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cette confrontation seulement qu’on a imaginé un
péril
oriental, car il semble bien que dans le domaine de la culture le pér
2
semble bien que dans le domaine de la culture le
péril
n’existe que pour autant qu’on en parle, la vraie « question asiatiqu
3
t plutôt optimistes. Il ne paraît pas croire à un
péril
oriental très pressant, ni surtout que nous ayons à chercher là-bas n
4
que guère à ce devoir sacré ». M. Jaloux évite le
péril
d’un réalisme trop amer et celui du roman lyrique, par l’équilibre qu
5
Le
péril
Ford (février 1928)a On a trop dit que notre époque est chaotique.
6
ctrine… Il faudrait d’abord prendre conscience du
péril
. Nous ne tentons rien d’autre ici. Il y a une lâcheté, croyons-nous,
7
n Amérique ; poussée mystique en Russie. a. « Le
péril
Ford », Foi et Vie, Paris, n° 4, février 1928, p. 189-202.
8
Lido : bien décidé à ne rien acheter qui mette en
péril
le budget mensuel. Ô sens de la mesure ! (Mais où les audaces souvera
9
n tant que son génie parvient à composer les deux
périls
en une résultante qui est la civilisation. Appelons humanisme l’art d
10
chez Goethe, il n’y a pas une révolte, il y a un
péril
conjuré. C’est contre ce qu’il nommera désormais son Daimon, contre «
11
L’humanisme n’est rien s’il n’est commun comme le
péril
qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la commune condition h
12
n ne peut plus nous détourner de la solidarité du
péril
. Et les problèmes exquis où s’attardent encore ceux que je décrirai c
13
d’hui à deux livres caractéristiques de ce double
péril
qui menace une génération : péril de gauche et péril de droite, pourr
14
es de ce double péril qui menace une génération :
péril
de gauche et péril de droite, pourrait-on dire, afin de simplifier. M
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il qui menace une génération : péril de gauche et
péril
de droite, pourrait-on dire, afin de simplifier. M. Thierry Maulnier
16
ns doute que l’auteur exagère quand il dénonce le
péril
d’une pensée que l’on peut bien appeler scolastique, pensée purement
17
tude essentielle ? Il semble que la solidarité du
péril
crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, un
18
e leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en
péril
d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus assez pour se rendre com
19
r la force d’une vertu sans égale, sans espoir —,
péril
pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’o
20
r la force d’une vertu sans égale, sans espoir —,
péril
pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’o
21
e leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en
péril
d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus assez pour se rendre com
22
’ordre social » ? Ont-ils distingué clairement le
péril
de sécularisation de l’Évangile impliqué dans leur attitude, et qui l
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conduirait l’homme au nihilisme absolu : mais ce
péril
est tout imaginaire. Car seule la connaissance du salut promis par le
24
l. N’est-ce point l’obscur pressentiment d’un tel
péril
qui explique, en dernière analyse, la méfiance réciproque dont je vie
25
’ensemble concret des données actuelles. C’est un
péril
proprement protestant. La doctrine calviniste de la vocation ou des c
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sément…) Certains des plus lucides entrevoient le
péril
que ces doctrines font courir à l’homme, et j’entends, à l’homme tel
27
rfection idéale, je peux rêver ma vocation et ses
périls
… Kierkegaard nous attend au réveil. Il nous saisit à ce moment précis
28
’opposer d’une façon meurtrière. Quel remède à ce
péril
qui, chaque jour, se fait plus menaçant ? On a dit : retour à la terr
29
ment aussitôt cette objection de conscience en un
péril
pour la défense nationale et l’ordre public. Quatrième question. — L
30
provisoirement — à l’abri de toutes sanctions et
périls
concrets — à l’abri de toutes précisions. Une mystique n’est jamais p
31
rains qu’elle soit insuffisante pour combattre le
péril
éventuel : elle ne contribue pas à le définir utilement. On fonde des
32
ette de déceler et de combattre à sa naissance le
péril
fasciste présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de répondre à
33
tude essentielle ? Il semble que la solidarité du
péril
crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, un
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ment aussitôt cette objection de conscience en un
péril
pour la défense nationale et l’ordre public. Quatrième question. — L
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provisoirement — à l’abri de toutes sanctions et
périls
concrets — à l’abri de toutes précisions. Une mystique n’est jamais p
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rains qu’elle soit insuffisante pour combattre le
péril
éventuel : elle ne contribue pas à le définir utilement. On fonde des
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ette de déceler et de combattre à sa naissance le
péril
fasciste présent ? L’expérience hitlérienne nous permet de répondre à
