1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 s sur Valéry, St John Perse. On le vit naguère en province liquider des stocks américains. Et ses romans, c’est aussi une liquid
2 des capitalistes des villes. Mais dans une de ces provinces du Midi où le souvenir des luttes religieuses encore vivace fait que
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
3 femme, « mais comme on aime une petite maison de province quand on a failli hériter de Chenonceaux ». Peu à peu l’image d’Irène
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 (environ 1905) : quelques acteurs d’une troupe de province s’agitent incompréhensiblement dans un décor très pauvre, légèrement
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 tes populaires, au fond des boutiques de vieux en province , dans les combles d’un château prussien où tissaient d’incroyables ar
5 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
6 nt dans ces campagnes qui ne sont nulle part la «  province  ». Elles condensent la vie de leur contrée, en donnent la visible for
6 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 tes populaires, au fond des boutiques de vieux en province , dans les combles d’un château prussien où tissaient d’incroyables ar
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
8 Ainsi vivait l’Allemagne d’hier — celle de cette province encore — dans l’intimité vivante de ses classiques. De là peut-être c
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
9 nt dans ces campagnes qui ne sont nulle part la «  province  ». Elles condensent la vie de leur contrée, en donnent la visible for
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 tes populaires, au fond des boutiques de vieux en province , dans les combles d’un château prussien où tissaient d’incroyables ar
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
11 Ainsi vivait l’Allemagne d’hier — celle de cette province encore — dans l’intimité vivante de ses classiques. De là peut-être c
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
12 re reconnaissance qui m’a toujours saisi dans ces provinces ne doit rien aux mystères du sang, une idée chimérique ne cessera de
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
13 stige de la misère et de la lâcheté publique. Des provinces entières sont ruinées par des exploitations dont les bénéfices s’engl
13 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
14 s mort pour si peu, et sa domination terrifie les provinces autour de la cité. ⁂ Comment répondre sans quelque injustice à une qu
14 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
15 les ne diffère pas essentiellement de celle d’une province . Supprimez l’héritage, délogez les familles, dispersez-les dans les c
16 es cités. Mais il faudrait d’abord transformer la province et la rendre habitable… Il faudrait recréer un lien patriotique sans
15 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
17 le plus insupportable ennui. Ouvrez une revue de province si vous pensez que j’exagère. Faut-il donc mettre une barre sous la r
16 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
18 stige de la misère et de la lâcheté publique. Des provinces entières sont ruinées par des exploitations dont les bénéfices s’engl
17 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
19 stige de la misère et de la lâcheté publique. Des provinces entières sont ruinées par des exploitations dont les bénéfices s’engl
18 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
20 îné son vague à l’âme par les rues d’une ville de province  ; mais cela donne au moins une matière. Les pages de Soulillou qui dé
19 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
21 our comble de toutes horreurs, remplit toutes les provinces du Royaume de parjures et de sacrilèges, où tout retentissait de hurl
20 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
22 tes, contre les sociétés anonymes qui ruinent des provinces entières et financent le Front national. Nous pouvons nous dire popul
21 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
23 effrayer que la réaction qui s’excite au fond des provinces . b) Mais la notion d’assurance matérielle nous révèle une attache pl
22 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
24 effrayer que la réaction qui s’excite au fond des provinces . b) Mais la notion d’assurance matérielle nous révèle une attache pl
23 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
25 encore à placer de la copie dans les journaux de province pour pouvoir payer son loyer ! Et ainsi de suite. Voilà la réalité. L
24 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
26 ici ! » — phrase entendue un peu partout dans la province ). Et puis « leur » politique, parlez-moi de « leurs combines » — il n
27 se plaindre des villes, où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La révolution sera faite. Nous reviendrons… — Dema
25 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
28 qu’on peut entendre dans toutes les épiceries de province où se rencontrent les femmes de la nation la plus raisonnable du mond
26 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
29 porte deux séries d’observations nouvelles sur la province , et je crois d’autant plus utile de les consigner qu’elles modifient
30 tement le mode de contact entre le voyageur et la province . Naguère encore, quand on n’avait que les chemins de fer, tout conver
31 t ne sont pas tous de la même sorte, et que d’une province à une autre, ce n’est pas seulement le paysage qui change. N’était-ce
32 qu’il y aurait à changer pratiquement dans chaque province  ? Qu’on arrive enfin à se gouverner sur place, dans chaque commune ?
