1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 ue nous sommes chrétiens. (Mais le christianisme, religion missionnaire, ne peut nous donner qu’une supériorité provisoire et qu
2 ge », nous pourrons amener l’Asie à comprendre la religion romaine (ce christianisme méditerranéen si étroitement particularisé
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
3 ’athéisme. Invraisemblablement ignorante de toute religion jusqu’à 20 ans, Denise s’abandonne à « la vie », laquelle — un peu ai
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 e se persuader de la vérité d’un système, hors la religion . Un système n’est pas vrai, il est utile. C’est pourquoi je ne puis c
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
5 es, mais décidément un peu pauvre pour fonder une religion . Mais ce n’est peut-être qu’un rêve de poète. Il y a un autre Monther
5 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
6 e voir profond dans cet islam qu’il qualifie de «  religion du fil de l’eau », ou de « prodigieux stupéfiant », tandis que « l’at
7 fait sentir partout aux lieux mêmes où naquit la religion du « Prince de la vie »… Qu’on ne croie pas, d’ailleurs, que l’attitu
6 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
8 tion ; en interdisant aux réformés d’exercer leur religion , mais en même temps de quitter le pays, Louis XIV commit un des actes
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 és, c’est qu’il se fait une très haute idée de la religion . Ainsi, de la littérature : votre mépris pour ses réalisations actuel
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
10 lesquelles s’opère l’expérience. On ne prouve la religion qu’aux convertis — qui n’ont plus besoin de preuves. Il reste qu’un l
9 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
11  : on n’en sort que pour mourir ou pour entrer en religion  : rond de cuir ou poète (au sens le plus large de ces mots.) (Mais je
10 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
12 ue relativement à un rendement. Rien, pas même la religion . 11. Cf. l’article de M. Daniel Halévy (décembre 1927) et la répons
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
13 je crois à l’efficace de certaines utopies. (Les religions , la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, l’Europe napoléon
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
14 je crois à l’efficace de certaines utopies. (Les religions , la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, l’Europe napoléon
13 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
15 ris la Révolution, thème rhétorique, y compris la Religion , thème catholique. Servir leur paraît ridicule. Soit, mais il faudrai
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
16 u seul orgueil de vivre, dénonce la paresse de la religion qui n’est qu’un refuge contre la vie. Elle nous amène à un point de j
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
17 étuellement de la vérité religieuse. Il parle des religions avec une incroyable légèreté, — en littérateur qui cherche l’effet pi
18 il de la Vie, haine de cette vie-ci, mépris de la religion et ferveur pour des « valeurs nouvelles » encore plus vagues d’ailleu
19 s d’ailleurs que ce qu’ils peuvent imaginer de la religion . C’est une forme aiguë de ce que les Anglais appellent « sécularisme 
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
20 sche pour leurs aînés. Il n’est pas sûr que les «  religions  » y gagnent, mais la foi, certainement. Et « l’honneur de Dieu ». 2
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
21 rait tout de l’existence. Il accepterait aussi la religion avec le courage du suicide. Dans sa résolution, il se sentait graduel
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
22 ont encore là, mais non plus les espérances de la religion , et l’âme, qui montait autrefois, est retombée sur la terre et l’anim
19 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
23 aard, le premier homme qui s’avisa de défendre la religion mériterait-il d’être appelé Judas numéro deux. Car il ne s’agit pas d
20 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
24 Le christianisme est plus radical. » (Marxisme et Religion .) 7. « Et l’ange me dit : « Prends le livre et avale-le. » Ainsi Jea
21 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
25 llement renaissants, et que les adversaires de la religion eurent beau jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l’établit fort j
22 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
26 t que Hegel est arrivé, tous ceux qui haïssent la religion parce qu’elle les met à nu, prend en pitié leur sale caractère : tous
23 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
27 ’est la politique, et dans un sens plus vaste, la religion , que cela regarde. M. Nizan demande inlassablement ce que les philoso
28 être concret. Seul l’Évangile — je ne dis pas les religions , ni leurs morales, ni leurs prêtres, ni tout leur appareil d’assuranc
24 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
29 e. 5° Il n’y a qu’un rapport de trahison entre la religion chrétienne et la religion de l’Écho de Paris. « Nous avons proposé un
30 rt de trahison entre la religion chrétienne et la religion de l’Écho de Paris. « Nous avons proposé un maître à ce jeune homme,
