1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 cette confrontation seulement qu’on a imaginé un péril oriental, car il semble bien que dans le domaine de la culture le pér
2 semble bien que dans le domaine de la culture le péril n’existe que pour autant qu’on en parle, la vraie « question asiatiqu
2 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
3 t plutôt optimistes. Il ne paraît pas croire à un péril oriental très pressant, ni surtout que nous ayons à chercher là-bas n
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
4 que guère à ce devoir sacré ». M. Jaloux évite le péril d’un réalisme trop amer et celui du roman lyrique, par l’équilibre qu
4 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
5 Le péril Ford (février 1928)a On a trop dit que notre époque est chaotique.
6 ctrine… Il faudrait d’abord prendre conscience du péril . Nous ne tentons rien d’autre ici. Il y a une lâcheté, croyons-nous,
7 n Amérique ; poussée mystique en Russie. a. « Le péril Ford », Foi et Vie, Paris, n° 4, février 1928, p. 189-202.
5 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
8 Lido : bien décidé à ne rien acheter qui mette en péril le budget mensuel. Ô sens de la mesure ! (Mais où les audaces souvera
6 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
9 n tant que son génie parvient à composer les deux périls en une résultante qui est la civilisation. Appelons humanisme l’art d
7 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
10 chez Goethe, il n’y a pas une révolte, il y a un péril conjuré. C’est contre ce qu’il nommera désormais son Daimon, contre «
8 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
11 L’humanisme n’est rien s’il n’est commun comme le péril qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la commune condition h
12 n ne peut plus nous détourner de la solidarité du péril . Et les problèmes exquis où s’attardent encore ceux que je décrirai c
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
13 d’hui à deux livres caractéristiques de ce double péril qui menace une génération : péril de gauche et péril de droite, pourr
14 es de ce double péril qui menace une génération : péril de gauche et péril de droite, pourrait-on dire, afin de simplifier. M
15 il qui menace une génération : péril de gauche et péril de droite, pourrait-on dire, afin de simplifier. M. Thierry Maulnier
16 ns doute que l’auteur exagère quand il dénonce le péril d’une pensée que l’on peut bien appeler scolastique, pensée purement
10 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
17 tude essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, un
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
18 e leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus assez pour se rendre com
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
19 r la force d’une vertu sans égale, sans espoir —, péril pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’o
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
20 r la force d’une vertu sans égale, sans espoir —, péril pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’o
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
21 e leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus assez pour se rendre com
15 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
22 ’ordre social » ? Ont-ils distingué clairement le péril de sécularisation de l’Évangile impliqué dans leur attitude, et qui l
16 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
23 conduirait l’homme au nihilisme absolu : mais ce péril est tout imaginaire. Car seule la connaissance du salut promis par le
17 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
24 l. N’est-ce point l’obscur pressentiment d’un tel péril qui explique, en dernière analyse, la méfiance réciproque dont je vie
18 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
25 ’ensemble concret des données actuelles. C’est un péril proprement protestant. La doctrine calviniste de la vocation ou des c
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
26 sément…) Certains des plus lucides entrevoient le péril que ces doctrines font courir à l’homme, et j’entends, à l’homme tel
27 rfection idéale, je peux rêver ma vocation et ses périls … Kierkegaard nous attend au réveil. Il nous saisit à ce moment précis
20 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
28 ’opposer d’une façon meurtrière. Quel remède à ce péril qui, chaque jour, se fait plus menaçant ? On a dit : retour à la terr
21 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
29 ment aussitôt cette objection de conscience en un péril pour la défense nationale et l’ordre public. Quatrième question. — L
22 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
30  provisoirement — à l’abri de toutes sanctions et périls concrets — à l’abri de toutes précisions. Une mystique n’est jamais p
31 rains qu’elle soit insuffisante pour combattre le péril éventuel : elle ne contribue pas à le définir utilement. On fonde des
32 ette de déceler et de combattre à sa naissance le péril fasciste présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de répondre à
23 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
33 tude essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, un
24 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
34 ment aussitôt cette objection de conscience en un péril pour la défense nationale et l’ordre public. Quatrième question. — L
25 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
35  provisoirement — à l’abri de toutes sanctions et périls concrets — à l’abri de toutes précisions. Une mystique n’est jamais p
36 rains qu’elle soit insuffisante pour combattre le péril éventuel : elle ne contribue pas à le définir utilement. On fonde des
37 ette de déceler et de combattre à sa naissance le péril fasciste présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de répondre à
26 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
38 tude essentielle ? Il semble que la solidarité du péril crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, un
27 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
39 emière tâche des intellectuels qui ont compris le péril totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