38
tude essentielle ? Il semble que la solidarité du
péril
crée en nous une unité que n’ont su faire ni maîtres ni doctrines, un
39
emière tâche des intellectuels qui ont compris le
péril
totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
40
rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le
péril
, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
41
rivains sont menacés, en France, par un troisième
péril
, par un péril que les époques précédentes n’avaient pas même soupçonn
42
enacés, en France, par un troisième péril, par un
péril
que les époques précédentes n’avaient pas même soupçonné, et que notr
43
s intervenir en force, s’imposer à ses risques et
périls
, reprendre la conduite des événements et modifier ou adapter aux fait
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que cet état d’esprit (de la même URSS) ne met en
péril
la culture. » Naturellement, c’est plus complexe que cela. Mais c’est
45
te, aux environs de 1922. À ce moment, les grands
périls
qui menacent l’Allemagne apparaissent d’ordre politique : c’est d’une
46
s je crois qu’il est encore temps de dévisager le
péril
: il ne prendra la force d’un destin que le jour où nous refuserons d
47
s fatalités et qui se crée ses propres risques et
périls
, si libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable p
48
e volonté d’incarner la pensée côtoiera ce double
péril
. C’est là sa dialectique particulière, c’est à cela même qu’on peut r
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s fatalités et qui se crée ses propres risques et
périls
, si libéral que prétende être le régime. « La supériorité véritable p
50
e volonté d’incarner la pensée côtoiera ce double
péril
. C’est là sa dialectique particulière, c’est à cela même qu’on peut r
51
J’ajouterais peut-être ceci : « En tout cas, tout
péril
fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui dévoue tous ses enth
52
politiques, ou sur la philanthropie. On parle du
péril
social créé par le chômage, dont on admet généralement qu’il est démo
53
» J’ajouterais peut-être ceci : En tout cas, tout
péril
fasciste est écarté d’emblée pour une nation qui sait encore dévouer
54
, ce n’est pas s’armer jusqu’aux dents. Réagir au
péril
totalitaire par des plans de « réarmement », c’est introduire chez no
55
uis le xiiie siècle, nous n’avons encouru un tel
péril
. Jamais la conscience impérieuse des raisons d’être de la Suisse n’a
56
emière tâche des intellectuels qui ont compris le
péril
totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
57
rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le
péril
, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
58
ouge. C’est effrayant, cette immobilité devant le
péril
. La dictature fascine les masses, et les élites. Sous prétexte de lui
59
encore plus grave, la religion collectiviste ? Le
péril
est immense. Mais notre chance devant l’Histoire ne l’est pas moins.
60
ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces
périls
nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
61
, ce n’est pas s’armer jusqu’aux dents. Réagir au
péril
totalitaire par des plans de « réarmement », c’est introduire chez no
62
te, aux environs de 1922. À ce moment, les grands
périls
qui menacent l’Allemagne apparaissent d’ordre politique : c’est d’une
63
eplier dans la crainte, s’exalte aux approches du
péril
et s’en nourrit plus qu’on n’oserait l’avouer. Après tout, nous ne so
64
ontraire, dans la connaissance du désordre et des
périls
inhérents au progrès, la chance d’une grandeur qui, elle aussi, pourr
65
mes recherches. Ce compromis m’expose à un double
péril
. J’aurais peut-être convaincu quelques lectrices si je n’avais pas do
66
du dessein secret des amants : leur recherche du
péril
pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extéri
67
echerche du péril pour lui-même. Mais tant que le
péril
n’est qu’une menace tout extérieure, la prouesse par laquelle Tristan
68
lent prolonger et renouveler à l’infini. D’où les
périls
nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du chevalier est telle qu
69
igion cathare qu’elle représenta pour l’Église un
péril
aussi grave que celui de l’arianisme. Certains ne vont-ils pas jusqu’
70
ore à ne pas voir. Elle mesura toute l’ampleur du
péril
que lui faisait courir l’Hérésie. Il y eut la Croisade fameuse, l’Inq
71
tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le double
péril
de l’humanisme et de l’idéalisme. L’hérésie des cathares consistait
72
e et que l’on tente d’accomplir au plus grand des
périls
possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on
73
au plus grand des périls possibles. C’est bien le
péril
qu’on recherche pour lui-même, car on n’est pas inapte en d’autres ca
74
en soit, cette défense était faible en regard du
péril
déchaîné. Les forces antivitales longtemps contenues par le mythe se
75
ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces
périls
nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
76
ngrat ! Nicolas dans ton exil Souviens-toi de nos
périls
! Le chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute !
