1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
1 semble idiot. Il y a des soirs où une idée de la responsabilité s’empare de nous. Et nous calculons qu’il s’agit de déranger 5000 per
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
2 opres à leur auteur et qu’elles n’engagent pas sa responsabilité . (N. de la R.) »
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
3 llement méprisées. Mais les surréalistes ont leur responsabilité là-dedans ; leur défense de l’esprit s’est bornée jusqu’ici à une rhé
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
4 utorité aujourd’hui sans secondes : le sens de la responsabilité de l’écrivain. bk. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Charles Du
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
5 s des exemples édifiants, mais des témoignages de responsabilités acceptées devant Dieu, avec l’incommensurable tragique que cela compo
6 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
6 isse dans le doute (et l’on s’attire pourtant une responsabilité ) que de simplement prétendre quelque chose. »1 Cette « monstrueuse c
7 l s’y conforme. « … Et l’on s’attire pourtant une responsabilité . » Il faut bien constater que plusieurs générations2 cultivèrent ce d
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
8 vis du Seigneur ? L’on ne saurait ici exagérer la responsabilité qui incombe aux « chrétiens » eux-mêmes, tels qu’ils apparurent à ce
8 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
9 ur que le bourgeois ne se rende plus compte de sa responsabilité , de sa complicité active, et de l’épouvantable désordre dans lequel i
9 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
10 r nos pédagogues. Mais elle s’unit à un régime de responsabilités concrètes qui sauvegarde l’initiative personnelle plus réellement que
11 ous, nous développons un sens plutôt fictif de la responsabilité . Nous développons au vrai un hamlétisme. Notre préparation à l’autono
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
12 r nos pédagogues. Mais elle s’unit à un régime de responsabilités concrètes qui sauvegarde l’initiative personnelle plus réellement que
13 ous, nous développons un sens plutôt fictif de la responsabilité . Nous développons au vrai un hamlétisme. Notre préparation à l’autono
11 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
14 z bien le monde moderne, le monde des hommes sans responsabilité et sans résistance propre, le monde des hommes qui ne sont plus prése
12 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
15 el d’abord », nous n’entendons pas échapper à des responsabilités , à toutes nos responsabilités. Bien au contraire. Il y a eu, en ce do
16 pas échapper à des responsabilités, à toutes nos responsabilités . Bien au contraire. Il y a eu, en ce domaine, de grandes trahisons. C
17 temporel, il y a, pour nous, le lien d’une totale responsabilité . Quand nous disons « spirituel d’abord », nous ne voulons pas qu’on e
13 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
18 un état. C’est faire simplement abstraction de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et que le tu, considérés d’un poi
14 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
19 xtérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais par le cadre policier de l’État, par l’ambiance moral
15 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
20 an d’une fuite devant le destin particulier et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de choc et les miliciens hitlériens s’indig
16 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
21 s : dégagé de toute passion, comme aussi de toute responsabilité  !) ; il note bien que ce sentiment permet l’économie de tout « concou
22 leur existence, assumant leur rapport de mutuelle responsabilité . Et ce rapport est orienté vers l’homme. Mais, dans l’homme, vers le
23 Mais par là même, elle nous charge d’une nouvelle responsabilité vis-à-vis de la Nature. 12. Mais on peut dire que la bataille qu’ima
17 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
24 classe ou de parti, mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude sp
18 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
25 ien, et qu’il ne pouvait pas en assumer l’entière responsabilité devant Dieu et devant les hommes. Ce ne fut qu’à la fin de sa vie qu’
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
26 n’est rien que la fuite de chaque homme devant la responsabilité de son acte. « Car une foule est une abstraction, qui n’a pas de main
20 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
27 ins ; rapidement il se concrétise en relations de responsabilité . Et voilà bien le seul fondement d’une communauté vivante. L’écrivain