27 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
33 tement le mode de contact entre le voyageur et la province . Naguère encore, quand on n’avait que les chemins de fer, tout conver
34 t ne sont pas tous de la même sorte, et que d’une province à une autre, ce n’est pas seulement le paysage qui change. N’était-ce
35 racer un tableau très vivant et très nuancé de la province française, ainsi qu’en témoigne cet extrait. »
28 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
36 cela des centaines, des milliers, dans toutes les provinces de la France. (Tandis que dans les villes, les jeunes ménages se ruin
37 pper aux villes inhumaines. Et j’ai trouvé que la province ne vaut guère mieux, dans son état présent. Partout les jeunes vous d
38 cessé de sentir le drame immense qu’elle trahit. Province morte, et villes mortelles ! C’est qu’on ne sait plus y trouver son p
29 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
39 d’Ekeby, qui régnèrent d’un Noël à l’autre sur la province du Warmland, s’étant juré de ne rien accomplir d’utile ni de raisonna
30 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
40 fois traversé que je n’avais jamais su voir : la province et la vie quotidienne, une foule de réalités sociales passionnantes a
41 porte deux séries d’observations nouvelles sur la Province , et je crois d’autant plus utile de les consigner qu’elles modifient
42 tement le mode de contact entre le voyageur et la province . Naguère encore, quand on n’avait que les chemins de fer, tout conver
43 t ne sont pas tous de la même sorte, et que d’une province à une autre, ce n’est pas seulement le paysage qui change. N’était-ce
44 qu’il y aurait à changer pratiquement dans chaque province  ? Qu’on arrive enfin à se gouverner sur place, dans chaque commune ?
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
45 Deuxième partiePauvre province 22 septembre 1934. A… (Gard) Arrivés hier matin, par Nîmes. Dé
46 qu’on peut entendre dans toutes les épiceries de province où se rencontrent les femmes de la nation la plus raisonnable du mond
47 t, ici ! » phrase entendue un peu partout dans la province ). Et puis « leur » politique, parlez-moi de « leurs combines », il n’
48 as les villes ! », bien sûr. Reste à savoir si la province est habitable, dans l’état actuel des choses. Tant de régions abandon
49 se plaindre des villes, où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La révolution sera faite. Nous reviendrons pour fa
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
50 ès Versailles, voici la rencontre émouvante de la province et de Paris. Et cela s’appelle la banlieue. La campagne ici touche à
51 e émeute : voilà ce Paris de juillet que toute la province oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’Océan, voilà le cœur cri
52 ibre et presque heureux. Soir villageois, ciel de province , jeux d’enfants et chansons, accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivr
33 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
53 , sous des maîtres nouveaux. (Le gouverneur de la province est un ancien employé de postes, ventripotent et qu’on juge très vulg
54 , salués par des heil joyeux. Le gouverneur de la province nasille des lieux communs, mal écouté. Je suis debout, malaxé et sout
34 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
55 icité du lit nuptial subsistèrent, dans certaines provinces , jusqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les mystères originel
35 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
56 , sous des maîtres nouveaux. (Le gouverneur de la province est un ancien employé de postes, ventripotent et qu’on juge très vulg
57 ent d’Hitler, j’ai souvent constaté dans d’autres provinces allemandes, la propension des gens ruinés à bâtir, à agrandir leur ma
58 , salués par des heil joyeux. Le gouverneur de la province nasille des lieux communs, mal écouté. Je suis debout, malaxé et sout