25 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
31 le paradoxe apparaît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’assurance, comme une dérision désespérée. Malentendus sans c
26 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
32 la machine. Il y juge du monde en général, de la religion , des mœurs, de l’histoire, et de ses voisins en particulier. La « Gnä
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
33 le paradoxe apparaît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’assurance, comme une dérision désespérée. Malentendus sans c
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
34 la machine. Il y juge du monde en général, de la religion , des mœurs, de l’histoire, et de ses voisins en particulier. La « Gnä
29 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
35 ’histoire, de la politique, de la morale et de la religion . Des livres comme l’Essai sur la France, de E. R. Curtius, dont il fu
30 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
36 re : Témoignages spontanés de travailleurs sur la religion (recueillis par Jerome Davis) se fait l’écho de ces revendications an
31 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
37 des calculs humains ; il est à l’intérieur de la religion . Les églises qui se crurent en droit d’édicter un « ordre chrétien »,
32 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
38 ur celui qui ne travaille pas. » Qu’il exprime la religion du travail, ou la superstition du loisir — c’est affaire d’accent mis
39 stiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cette société n’accor
40 ans une société dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cette société n’accorde pas au loisir, but secr
41 rte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du progrès. Il freine partout la rationalisation et rachète les breve
33 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
42 devra-t-on faire appel pour nous persuader que la religion de la matière introduit à la connaissance des cœurs ? 2° Raisons p
34 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
43 us ; l’athéisme conserve l’orgueil bourgeois, les religions conservent l’orgueil bigot ; « tout n’est que vanité et poursuite du
35 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
44 rrogation que Barth place derrière des mots comme religion , piété, expérience religieuse, problème de Dieu. Il n’en faut pas plu
45 oublants paradoxes. La Bible nous parle-t-elle de religion  ? Ne nous montre-t-elle pas plutôt, avec une insistance significative
46 jours, et aujourd’hui encore, la polémique de la “ religion ” est dirigée contre le monde qui vit sans Dieu, la polémique de la Bi
47 d faire main basse sur les églises et utiliser la religion aux fins de la renaissance germanique. Alors que la grande majorité d
36 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
48 ctif. Chanson de Roland, fair-play, Baden-Powell, religion du travail. On a l’air d’ironiser, mais lisez donc : vous serez pris,
37 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
49 des batailles, des accidents, des inventions, des religions , des êtres, si ce savoir n’est pas pour moi, à tel moment, un ordre o
38 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
50 eur de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le prochain, c’est celui qui ex
39 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
51 prêchent l’exaltation de « l’âme humaine » par la religion , et qui définissent volontiers l’Église comme une force au service de
40 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
52 uent le martyre des braves chrétiens, comme si la religion , de toute éternité, n’était pas au contraire la façon la plus sage de
41 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
53 e romantique, la croyance vulgaire au bonheur, la religion mise au service de l’ordre, la permanence, les vertus trop massives.
42 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
54 er serait sans doute d’envisager l’histoire d’une religion dans la perspective de sa théologie ; le rappel constant du dogme suf
55 t pas un souci d’unité religieuse qui domine : la religion leur est simple prétexte ; mais il s’agit d’établir à tout prix un ca
43 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
56 eur de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le prochain, c’est celui qui ex
44 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
57 , leurs goûts démocratiques, par-dessus tout leur religion , étaient autant de moyens hypocrites — ou peut-être sincères — de dup
45 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
58 des calculs humains ; il est à l’intérieur de la religion . Les églises qui se crurent en droit d’édicter un « ordre chrétien »,
46 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
59 onde, l’ultime et cruciale contradiction des deux religions , celle qui concerne le sens total de la vie terrestre. Je dis bien le
60 at », comme l’écrivait récemment André Gide45. La religion n’a pas de sens humain : jamais les hommes n’arriveront à donner un s
47 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
61 r celui qui ne travaille pas ! » Qu’il exprime la religion du travail, ou la superstition du loisir — c’est affaire d’accent mis
62 stiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cette société n’accor
