1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 e ces provinces du Midi où le souvenir des luttes religieuses encore vivace fait que les paysans gardent une méfiance frondeuse vis
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
2 te, en son cœur, du croyant. Le centre de gravité religieux est replacé en Christ. — Comment l’Église catholique réagit-elle ? En
3 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
3 ’avocat du diable, en montrant que tous les faits religieux admettent à côté de l’explication mystique une explication scientifiq
4 le conflit de la théologie moderne avec l’action religieuse en s’appuyant sur des expériences faites pendant le réveil de la Drôm
5 Maury fit une causerie émouvante sur l’Évolution religieuse de Jacques Rivière, qui se trouva préciser bien des points laissés en
4 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
6 la plus grande tyrannie. En proclamant la liberté religieuse , Henry IV mettait le royaume à la tête de la civilisation ; en interd
7 urs de sa jeunesse. Le roi, « un niais en matière religieuse  » au dire de sa belle-sœur, la princesse palatine, se laisse facileme
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
8 résume la défense de la loi sociale, patriotique, religieuse (?) et ci-devant morale qui protège votre paresse à concevoir en espr
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
9 ens, me dis-je, Bouvier va peindre. Comme peintre religieux , il se cherche encore. On a pourtant l’impression, à voir ses dernièr
10 t de noix et d’oranges. Il administre une feuille religieuse . Il déniche à Paris des tableaux mystérieux qu’il relègue dans son at
7 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
11 de la morale peuvent exister sans leur substance religieuse .) L’homme moderne manie les choses de l’âme avec une maladresse de ba
12 que l’envie. Mauvais travail. Il a perdu le sens religieux , cosmique, de l’effort humain. Il ne peut plus situer son effort indi
8 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
13 cieuse, qu’on n’approcherait qu’avec un sentiment religieux de la beauté. Mais je crois que l’Orient est devenu fou. Il ne compre
9 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
14 ait encore parler de sa mère avec cette virile et religieuse tendresse ? C’est un Chinois, c’est un Américain qui viennent nous ra
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
15 e force antireligieuse de ce temps. L’instruction religieuse qui prend les enfants au sortir de l’école primaire, arrive trop tard
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
16 r sens et toute leur efficace que dans un système religieux . Pour quiconque a une foi et la conscience de cette foi, il n’est d’e
17 cette foi, il n’est d’enseignement véritable que religieux . Mais les questions confessionnelles enrayent et faussent tout. Imagi
18 ure spirituelle indépendante de toute destination religieuse particulière. On peut faire des haltères et rester pacifiste. NOTE C
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
19 e force antireligieuse de ce temps. L’instruction religieuse qui prend les enfants au sortir de l’école primaire, arrive trop tard
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
20 r sens et toute leur efficace que dans un système religieux . Pour quiconque a une foi et la conscience de cette foi, il n’est d’e
21 cette foi, il n’est d’enseignement véritable que religieux . Mais les questions confessionnelles enrayent et faussent tout. Imagi
22 ure spirituelle indépendante de toute destination religieuse particulière. On peut faire des haltères et rester pacifiste. NOTE C
14 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
23 technique spirituelle8 indépendante de toute fin religieuse particulière, antérieure à n’importe quel dogme. Je ne crois pas qu’i
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
24 entir la force neuve perpétuellement de la vérité religieuse . Il parle des religions avec une incroyable légèreté, — en littérateu
25 eux du « séculariste », bien entendu, la question religieuse apparaît comme périmée. Avec M. Brunschvicg, il pense qu’un homme de
26 e est inévitablement coincé entre une philosophie religieuse concrète d’une part, et le matérialisme historique de l’autre. La pr
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
27 n véritable renouvellement de la peinture à sujet religieux qu’annonce cette grande composition : trois longues croix dans une lu
28 préside à l’élaboration d’une œuvre. Pas de style religieux sans doctrine. Et plus la doctrine se relâche et s’estompe, moins l’a
