1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 in-pied, en même temps que dans la guerre. Que de sacrifices ne lui devra-t-il pas offrir ainsi les romans « intéressants » ou « c
2 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
2 de ce paganisme exalté, tout ivre de la fumée des sacrifices sanglants. Pour ma part, je le trouve assez peu humain et comme obséd
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
3 notre vertu suprême, aussi, est douloureuse : le sacrifice . Sans doute, cette « absurdité essentielle » que le Chinois distingue
4 la vanité de nos buts, « capables d’agir jusqu’au sacrifice , mais pleins de dégoût devant la volonté d’action qui tord aujourd’hu
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
5 jour où les soins qu’elle exige me coûteront des sacrifices plus grands que les bienfaits que j’en escompte, il sera temps de son
5 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
6 a technique même la plus perfectionnée mérite les sacrifices qu’elle exige de l’homme moderne. Paradoxes plus ou moins intéressés,
6 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
7 ne de ce qu’ils furent… Cela demanderait certains sacrifices , certains mépris qui passent tellement la « mesure » parisienne — phy
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 este s’appelle coquetterie ; en grand et gratuit, sacrifice .) … feuilletons un peu ma Hongrie. 7. Les magnats en taxis La p
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
9 le sel de la vie. L’organisme social demande des sacrifices pour l’amour des vivants. » Le conflit intérieur s’intensifie bientô
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
10 vivante, celui-là ne fait qu’usurper la forme du sacrifice  ; et c’est en vain qu’il tenterait d’y loger autre chose que son égoï
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
11 ontraste autre chose que la vieille opposition du sacrifice cornélien et de la passion racinienne, — opposition qui se prolonge e
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
12 t. Et pour nous, cela signifie : le renouveau, le sacrifice salutaire et l’unique justification de la pensée. Une telle évolution
13 de M. Nizan est dans l’insolence plus que dans le sacrifice à une cause. Je n’insisterais pas, si ces traits ne me paraissaient c
12 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
14 éclament des dividendes ; ils réclament aussi des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de mor
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
15 hommes n’entendront de nous que notre volonté de sacrifice , de pauvreté. C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 geste s’appelle coquetterie ; en grand et gratuit sacrifice .) … feuilletons un peu ma Hongrie. vii Les magnats en taxis La
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
17 rits au siècle dernier. Qui dit style d’abord dit sacrifice à une vue de l’esprit. Qui dit confort d’abord dit refus de tout styl
18 nt pas demain leur commandement dans cet Ordre du Sacrifice auquel rêve l’Europe, qu’elle redoute encore, mais qui forge sa loi a
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
19 rits au siècle dernier. Qui dit style d’abord dit sacrifice à une vue de l’esprit. Qui dit confort d’abord dit refus de tout styl
20 nt pas demain leur commandement dans cet Ordre du Sacrifice auquel rêve l’Europe, qu’elle redoute encore, mais qui forge sa loi a
17 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
21 l est le fondement de l’attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutionnaire, l’homme
18 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
22 ble qu’on peut le croire : elle comporte moins de sacrifices que de prix littéraires et de coups de pied au derrière. Cette jeunes
19 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
23 , l’ardeur qui anime la jeunesse russe malgré les sacrifices qu’on lui demande — ou à cause d’eux — ne sauraient être mises en dou
20 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
24 t leurs exigences, qui sont la foi aveugle et les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entend
25 ais il faut prendre garde d’abord de confondre le sacrifice et le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dan
21 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
26 à le disqualifier. Ils ont assimilé l’héroïsme au sacrifice de toute vocation personnelle, à l’anéantissement de l’homme dans le
22 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
27 ant plus « idéal » qu’il exige de nous un moindre sacrifice . (On éloigne l’amour : ainsi l’amour de la patrie passe avant celui d
28 pauvreté volontaire, c’est-à-dire de la notion de sacrifice , et, par ailleurs, qualité pratique (et non pas vertu) recommandée au
29 t désormais une vertu sans lien avec la notion de sacrifice ou avec l’idéal évangélique et, pour comble, vertu de riche, mais qui
23 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
30 lle que l’Ordre nouveau propose à notre besoin de sacrifice , c’est la qualité d’homme par excellence, la qualité créatrice de la
24 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
31 est pas de hiérarchie possible en ces parages, le sacrifice y tient lieu de mesure, parce qu’il est un acte, incontestable. Telle
25 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
32 es, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le sacrifice … Il ne s’agit pas de ces sacrifices dont on s’acquitte avec son argen
33 mer que par le sacrifice… Il ne s’agit pas de ces sacrifices dont on s’acquitte avec son argent ou avec son travail, mais de sacri
34 itte avec son argent ou avec son travail, mais de sacrifices pour lesquels on joue sa propre existence intérieure. » Le destin de
35 t de son calvaire, purifiée et galvanisée par ses sacrifices . La haute stature de Pillau se dresse devant lui. Une fois encore, Pi
36 ui. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du sacrifice de « ces jeunes gens qui sont entrés dans le malheur la tête haute ».