28 commune condition humaine. Rendez à l’écrivain la responsabilité de ses écrits, vous le rendrez aussi à la communauté, vous recréerez
21 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
29 er. » — Enfin le Plan réclame « la sanction de la responsabilité personnelle à tous les étages, dans les fonctions publiques comme dan
22 1934, Politique de la personne. Introduction — 4. Pour une politique à hauteur d’homme
30 itique dont le principe de cohérence s’appelle la responsabilité de la personne humaine. En d’autres termes, c’est une politique dont
23 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
31 an d’une fuite devant le destin particulier et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de choc et les miliciens hitlériens s’indig
24 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
32 ans vocation personnelle, sans démon intime, sans responsabilité propre, et sans racines. Elle fera des hommes inactuels, au sens étym
33 it » comme on disait naguère, sans efficace, sans responsabilité , sans existence concrète, un spirituel tout à fait digne des éloges d
25 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
34 xtérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais par le cadre policier de l’État, par l’ambiance moral
26 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
35 eut connaître ce qui est. Surtout, elle prend ses responsabilités , et c’est cela qui est le plus nouveau et qui prouve qu’elle est en t
36 de se créer un nouveau style de vie. Prendre ses responsabilités , c’est renoncer à justifier ses actes par le recours aux traditions o
27 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
37 ui supprime l’individu, le conflit tragique et la responsabilité spirituelle. C’est dans cette tradition proudhonienne, et non marxist
38 classe ou de parti, mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude sp
39 tion « qualifiée » serait libre, et placé sous la responsabilité de corporations régionales. Ainsi l’État se trouverait-il réduit à sa
28 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
40 e, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsabilité du compte rendu qu’il m’en a fait. h. Rougemont Denis de, « [Compte
29 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
41 ux vrais objets, aux vrais humains, et à ma vraie responsabilité . C’est à bon droit, nous l’avons vu, que nous pouvons attribuer un se
30 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 4. Pour une politique à hauteur d’homme
42 itique dont le principe de cohérence s’appelle la responsabilité de la personne humaine. En d’autres termes, c’est une politique dont
31 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
43 an d’une fuite devant le destin particulier et la responsabilité de chacun. Les brigadiers de choc et les miliciens hitlériens s’indig
32 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
44 ans vocation personnelle, sans démon intime, sans responsabilité propre, et sans racines. Elle fera des hommes inactuels, au sens étym
45 it » comme on disait naguère, sans efficace, sans responsabilité , sans existence concrète, un spirituel tout à fait digne des éloges d
33 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
46 xtérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais par le cadre policier de l’État, par l’ambiance moral
34 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
47 eut connaître ce qui est. Surtout, elle prend ses responsabilités , et c’est cela qui est le plus nouveau et qui prouve qu’elle est en t
48 de se créer un nouveau style de vie. Prendre ses responsabilités , c’est renoncer à justifier ses actes par le recours aux traditions o
35 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 3. Groupements personnalistes
49 ui supprime l’individu, le conflit tragique et la responsabilité spirituelle. C’est dans cette tradition proudhonienne, et non marxist
50 classe ou de parti, mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus et ces affirmations définissent l’attitude sp
51 tion « qualifiée » serait libre, et placé sous la responsabilité de corporations régionales. Ainsi l’État se trouverait-il réduit à sa
36 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 5. Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
52 5Trop d’irresponsables s’engagent ! ( Responsabilité des intellectuels) Chose étrange, le 6 février 1934 fut une date d
37 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
53 on temps un contact véritable, un lien concret de responsabilité . C’est aussi qu’il n’existe qu’un unique agent de contact réel et vit
54 i, je ne vois qu’une distance. Seul le rapport de responsabilité réciproque devant un Tiers infiniment souverain, infiniment différent
38 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
