1
nève sur « l’Avenir de l’Europe. » (Cf. les deux
réponses
d’André Gide en particulier). Car la plupart des enquêtés se font de
2
Il serait vain de tenter un classement parmi les
réponses
d’une extraordinaire diversité — peut-être trop nombreuses — qui comp
3
nt avoir, sincérité trop rare… Presque toutes les
réponses
, conclusions ou interrogations, ont le défaut de n’être pas suffisamm
4
lumineuses conquêtes sur le doute, le modèle des
réponses
désirées. Tout cela, c’est l’atmosphère de la chapelle où ont lieu tr
5
es gens qui se soucient avant tout de trouver des
réponses
de l’intelligence ou de la foi aux inquiétudes profondes de leurs âme
6
baisers, appels qui reçoivent en même temps leur
réponse
, il répète à plusieurs reprises : « Je ne sais pas : je suis !… Je ne
7
r. « Belles-Lettres, c’est la clef des champs… » [
Réponse
à l’enquête sur l’« Essence de Belles-Lettres »], Revue de Belles-Let
8
article de M. Daniel Halévy (décembre 1927) et la
réponse
de M. Benda (janvier 1928). bc. « Julien Benda : La Fin de l’Éternel
9
première boîte venue. Le lendemain, il reçut une
réponse
: « Vous avez commis une erreur, cher ami, mais bien excusable de la
10
r inertie, je ne sais. Mais je m’attends à cent «
réponses
» de cette sorte. Et je tiens à les classer par avance en deux catégo
11
ommes doivent être égaux en tout ? Et la première
réponse
fut : Il faut que ce soit vrai, pour que la démocratie prospère et ét
12
e est de règle. Car la qualité et la quantité des
réponses
« fournies » par le prévenu (l’élève examiné) n’a qu’un lointain rapp
13
et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La
réponse
est simple, terriblement simple : du droit de la Démocratie. L’instru
14
de questions dont ils n’aient appris par cœur la
réponse
. Regardez un écolier préparer ses devoirs, c’est frappant : il appren
15
ant : il apprend les questions aussi bien que les
réponses
. J’avoue que je trouve ça très fort : avoir obtenu un conformisme de
16
nique » et qui définit notre âge : la paperasse ?
Réponse
? Petits étourdis. Réponse non, c’est un recul. Cette critique du fon
17
e âge : la paperasse ? Réponse ? Petits étourdis.
Réponse
non, c’est un recul. Cette critique du fonctionnarisme, vous alliez l
18
je la naïveté non moins énorme d’esquisser ici la
réponse
que je lui réserve ? L’instruction publique est la forme la plus com
19
r inertie, je ne sais. Mais je m’attends à cent «
réponses
» de cette sorte. Et je tiens à les classer par avance en deux catégo
20
ommes doivent être égaux en tout ? Et la première
réponse
fut : Il faut que ce soit vrai, pour que la démocratie prospère et ét
21
e est de règle. Car la qualité et la quantité des
réponses
« fournies » par le prévenu (l’élève examiné) n’a qu’un lointain rapp
22
et se perpétue ; de quel droit il nous écrase. La
réponse
est simple, terriblement simple : du droit de la Démocratie. L’instru
23
de questions dont ils n’aient appris par cœur la
réponse
. Regardez un écolier préparer ses devoirs, c’est frappant : il appren
24
ant : il apprend les questions aussi bien que les
réponses
. J’avoue que je trouve ça très fort : avoir obtenu un conformisme de
25
nique » et qui définit notre âge : la paperasse ?
Réponse
? Petits étourdis. Réponse non, c’est un recul. Cette critique du fon
26
e âge : la paperasse ? Réponse ? Petits étourdis.