26 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
37 t leurs exigences, qui sont la foi aveugle et les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entend
38 ais il faut prendre garde d’abord de confondre le sacrifice et le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dan
27 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
39 éclament des dividendes ; ils réclament aussi des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de mor
28 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
40 l est le fondement de l’attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutionnaire, l’homme
29 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
41 contraire du service chrétien, lequel est d’abord sacrifice au bien de l’autre en tant qu’autre, sacrifice qui ne peut avoir aucu
42 rd sacrifice au bien de l’autre en tant qu’autre, sacrifice qui ne peut avoir aucune raison humaine, qui ne peut être qu’obéissan
43 le commandement du Christ est un commandement de sacrifice total, et de mort au monde. Maintenant, les jeux sont faits. L’abîme
30 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
44 emandent de la discipline. La discipline exige le sacrifice des libertés personnelles au bien collectif. Le bien collectif, c’est
45 nsateur de tous les biens, méritant donc tous les sacrifices . Si l’on admet cette primauté de l’État, les violences nécessaires à
31 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
46 hommes n’entendront de nous que notre volonté de sacrifice , de pauvreté. C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité
32 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
47 à le disqualifier. Ils ont assimilé l’héroïsme au sacrifice de toute vocation personnelle, à l’anéantissement de l’homme dans le
33 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
48 régime idéal demandera des siècles de travail, de sacrifices et de police. Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas atte
34 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
49 t leurs exigences, qui sont la foi aveugle et les sacrifices humains. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entend
50 ais il faut prendre garde d’abord de confondre le sacrifice et le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dan
35 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
51 éclament des dividendes ; ils réclament aussi des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de mor
36 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
52 l est le fondement de l’attitude de service et de sacrifice qui, dans tous les domaines, doit faire de lui un révolutionnaire, un
37 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
53 contraire du service chrétien, lequel est d’abord sacrifice au bien de l’autre en tant qu’autre, sacrifice qui ne peut avoir aucu
54 rd sacrifice au bien de l’autre en tant qu’autre, sacrifice qui ne peut avoir aucune raison humaine, qui ne peut être qu’obéissan
55 le commandement du Christ est un commandement de sacrifice total, et de mort au monde. Maintenant, les jeux sont faits. L’abîme
38 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
56 emandent de la discipline. La discipline exige le sacrifice des libertés personnelles au bien collectif. Le bien collectif, c’est
57 nsateur de tous les biens, méritant donc tous les sacrifices . Si l’on admet cette primauté de l’État, les violences nécessaires à
39 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
58 hommes n’entendront de nous que notre volonté de sacrifice , de pauvreté. C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité
40 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
59 à le disqualifier. Ils ont assimilé l’héroïsme au sacrifice de toute vocation personnelle, à l’anéantissement de l’homme dans le
41 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
60 régime idéal demandera des siècles de travail, de sacrifices et de police. Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas atte
42 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
61 Et maintenant Dieu lui commande d’offrir Isaac en sacrifice  ! Abraham ne se révolte pas. Il croit en Dieu, non point en sa raison
62 rnier moment et lui montre un bélier prêt pour le sacrifice … On célèbre la grâce de Dieu qui a donné Isaac pour la seconde fois 
63 i dans sa réalité, puis offerte telle quelle « en sacrifice saint et agréable » à Dieu. Point n’est nécessaire qu’il vous pousse
43 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
64 son principe effectivement puissant, et honoré de sacrifices quotidiens. C’est ainsi que la mesure des civilisations antiques étai
44 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
65 es, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le sacrifice . » Sacrifice et fidélité, voilà ce qui définit leur dernière dignité
66 ouvons plus nous affirmer que par le sacrifice. » Sacrifice et fidélité, voilà ce qui définit leur dernière dignité d’Allemands d
67 re. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du sacrifice de « ces jeunes gens qui sont entrés dans le malheur la tête haute ».