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
29 ation. (Dans le cas de Baring, elle serait plutôt religieuse .) Il est incontestable que l’art a tout à gagner à se choisir un cadr
30 ce, dit-elle, aucune pression sur ses convictions religieuses . Mais le mot conviction ne doit être pris ici qu’au sens le plus conv
31 e, « une façon naturelle de traiter les questions religieuses , sans fausse honte ». (Seuls, parmi les catholiques, son mari et sa t
32 i retiennent l’esprit à la périphérie des vérités religieuses , là où elles paraissent s’opposer, au lieu de nous aider à les mieux
33 omptent parmi les chefs-d’œuvre de la littérature religieuse . Celui de La Princesse Blanche 20 donne sans aucun doute l’accord le
34 faut souligner cette insuffisance du vocabulaire religieux . 19. Soulignons qu’un pasteur ne parlerait pas autrement. 20. Pages
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
35 uvre de Kierkegaard dans le monde intellectuel et religieux français, est un événement qui mérite d’être signalé et qui aura un p
36 culier dans la Revue d’histoire et de philosophie religieuses de Strasbourg (Pascal et Kierkegaard), et dans la Revue de métaphysiq
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
37 en main, des mobiles personnels, affectifs, voire religieux , qui sont à l’origine de son entreprise. C’est même un des malheurs d
38 ts considérables de l’œuvre sociale, politique et religieuse suscitée par Kagawa. Nous savions que ce pasteur d’une petite paroiss
20 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
39 ement et formidablement sur ses bases sociales et religieuses . Ah ! comme tout cela est juste et net, parfaitement exprimé et mûri.
21 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
40 oi »31. Quoi qu’il en fût d’ailleurs de la portée religieuse des trois œuvres, l’on se sentait tenté de marquer ici d’une pierre b
41 , d’abord, céder à la tentation d’un nationalisme religieux plus injustifiable que l’autre ? Je sais bien que certains « protesta
42 apables de transporter dans ce décor les dilemmes religieux d’une vie intérieure que l’on sent parfois sous-jacente, mais trop ti
43 sme de la forme, mais jamais rien d’explicitement religieux  : cela n’a point empêché ces trois romans de faire figure, aux yeux d
44 dessèchement distingué de notre art. Toute forme religieuse donne lieu à des formes d’art qui manifestent ses traits spécifiques.
45 ent la citation de F. Münch relative à la musique religieuse d’Honegger. m. « Romanciers protestants », Foi et Vie, Paris, n° 34,
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
46 terminer une suite d’actes. Dilemme, en son fond, religieux . C’est une forme dialectique, « agonique », de la vie de l’âme, une f
23 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
47 ensée raisonnable qu’avec leur première sensation religieuse , et croient qu’on ne peut aller plus loin parce qu’ils ignorent tout
48 oir produit chez le poète une sorte de sécheresse religieuse . Ce qui à l’origine, n’était qu’humilité de la raison devant l’insond
49 nature même de l’homme et l’ensemble des données religieuses . Mais, d’autre part, il faudrait un libéralisme dont nous nous senton
50 traire au scandale chrétien, que gît la faiblesse religieuse de sa position. Ce qui, plus que tout, fait défaut à ce génie, c’est
24 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
51 om de valeurs tout intemporelles qui, n’étant pas religieuses , sont donc abstraites. Il ne suffit pas de dire à ses contemporains q
25 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
52 es réaliser en obéissance. ⁂ En face d’une pensée religieuse qui s’épuise et se disqualifie dans ses efforts pour concilier la rév
53 peut délivrer d’eux-mêmes ; en face d’une pensée religieuse qui, pour tout dire, trahit sa mission de scandale, et tente lâchemen
26 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
54 sition de Kierkegaard et de Hegel dans le domaine religieux . Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des
27 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
55 cieuse, qu’on n’approcherait qu’avec un sentiment religieux de la beauté. Mais je crois que l’Occident est devenu fou. Il ne comp
28 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
56 t païennes. Mais les peuples païens sont toujours religieux , alors que les femmes de ce temps sont seulement sournoises. Sonnett
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
57 ez fidèle des influences sociales, culturelles et religieuses , qui s’exercèrent sur notre Suisse romande aux derniers siècles. Je n
30 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