Réponse
non, c’est un recul. Cette critique du fonctionnarisme, vous alliez l
27
je la naïveté non moins énorme d’esquisser ici la
réponse
que je lui réserve ? L’instruction publique est la forme la plus comm
28
« Vos fantômes ne sont pas les miens… » [
Réponse
à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)q I Vos fantômes
29
ie. q. « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [
Réponse
à l’enquête « Les vrais fantômes »], Raison d’être, Paris, n° 7, juil
30
on d’être, Paris, n° 7, juillet 1930, p. 7-8. Les
réponses
à cette enquête, par Raoul Benveniste, Carlo Suarès, Joë Bousquet, Ab
31
des moralistes et des charlatans ont hasardé des
réponses
à cette interrogation que posent tacitement toute forme de vie, et ex
32
« Pour un humanisme nouveau » [
Réponse
à une enquête] (1930)b Deux menaces mortelles assiègent notre cond
33
s grand nombre d’artistes exposassent pour qu’une
réponse
valable pût être esquissée. Car, avouons-le, du fait même de la nouve
34
trouve pas dans ces indignations sentimentales la
réponse
aux premiers troubles que la grâce jette dans son âme. D’autre part,
35
note suivante : « Le texte qu’on va lire est une
réponse
et un écho à l’étude Autour de l’humanisme en marche, de Gilbert Trol
36
out dans l’inconscience formidable que traduit la
réponse
de M. Durand-Dupont. M. Durand-Dupont est persuadé qu’il exprime une
37
. Il n’y a aucune raison de ne pas leur donner de
réponses
». Au fond, M. Nizan reproche à nos philosophes d’exclure de leurs re
38
chaque jour, si cet appel n’a pas trouvé la seule
réponse
possible et réelle dans le message évangélique. Et je demande mainten
39
hommes et ne voient même pas qu’ils n’ont plus de
réponses
à offrir à leurs perpétuelles et urgentes questions ; en face de phil
40
Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de
réponse
à cette question pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi.
41
de. Une angoisse qui est un appel, et qui crée sa
réponse
— en vain. Le sentiment mesure une défaillance de l’être. Mais ici,
42
pluie et le beau temps. Lord Artur. — Certes, la
réponse
serait sage, si seulement vous saviez ce que vous dites. Mais, en vér
43
de. Une angoisse qui est un appel, et qui crée sa
réponse
— en vain. Le sentiment mesure une défaillance de l’être. Mais ici,
44
quelques énigmes, et permis d’entrevoir quelques
réponses
. Voici pourtant un fait que je m’explique très mal, et qui touche à m
45
es Heyd, nous avions joué au jeu des questions et
réponses
. L’un écrit trois questions, et l’autre en même temps trois réponses.
46
t trois questions, et l’autre en même temps trois
réponses
. Puis on lit à haute voix les deux papiers. Jeu de hasard, ou de télé
47
le ? Catherine, la fille de Gide, lut sa dernière
réponse
: — L’originalité de mon père. Gide s’éclaircit la voix pour observer
48
ment, et nulle part ailleurs. On nous demande des
réponses
? Mais nous ne pouvons que mettre et remettre en question vos sécurit
49
vos questions. Car alors, vous approcheriez de la
réponse
, vous y offrant sans défenses humaines. Nous avons aussi, à ce moment
50
ou refoulent la question, en lui fournissant des
réponses
tantôt prématurées, tantôt inopérantes, et toujours équivoques ; déso
51
malgré l’impopularité du terme ! » 3. Capable de
réponse
, c’est-à-dire capable de prière. c. « Solutions pratiques ? », Hic e
52
« La jeunesse française devant l’Allemagne » [
Réponse
à une enquête] (mai 1933)e En face de deux pays gouvernés par des
53
dive d’un nationalisme traître à la patrie. Notre
réponse
ne prendra pas la forme d’une justification, mais d’une accusation. A
54
der l’accession aux conflits nécessaires. e. « [
Réponse
à l’enquête « La jeunesse française devant l’Allemagne »] », La Revue
55
blier sous le titre de Jeune Europe 6 apporte une
réponse
d’autant plus intéressante qu’elle est très significative du nouvel é
56
de son angoisse intime, mais aussi, et enfin, une
réponse
. Une réponse plus soucieuse de ce qui est vrai que de ce qui rassure,
57
se intime, mais aussi, et enfin, une réponse. Une
réponse
plus soucieuse de ce qui est vrai que de ce qui rassure, une réponse
58
use de ce qui est vrai que de ce qui rassure, une
réponse
qui ne veut s’adresser qu’à ces « questions dernières » de notre vie,
59
ndément paganisée. Il est aussi la plus éclatante
réponse
à tous ceux qui accusaient la pensée barthienne d’être purement négat
60
Non pas un doute, mais quelque chose qui veut une
réponse
, et qui est d’autant plus tragique qu’ils ne savent plus le formuler.