55 vienne ! » Or, une telle prière nous charge d’une responsabilité contre laquelle aucune raison ne prévaudra jamais. Elle est un ordre,
39 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
56 p. 283). Autrement dit, le sujet se désiste de sa responsabilité au profit de l’objet, — d’où l’erreur d’accord, d’où aussi l’adoption
57 outefois page 297 un essai de réaffirmation de la responsabilité « individuelle ». Mais je me méfie de cet « individu », pour des rais
40 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
58 dateur d’Église ; donc doublement conscient de la responsabilité de ses paroles. Or, rien ne confère au langage une aussi poignante ve
41 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
59 s constructions intellectuelles allégées de toute responsabilité concrète. On supprime le risque de penser dans la réalité lourde et «
60 fus de l’intellectuel, dégagé par nature de toute responsabilité temporelle. Ce raisonnement a l’apparence du sens commun, mais il rep
61 lle postule que le philosophe est dégagé de toute responsabilité . Qu’il pense dans le vide, hors de toute sanction, comme aussi hors d
62 t en spécifiant qu’il n’assumait aucune espèce de responsabilité . S’il croyait sérieusement que cet homme est juste, il le relâcherait
42 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
63 mbreuses notations de ce genre : « Grande sera ma responsabilité si je rejette une mission de cette sorte » — c’est-à-dire s’il rejett
43 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
64 onfère également à l’éditeur une autonomie et des responsabilités concrètes. 35. Par exemple s’il ne tient pas l’article policier ou
44 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
65 main, entre l’individu pensant et toute espèce de responsabilité . Lorsqu’un clerc invoquera cette objectivité qui jouit dans le siècle
66  ! Ils ont recouru aux « lois » pour dégager leur responsabilité , tout comme le peuple recourt au fameux « ils » pour désigner l’auteu
67 isse dans le doute (et l’on s’attire pourtant une responsabilité ) que de simplement prétendre quelque chose. »75 Cette « monstrueuse
68 il s’y conforme. « Et l’on s’attire pourtant une responsabilité . » Il faut bien constater que plusieurs générations — contemporaines
69 dit repose sur notre instinct de fuite devant les responsabilités . Comme si le désordre régnant, ce désordre dont prétendent souffrir c
45 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
70 epter ou pour le refuser : Dieu, mal, souffrance, responsabilité de la pensée, but de la littérature, valeur de l’argent, sens dernier
71 st de permettre à tous les hommes d’assumer leurs responsabilités , c’est-à-dire de devenir des personnes. Telles sont les deux idées po
72 faire simplement abstraction de la tension, de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et le tu considérés d’un point de
73 lle postule que le philosophe est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vide, hors de toutes sanctions comme a
46 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
74 main, entre l’individu pensant et toute espèce de responsabilité . Lorsqu’un clerc invoquera cette objectivité qui jouit dans le siècle
75  ! Ils ont recouru aux « lois » pour dégager leur responsabilité , tout comme le peuple recourt au fameux « ils » pour désigner l’auteu
76 isse dans le doute (et l’on s’attire pourtant une responsabilité ) que de simplement prétendre quelque chose77. » Cette « monstrueuse c
77 il s’y conforme. « Et l’on s’attire pourtant une responsabilité . » Il faut bien constater que plusieurs générations — contemporaines
78 dit repose sur notre instinct de fuite devant les responsabilités . Comme si le désordre régnant, ce désordre dont prétendent souffrir c
47 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
79 epter ou pour le refuser : Dieu, mal, souffrance, responsabilité de la pensée, but de la littérature, valeur de l’argent, sens dernier
80 st de permettre à tous les hommes d’assumer leurs responsabilités , c’est-à-dire de devenir des personnes. Telles sont les deux idées po
81 faire simplement abstraction de la tension, de la responsabilité réciproque. Il en résulte que le je et le tu considérés d’un point de
82 lle postule que le philosophe est dégagé de toute responsabilité immédiate, qu’il pense dans le vide, hors de toutes sanctions comme a
48 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
83 ’étatisme totalitaire et le fédéralisme libre. Responsabilité des chrétiens vis-à-vis des marxistes On connaît la « croisade ant
49 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
84 oyen Âge, et aux banques de l’Italie du Nord. Les responsabilités se partageraient donc équitablement entre les trois religions ! 79.