63 ans une société dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cette société n’accorde pas au loisir, but secr
64 rte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du progrès. Il freine partout la rationalisation et rachète les breve
48 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
65 ilhem, c’est la sagesse bourgeoise appuyée sur la religion . Et le Jeune Homme perdu d’inquiétude, qui ne découvre sa joie que da
49 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
66 eur de la loi découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire comprendre : le prochain, c’est celui qui ex
50 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
67 , leurs goûts démocratiques, par-dessus tout leur religion , étaient autant de moyens hypocrites — ou peut-être sincères — de dup
51 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
68 des calculs humains ; il est à l’intérieur de la religion . Les églises qui se crurent en droit d’édicter un « ordre chrétien »,
52 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
69 onde, l’ultime et cruciale contradiction des deux religions , celle qui concerne le sens total de la vie terrestre. Je dis bien le
70 at », comme l’écrivait récemment André Gide38. La religion n’a pas de sens humain : jamais les hommes n’arriveront à donner un s
53 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
71 r celui qui ne travaille pas ! » Qu’il exprime la religion du travail, ou la superstition du loisir — c’est affaire d’accent mis
72 stiné à créer du loisir, dans une société dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cette société n’accor
73 ans une société dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cette société n’accorde pas au loisir, but secr
74 rte lui-même les premières atteintes réelles à sa religion du progrès. Il freine partout la rationalisation et rachète les breve
54 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
75 e cette « politique » sentimentale, cet ersatz de religion , cette renaissance des mythes bourgeois : 1° n’est qu’un mauvais néga
55 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
76 s différentes, mais cependant unies dans une même religion de l’irresponsabilité. Voici d’une part les fonctionnaires. Ils ne pe
56 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
77 s quelques pages de la première partie intitulées Religion et christianisme. Je ne puis tout citer : je me bornerai donc aux pas
78 acuité et la profondeur de l’intellect fait de la religion la chose la plus répugnante qui soit. Oui, je sais bien de quoi il s
79 us superstitieux quand ils sont très excités. Les religions se consolident dans des périodes de grands troubles et d’insécurité.
80 sion de l’au-delà. Parfaitement valable pour les religions , cette sentence est grossière, voire naïve, si Nietzsche entendait pa
81 le monde contemporain entièrement dominé par une religion de la vie, de « l’intensité » de la vie ? Ne voyons-nous pas cette my
82 e la vie prise comme but de la vie, et même de la religion , s’introduire jusque dans les sermons, et s’y substituer au respect d
83 « Vous dites que vous croyez à la nécessité de la religion  ? Soyez sincères ! Vous croyez à la nécessité de la police ! » Dès
84 ignificatif que les fragments de Nietzsche sur la religion se terminent par cet aphorisme d’une éblouissante vérité. 66. Onze
57 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
85 se refuse énergiquement à se laisser imposer « la religion du roi » ; — la faction « étatiste », plus ou moins contrôlée par le
58 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
86 il est un homme religieux. Il a raison ! La seule religion qui tienne, c’est la religion vécue, c’est-à-dire expérimentée. Mais
87 a raison ! La seule religion qui tienne, c’est la religion vécue, c’est-à-dire expérimentée. Mais tout d’un coup, voilà qu’il ne
59 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
88 chée sérieusement nulle part ailleurs que dans la religion . L’histoire des grandes civilisations, c’est l’histoire de leur mesur
89 de leur morale. Et toute morale se fonde dans une religion , même la morale de ceux qui se croient incroyants. Or c’est préciséme
60 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
90 e sur des mots, et ces mots ne traduisent que des religions vagues, nées de la peur, et comme telles meurtrières. Les faits, ce s
61 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
91 4. Je n’arrive pas à prendre au sérieux en soi la religion solaire que prêche Lawrence. C’est un rêve de compensation. C’est l’e
62 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
92 discussion. Lorsque l’État vient au secours d’une religion , c’est qu’elle est morte. Ou qu’elle n’en a plus pour longtemps. Lors
93 s doit célébrer, et que l’on estime conforme à la religion de l’esprit. Mais ce que Descartes a voulu, c’est que l’esprit « clai
63 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
94 îme entre l’imitation et l’acte, l’abîme entre la religion et la foi — entre le temps et l’instant créateur —, entre la forme et
95 justement à la « vraisemblance » doctrinale d’une religion mise à la portée de « la masse », alors que la foi véritable est cell
64 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