77
ngrat ! Nicolas dans ton exil Souviens-toi de nos
périls
! Le chœur. (Sourdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute !
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s pas ? Nicolas dans ton exil Souviens-toi de nos
périls
! Scène x. (La montée au Ranft.) (Batterie et quelques instru
79
i l’armée du Téméraire. La voyez-vous ? Ah ! Ah !
péril
et gloire ! Hardi ! Taillez et culbutez, Terreur au loin par votre cr
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Nicolas, reviens d’exil ! Soutiens-nous dans nos
périls
! (La batterie de tambours reprend en sourdine et se prolonge durant
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es huit cantons confédérés ! Considérant tous les
périls
qui nous menacent à l’intérieur comme au-dehors de nos frontières, su
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du dessein secret des amants : leur recherche du
péril
pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extéri
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echerche du péril pour lui-même. Mais tant que le
péril
n’est qu’une menace tout extérieure, la prouesse par laquelle Tristan
84
lent prolonger et renouveler à l’infini. D’où les
périls
nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du chevalier est telle qu
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igion cathare qu’elle représenta pour l’Église un
péril
aussi grave que celui de l’arianisme. Certains ne vont-ils pas jusqu’
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tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le double
péril
de l’humanisme et de l’idéalisme. L’hérésie des cathares consistait à
87
e et que l’on tente d’accomplir au plus grand des
périls
possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on
88
au plus grand des périls possibles. C’est bien le
péril
qu’on recherche pour lui-même, car on n’est pas inapte en d’autres ca
89
en soit, cette défense était faible en regard du
péril
déchaîné. Les forces antivitales longtemps contenues par le mythe se
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ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces
périls
nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
91
mes recherches. Ce compromis m’expose à un double
péril
. J’aurais peut-être convaincu quelques lectrices si je n’avais pas do
92
du dessein secret des amants : leur recherche du
péril
pour lui-même. Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extéri
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echerche du péril pour lui-même. Mais tant que le
péril
n’est qu’une menace tout extérieure, la prouesse par laquelle Tristan
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lent prolonger et renouveler à l’infini. D’où les
périls
nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du chevalier est telle qu
95
igion cathare qu’elle représenta pour l’Église un
péril
aussi grave que celui de l’arianisme. Certains ne vont-ils pas jusqu’
96
tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le double
péril
de l’humanisme et de l’idéalisme. L’hérésie des cathares consistait
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e et que l’on tente d’accomplir au plus grand des
périls
possibles. C’est bien le péril qu’on recherche pour lui-même, car on
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au plus grand des périls possibles. C’est bien le
péril
qu’on recherche pour lui-même, car on n’est pas inapte en d’autres ca
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en soit, cette défense était faible en regard du
péril
déchaîné. Les forces antivitales longtemps contenues par le mythe se
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ant, à plusieurs reprises, la connaissance de ces
périls
nous a fait entrevoir des possibilités de les surmonter. Par exemple,
101
Notre position géographique, par exemple, est un
péril
certain si l’on ne s’attache qu’à l’aspect matériel des choses. Mais
102
voici le message du 1er août de cette année : le
péril
où nous sommes peut devenir notre chance. Il nous sort de nous-mêmes
103
ens adversaires. Les préjugés tombaient devant le
péril
. L’opinion, tout d’abord désorientée, s’ouvrait aux solutions nouvell
104
temps de voir grand et d’oser, au sein d’un grand
péril
et d’un beau risque, c’est la pensée qui anime tous ces essais. L’épr
105
Notre position géographique, par exemple, est un
péril
certain si l’on ne s’attache qu’à l’aspect matériel des choses. Mais
106
ançons ! La claire vision d’un but commun et d’un
péril
qui se désigne lui-même comme total (ou totalitaire) doit bien suffir
107
trente-six-mille maux, redoutons trente-six-mille
périls
, mais nous avons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril.
108
ons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai
Péril
. Montrer la réalité du diable dans ce monde, ce n’est pas augmenter l
109
s qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
périls
. On n’est jamais plus en danger que dans les moments où l’on se tromp
110
ériels et militaires, conformément à la nature du
péril
. Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
111
trente-six-mille maux, redoutons trente-six-mille
périls
, mais nous avons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril.