50 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
85 es ? Les écrivains ne portent-ils pas une part de responsabilité  ? Car, après tout, le public est à peu près ce qu’on le fait. En temp
51 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
86 générale, ils ne sont pas conscients de porter la responsabilité des accidents qui leur arrivent. Cela peut agacer dans le détail. C’e
52 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
87 le qui puisse nous rendre peu à peu le sens de la responsabilité de l’écrivain. Pour l’avoir négligée dans nos villes, au milieu des f
53 1937, Esprit, articles (1932–1962). Marius Richard, Le Procès (juin 1937)
88 à toute la société, à tout cet embrouillamini de responsabilités , d’inconsciences, de misères médiocres, que quelques femmes, dans une
54 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
89 u, il se voit uni à ses semblables par un lien de responsabilité . Séparé du monde et remis au monde d’une manière toute nouvelle, non
55 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
90 générale, ils ne sont pas conscients de porter la responsabilité des accidents qui leur arrivent. Cela peut agacer dans le détail. C’
91 le qui puisse nous rendre peu à peu le sens de la responsabilité de l’écrivain. Pour l’avoir négligée dans nos villes, au milieu des f
92 e, et n’ai pas lu le livre. Je lui laisse donc la responsabilité du compte rendu qu’il m’en a fait. 12. Monsieur X… « orateur disting
56 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
93 ématique de substituer à l’esprit d’autonomie, de responsabilité spirituelle et de risque personnel, des instincts brutaux : l’instinc
57 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
94 icale de toute conscience personnelle et de toute responsabilité , identité, ou vocation distincte. Dans la mesure où cet effort est ré
58 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
95 ’envisage ici que sous l’angle particulier de nos responsabilités comme neutres. Ramuz insiste avec raison sur le fait que nous n’avons
59 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
96 ividuelles, d’initiative réelle, de liberté et de responsabilité morale. Quand le Führer réclame la liberté pour les Allemands, cela n
60 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
97 Trop d’irresponsables s’engagent ! ( Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)ak Chose étrange, le 6 février 1934
98 t Denis de, « Trop d’irresponsables s’engagent ! ( Responsabilité des intellectuels) », L’Ordre nouveau, Paris, juin 1938, p. 19-22.
61 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
99 f et ses tabous, afin de s’affirmer libre et sans responsabilité par rapport à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes,
100 le devoir d’agir, en tant qu’il est chargé d’une responsabilité unique dans la société, à sa juste place. Notons que si la personne d
101 ce au paganisme politique. Ceci nous charge d’une responsabilité devant l’Histoire. Que devons-nous faire pour nous montrer à peu près
62 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
102 ant la véritable puissance de l’homme, qui est sa responsabilité personnelle. 16. Les partis sont mauvais non point parce qu’ils sont
63 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
103 ils s’efforcent de démontrer qu’ils n’ont aucune responsabilité dans l’aventure, puisqu’en somme ils ne s’aiment pas ! Q’el m’aime,
104 ée de toute espèce de lien visible avec l’humaine responsabilité . L’intervention du philtre, agissant d’une manière fatale, et mieux e
64 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
105 iscutable privant ses victimes de toute espèce de responsabilité  : « C’est Vénus tout entière à sa proie attachée », — tandis que Corn
106 dans le mythe, le « Destin » servira d’alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l’auteur. Ah ! Seign
107 resse sur l’épouse. Quant au philtre, alibi de la responsabilité , on lui donne le nom romantique de « fatalité de la passion ». Et les
65 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
108 ce destin… De la sorte, il délivre la foule de la responsabilité de ses actes, donc du sentiment oppressant de sa culpabilité morale.
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
109 ils s’efforcent de démontrer qu’ils n’ont aucune responsabilité dans l’aventure, puisqu’en somme ils ne s’aiment pas ! Q’el m’aime,
110 ée de toute espèce de lien visible avec l’humaine responsabilité . L’intervention du philtre, agissant d’une manière fatale, et mieux e
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
111 iscutable privant ses victimes de toute espèce de responsabilité  : « C’est Vénus tout entière à sa proie attachée », — tandis que Corn
112 dans le mythe, le « Destin » servira d’alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l’auteur. Ah ! Seign
113 resse sur l’épouse. Quant au philtre, alibi de la responsabilité , on lui donne le nom romantique de « fatalité de la passion ». Et les
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
114 ce destin… De la sorte, il délivre la foule de la responsabilité de ses actes, donc du sentiment oppressant de sa culpabilité morale.
69 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
115 ils s’efforcent de démontrer qu’ils n’ont aucune responsabilité dans l’aventure, puisqu’en somme ils ne s’aiment pas ! Q’el m’aime,
116 ée de toute espèce de lien visible avec l’humaine responsabilité . L’intervention du philtre, agissant d’une manière fatale, et mieux e
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
117 iscutable privant ses victimes de toute espèce de responsabilité  ; « C’est Vénus tout entière à sa proie attachée », — tandis que Corn
118 dans le mythe, le « Destin » servira d’alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l’auteur. Ah ! Seign
119 resse sur l’épouse. Quant au philtre, alibi de la responsabilité , on lui donne le nom romantique de « fatalité de la passion ». Et les
71 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
120 ce destin… De la sorte, il délivre la foule de la responsabilité de ses actes, donc du sentiment oppressant de sa culpabilité morale.