58 es séries sur la psychanalyse et sur les penseurs religieux , Corrêa publie presque exclusivement des « écrivains d’idées », les É
31 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
59 mande. Alors qu’en France l’affirmation d’une foi religieuse personnelle fait encore sourire le petit-bourgeois « progressiste »,
32 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
60 us atroce encore, [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse , l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que ce
61 Figaro de conclure : « En terminant, l’éminent religieux déclara que ce concours international avait pour but de contribuer à
33 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
62 ter sur nos actions, nos doctrines et notre « vie religieuse  » ? Il y a la mort, et notre acceptation de cette mort. Et qu’y a-t-i
34 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
63 que remède. C’est comme la genèse individuelle et religieuse de ce fait trop actuel, qu’Albert-Marie Schmidt nous restitue au cour
35 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
64 rrière des mots comme religion, piété, expérience religieuse , problème de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se lèvent de toutes
65 avec une insistance significative, que les hommes religieux , prêtres et pharisiens, ont toujours été les premiers à refuser, sous
66 polémique de la Bible au contraire, vise le monde religieux , qu’il soit placé sous le signe de Baal ou de Yaveh. » La Bible nous
67 » La Bible nous parle-t-elle de ces « expériences religieuses  » sur lesquelles les modernes exercent leurs psychologies et leurs ra
68 e cette foi n’est pas le couronnement de sa « vie religieuse  », mais le don gratuit que Dieu fait à tout homme qui n’a plus d’autr
69 ustes », mais bien aux condamnés à mort.) L’homme religieux qui se refuse à cette mort, se refuse aussi à la vie. Il meurt de ne
36 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
70 Par ailleurs, elle pourrait être aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’individu a vécu, nous dit-on… Il faut craindre
37 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
71 r, entre l’auteur d’Adolphe et celui des Discours religieux , par exemple, cet excellent Toepffer dont on peut espérer qu’il les f
38 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
72 nt : celle de l’histoire et celle de l’expérience religieuse . Prendre la voie de l’histoire, c’était d’abord chercher à s’approche
73 éparent de l’Évangile. Du même coup, l’expérience religieuse , dialogue vivant avec le Christ des évangiles, se réduisait à une con
74 sement du problème. Calvin ne fonde pas notre vie religieuse sur notre amour pour Jésus-Christ — amour dont il nous sait tout inca
39 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
75 uction : « Je suis et j’ai toujours été un auteur religieux  ; toute ma carrière littéraire se rapporte au christianisme, et en pa
40 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
76 s populaire de son pays, une puissance sociale et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un récit autobiographique e
41 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
77 affirmait qu’il n’était qu’un « poète à tendance religieuse  » et non pas un « témoin de la vérité » ; c’est qu’il se faisait du c
42 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
78 gagner ce dernier gage, les habitudes de l’esprit religieux leur font concevoir une Âme du Monde qu’ils se figurent (mais sans fr
43 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
79 sans soupçonner les conséquences, économiques ou religieuses , par exemple, des « idées » qu’ils mettent en action. La littérature
44 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
80 e l’abbé Bremond appelait l’histoire du sentiment religieux , et il nous sera permis de souhaiter que cette lacune suscite un Brem
81 comme chez Hitler, ce n’est pas un souci d’unité religieuse qui domine : la religion leur est simple prétexte ; mais il s’agit d’
45 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
82 il adopte ces allures compassées, ces tournures «  religieuses  », cette servilité en face du « destin » ? Et comment pourrait-il cro
46 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
83 us atroce encore, [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse , l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que ce
84 Figaro de conclure : « En terminant, l’éminent religieux déclara que ce concours international avait pour but de contribuer à
47 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