59 ne fois par semaine les SA. 13. Gouverneur de la province . 14. « Le silence de Goethe », NRF de mars 1932. 15. Personnellem
36 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
60 ne conférence de Y. chargé de l’instruction de la province . Sujet : “Notre sang, notre conception du monde.” Il débuta en rappel
37 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
61 mont connaît mieux que beaucoup de Français notre province  : il a séjourné de longs mois en Vendée et dans le Midi. Son Journal
38 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
62 hine à écrire de la Vendée en Languedoc, et de la province à Paris, installé dans ses meubles, avec une suspension et des draper
39 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
63 temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes provinces , et dans les mêmes classes, une hérésie puissante se répandait. L’on
40 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
64 . Ce fut Rome qui porta le fer et le feu dans les provinces gagnées à l’hérésie. En détruisant matériellement cette religion, l’É
41 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
65 l’année 1490. Une paix profonde régnait dans ses provinces  : les montagnes et les plaines étaient également fertiles ; riche, bi
66 ns. Les États changèrent tout à coup de face, les provinces furent ravagées les villes détruites, et tout le pays fut inondé de s
67 ui troubla tellement la paix et l’harmonie de nos provinces qu’il fut depuis impossible d’y rétablir l’ordre et la tranquillité17
68 usse devenu empereur d’Allemagne revendiquera les provinces allemandes de l’Autriche. Mais nous la voyons maintenant (1903) encor
42 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
69 tial » (Huizinga) subsistèrent, au moins dans les provinces , jusqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les mystères originel
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
70 temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes provinces — Languedoc, Poitou, Rhénanie, Catalogne — une hérésie puissante se r
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
71 . Ce fut Rome qui porta le fer et le feu dans les provinces gagnées à l’hérésie. En détruisant matériellement cette religion, l’É
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
72 l’année 1490. Une paix profonde régnait dans ses provinces  : les montagnes et les plaines étaient également fertiles ; riche, bi
73 ns. Les États changèrent tout à coup de face, les provinces furent ravagées, les villes détruites, et tout le pays fut inondé de
74 ui troubla tellement la paix et l’harmonie de nos provinces qu’il fut depuis impossible d’y rétablir l’ordre et la tranquillité19
75 sse devenu empereur d’Allemagne, revendiquera les provinces allemandes de l’Autriche. Mais nous la voyons maintenant (1903) encor
46 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
76 ptial » (Huizinga) subsistèrent au moins dans les provinces , jusqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les mystères originel
47 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
77 temps que le lyrisme du domnei, et dans les mêmes provinces — Languedoc, Poitou, Rhénanie, Catalogne, Lombardie — une hérésie pui
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
78 . Ce fut Rome qui porta le fer et le feu dans les provinces gagnées à l’hérésie. En détruisant matériellement cette religion, l’É
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
79 l’année 1490. Une paix profonde régnait dans ses provinces  : les montagnes et les plaines étaient également fertiles ; riche, bi
80 ns. Les États changèrent tout à coup de face, les provinces furent ravagées, les villes détruites, et tout le pays fut inondé de
81 ui troubla tellement la paix et l’harmonie de nos provinces qu’il fut depuis impossible d’y rétablir l’ordre et la tranquillité. 