72 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
121 essaire du chef, c’est de renforcer le sens de sa responsabilité sociale. L’étatisme abusif est toujours le résultat de l’égoïsme des
73 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
122 f et ses tabous, afin de s’affirmer libre et sans responsabilité par rapport à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes,
123 le devoir d’agir, en tant qu’il est chargé d’une responsabilité unique dans la société, à sa juste place. Notons que si la personne d
124 au paganisme politique 11. Ceci nous charge d’une responsabilité devant l’Histoire. Que devons-nous faire pour nous montrer à peu près
74 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
125 visagerai ici que sous l’angle particulier de nos responsabilités comme neutres. Ramuz insiste avec raison sur le fait que nous n’avons
75 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
126 vant toute autre chose, comme un appel, comme une responsabilité . Sommes-nous vraiment libres ? Il faut donc que les Suisses dev
76 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
127 l’avenir. C’est là notre mission spéciale, notre responsabilité devant l’Europe. Et cela suppose un dur effort contre nos goûts, nos
77 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
128 l’avenir. C’est là notre mission spéciale, notre responsabilité devant l’Europe. Et cela suppose un dur effort contre nos goûts, nos
78 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
129 tion de la Suisse sont : d’une part, le défaut de responsabilité personnelle à tous les degrés du pouvoir ; d’autre part, le défaut d’
79 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). III. Organisation de la Ligue
130 : camaraderie, solidarité pratique, engagement et responsabilité personnelle à tous les degrés, sélection par l’action seule, initiati
80 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
131 r sans cesse. Chargés, devant notre patrie, d’une responsabilité que nous mesurons avec humilité, nous appelons à nos côtés tous ceux
81 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
132 e signifie nullement que M. de Rougemont fuit les responsabilités … ou qu’on l’éloigne de la scène politique. Au surplus, il a bien voul
82 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
133 f et ses tabous, afin de s’affirmer libre et sans responsabilité par rapport à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes,
134 le devoir d’agir, en tant qu’il est chargé d’une responsabilité unique dans la société, à sa juste place. Notons que si la personne d
135 u paganisme politique 70. Ceci nous charge d’une responsabilité devant l’Histoire. Que devons-nous faire pour nous montrer à peu près
83 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
136 ui les subjugue et les prive de tout sentiment de responsabilité . Or celui qui n’est pas responsable des actes de son coeur se sent po
137 s membres de la foule de tous leurs sentiments de responsabilité et à les réduire à l’état de « masse ». Or, une masse « n’est qu’une
138 ouvement, il fallait vider à fond la question des responsabilités de guerre […]. À cette époque, où tous voyaient encore dans cette pai
139 ainement elle se sent libérée par ce Destin de la responsabilité de ses actes. Elle capitule devant ce Sauveur terrible et l’acclame c
84 1942, Tapuscrits divers (1936-1947). Le miracle suisse (1942)
140 trésor même de la démocratie, qui est le sens des responsabilités personnelles, condition de l’ordre dans la liberté. Constellation de
85 1942, La Part du diable. Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
141 sisté à priver les individus du sentiment de leur responsabilité morale, donc du sens de leur culpabilité. En les fondant dans une mas
86 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
142 degrés dans le mal, il y a des inégalités dans la responsabilité . Mais nous sommes tous dans le mal, nous sommes tous les complices de
143 otre besoin de sensation ; dans notre crainte des responsabilités  ; dans notre inertie civique ; dans notre lâcheté vis-à-vis du grand
87 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
144 ès d’aucune instance supérieure, il n’y a plus de responsabilité nulle part. Mais s’il apparaît, à l’inverse, que nous ne coïncidons p
145 a face de l’Éternel ». Pour qu’il n’y ait plus de responsabilité , il faut qu’il n’y ait plus personne. Or si j’appelle et qu’il n’y a
88 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
146 rien ni de personne. Mais sans le sentiment de la responsabilité de chacun envers autrui, il n’est point de liberté civique possible :