61
« Pour qui écrivez-vous ? » [
Réponse
à une enquête] (janvier-février 1934)h J’écris à ceux qui ont des
62
’écris pour ceux qui attendent courageusement une
réponse
. Ce n’est pas que je puisse donner cette réponse, loin de là. Je voud
63
réponse. Ce n’est pas que je puisse donner cette
réponse
, loin de là. Je voudrais seulement les aider à prendre au sérieux leu
64
ociale, en tant qu’elle est question exigeant une
réponse
ne se pose pas ailleurs que dans le je aux prises avec le tu. Ses don
65
se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une
réponse
à toutes ces questions, c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes
66
s qu’une réponse à toutes ces questions, c’est la
réponse
de l’Évangile. Faites toutes les sociétés que vous voudrez, boulevers
67
fallait-il être égal ? Sur le plan politique, la
réponse
était facile ; mais elle ne satisfaisait pas le besoin qu’on avait cr
68
ous pousse en avant, fut pour lui, peut-être, une
réponse
. Non pas une mort édifiante. Mais une découverte éblouie — pascalienn
69
ritable angoisse, et qu’elle nous dresse pour une
réponse
. La plénitude est un combat d’amour. Mais aimer ? C’est d’abord répon
70
sens exact d’une question n’est donné que par la
réponse
. Mais l’homme antique n’a pas en lui de quoi répondre à la Nature : i
71
raints de nous arrêter : l’an 33 de notre ère, la
réponse
éternelle à la perpétuelle question du monde, nous est donnée. C’est
72
tion du monde, nous est donnée. C’est d’abord une
réponse
faite à l’homme. Mais c’est aussi, à travers l’homme désormais restau
73
sormais restauré dans sa condition éternelle, une
réponse
à toute la création, désormais replacée dans l’ordre originel. À cet
74
riginel. À cet instant, parce qu’il possède cette
réponse
, l’homme comprend le sens de la question. Et dans l’élan désordonné d
75
Écritures, ne peut manquer d’évoquer aussitôt la
réponse
de l’Épître aux Romains : « Tout l’univers s’adresse à l’homme dans u
76
n la question ne va pas jusqu’à l’accepter, et sa
réponse
n’est encore qu’une évasion. Cette « partie de son être inconnue à lu
77
de la foi, nous permet d’apporter à la Nature une
réponse
qui dépasse sa question et qui atteint et qui embrasse l’être anxieux
78
agiques ; mais voici que Dieu intervient, avec la
réponse
terrible faite à Job. Et ce sont alors d’étranges et magnifiques lett
79
qui dispose du tonnerre. Mais le tonnerre est une
réponse
, une explication certaine, digne de foi, de première source, une répo
80
n certaine, digne de foi, de première source, une
réponse
de Dieu, qui, même si elle foudroie, est plus magnifique que les comm
81
n qu’ils vivent bien ! On se souvient de la noble
réponse
de ce proscrit de la Révolution auquel on demandait à son retour en F
82
ermet d’affirmer dans le domaine de César ? De la
réponse
à cette question dépendra notre évaluation des tentatives esquissées
83
e violence ne peut dérober, mais c’est une triste
réponse
à la révolte de ces pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les aime… Si
84
se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une
réponse
à toutes ces questions, c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes
85
s qu’une réponse à toutes ces questions, c’est la
réponse
de l’Évangile. Faites toutes les sociétés que vous voudrez, boulevers
86
si je vous entendais confirmer mon point de vue.