40 rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril , c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
28 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
41 rivains sont menacés, en France, par un troisième péril , par un péril que les époques précédentes n’avaient pas même soupçonn
42 enacés, en France, par un troisième péril, par un péril que les époques précédentes n’avaient pas même soupçonné, et que notr
29 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
43 s intervenir en force, s’imposer à ses risques et périls , reprendre la conduite des événements et modifier ou adapter aux fait
30 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
44 que cet état d’esprit (de la même URSS) ne met en péril la culture. » Naturellement, c’est plus complexe que cela. Mais c’est
31 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
45 te, aux environs de 1922. À ce moment, les grands périls qui menacent l’Allemagne apparaissent d’ordre politique : c’est d’une
32 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
46 s je crois qu’il est encore temps de dévisager le péril  : il ne prendra la force d’un destin que le jour où nous refuserons d
33 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
47 s fatalités et qui se crée ses propres risques et périls , si libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable p
48 e volonté d’incarner la pensée côtoiera ce double péril . C’est là sa dialectique particulière, c’est à cela même qu’on peut r
34 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
49 s fatalités et qui se crée ses propres risques et périls , si libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable p
50 e volonté d’incarner la pensée côtoiera ce double péril . C’est là sa dialectique particulière, c’est à cela même qu’on peut r
35 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
51 J’ajouterais peut-être ceci : « En tout cas, tout péril fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui dévoue tous ses enth
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
52 politiques, ou sur la philanthropie. On parle du péril social créé par le chômage, dont on admet généralement qu’il est démo
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
53 » J’ajouterais peut-être ceci : En tout cas, tout péril fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui sait encore dévouer
38 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
54 , ce n’est pas s’armer jusqu’aux dents. Réagir au péril totalitaire par des plans de « réarmement », c’est introduire chez no
39 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
55 uis le xiiie siècle, nous n’avons encouru un tel péril . Jamais la conscience impérieuse des raisons d’être de la Suisse n’a
40 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
56 emière tâche des intellectuels qui ont compris le péril totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
57 rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril , c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
41 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une révolution refoulée (juillet 1938)
58 ouge. C’est effrayant, cette immobilité devant le péril . La dictature fascine les masses, et les élites. Sous prétexte de lui
42 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
59 encore plus grave, la religion collectiviste ? Le péril est immense. Mais notre chance devant l’Histoire ne l’est pas moins.
43 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
60 ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces périls nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
44 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
61 , ce n’est pas s’armer jusqu’aux dents. Réagir au péril totalitaire par des plans de « réarmement », c’est introduire chez no
45 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
62 te, aux environs de 1922. À ce moment, les grands périls qui menacent l’Allemagne apparaissent d’ordre politique : c’est d’une
46 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
63 eplier dans la crainte, s’exalte aux approches du péril et s’en nourrit plus qu’on n’oserait l’avouer. Après tout, nous ne so
64 ontraire, dans la connaissance du désordre et des périls inhérents au progrès, la chance d’une grandeur qui, elle aussi, pourr
47 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
65 mes recherches. Ce compromis m’expose à un double péril . J’aurais peut-être convaincu quelques lectrices si je n’avais pas do
48 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
66 du dessein secret des amants : leur recherche du péril pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extéri
67 echerche du péril pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extérieure, la prouesse par laquelle Tristan
68 lent prolonger et renouveler à l’infini. D’où les périls nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du chevalier est telle qu
49 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
69 igion cathare qu’elle représenta pour l’Église un péril aussi grave que celui de l’arianisme. Certains ne vont-ils pas jusqu’
70 ore à ne pas voir. Elle mesura toute l’ampleur du péril que lui faisait courir l’Hérésie. Il y eut la Croisade fameuse, l’Inq
50 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
71 tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le double péril de l’humanisme et de l’idéalisme. L’hérésie des cathares consistait
51 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
72 e et que l’on tente d’accomplir au plus grand des périls possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on
73 au plus grand des périls possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on n’est pas inapte en d’autres ca
74 en soit, cette défense était faible en regard du péril déchaîné. Les forces antivitales longtemps contenues par le mythe se
52 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
75 ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces périls nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
53 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
76 ngrat ! Nicolas dans ton exil Souviens-toi de nos périls  ! Le chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute !
77 ngrat ! Nicolas dans ton exil Souviens-toi de nos périls  ! Le chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute !
78 s pas ? Nicolas dans ton exil Souviens-toi de nos périls  ! Scène x. (La montée au Ranft.) (Batterie et quelques instru
54 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
79 i l’armée du Téméraire. La voyez-vous ? Ah ! Ah ! péril et gloire ! Hardi ! Taillez et culbutez, Terreur au loin par votre cr
55 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
80 Nicolas, reviens d’exil ! Soutiens-nous dans nos périls  ! (La batterie de tambours reprend en sourdine et se prolonge durant
81 es huit cantons confédérés ! Considérant tous les périls qui nous menacent à l’intérieur comme au-dehors de nos frontières, su
56 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
82 du dessein secret des amants : leur recherche du péril pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extéri
83 echerche du péril pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extérieure, la prouesse par laquelle Tristan
84 lent prolonger et renouveler à l’infini. D’où les périls nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du chevalier est telle qu
57 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
85 igion cathare qu’elle représenta pour l’Église un péril aussi grave que celui de l’arianisme. Certains ne vont-ils pas jusqu’
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
86 tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le double péril de l’humanisme et de l’idéalisme. L’hérésie des cathares consistait à
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
87 e et que l’on tente d’accomplir au plus grand des périls possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on
88 au plus grand des périls possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on n’est pas inapte en d’autres ca
89 en soit, cette défense était faible en regard du péril déchaîné. Les forces antivitales longtemps contenues par le mythe se
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
90 ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces périls nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
61 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
91 mes recherches. Ce compromis m’expose à un double péril . J’aurais peut-être convaincu quelques lectrices si je n’avais pas do
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
92 du dessein secret des amants : leur recherche du péril pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extéri
93 echerche du péril pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extérieure, la prouesse par laquelle Tristan
94 lent prolonger et renouveler à l’infini. D’où les périls nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du chevalier est telle qu
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
95 igion cathare qu’elle représenta pour l’Église un péril aussi grave que celui de l’arianisme. Certains ne vont-ils pas jusqu’
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
96 tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le double péril de l’humanisme et de l’idéalisme. L’hérésie des cathares consistait
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
97 e et que l’on tente d’accomplir au plus grand des périls possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on
98 au plus grand des périls possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on n’est pas inapte en d’autres ca
99 en soit, cette défense était faible en regard du péril déchaîné. Les forces antivitales longtemps contenues par le mythe se
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
100 ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces périls nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
67 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
101 Notre position géographique, par exemple, est un péril certain si l’on ne s’attache qu’à l’aspect matériel des choses. Mais
68 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
102 voici le message du 1er août de cette année : le péril où nous sommes peut devenir notre chance. Il nous sort de nous-mêmes
69 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
103 ens adversaires. Les préjugés tombaient devant le péril . L’opinion, tout d’abord désorientée, s’ouvrait aux solutions nouvell
70 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
104 temps de voir grand et d’oser, au sein d’un grand péril et d’un beau risque, c’est la pensée qui anime tous ces essais. L’épr
71 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
105 Notre position géographique, par exemple, est un péril certain si l’on ne s’attache qu’à l’aspect matériel des choses. Mais
72 1941, Articles divers (1941-1946). Reynold et l’avenir de la Suisse (1941)
106 ançons ! La claire vision d’un but commun et d’un péril qui se désigne lui-même comme total (ou totalitaire) doit bien suffir
73 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
107 trente-six-mille maux, redoutons trente-six-mille périls , mais nous avons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril.
108 ons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril . Montrer la réalité du diable dans ce monde, ce n’est pas augmenter l
109 s qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux périls . On n’est jamais plus en danger que dans les moments où l’on se tromp
74 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
110 ériels et militaires, conformément à la nature du péril . Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
75 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
111 trente-six-mille maux, redoutons trente-six-mille périls , mais nous avons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril.
112 ons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril . Montrer la réalité du diable dans ce monde, ce n’est pas augmenter l
113 s qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux périls . On n’est jamais plus en danger que dans les moments où l’on se tromp
76 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
114 ériels et militaires, conformément à la nature du péril . Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
115 Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des périls normaux de l’existence, deux possibilités s’offrent à lui : ou bien i
116 ui le menacent, ou bien il cherche à supprimer le péril . Notre choix est fait dès longtemps : c’est le désir de supprimer le
117 it dès longtemps : c’est le désir de supprimer le péril , plutôt que de le dominer, qui définit l’attitude bourgeoise et l’esp
77 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
118 trente-six-mille maux, redoutons trente-six-mille périls , mais nous avons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril.