147 semblables. Tout cela se tient. Sens du prochain, responsabilité , et liberté sont choses intimement liées ; elles s’engendrent mutuell
148 ’arrivisme, l’opportunisme et la fuite devant les responsabilités , la bêtise vaniteuse et la paresse de pensée, le respect de l’argent,
149 ux qui n’ont pas encore compris que liberté égale responsabilité , ceux-là n’ont aucun droit de revendiquer une liberté dont ils ne sau
89 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
150 sisté à priver les individus du sentiment de leur responsabilité morale, donc du sens de leur culpabilité. En les fondant dans une mas
90 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
151 degrés dans le mal, il y a des inégalités dans la responsabilité . Mais nous sommes tous dans le mal, nous sommes tous les complices de
152 otre besoin de sensation ; dans notre crainte des responsabilités  ; dans notre inertie civique ; dans notre lâcheté vis-à-vis du grand
91 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
153 ès d’aucune instance supérieure, il n’y a plus de responsabilité nulle part. Mais s’il apparaît, à l’inverse, que nous ne coïncidons p
154 la condition… Car notre rôle est de durer, et nos responsabilités sont écrasantes, et nous n’allons pas jouer comme un illuminé avec le
155 a face de l’Éternel. » Pour qu’il n’y ait plus de responsabilité , il faut qu’il n’y ait plus personne. Or si j’appelle et qu’il n’y a
92 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
156 rien ni de personne. Mais sans le sentiment de la responsabilité de chacun envers autrui, il n’est point de liberté civique possible :
157 semblables. Tout cela se tient. Sens du prochain, responsabilité , et liberté sont choses intimement liées ; elles s’engendrent mutuell
158 ’arrivisme, l’opportunisme et la fuite devant les responsabilités , la bêtise vaniteuse et la paresse de pensée, le respect de l’argent,
159 ux qui n’ont pas encore compris que liberté égale responsabilité , ceux-là n’ont aucun droit de revendiquer une liberté dont ils ne sau
93 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
160 sisté à priver les individus du sentiment de leur responsabilité morale, donc du sens de leur culpabilité. En les fondant dans une mas
94 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
161 degrés dans le mal, il y a des inégalités dans la responsabilité . Mais nous sommes tous dans le mal, nous sommes tous les complices de
162 tre besoin de sensations ; dans notre crainte des responsabilités  ; dans notre inertie civique ; dans notre lâcheté vis-à-vis du grand
95 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
163 ès d’aucune instance supérieure, il n’y a plus de responsabilité nulle part. Mais s’il apparaît, à l’inverse, que nous ne coïncidons p
164 la condition… Car notre rôle est de durer, et nos responsabilités sont écrasantes, et nous n’allons pas jouer comme un illuminé avec le
165 a face de l’Éternel ». Pour qu’il n’y ait plus de responsabilité , il faut qu’il n’y ait plus personne. Or si j’appelle et qu’il n’y a
96 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
166 rien ni de personne. Mais sans le sentiment de la responsabilité de chacun envers autrui, il n’est point de liberté civique possible :
167 semblables. Tout cela se tient. Sens du prochain, responsabilité , et liberté sont choses intimement liées ; elles s’engendrent mutuell
168 ’arrivisme, l’opportunisme et la fuite devant les responsabilités , la bêtise vaniteuse et la paresse de pensée, le respect de l’argent,
169 ux qui n’ont pas encore compris que liberté égale responsabilité , ceux-là n’ont aucun droit de revendiquer une liberté dont ils ne sau
97 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
170 a face de l’Éternel ». Pour qu’il n’y ait plus de responsabilité , il faut qu’il n’y ait plus personne. Or si j’appelle et qu’il n’y a
98 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
171 degrés dans le mal, il y a des inégalités dans la responsabilité . Mais nous sommes tous dans le mal, nous sommes tous les complices de
172 notre besoin de sensation, dans notre crainte des responsabilités , dans notre inertie civique, dans notre lâcheté vis-à-vis du grand no
99 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
173 vant aucune instance supérieure, il n’y a plus de responsabilité nulle part. Mais s’il apparaît, à l’inverse, que nous ne coïncidons p
100 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
174 Les jeunes gens qui prenaient conscience de leur responsabilité intellectuelle et civique vers 1930, en France, se trouvaient confron
175 es personnalistes : vocation, risque, engagement, responsabilité , communautés organiques, pluralisme, fédéralisme. Ils définissent une