82 sse devenu empereur d’Allemagne, revendiquera les provinces allemandes de l’Autriche. Mais nous la voyons maintenant (1903) encor
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
83 ptial » (Huizinga) subsistèrent au moins dans les provinces , jusqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les mystères originel
51 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
84 u pour leur compte les charges des gouverneurs de provinces ou comes, lors de la décadence des ive et ve siècles. 8. Parmi ces
52 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
85 eût été la fin de notre fédéralisme ; ou bien les provinces annexées auraient pris une trop grande influence, et c’eût été la gue
53 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
86 sourire de la publicité qu’étalent les Églises de province , des grands panneaux de « bienvenue à tous » qu’elles plantent à l’en
54 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
87 sur l’organisation de la résistance à Paris ou en province , ne nous montrent encore que le peuple de France, pour la première fo
55 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
88 la guerre des villages ; le fusil à la guerre des provinces  ; le canon à la guerre des nations ; et l’avion à la guerre des conti
89 selle, qui relègue les nations au rang de simples provinces . Laissez-vous entraîner quelques instants dans ce jeu gravitant des s
56 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
90 d’Européens eussent l’occasion de quitter leur «  province  » pour s’y rendre. N’ont-ils donc rien à craindre de l’américanisme ?
57 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
91 la guerre des villages ; le fusil à la guerre des provinces  ; le canon à la guerre des nations ; et l’avion à la guerre des conti
92 selle, qui relègue les nations au rang de simples provinces . Laissez-vous entraîner quelques instants dans ce jeu gravitant des s
58 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
93 donc s’organiser en fédération de paroisses et de provinces , par synodes. Ce type de relations ecclésiastiques devait trouver sa
59 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
94 tout le reste. Une petite ville internationale de province , sans grand avenir, qui vit déjà sur son passé d’un siècle… Robert me
60 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
95 ait tant d’importance aux propos d’une feuille de province . « Pourquoi ? gémit le Führer, mais parce que moi, je ne suis rien, j
61 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
96 tout le reste. Une petite ville internationale de province , sans grand avenir, qui vit déjà sur son passé d’un siècle… Robert me
62 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
97 la guerre des villages ; le fusil à la guerre des provinces  ; le canon à la guerre des nations ; et l’avion à la guerre des conti
98 selle, qui relègue les nations au rang de simples provinces . Laissez-vous entraîner quelques instants dans ce jeu gravitant des s
63 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
99 la guerre des villages ; le fusil à la guerre des provinces  ; le canon à la guerre des nations ; et l’avion à la guerre des conti
100 selle, qui relègue les nations au rang de simples provinces . Laissez-vous entraîner quelques instants dans ce jeu gravitant des s
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
101 nt dans ces campagnes qui ne sont nulle part la «  province  ». Elles condensent la vie de leur contrée, en donnent la visible for
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
102 tes populaires, au fond des boutiques de vieux en province , dans les combles d’un château prussien où tissaient d’incroyables ar
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
103 Ainsi vivait l’Allemagne d’hier — celle de cette province encore — dans l’intimité vivante de ses classiques. De là peut-être c
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
104 fois traversé que je n’avais jamais su voir : la province et la vie quotidienne, une foule de réalités sociales passionnantes a
105 porte deux séries d’observations nouvelles sur la Province , et je crois d’autant plus utile de les consigner qu’elles modifient
106 tement le mode de contact entre le voyageur et la province . Naguère, encore, quand on n’avait que les chemins de fer, tout conve
107 t ne sont pas tous de la même sorte, et que d’une province à une autre, ce n’est pas seulement le paysage qui change. N’était-ce
108 qu’il y aurait à changer pratiquement dans chaque province  ? Qu’on arrive enfin à se gouverner sur place, dans chaque commune ?