96 ro de janvier de la NRF la phrase suivante : « La religion de l’esprit incarné est celle qui honore l’esprit en tant qu’il veut
65 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
97 habituel ; mais les plus grands rapports avec la religion au sens égyptien, chaldéen, aztèque… Pour autant que l’on peut compar
98 nds : Miterlebt) une des grandes cérémonies de la religion nouvelle. Par exemple un discours du Führer à son peuple. Je roulais
99 t d’amour. Il ne s’agit pas de politique, mais de religion , mais de cérémonies monumentales et sacrales en l’honneur d’un Dieu n
100 » ⁂ Chrétiens, retournez aux catacombes ! Votre «  religion  » est vaincue, vos cérémonies modestes, vos petites assemblées, vos c
66 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
101 sens dérivé, purement polémique, dirigé contre la religion des Grecs, et justifié par la seule connaissance qu’on a du premier s
67 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
102 s églises établies, les évêques de la cour, et la religion bourgeoise qui veut prendre le christianisme « à bon marché » ; parce
68 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
103 e cette « politique » sentimentale, cet ersatz de religion , cette renaissance des mythes bourgeois : 1° n’est qu’un mauvais néga
69 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
104 n oublie les fins dernières, le grand dessein, la religion qui la supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec e
105 hommes, cette ruine a laissé le champ libre à des religions toutes nouvelles, communisme, national-socialisme. Mais là où le cadr
106 national existait depuis un ou deux siècles, ces religions ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une réponse
107 s de fièvre politique ou idéologique. Mais si ces religions nouvelles ne constituent pas un danger interne pour les vieilles nati
108 t à la fois politiques et culturels. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand di
109 seul moyen de nous reconnaître. Ils ont fondé des religions dont le but est la force commune. Ils ont su se créer des symboles gr
110 us pouvons éprouver la puissance de ces nouvelles religions , nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies, vibrer à l’unisson de le
111 alousie, mais par nature, par le seul fait que sa religion n’est pas la nôtre. Étudions les doctrines provisoires ou les tactiqu
112 ocation est différente. Nous ne sommes pas de ces religions . Leur lieu saint nous demeure impénétrable. Nos fins sont d’autres fi
113 hains, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions , c’est dans leur terme, au nom d’un acte de foi contraire. Elles veul
70 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
114 ui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de littérature, nous offrent l’image d’un jeu dont les différents
115 tous les cœurs. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions . Il sait ce qu’il faut penser des prêtres et des sorciers. On lui don
71 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
116 Pourtant les principaux articles de foi des deux religions sont bien souvent les mêmes : elles honorent l’une et l’autre un seul
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
117 e, c’est-à-dire l’élément le plus finaliste de la religion d’Israël qui aurait donné au peuple l’expression légale de sa commune
73 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
118 ui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de littérature, nous offrent l’image d’un jeu dont les différents
119 tous les cœurs. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions . Il sait ce qu’il faut penser des prêtres. On lui donnera donc autre
74 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
120 prit, une certaine ambition humaine, une certaine religion fanatique ; et tout cela ne va pas sans doctrine. ⁂ Lorsqu’on critiqu
75 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
121 s raisons, et nous jugeons en vérité au nom de la religion que nous suivons, plus ou moins consciemment d’ailleurs. Il importe a
76 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
122 n oublie les fins dernières, le grand dessein, la religion qui la supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec e
123 ir sur cette terre ; le Führer s’il n’y a pas une religion de la Nation. Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein,
124 hommes, cette ruine a laissé le champ libre à des religions toutes nouvelles : communisme, national-socialisme. Mais là où le cad
125 national existait depuis un ou deux siècles, ces religions ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une réponse
126 s de fièvre politique ou idéologique. Mais si ces religions nouvelles ne constituent pas un danger interne pour les vieilles nati
127 t à la fois politiques et culturels. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand di
128 seul moyen de nous reconnaître. Ils ont fondé des religions dont le but est la force commune. Ils ont su se créer des symboles gr
129 us pouvons éprouver la puissance de ces nouvelles religions , nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies, vibrer à l’unisson de le
130 alousie, mais par nature, par le seul fait que sa religion n’est pas la nôtre. Étudions les doctrines provisoires ou les tactiqu