85 sition de Kierkegaard et de Hegel dans le domaine religieux . Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des
48 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
86  : « Je meurs de ne pas mourir. » Qu’un humanisme religieux , qui trop souvent exprime la croyance courante de bien des églises mo
87 rimoine moral, culturel, social, national et même religieux . ⁂ Kierkegaard en tant que chrétien sait que la vie de l’homme est au
88 e meurt pas, dit-il, il devra poursuivre sa lutte religieuse , mais elle s’en trouvera affaiblie ; au contraire, sa mort lui assure
49 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
89 il adopte ces allures compassées, ces tournures «  religieuses  », cette servilité en face du « destin » ? Et comment pourrait-il cro
50 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
90 lus atroce encore [sic] l’idée chrétienne, l’idée religieuse l’idée même de Dieu est abolie… » Ne pouvant supporter l’idée que cet
91 t Figaro de conclure : « En terminant l’éminent religieux déclara que ce concours international avait pour but de contribuer à
51 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
92 sition de Kierkegaard et de Hegel dans le domaine religieux . Elle traduira demain l’opposition des nations collectivistes et des
52 1935, Esprit, articles (1932–1962). André Rouveyre, Singulier (janvier 1935)
93 erdra rien de sa grandeur lucide à gagner un sens religieux . Ce livre enfin vaut par un style inoubliable. Rouveyre ne laisse pas
53 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
94 rir, ne plus pouvoir renaître ? La contemplation religieuse du monde sans l’acuité et la profondeur de l’intellect fait de la rel
54 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
95 placer le critère de l’esprit dans le « sentiment religieux  » et non dans l’actualité de la Parole. C’était sortir du drame, pour
55 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
96 u donner, jusqu’ici, que les fondements moraux ou religieux , et certaines amorces juridiques. Autre différence, ou plutôt autre a
56 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
97 et sa révocation (mars-avril 1935)m Un conflit religieux « déchire » la France lors de l’avènement de Henri IV. Ainsi parlent
98 utales, que celles du pape. La légende de la paix religieuse établie par l’édit de Nantes, légende chère aux historiens de la Troi
99 ns Henri IV eût pu donner au conflit politique et religieux de son époque une tournure moins fatale pour l’avenir du pays. (Nous
57 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
100 egaard revient, dans toutes ses œuvres proprement religieuses , sur la notion de « contemporanéité » avec le Christ. Toute la polémi
101 le développement de la tradition, l’accoutumance religieuse nous faciliteraient cette reconnaissance, et se substitueraient ainsi
102 us ne pouvons nous empêcher, après tant d’auteurs religieux — qui ne sont pas tous américains — de nous représenter un « Jésus-ho
103 , aux psychologues, aux partisans de l’expérience religieuse « sentie et vécue ». Mais si c’est le péché qui nous sépare de Christ
104 ent littéraire18, ou sous la forme de méditations religieuses , ou même sous forme de sermons, sont par eux-mêmes absolument vains,
58 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
105 r, vis-à-vis de cette jeunesse ! J’étais un homme religieux , et c’est cela que je suis resté. Je l’affirme solennellement ! Toute
106 s qu’une pâle idée. Il affirme qu’il est un homme religieux . Il a raison ! La seule religion qui tienne, c’est la religion vécue,
107 ience par d’autres expériences qu’ils appellent «  religieuses  ». Vous voyez bien qu’ils cherchent à se rassurer, à grand renfort d’
108 à des expériences, n’est-ce pas ? Et l’expérience religieuse de ce grand docteur de l’Église avait bien su les reconnaître. C’étai
109 squ’aux moelles, et que c’est là notre expérience religieuse , proprement dite. Mais nous avons le devoir et la mission de proclame
59 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
110 et d’une véritable compréhension des expériences religieuses , est vaine, irresponsable, impuissante et antisociale. » Je crois que
111 base, dans leur réalité dernière, métaphysique et religieuse . Qui aura ce courage, si les chrétiens ne l’ont pas ? Où voulez-vous
60 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
112 ser, c’est s’engager dans l’aventure politique ou religieuse . Au grand Hegel qui philosophe « au dimanche de la vie » au-dessus du
61 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
113 ittéraire en même temps que par notre scepticisme religieux . Une telle disposition d’esprit nous incite à séparer ce qui était li