Réponse
. — J’en suis fâché, mais la personne dont je parle n’a rien à voir av
87
à une très grosse difficulté dans votre système.
Réponse
. — Je ne le nie pas un instant. Tout système comporte en réalité une
88
’elles soient, deviennent forcément inopérantes.
Réponse
. — La force de cette objection réside dans une vue rationaliste du mo
89
t ce temps, ils l’exploitent jusqu’aux moelles !
Réponse
. — Je ne crois pas à un esprit organisé par le soin des hommes. L’Esp
90
us permet d’éluder le vrai problème. » Mais cette
réponse
simpliste, valable tout au plus contre certaines critiques bourgeoise
91
politique : une révolution sans illusions. 23.
Réponse
à une enquête de la Revue du christianisme social, sur l’attitude des
92
Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de
réponse
à cette question pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi.
93
eci : quel est le sens des échecs humains ? De la
réponse
qu’un homme fait à cette question, l’on pourrait tirer un critère de
94
fallait-il être égal ? Sur le plan politique, la
réponse
était facile ; mais elle ne satisfaisait pas le besoin qu’on avait cr
95
se fonde votre personnalisme ? Je ne vois qu’une
réponse
à toutes ces questions, c’est la réponse de l’Évangile. Faites toute
96
s qu’une réponse à toutes ces questions, c’est la
réponse
de l’Évangile. Faites toutes les sociétés que vous voudrez, boulever
97
si je vous entendais confirmer mon point de vue.
Réponse
. — J’en suis fâché, mais la personne dont je parle n’a rien à voir av
98
à une très grosse difficulté dans votre système.
Réponse
. — Je ne le nie pas un instant. Tout système comporte en réalité une
99
’elles soient, deviennent forcément inopérantes.
Réponse
. — La force de cette objection réside dans une vue rationaliste du mo
100
t ce temps, ils l’exploitent jusqu’aux moelles !
Réponse
. — Je ne crois pas à un esprit organisé par le soin des hommes. L’Esp
101
us permet d’éluder le vrai problème. » Mais cette
réponse
simpliste, valable tout au plus contre certaines critiques bourgeoise
102
politique : une révolution sans illusions. 18.
Réponse
à une enquête de la Revue du christianisme social, sur l’attitude des
103
Ayons le courage de l’affirmer ; il n’est pas de
réponse
à cette question pour ceux qui ne savent pas ce que c’est que la foi.
104
eci : quel est le sens des échecs humains ? De la
réponse
qu’un homme fait à cette question, l’on pourrait tirer un critère de
105
fallait-il être égal ? Sur le plan politique, la
réponse
était facile ; mais elle ne satisfaisait pas le besoin qu’on avait cr
106
nsemble de la nation. Ceux qui leur donneront une
réponse
efficace, donneront du même coup un but commun aux efforts de tous le
107
que nous avons cherché dans Dostoïevski, c’est la
réponse
à cette question : qu’est-ce qu’un homme ? Et cette réponse, il nous
108
cette question : qu’est-ce qu’un homme ? Et cette
réponse
, il nous l’a donnée en nous découvrant que l’homme n’est lui-même qu’
109
struction publique et l’atmosphère culturelle. La
réponse
ne peut faire de doute : seule une culture constituée et transmise pa
110
ue vision et amour sont un seul acte et une seule
réponse
: « Lumière du monde, vous m’avez éclairé. Je vous ai vue, je vous ai
111
— pour nous avoir révélé le salut ? Où trouver la
réponse
qui nous permettrait seule de poser sérieusement nos questions ? « Si
112
dit, dans sa revue, toute espèce de polémique, de
réponses
à ses contradicteurs, de critique littéraire ou d’analyses des « actu
113
attend, dès maintenant, le retour. (Je songe à la
réponse
du Christ aux sadducéens, Luc 20/33.) Nietzsche, opposant l’antithèse
114
mune, Paris, n° 21, mai 1935, p. 1059. Publiée en
réponse