119 ons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril . Montrer la réalité du diable dans ce monde, ce n’est pas augmenter l
120 s qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux périls . On n’est jamais plus en danger que dans les moments où l’on se tromp
78 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
121 ériels et militaires, conformément à la nature du péril . Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
122 Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des périls normaux de l’existence, deux possibilités s’offrent à lui : ou bien i
123 ui le menacent, ou bien il cherche à supprimer le péril . Notre choix est fait dès longtemps : c’est le désir de supprimer le
124 it dès longtemps : c’est le désir de supprimer le péril plutôt que de le dominer, qui définit l’attitude bourgeoise et l’espr
79 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
125 ériels et militaires, conformément à la nature du péril . Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
80 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
126 rs ni même des prêtres dirigent l’État : c’est le péril qu’il faudrait conjurer. Mais je pense qu’il est temps de renoncer à
81 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
127 chez Goethe, il n’y a pas une révolte, il y a un péril conjuré. C’est contre ce qu’il nommera désormais son Daïmon, contre «
82 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
128 t, les chrétiens…) Quelques athées ont entrevu le péril , mais sans voir l’homme dans l’ordre actuel de son péché, ni dans l’o
129 éale perfection, je puis rêver ma vocation et ses périls … Kierkegaard nous attend au réveil. Il nous saisit à ce moment précis
83 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
130 dix, vis-à-vis des pays qu’il vient de libérer au péril de sa vie, il garde une espèce de rancœur. Je ne pense pas que le mot
84 1946, Articles divers (1941-1946). Les quatre libertés (30 mars 1946)
131 re » ils sont solidement protégés contre tous les périls extérieurs. Ce sont les détenus des prisons américaines. (On leur don
85 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
132 que j’attire l’attention, cette fois-ci, sur un «  péril allemand » d’une tout autre nature ? J’en prends le risque. Voici les
86 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
133 emière tâche des intellectuels qui ont compris le péril totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
134 rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril , c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
87 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
135 ulu acheter ; et si son rythme plus rapide met en péril certaines coutumes avares, ce sera tant mieux. De même encore, la « s
88 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
136 eplier dans la crainte, s’exalte aux approches du péril et s’en nourrit plus qu’on n’oserait l’avouer. Après tout, nous ne so
137 ontraire, dans la connaissance du désordre et des périls inhérents au progrès, la chance d’une grandeur qui, elle aussi, pourr
89 1946, Journal des deux mondes. Intermède
138 six heures… » Mais pour la Suisse, cet été-là, le péril militaire s’éloignait. Le Gothard était devenu plus qu’un symbole. Ce
90 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les quatre libertés
139 re : ils sont solidement protégés contre tous les périls extérieurs. Ce sont les détenus des prisons américaines. (On leur don
91 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les Quatre Libertés
140 re : ils sont solidement protégés contre tous les périls extérieurs. Ce sont les détenus des prisons américaines. (On leur don
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
141 r la force d’une vertu sans égale, sans espoir —, péril pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’o
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
142 e leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en péril d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus assez pour se rendre com
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
143 n ne peut plus nous détourner de la solidarité du péril . Et les problèmes exquis où s’attardent encore ceux que je décrirai c
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
144 politiques, ou sur la philanthropie. On parle du péril social créé par le chômage, dont on admet généralement qu’il est démo
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
145 Mais j’ajouterai peut-être : « En tout cas, tout péril fasciste semble écarté pour une nation qui sait encore dévouer ses en
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
146 , ce n’est pas s’armer jusqu’aux dents. Réagir au péril totalitaire par des plans de « réarmement », c’est introduire chez no
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
147 emière tâche des intellectuels qui ont compris le péril totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
148 rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le péril , c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
149 eplier dans la crainte, s’exalte aux approches du péril et s’en nourrit plus qu’on n’oserait l’avouer. Après tout, nous ne so
150 ontraire, dans la connaissance du désordre et des périls inhérents au progrès, la chance d’une grandeur qui, elle aussi, pourr
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
151 suisse n’a pas encore compris toute l’ampleur du péril , et que c’est bien le tout de notre vie suisse et non pas tel parti p