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
109 Deuxième partiePauvre province 22 septembre 1934. A… (Gard) Arrivés hier matin, par Nîmes. Dé
110 qu’on peut entendre dans toutes les épiceries de province où se rencontrent les femmes de la nation la plus raisonnable du mond
111 t, ici ! » phrase entendue un peu partout dans la province . Et puis « leur » politique, parlez-moi de « leurs combines », il n’y
112 as les villes ! », bien sûr. Reste à savoir si la province est habitable, dans l’état actuel des choses. Tant de régions abandon
113 e se plaindre des villes où ils s’incrustent — la province deviendra vivable. La révolution sera faite. Nous reviendrons pour fa
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
114 ès Versailles, voici la rencontre émouvante de la province et de Paris. Et cela s’appelle la banlieue. La campagne ici touche à
115 e émeute : voilà ce Paris de juillet que toute la province oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’Océan, voilà le cœur cri
116 ibre et presque heureux. Soir villageois, ciel de province , jeux d’enfants et chansons, accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivr
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
117 , sous des maîtres nouveaux. (Le gouverneur de la province est un ancien employé de postes, ventripotent et qu’on juge très vulg
118 ent d’Hitler, j’ai souvent constaté dans d’autres provinces allemandes, la propension des gens ruinés à bâtir, à agrandir leur ma
119 , salués par des heil joyeux. Le gouverneur de la province nasille des lieux communs, mal écouté. Je suis debout, malaxé et sout
120 ne conférence de X… chargé de l’instruction de la province . Sujet : “Notre sang, notre conception du monde.” Il débuta en rappel
121 ne fois par semaine les SA. 59. Gouverneur de la province . 60. Le Silence de Goethe, NRF de mars 1932. 61. (Note de 1938.) D
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
122 ait tant d’importance aux propos d’une feuille de province  : « Pourquoi ? gémit le Führer, mais parce que moi, je ne suis rien,
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
123 tout le reste. Une petite ville internationale de province , sans grand avenir, qui vit déjà sur son passé d’un siècle… Robert me
73 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
124 cués, la lutte reprend en Chine entre l’armée des provinces communistes et Tchang Kaï-chek, cependant que l’inflation augmente et
74 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
125 queurs. L’antisémitisme fait rage jusque dans les provinces où, depuis le Moyen Âge, on avait oublié qu’il y eût un problème juif
75 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
126 sourire de la publicité qu’étalent les Églises de province , des grands panneaux de « bienvenue à tous » qu’elles plantent à l’en
76 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
127 ncfort. En 1931, je vins en France ; j’ai vécu en province et à Paris, collaborant à Esprit , à L’Ordre nouveau , fondant la m
128 de des qualités propres à chaque nation, à chaque province . Il repose sur l’amour de la complexité. Et, ce qui est non moins imp
77 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
129 ueurs. L’antisémitisme fait rage jusque dans les provinces où, depuis le Moyen Âge, on avait oublié qu’il y eût un problème juif
78 1948, Suite neuchâteloise. V
130 re reconnaissance qui m’a toujours saisi dans ces provinces ne doit rien aux mystères du sang, une idée chimérique ne cessera de
79 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
131 ous avons peut-être un peu plus que bien d’autres provinces françaises : milieu intellectuel très dense, originalité religieuse,
132 de vivre et de créer loin de son milieu et de sa province natale. Même et surtout si l’on doit tirer de ce milieu, de cette pro
133 surtout si l’on doit tirer de ce milieu, de cette province , le meilleur de son inspiration. h. « Les écrivains romands et Pari
80 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
134 utés de quinze villes capitales, et de cent-vingt provinces , et de la génération qui les peuple aujourd’hui, plus de deux-cents-m
81 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
135 s patronaux et ouvriers. Il en résultera dans nos provinces une campagne d’agitation, d’émulation, de polémique européenne, que n
82 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
136 s patronaux et ouvriers. Il en résultera dans nos provinces une campagne d’agitation, d’émulation, de polémique européenne, que n
83 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
137 utés de quinze villes capitales, et de cent-vingt provinces , et de la génération qui les peuple aujourd’hui, plus de 200 millions
84 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