à une recension de Politique de la personne parue dans la livraison
115
Barth exprimait si magnifiquement dans une de ses
réponses
aux objections des humanistes : “Christ n’a pas cru pouvoir sauver le
116
ction ? Doit-il avoir un lieu particulier ? De la
réponse
à ces questions dépendront l’existence et l’emplacement du Palais de
117
manifester, comment le hisser sur le pavois ? La
réponse
est simple. L’esprit s’exprime par l’écrit et la parole. Un sanctuair
118
que fameuse : « La vérité est peut-être triste. »
Réponse
qui n’est encore qu’une question déguisée. Le soupçon de Renan trahit
119
ais l’homme ne répond plus : il est la vérité, la
réponse
en chair et en os. Il faudrait se « boucher les yeux… » Cet homme est
120
ès que l’on s’est mis en marche, il n’est d’autre
réponse
, dans les faits, que la fameuse dictature de transition, masque étati
121
que l’on cherchera, dans ces pages, quelque autre
réponse
directe à la fière question du début : « De quoi s’agit-il ? » « Les
122
i vous voulez interroger, interrogez ! », mais la
réponse
est : « Convertissez-vous ! » À la lumière jaillie de l’acte de la fo
123
ensable, l’Incarnation historique de Dieu. Pas de
réponse
rationnelle au « Cur Deux Homo ? » de saint Anselme. 14. Crainte et
124
ition de l’Église, corps du Christ ressuscité ! »
Réponse
qui justement donne un exemple bien typique de la méthode romaine de
125
p humainement assurée — nous n’avons qu’une seule
réponse
, mais une réponse certaine, une réponse qui n’est pas nôtre : « L’œuv
126
rée — nous n’avons qu’une seule réponse, mais une
réponse
certaine, une réponse qui n’est pas nôtre : « L’œuvre de Dieu, c’est
127
une seule réponse, mais une réponse certaine, une
réponse
qui n’est pas nôtre : « L’œuvre de Dieu, c’est que vous croyiez en ce
128
ie et directement engagé par les réactions et les
réponses
qu’elles exigent de nous. Ces études se succèdent selon un plan qu’il
129
ion ne peut être sérieuse que si l’on sait que la
réponse
existe… Il fallait nous apprendre cet embrassement, cette saisie des
130
nsemble de la nation. Ceux qui leur donneront une
réponse
efficace, donneront du même coup un but commun aux efforts de tous le
131
outes les œuvres spirituelles et matérielles ? La
réponse
me paraît évidente. Tous les témoignages que nous possédons sur l’éta
132
des deux Europes se ramène à l’opposition de deux
réponses
différentes à l’appel jailli de la crise, vers une communauté nouvell
133
uvelle. Là où cette crise était la plus aiguë, la
réponse
, qui devait être totale, n’a été que « totalitaire ». Là où depuis ce
134
it déjà, la crise est bien moins virulente, et la
réponse
a plus de peine à se dégager. Pourtant, il faudra bien qu’elle soit d
135
communistes et nationalistes. 4. Les premières
réponses
. C’est pour avoir deviné cet appel et pressenti l’ampleur de l’angois
136
é. Tout jugement politique ou idéologique sur les
réponses
qu’ils ont tenté de donner — classe ou nation — reste superficiel et
137
t combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une
réponse
nécessaire. Elles ne sont qu’une tentation superficielle et passagère
138
luencé, etc., tout cela n’importe qu’à partir des
réponses
que l’on donne au problème éternel : où sommes-nous, d’où venons-nous
139
che, en lisant, un passe-temps, un vertige ou une
réponse
. Mais l’invention de l’imprimerie a multiplié les problèmes dans une
140
l’ornement paraît enfin tout le sujet. Mais de la
réponse
de Calvin, de cette Épître à Sadolet dont chaque phrase est tendue co
141
les œuvres tant spirituelles que matérielles ? La
réponse
me paraît évidente. Tous les témoignages que nous possédons sur l’éta
142
er qu’il y a là une fausse communauté, une fausse
réponse
