. Je me promène dans un New York déjà quitté, récapitulant mes regrets… J’aurai la no
66 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
86 des « missions » comme on dit. Une mission ne se promène pas, ne voit rien, n’a pas de temps à perdre. C’est un raid. Nous n’a
67 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
87 des « missions » comme on dit. Une mission ne se promène pas, ne voit rien, n’a pas de temps à perdre. C’est un raid. Nous n’a
68 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre des gaz n’a pas eu lieu
88 s les capitales d’Europe, on voyait les civils se promener avec leur masque à gaz en bandoulière. Eh bien, la guerre des gaz n’a
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
89 visiter : le Père des Roses est peut-être allé se promener . Dehors, les roses crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
90 d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main. L’un après l’autre, dans cette paresse de j
91 chaque jour le fou au profil de vieille femme qui promène doucement dans cette calme Tubingue le secret d’une épouvantable méla
92 ux yeux voilés, aux pantalons trop courts, qui se promènent tout seuls… Et puis, il lui est arrivé quelque chose de terrible, où
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
93 unettes. Viennent deux filles sans chapeau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les intéresse, elles s’accoudent
94 e ma jeunesse : dans ces campagnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour
95 connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en conversant avec les pensées et les êtres
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
96 i, c’est cela, mais Kierkegaard ne faisait que se promener sur la lande danoise, loin de tout « dérangement domestique ». Il ava
97 Descartes ne voyait rien ni personne quand il se promenait . « Je vais me promener tous les jours parmi la confusion d’un grand p
98 n ni personne quand il se promenait. « Je vais me promener tous les jours parmi la confusion d’un grand peuple, avec autant de l
99 , nous crient quand nous passons : — Alors, on se promène  ? 14 juin 1934 Il vient de m’arriver quelque chose qui prouve c
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
100 se invisible, au-dessous. Je vois un chien qui se promène de son petit pas élastique sur les restanques étroites, passant de l’
101 art des vitres sont cassées. Une poule blanche se promène quelquefois dans la cour. Mais on m’assure que ces habitations sont d
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
102 aujourd’hui le Parti.   Un « opposant ». — Je me promène avec un de mes étudiants. Il est déjà doktor phil., et il voudrait se
103 erviles, qu’ils se respectent davantage.)   Je me promène dans les grandes artères, je regarde les gens, je me dis : au fond, i
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
104  ! J’ai tout semé comme les autres années… M. Pin promène un regard précis et compétent sur le vallon et les cultures. Médite e
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
105 blanc, mais peu de fermes isolées. J’ai voulu me promener dans les bois. C’était la brousse. Peu ou point de chemins marqués, n
106 dont les orne la moindre boutique. Santa Claus se promène de porte en porte, et jamais mes enfants n’avaient eu un Noël aussi r
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
107 cabine. Le petit ventilateur pivotant sur son axe promène de gauche à droite, de droite à gauche, une lente caresse fraîche. Je
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
108 lustres, dit « le dernier chasseur de têtes », se promenait comme un braconnier dans cette réserve. Il ressemble aux nains de Bla
109 nd il vient à New York pour quelques jours, il se promène interminablement, suivant au long d’avenues anonymes des caravanes de
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
110 ible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées s
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
111 mbre. La maîtresse de maison est sortie à cheval. Promenons -nous en l’attendant. L’odeur des chiens imprègne les corridors. Dans
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
112 à comme passé dans le futur que j’anticipe. Je me promène dans un New York déjà quitté, récapitulant mes regrets… Nostalgie de
82 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
113 nd il vient à New York pour quelques jours, il se promène interminablement, suivant au long d’avenues anonymes des caravanes de
83 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
114 Sonnette. Quand j’étais petite fille, j’aimais me promener à la lisière des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était
84 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
115 tivité de l’homme, celui qui a perdu son ombre se promène parmi les hommes avec l’angoisse de voir révélée au grand jour non so
116 nt de ses pieds commençait à croître lorsqu’il se promenait dans le soleil. » Ici donc, pas de fixation morbide, comme dans Schle
85 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
117 ensent qu’elle est la même que la déesse Volupie. Promenons -nous aux alentours de ce colloque. La Volupté n’est pas le plaisir mê
86 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
118 oir à regagner sa banque : d’ailleurs sa femme me promènera dans Buda, et me fera visiter le Musée, — à ce soir ! Il s’en va, trè
87 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
119 t de parole rapide. Peut-être le soleil éteint se promène-t -il depuis quelques instants dans un ciel sale. Qui sortirait pour voi
88 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
120 t lui faire rencontrer… Cauchemar typique : il se promène dans une grande ville déserte… Phobie du macadam, du béton armé, des
89 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
121 ien d’abord qui je suis devenue ! » Ensuite on se promène , on dit : « Où en es-tu ? qui vois-tu ? quels sont tes soucis ? » Et
90 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
122 tte-ciel du monde, c’est vrai. Mais Le Corbusier, promené pendant une heure dans la ville par des journalistes, et finalement i
91 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
123 ler en public. — Well…, commence l’orateur, et il promène sur l’auditoire un regard souriant, appelant votre sourire. Cette pau
92 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
124 en d’abord qui je suis devenue ! » Ensuite on se promène , on dit : « Où en es-tu ? qui vois-tu ? quels sont tes soucis ? » Et
93 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
125 Elle est très vaste, mais aussi très vague. Il se promène ces jours-ci dans les rues et cafés de Paris, avec un gros livre sous
94 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
126 relle ou vert d’eau. Il est vrai que lorsqu’on se promène sur les quais, par une de ces nuits sans nuit du début de l’été, où l
95 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
127 nos démocraties occidentales. Quant à moi, je me promène sur la place Saint-Marc, portant aux nues le festival de Venise pour
96 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
128 me. Ces hordes de barbares aux mollets nus qui se promènent sur Saint-Marc un regard ébaubi et des jugements réprobateurs devraie
129 chez « Quadri », et les régimes de tous les temps promènent sous les galeries leurs partisans bavards. Avant de nous mêler à leur
97 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
130 ouvriers et bourgeois mêlés. Nos grands-pères se promenaient le dimanche le long des routes, en redingote, et parfois faisaient tr
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
131 de la Russie sonnera ; alors la Russie pourra se promener tranquillement l’arme au bras dans notre patrie ; alors le monde assi
99 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
132 ivre en privé sans être connu, Dieu m’a tellement promené et fait tournoyer par divers changements que toutefois il ne m’a jama
100 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
133 Liberté Invité par la Fondation Ford pour me promener dans les États-Unis sans l’ombre d’une obligation — je verrai qui je