62 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
114 ohérent ? Sont-ce tous ces grands mots faussement religieux qu’il prétend opposer aux rhéteurs, aux utopistes, aux « intellectuel
63 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
115 ce n’entre jamais en relation avec Dieu. L’audace religieuse , à plus forte raison l’audace chrétienne, est au-delà de toute vraise
116 — c’est-à-dire s’il rejette sa mission d’écrivain religieux pour se faire pasteur de campagne, par exemple. C’est, dit-il, que sa
64 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
117 arrière de poète et de philosophe « à orientation religieuse  » avait en effet préparé le climat et la juste portée de ces attaques
118 ourd’hui parmi nous. Et la publication des écrits religieux entreprise par M. Paul Tisseau y contribuera certainement. Les graves
119 its volumes de « discours édifiants » et d’essais religieux  : La Pureté du cœur, Le Droit de mourir pour la vérité, Pour un exame
120 Pureté du cœur. La plupart des écrits proprement religieux de Kierkegaard développent ce thème et l’illustrent de la façon la pl
121 y répondre par des mots ? Plusieurs des Discours religieux ayant pour objet de « préparer à la Communion », je ne vois pour ma p
65 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
122 ut processus psychique, il précise : l’expérience religieuse ne devient proprement chrétienne qu’en tant qu’elle reconnaît que son
66 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
123 encore, derrière les grandes façades aux symboles religieux et orgueilleux, je retrouve la misère matérielle. Car à toutes les ob
124 s, mais ils ont répondu à une attente universelle religieuse , l’attente d’une nouvelle mesure, d’une nouvelle image du monde où l’
125 » peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dressent leurs monuments sacrés à l’Est. Pour le présent, notre d
67 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
126 par l’excès d’un scrupule à la fois artistique et religieux , souhaitait que l’on détruisît. Max Brod s’est expliqué sur ce point
127 secret de Kafka. Sa passion de l’absolu moral et religieux , sa psychologie de l’angoisse dérivent sans doute de Kierkegaard, qu’
68 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
128 ses luttes sociales et morales, scientifiques et religieuses , ce fut toujours la raison raisonnante, méfiante et organisatrice. Et
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
129 e cette base philosophique, cette espérance quasi religieuse , cette conscience d’aller dans le sens d’un grandiose Progrès de l’es
130 ils le justifieront dans l’absolu, comme un idéal religieux , comme un Dieu, mais un dieu vérifiable, comme une Providence plus ri
70 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
131 utre chose. Israël portait dans son sein l’avenir religieux du monde. Dès qu’il était tenté de s’oublier dans les voies vulgaires
71 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
132 angoisse, et l’inauguration d’un Troisième Empire religieux , synthèse monumentale et invincible de la force et du rêve obscur des
133 e Parti les définit.   Attitude philosophique et religieuse . — Il n’est plus nécessaire d’insister sur la direction générale de l
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
134 ce problème, qui est un problème métaphysique et religieux , nous nous condamnons en même temps à ne jamais le résoudre totalemen
73 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
135 encore, derrière les grandes façades aux symboles religieux et orgueilleux, je retrouve la misère matérielle. Car à toutes les ob
136 , mais ils ont répondu à une attente universelle, religieuse  : l’attente d’une nouvelle mesure, d’une nouvelle image du monde où l
137 x peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dressent leurs monuments sacrés à l’Est. Pour le présent, notre d
74 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
138 e théologien moderniste ou libéral : l’expérience religieuse et la conscience que l’on en prend ; la réalité des fins dernières et
139 u fond de toute l’affaire, il s’agit d’un mystère religieux , d’une décision proprement religieuse. Mais il n’est pas encore temps
140 d’un mystère religieux, d’une décision proprement religieuse . Mais il n’est pas encore temps d’en parler. Je voudrais faire ici, t
141 ible de fixer les idées du lecteur, même le moins religieux . Si les intellectuels ont succombé aux tentations de la scolastique p
142 èmes fondamentaux de la vie pratique et de la vie religieuse . « Les grandes questions gisent dans la rue », écrivait Nietzsche ; d