, une duperie spirituelle ; je le crois, au nom d’une vérité plus haut
143
peuple, et d’incarner, aux yeux de ce peuple, une
réponse
libératrice.) Personne n’a davantage que l’Allemand la passion de la
144
s mêmes critères. Or, à ce doute, il n’est pas de
réponse
qui ne soit un acte de foi. Juger le système ou la mesure soviétique,
145
mais remonter. Reste à savoir si nous voulons des
réponses
simples et faciles, ou bien la vérité qui est souvent difficile. Si n
146
ependant nous avons vu qu’elle ne comporte pas de
réponse
en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni fausse ; elle n’est que p
147
des deux Europes se ramène à l’opposition de deux
réponses
différentes à l’appel jailli de la crise, vers une communauté nouvell
148
uvelle. Là où cette crise était la plus aiguë, la
réponse
a été totale, ou tout au moins totalitaire. Là où depuis cent ans ou
149
it déjà, la crise est bien moins virulente, et la
réponse
a plus de peine à se dégager. Pourtant, il faudra bien qu’elle soit d
150
ns communistes et nationalistes. 4° Les premières
réponses
. — C’est pour avoir deviné cet appel et pressenti l’ampleur de l’ango
151
é. Tout jugement politique ou idéologique sur les
réponses
qu’ils ont tenté de donner — classe ou nation — reste superficiel et
152
t combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une
réponse
nécessaire. Elles ne sont qu’une tentation superficielle et passagère
153
z tous les autres, un souci de naturaliste. 64.
Réponses
aux cinquièmes objections. 65. Je fais abstraction de la mode antiso
154
is le suppose, l’éclaire, le représente… La seule
réponse
adéquate aux questions que pose la maxime : penser avec les mains, ce
155
c’est-à-dire en tant qu’elle exige de chacun une
réponse
, ne se pose par ailleurs que dans l’individu aux prises avec son ento
156
che, en lisant, un passe-temps, un vertige ou une
réponse
. Mais l’invention de l’imprimerie a multiplié les problèmes dans une
157
l’ornement paraît enfin tout le sujet. Mais de la
réponse
de Calvin, de cette Épître à Sadolet dont chaque phrase est tendue co
158
les œuvres tant spirituelles que matérielles ? La
réponse
me paraît évidente. Tous les témoignages que nous possédons sur l’éta
159
er qu’il y a là une fausse communauté, une fausse
réponse
, une duperie spirituelle ; je le crois, au nom d’une vérité plus haut
160
peuple, et d’incarner, aux yeux de ce peuple, une
réponse
libératrice.) Personne n’a davantage que l’Allemand la passion de la
161
s mêmes critères. Or, à ce doute, il n’est pas de
réponse
qui ne soit un acte de foi. Juger le système ou la mesure soviétique,
162
mais remonter. Reste à savoir si nous voulons des
réponses
simples et faciles, ou bien la vérité qui est souvent difficile. Si n
163
ependant nous avons vu qu’elle ne comporte pas de
réponse
en soi. Une mesure n’est en soi ni vraie ni fausse ; elle n’est que p
164
des deux Europes se ramène à l’opposition de deux
réponses
différentes à l’appel jailli de la crise, vers une communauté nouvell
165
uvelle. Là où cette crise était la plus aiguë, la
réponse
a été totale, ou tout au moins totalitaire. Là où depuis deux ou troi
166
it déjà, la crise est bien moins virulente, et la
réponse
a plus de peine à se dégager. Pourtant, il faudra bien qu’elle soit d
167
ns communistes et nationalistes. 4° Les premières
réponses
. — C’est pour avoir deviné cet appel et pressenti l’ampleur de l’ango
168
é. Tout jugement politique ou idéologique sur les
réponses
qu’ils ont tenté de donner — classe ou nation — reste superficiel et
169
t combler l’attente réelle. Elles ne sont pas une
réponse
nécessaire. Elles ne sont qu’une tentation superficielle et passagère
170
z tous les autres, un souci de naturaliste. 66.