138 s patronaux et ouvriers. Il en résultera dans nos provinces une campagne d’agitation, d’émulation, de polémique européenne, que n
85 1951, Preuves, articles (1951–1968). Culture et famine (novembre 1951)
139 llez dans un pays comme l’Inde, où, dans la seule province du Bihar, vingt millions d’habitants meurent de faim. Montez à la tri
86 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
140 dans nos campagnes et derrière les rideaux de nos provinces , est répudiée depuis longtemps par nos élites voyageuses, chez lesque
87 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
141 mille tend à se dissoudre, ou bien elle végète en province . Comment s’orienter dans le choix d’une carrière ? Et comment vivre s
88 1952, Articles divers (1951-1956). La Suisse et l’Europe : M. Denis de Rougemont réagit (14 novembre 1952)
142 pée de tout accès à la mer et réduite à l’état de province enclavée. Sur quoi, le professeur Rappard fonde-t-il cette déclaratio
89 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
143 ment de celles qu’on pourrait recueillir dans les provinces françaises ou autrichiennes, allemandes ou italiennes voisines de la
90 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
144 lui pèserait à l’estomac bien plus que de grandes provinces habituées à recevoir leur impulsion d’une capitale plus ou moins éloi
145 pas plus nombreuses qu’en n’importe quelle autre province du domaine français. Malgré cela, la Suisse romande n’a jamais joué u
91 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
146 ion de leur pays faciliterait sa réunion avec les provinces occupées. Beaucoup de Suisses et de Suédois s’imaginent que leur neut
92 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur un certain cynisme (septembre 1957)
147 ques-uns, mais comme n’y étant pas. Les autres en province ou à l’étranger, à Manosque, à Vevey, à Washington. A. — Vous les dit
93 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
148 tre de tout, en France : la mode en vit, mais les provinces en meurent70. Nous ne mangerons pas de ce sacré‑là. D’ailleurs, le ph
94 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
149 x autres. L’air y est extrêmement tempéré, et les provinces très fertiles, si l’on excepte celles qui sont sous le continent. Ell
150 spagne était la tête de cette femme ; le col, les provinces de Languedoc et de Gascogne ; le reste de la Gaule, la poitrine ; les
151 out le reste de son corps, les autres royaumes et provinces . » Mais la représentation la plus symbolique est encore celle de quel
95 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
152 es uns aux autres, depuis leur expansion dans les provinces de l’Empire romain d’Occident, par une même religion commune et la mê
96 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
153 par rapport à l’ensemble européen dont il est une province . Problèmes communs et déficiences communes Ces variations ou op
97 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
154 contacts avaient été pris dans la capitale et en province avec les responsables politiques et les chefs militaires — dont le fa
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
155 ant, tant en hébreu qu’en arabe. L’Algarve est la province la plus occidentale du Portugal, or Algarve = El Gharb = pays du couc
156 s auteurs grecs confondent l’Europe avec la seule province de Thrace qui porta en effet ce nom, ou avec la Grèce, comme c’est le
157 x autres. L’air y est extrêmement tempéré, et les provinces très fertiles, si l’on excepte celles qui sont sous le continent. Ell
158 spagne était la tête de cette femme ; le col, les provinces de Languedoc et de Gascogne ; le reste de la Gaule, la poitrine ; les
159 out le reste de son corps, les autres royaumes et provinces . » Mais la représentation la plus symbolique est encore celle de quel
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
160 ance ; on ne peut supposer qu’un obscur avocat de province , sans rapport avec la cour, fût si bien renseigné… La pensée dominant
161 s chrétiens un nombre d’âmes presque infini ». Ô Province dorée ! Ô chrétienté, gloire de l’univers, comment tout honneur s’est
162 e déplorer la ruine de Constantinople et d’autres provinces , nous devons pourtant, si nous sommes avides de gloire, souhaiter cet
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
163 e du monde entier, puisque, encore davantage, une province chrétienne n’est qu’une partie de toute la République, j’estime que m
164 , j’estime que même si une guerre est utile à une province , ou à un État, mais que d’autre part elle est au détriment du monde o
165 emple les Turcs occupent, sur ces entrefaits, les provinces des chrétiens) alors il faudrait s’abstenir de telle guerre.77 On n
166 nations. Car tout comme dans un État, ou dans une province , la coutume introduit le droit, ainsi le droit des gens a pu s’introd