112
ons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai
Péril
. Montrer la réalité du diable dans ce monde, ce n’est pas augmenter l
113
s qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
périls
. On n’est jamais plus en danger que dans les moments où l’on se tromp
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ériels et militaires, conformément à la nature du
péril
. Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
115
Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des
périls
normaux de l’existence, deux possibilités s’offrent à lui : ou bien i
116
ui le menacent, ou bien il cherche à supprimer le
péril
. Notre choix est fait dès longtemps : c’est le désir de supprimer le
117
it dès longtemps : c’est le désir de supprimer le
péril
, plutôt que de le dominer, qui définit l’attitude bourgeoise et l’esp
118
trente-six-mille maux, redoutons trente-six-mille
périls
, mais nous avons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai Péril.
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ons cessé de croire au Mal et de redouter le vrai
Péril
. Montrer la réalité du diable dans ce monde, ce n’est pas augmenter l
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s qui nous paralysaient, ou de l’angoisse de faux
périls
. On n’est jamais plus en danger que dans les moments où l’on se tromp
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ériels et militaires, conformément à la nature du
péril
. Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
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Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des
périls
normaux de l’existence, deux possibilités s’offrent à lui : ou bien i
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ui le menacent, ou bien il cherche à supprimer le
péril
. Notre choix est fait dès longtemps : c’est le désir de supprimer le
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it dès longtemps : c’est le désir de supprimer le
péril
plutôt que de le dominer, qui définit l’attitude bourgeoise et l’espr
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ériels et militaires, conformément à la nature du
péril
. Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupable
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rs ni même des prêtres dirigent l’État : c’est le
péril
qu’il faudrait conjurer. Mais je pense qu’il est temps de renoncer à
127
chez Goethe, il n’y a pas une révolte, il y a un
péril
conjuré. C’est contre ce qu’il nommera désormais son Daïmon, contre «
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t, les chrétiens…) Quelques athées ont entrevu le
péril
, mais sans voir l’homme dans l’ordre actuel de son péché, ni dans l’o
129
éale perfection, je puis rêver ma vocation et ses
périls
… Kierkegaard nous attend au réveil. Il nous saisit à ce moment précis
130
dix, vis-à-vis des pays qu’il vient de libérer au
péril
de sa vie, il garde une espèce de rancœur. Je ne pense pas que le mot
131
re » ils sont solidement protégés contre tous les
périls
extérieurs. Ce sont les détenus des prisons américaines. (On leur don
132
que j’attire l’attention, cette fois-ci, sur un «
péril
allemand » d’une tout autre nature ? J’en prends le risque. Voici les
133
emière tâche des intellectuels qui ont compris le
péril
totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
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rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le
péril
, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
135
ulu acheter ; et si son rythme plus rapide met en
péril
certaines coutumes avares, ce sera tant mieux. De même encore, la « s
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eplier dans la crainte, s’exalte aux approches du
péril
et s’en nourrit plus qu’on n’oserait l’avouer. Après tout, nous ne so
137
ontraire, dans la connaissance du désordre et des
périls
inhérents au progrès, la chance d’une grandeur qui, elle aussi, pourr
138
six heures… » Mais pour la Suisse, cet été-là, le
péril
militaire s’éloignait. Le Gothard était devenu plus qu’un symbole. Ce
139
re : ils sont solidement protégés contre tous les
périls
extérieurs. Ce sont les détenus des prisons américaines. (On leur don
140
re : ils sont solidement protégés contre tous les
périls
extérieurs. Ce sont les détenus des prisons américaines. (On leur don
141
r la force d’une vertu sans égale, sans espoir —,
péril
pour le monde ! Fable énorme et qui étonne de la part d’écrivains d’o
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e leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont en
péril
d’inanition spirituelle. Ils ne dorment plus assez pour se rendre com
143
n ne peut plus nous détourner de la solidarité du
péril
. Et les problèmes exquis où s’attardent encore ceux que je décrirai c
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politiques, ou sur la philanthropie. On parle du
péril
social créé par le chômage, dont on admet généralement qu’il est démo
145
Mais j’ajouterai peut-être : « En tout cas, tout
péril
fasciste semble écarté pour une nation qui sait encore dévouer ses en
146
, ce n’est pas s’armer jusqu’aux dents. Réagir au
péril
totalitaire par des plans de « réarmement », c’est introduire chez no
147
emière tâche des intellectuels qui ont compris le
péril
totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
148
rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le
péril
, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
149
eplier dans la crainte, s’exalte aux approches du
péril
et s’en nourrit plus qu’on n’oserait l’avouer. Après tout, nous ne so
150
ontraire, dans la connaissance du désordre et des
périls
inhérents au progrès, la chance d’une grandeur qui, elle aussi, pourr
151
suisse n’a pas encore compris toute l’ampleur du
péril
, et que c’est bien le tout de notre vie suisse et non pas tel parti p