143 reud, n’est pas une manifestation de ressentiment religieux  ? Et leur épistémologie, le témoignage d’un refus de connaître, c’est
75 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
144 ie de la Morale — étant plutôt conforme à l’ordre religieux tel que, pécheurs, nous prétendons l’organiser pour notre usage. L’as
145 Par ailleurs, elle pourrait être aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’individu a vécu. Ce mythe n’est plus à craindr
146 xceptionnels ; politiques ou privés ; profanes ou religieux  ; réfléchis ou involontaires ; intéressés ou gratuits, etc. Puis mont
76 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
147 ses luttes sociales et morales, scientifiques et religieuses , ce fut toujours la raison raisonnante, méfiante et organisatrice. Et
77 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
148 e cette base philosophique, cette espérance quasi religieuse , cette conscience d’aller dans le sens d’un grandiose Progrès de l’es
149 ils le justifieront dans l’absolu, comme un idéal religieux , comme un Dieu, mais un dieu vérifiable, comme une Providence plus ri
78 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
150 utre chose. Israël portait dans son sein l’avenir religieux du monde. Dès qu’il était tenté de s’oublier dans les voies vulgaires
79 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
151 angoisse, et l’inauguration d’un Troisième Empire religieux , synthèse monumentale et invincible de la force et du rêve obscur des
152 e Parti les définit.   Attitude philosophique et religieuse  : Il n’est plus nécessaire d’insister sur la direction générale de l’
80 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
153 e au cœur de ce problème, qui est métaphysique et religieux , nous nous condamnons en même temps à ne jamais le résoudre totalemen
81 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
154 encore, derrière les grandes façades aux symboles religieux et orgueilleux, je retrouve la misère matérielle. Car à toutes les ob
155 , mais ils ont répondu à une attente universelle, religieuse  : l’attente d’une nouvelle mesure, d’une nouvelle image du monde où l
156 x peut influencer, à force égale, les révolutions religieuses qui dressent leurs monuments sacrés à l’Est. Pour le présent, notre d
82 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
157 e théologien moderniste ou libéral : l’expérience religieuse et la conscience que l’on en prend ; la réalité des fins dernières et
158 u fond de toute l’affaire, il s’agit d’un mystère religieux , d’une décision proprement religieuse. Mais il n’est pas encore temps
159 d’un mystère religieux, d’une décision proprement religieuse . Mais il n’est pas encore temps d’en parler. Je ne fais ici que le po
160 ible de fixer les idées du lecteur, même le moins religieux . Si les intellectuels ont succombé aux tentations de la scolastique p
161 èmes fondamentaux de la vie pratique et de la vie religieuse . « Les grandes questions sont dans la rue », écrivait Nietzsche ; dan
162 reud, n’est pas une manifestation de ressentiment religieux  ? Et leur épistémologie, le témoignage d’un refus de connaître, c’est
83 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
163 ie de la Morale — étant plutôt conforme à l’ordre religieux tel que, pécheurs95, nous prétendons l’organiser pour notre usage. L’
164 Par ailleurs, elle pourrait être aussi laïque ou religieuse qu’on voudrait. Mais l’individu a vécu. Ce mythe n’est plus à craindr
165 xceptionnels ; politiques ou privés ; profanes ou religieux  ; réfléchis ou involontaires ; intéressés ou gratuits, etc. Puis mont
84 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
166 es font une part notable aux facteurs spirituels, religieux et métaphysiques. Tout le premier volume est d’ailleurs consacré à l’
85 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
167 en, de méfiances politiques, d’arrière-sentiments religieux , de rancunes, de souvenirs… On ne peut guère imaginer d’imbroglio pas
86 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
168 e tous les siècles pour soutenir le libre arbitre religieux , c’est-à-dire le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son salut
87 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
169 té d’éternisation, qui est le véritable message «  religieux  » de Nietzsche. Les notes et aphorismes traduits pour la première foi
88 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
170 expressions personnelles, ou même régionales, ou religieuses ou non religieuses, dans les communes et les fédérations de communes.