131 ocation est différente. Nous ne sommes pas de ces religions . Leur lieu saint nous demeure impénétrable54. Nos fins sont d’autres
132 hains, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions , c’est dans leur terme, au nom d’un acte de foi contraire. Elles veul
133 rais blasphémateur sitôt que je parlerais de leur religion . Autant tirer un bénéfice pratique de mon blasphème, et les comparer
77 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
134 téchisé par leurs soins, entretient une touchante religion de la Science, si enfin l’on admet avec eux qu’ils représentent l’asp
135 e sans douleur par des diplômes et des titres, la religion sans foi par le respect public ; oui, tous ceux-là, dès maintenant, i
78 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
136 es exemples : — on parle de la poésie comme d’une religion  ; du peuple comme d’un Messie ; de la liberté comme si on la désirait
137 activités, non seulement dans la politique ou la religion , où cela va de soi, mais par exemple dans la poésie. Que la poésie ne
138 des batailles, des accidents, des inventions, des religions , des êtres, si ce savoir n’est pas pour moi, à un tel moment, un ordr
139 ons pas à « corriger » de tels faits ou de telles religions . Mais ce que nous pouvons faire, et qui est utile, c’est de discuter
79 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
140 Pourtant les principaux articles de foi des deux religions sont bien souvent les mêmes : elles honorent l’une et l’autre un seul
80 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
141 e, c’est-à-dire l’élément le plus finaliste de la religion d’Israël qui aurait donné au peuple l’expression légale de sa commune
81 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
142 ui nous occupent, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de littérature, nous offrent l’image d’un jeu dont les différents
143 tous les cœurs. L’homme d’aujourd’hui méprise les religions . Il sait ce qu’il faut penser des prêtres. On lui donnera donc autre
82 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
144 prit, une certaine ambition humaine, une certaine religion fanatique ; et tout cela ne va pas sans doctrine. ⁂ Lorsqu’on critiqu
83 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
145 s raisons, et nous jugeons en vérité au nom de la religion que nous suivons, plus ou moins consciemment d’ailleurs. Il importe a
84 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
146 n oublie les fins dernières, le grand dessein, la religion qui la supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec e
147 ir sur cette terre ; le Führer s’il n’y a pas une religion de la Nation. Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein,
148 hommes, cette ruine a laissé le champ libre à des religions toutes nouvelles : communisme, national-socialisme. Là où le cadre na
149 e national existait depuis plusieurs siècles, ces religions ne sauraient combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une réponse
150 t à la fois politiques et culturels. L’Europe des religions nouvelles nous met au défi de résoudre sur tous les plans le grand di
151 seul moyen de nous reconnaître. Ils ont fondé des religions dont le but est la force commune. Ils ont su se créer des symboles gr
152 us pouvons éprouver la puissance de ces nouvelles religions , nous pouvons nous mêler à leurs cérémonies, vibrer à l’unisson de le
153 jalousie, ni par nature mais du seul fait que sa religion n’est pas la nôtre. Étudions les doctrines provisoires ou les tactiqu
154 ocation est différente. Nous ne sommes pas de ces religions . Leur lieu saint nous demeure impénétrable56. Nos fins sont d’autres
155 hains, nos fins dernières. Si nous condamnons ces religions , c’est dans leur terme, au nom d’un acte de foi contraire. Elles veul
156 a misère s’éclaire par ses suites effectives : la religion de la prospérité quantifiée, le dogme de la croissance, la société de
157 rais blasphémateur sitôt que je parlerais de leur religion . Autant tirer un bénéfice pratique de mon blasphème, et les comparer
85 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
158 téchisé par leurs soins, entretient une touchante religion de la Science, si enfin l’on admet avec eux qu’ils représentent l’asp
159 la pensée sans douleur par diplômes et titres, la religion sans foi par le respect public ; oui, tous ceux-là, dès maintenant, i
86 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
160 es exemples : — on parle de la poésie comme d’une religion  ; du peuple comme d’un Messie ; de la liberté comme si on la désirait
161 activités, non seulement dans la politique ou la religion , où cela va de soi, mais par exemple dans la poésie. Que la poésie ne
162 des batailles, des accidents, des inventions, des religions , des êtres, si ce savoir n’est pas pour moi, à tel moment, un ordre o
163 ons pas à « corriger » de tels faits ou de telles religions . Mais ce que nous pouvons faire, et qui est utile, c’est de juger les
87 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
164 au salaire, c’est évident, mais seulement à leur religion . En vérité, ce qui compte dans ce pays, c’est la religion — celle des
165 . En vérité, ce qui compte dans ce pays, c’est la religion — celle des ancêtres, tout au moins ! — l’éducation et le métier. C’e
88 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