Réponses
aux cinquièmes objections. 67. Je fais abstraction de la mode anti-s
171
is le suppose, l’éclaire, le représente… La seule
réponse
adéquate aux questions que pose la maxime : penser avec les mains, ce
172
c’est-à-dire en tant qu’elle exige de chacun une
réponse
, ne se pose par ailleurs que dans l’individu aux prises avec son ento
173
tinataire ». Eh bien, qu’est-ce que vous croyez ?
Réponse
dans les quatre jours ! ah, ils sont comme ça ! Mais voilà que la per
174
Bible et les travailleurs. » C’est sans doute une
réponse
à la conférence donnée au même endroit, il y a quinze jours, sous les
175
ette. J’essaierai d’aller demain soir entendre la
réponse
. La mère Renaud vient de m’apprendre que l’orateur est le pasteur du
176
e quotidienne. Ils nous donnent très rarement des
réponses
, ou alors, par malchance, ce sont justement des réponses à des questi
177
s, ou alors, par malchance, ce sont justement des
réponses
à des questions qu’on n’avait pas l’idée de se poser ; et c’est là qu
178
ion de l’ordre originel. Et voilà pratiquement la
réponse
de l’homme : pillage, ruses, destruction, dévoration, le tout accompa
179
un et l’autre cas, et pour les mêmes raisons, les
réponses
varient du tout au nul. C’est dire qu’une réflexion patiente — mais u
180
enir, et puis vous vous apercevez que ce sont vos
réponses
elles-mêmes, celles que déjà vous étiez prêt à lui donner, qui se tro
181
tique. Ou bien vous obtenez des variations sur la
réponse
des amoureux (« à rien ») ou bien des phrases toutes faites empruntée
182
uré bien longtemps. 26 novembre 1933 Aucune
réponse
de Paris à mes envois. Si mes articles ne paraissent qu’en décembre,
183
Bible et les travailleurs ». C’est sans doute une
réponse
à la conférence donnée au même endroit, il y a quinze jours, sous les
184
ette. J’essaierai d’aller demain soir entendre la
réponse
. La mère Renaud vient de m’apprendre que l’orateur est le pasteur du
185
e quotidienne. Ils nous donnent très rarement des
réponses
, ou alors par malchance ce sont justement des réponses à des question
186
ses, ou alors par malchance ce sont justement des
réponses
à des questions qu’on n’avait pas l’idée de se poser ; et c’est là qu
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influx de vigueur et de tendresse réelle », notre
réponse
d’homme à toute la création, longtemps trompée dans son « attente ard
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ion de l’ordre originel. Et voilà pratiquement la
réponse
de l’homme : pillage, ruses, destruction, dévoration, le tout accompa
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t fécond est celui qu’on ne cherche pas comme une
réponse
à son ennui — faut-il dire à sa peur — de vivre. Cette manière romant
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on découvre que le monde ne comporte pas d’autres
réponses
que celles qu’on a le courage de lui donner. Qu’il n’y a rien à en at
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ur s’arrêter de penser ? Je n’ai jamais trouvé de
réponse
franche à ce problème, même dans les œuvres de D. H. Lawrence, l’un d
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. Dans son affirmation, dans ses questions ou ses
réponses
à d’autres hommes bien réels. Le monologue n’est qu’une suppression a
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tinataire ». Eh bien, qu’est-ce que vous croyez ?
Réponse
dans les quatre jours ! ah, ils sont comme ça ! Mais voilà que la per