171 nelles, ou même régionales, ou religieuses ou non religieuses , dans les communes et les fédérations de communes. Il n’est pas néces
89 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
172 ble, absolument insignifiants quant à la doctrine religieuse  : voilà tout ce qui nous est accessible d’une œuvre dont on sait pour
173 articulière, qui est la négation du libre arbitre religieux , c’est-à-dire du pouvoir qu’aurait l’homme de gagner le salut par ses
90 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
174 l’autre. La religion la plus naïve, le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infiniment moins à notre image scientifique
175 le firent tant de romantiques, en termes d’extase religieuse , c’est se moquer cruellement des créatures, ou plutôt c’est avouer qu
176 que les questions d’argent. C’est un fait d’ordre religieux . Et la colère de Simard en témoigne. 15 mai Comme l’année dernière, à
91 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
177 omme sacrée ! » En somme, être laïque, c’est être religieux au vrai sens du mot, selon les paroles de Gambetta, d’Ernest Lavisse
92 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
178 tion des puritains, mais aussi tout l’absolutisme religieux du Brand d’Ibsen, de Kierkegaard, de Luther. Et à côté du fanatique,
93 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
179 s’occupent des mystiques et, en général, d’objets religieux qui leur paraissent inquiétants pour l’intégrité de leur image « mode
180 t le chemin de Damas et beaucoup de « conversions religieuses de notre époque ». Or il se trouve que les récents travaux de Minkows
94 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
181 ntestable du terme. Quelle était, du point de vue religieux , la situation qui se présentait à Marx ? C’était celle de la Restaura
182 e. Ce qui explique en dernier ressort le succès «  religieux  » du marxisme, c’est sa volonté proclamée, concrète et immédiate, de
183 à compléter, si je puis dire, l’action proprement religieuse . Et j’entends bien que les sacrifices qu’ils font ne sont pas seuleme
184 au veut qu’on l’adore, sinon déjà dans des formes religieuses , du moins dans des formes qui s’opposent aux commandements du Décalog
95 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
185 omme sacrée ! » En somme, être laïque, c’est être religieux au vrai sens du mot, selon les paroles de Gambetta, d’Ernest Lavisse
96 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
186 l’autre. La religion la plus naïve, le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infiniment moins à notre image scientifique
187 en, de méfiances politiques, d’arrière-sentiments religieux , de rancunes, de souvenirs… On ne peut guère imaginer d’imbroglio pas
188 le firent tant de romantiques, en termes d’extase religieuse , c’est se moquer cruellement des créatures, ou plutôt c’est avouer qu
189 que les questions d’argent. C’est un fait d’ordre religieux . Et la colère de Simard en témoigne. 15 mai 1935 Comme l’année
97 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
190 moderne possède une signification métaphysique et religieuse infinie. C’est parce qu’il existe que nous savons encore que l’homme
98 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
191 utre chose. Israël portait dans son sein l’avenir religieux du monde. Dès qu’il était tenté de s’oublier dans les voies vulgaires
192 hypothèse rattache le capitalisme à des attitudes religieuses , d’où serait partie l’impulsion, attitudes analogues en ceci tout au
193 raduisant une totale perte de conscience des fins religieuses de l’éthique puritaine, et transformant en tyrannie absurde ce qui ét
194 D’où la haine sourde, et en même temps le respect religieux qu’on lui porte. Peut-être n’est-il pas excessif de voir dans cette p
99 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
195 tous les siècles, pour soutenir le libre arbitre religieux , c’est-à-dire le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son salut
100 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
196 us tard Søren fut décisive pour son développement religieux . Mais le défi jeté à Dieu sembla porter bonheur au père de Kierkegaar
197 S’il reste en vie, dit-il, il poursuivra sa lutte religieuse , mais il craint qu’elle ne soit alors affaiblie. Au contraire sa mort