166 umain purifié, « divinisé » par les efforts de la religion s’ajoutant à ceux de la raison), et d’un christianisme absolu, qu’on
89 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
167 un ou l’autre ; ou mieux, l’un contre l’autre. La religion la plus naïve, le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infini
90 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
168 ombattre les « idées de propriété, de famille, de religion , de patrie ». Les idées de qui ? Si ce sont celles que les bourgeois
169 mble. Mais avec cela nous n’aurons pas liquidé la religion et la patrie, nous n’aurons liquidé que leur « ignoble » exploitation
91 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
170 uite pour tous, sans distinction de fortune ou de religion  ! Être laïque… » Ah ! surtout, être laïque, ce n’est pas combattre le
171 surtout, être laïque, ce n’est pas combattre les religions , comme le prétend le voisin, « car je les respecte toutes, les religi
172 tend le voisin, « car je les respecte toutes, les religions , sauf quand elles viennent m’attaquer dans mon activité professionnel
173 s’excuse encore de ne pas s’y connaître assez en religion , mais assure qu’il a été bien intéressé. On se lève, et les langues s
174 e. À noter et à souligner : seules les guerres de religion ont tiré de l’héroïsme de ce peuple. Mais combien se feraient tuer au
92 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
175 norvégiens, les flottes anglaises des guerres de religion et les expéditions de saumoniers. Une période héroïque sous Richelieu
176 les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils suivent, ils se taisent bien vite, ou se remettent à raconter
93 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
177 pticisme ou leurs bravades, dans la mesure où les religions obscures dominent ceux qui n’ont pas la foi. Seule une prière désespé
94 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
178 de l’action, vénèrent la force, et pratiquent la religion de la lutte et de la vie dangereuse : en conclusion, M. Benda fit obs
95 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
179 rope, symbolisées par nos trois langues, nos deux religions , nos vingt-cinq républiques. Et surtout qu’on ne déplore pas le fait
180 ais des conceptions de l’homme, de l’État, et des religions , des partis pris spirituels bien plus puissants que les armées. 75.
96 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
181 d’art et de littérature, de politique, et même de religion . Dans sa livraison de décembre, le rédacteur en chef, Wilhelm Stapel,
182 biographie) ; Ballades germaniques ; Culture et religion des Germains ; Œuvres complètes de F. Blunck (littérature) ; Les Gr
97 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
183 ient entendre, par leur attitude pratique, que la religion concerne « l’homme intérieur » et rien que lui. C’était une « affaire
184 ce, au besoin, ce qui était utile aux maîtres. La religion ne semblait plus gêner personne46. Elle sanctionnait et protégeait l’
185 le devenir davantage, quand tu croyais réfuter ma religion . Ton athéisme devient prédication ! Drôle d’aventure, pour un dialect
186 e qu’en passant les dragonnades et les guerres de religion qui les précèdent : on sait assez que ce fut la lutte d’une royauté d
187 contre leur frère, le stalinisme : une guerre de religions qui ne sont pas les nôtres. Je prends ici parti contre une telle entr
188 ion concrète). 46. Je parle, bien entendu, de la religion telle que Marx la voyait, telle qu’elle lui apparaissait dans le corp
189 s de l’histoire de l’Occident, sont sorties de la religion chrétienne. Toute autre cause est secondaire. » Et Henri de Man : « J
98 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
190 norvégiens, les flottes anglaises des guerres de religion et les expéditions de saumoniers. Une période héroïque sous Richelieu
191 les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils suivent, ils se taisent bien vite, ou se remettent à raconter
192 uite pour tous, sans distinction de fortune ou de religion  ! Être laïque… » Ah ! surtout être laïque, ce n’est pas combattre les
193 ! surtout être laïque, ce n’est pas combattre les religions , comme le prétend le voisin, « car je les respecte toutes, les religi
194 tend le voisin, « car je les respecte toutes, les religions , sauf quand elles viennent m’attaquer dans mon activité professionnel
195 s’excuse encore de ne pas s’y connaître assez en religion , mais assure qu’il a été bien intéressé. On se lève, et les langues s
196 e. À noter et à souligner : Seules les guerres de religion ont tiré de l’héroïsme de ce peuple. Mais combien se feraient tuer au
99 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
197 au salaire, c’est évident, mais seulement à leur religion . En vérité, ce qui compte dans ce pays, c’est la religion — celle des
198 . En vérité, ce qui compte dans ce pays, c’est la religion — celle des ancêtres, tout au moins ! — l’éducation et le métier. C’e
199 un ou l’autre ; ou mieux, l’un contre l’autre. La religion la plus naïve, le fanatisme religieux le plus obtus s’opposent infini
100 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
200 ou personne ? » Cet argument de Diderot contre la religion de son temps ne ferait pas moins de scandale aujourd’hui si l’on s’av