68 c.), où l’homme avoue ses dernières ressources de sacrifice . Mais il faut se représenter un Malraux qui aurait les nerfs solides 
45 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
69 nt hétérogènes. Si l’on croit sérieusement que le sacrifice du Christ est éternellement suffisant, on ne cherche pas d’autres moy
46 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
70 de petits éditeurs qui étaient prêts à faire des sacrifices pour publier certains ouvrages de qualité, mais peu vendables. Ils en
47 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
71 nheur à venir et d’une grandeur digne de tous les sacrifices . Et comment ne croirait-on pas à la grandeur, même ou surtout la plus
48 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
72 e que l’espèce humaine » (Renan) ne mérite pas le sacrifice de l’esprit pur. Sacrifice inutile au reste : la science ne nous appr
73 enan) ne mérite pas le sacrifice de l’esprit pur. Sacrifice inutile au reste : la science ne nous apprend-elle pas que les lois d
49 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
74 promet aux masses un avenir si beau que tous les sacrifices présents deviennent légers ; c) l’éducation de la jeunesse, qui assur
50 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
75 d’un état matériel ou politique acquis au prix du sacrifice de la personne : lorsque l’on perd sur la personne, on ne peut pas se
51 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
76 nheur à venir et d’une grandeur digne de tous les sacrifices . Et comment ne croirait-on pas à la grandeur, même ou surtout la plus
52 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
77 e que l’espèce humaine » (Renan) ne mérite pas le sacrifice de l’esprit pur. Sacrifice inutile au reste : la science ne nous appr
78 enan) ne mérite pas le sacrifice de l’esprit pur. Sacrifice inutile au reste : la science ne nous apprend-elle pas que les lois d
53 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
79 promet aux masses un avenir si beau que tous les sacrifices présents deviennent légers ; c) l’éducation de la jeunesse, qui assur
54 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
80 d’un état matériel ou politique acquis au prix du sacrifice de la personne : lorsque l’on perd sur la personne, on ne peut pas se
55 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
81 nheur à venir et d’une grandeur digne de tous les sacrifices . Et comment ne croirait-on pas à la grandeur, même ou surtout la plus
56 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
82 mpense, obtenue après bien des années, pour leurs sacrifices du début… Cette polémique fait apparaître assez clairement que la sit
57 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
83 t qui résume cent années d’efforts, de luttes, de sacrifices et d’éloquence, de pensée libre, de raison cartésienne, de soif de Ju
58 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
84 jugent que l’action personnelle de charité et de sacrifice , pour le mieux-être du prochain, suffit à compléter, si je puis dire,
85 proprement religieuse. Et j’entends bien que les sacrifices qu’ils font ne sont pas seulement « spirituels », entraînent des risq
59 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
86 t qui résume cent années d’efforts, de luttes, de sacrifices et d’éloquence, de pensée libre, de raison cartésienne, de soif de Ju
60 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
87 est si belle et si grande qu’elle mérite bien des sacrifices … Ainsi parlaient naguère les grands bonzes du capitalisme et de l’ord
61 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
88 déployait le quart de l’énergie et de l’esprit de sacrifice qu’on met ordinairement dans le métier des armes, il est certain qu’o
62 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
89 La religion dont il était le fondateur voulait le sacrifice sanglant (ou son symbole), le viol de la victime, la « libération » v
63 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
90 ard, après coup, l’homme découvre que la folie du sacrifice consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
64 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
91 déal qui mérite bien certains efforts et certains sacrifices , il me semble. Ne devez-vous pas publier un roman, dont le titre, La
65 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
92 tèges funèbres, des cérémonies d’imprécation, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
66 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
93 s richesses dont l’ère classique a voulu faire le sacrifice . Ce n’est pas rien ! Cela donne à Phèdre un air de luxe fou : pour fo
67 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
94 et de la mort des dieux, légendes expliquant les sacrifices ou l’origine des tabous, etc.). On l’a remarqué souvent : un mythe n’
68 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
95 ul mot… Quelle est la « dame » qui mériterait ce sacrifice  ? Ou ce cri de Guillaume de Poitiers : Par elle seule je serai sauvé
69 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
96 a transformation immédiate du désir sensuel en un sacrifice de soi-même qui semble faire partie du domaine de l’éthique… L’expres
70 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
97 ard, après coup, l’homme découvre que la folie du sacrifice consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
71 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
98 èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
72 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
99 e à bouche fermée.) Dure est la peine, affreux le sacrifice , noire la nuit, et la voie solitaire. Mais Dieu pourvoit au soin de c
100 et qui dévaste les foyers. Par toi, par ton seul sacrifice , mille et mille garderont ce bonheur que Dieu t’arrache ! Voici, tu c
101 dans ta maison le droit ? Qui portera le poids du sacrifice  ? Père, père, où sont tes fils ? Solitaire, où vont tes pas ? Nicolas
102 mes.) Ô peuple des bergers, entonne la louange du sacrifice amer qui sauvera ta paix ! Sur ta patrie veille à présent le solitair
73 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
103 re ! Que chacun des partis déclare maintenant les sacrifices qu’il pourra consentir pour le salut de la patrie commune ! La parole
104 descendu ! Nicolas. —  Ô dure nuit du dernier sacrifice  ! Haimo ! Haimo ! Haimo. —  Qu’a dit la voix ? Nicolas. —  Dieu
74 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
105 et de la mort des dieux, légendes expliquant les sacrifices ou l’origine des tabous, etc.). On l’a remarqué souvent : un mythe n’
75 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
106 ul mot… Quelle est la « dame » qui mériterait ce sacrifice  ? Ou ce cri de Guillaume de Poitiers : Par elle seule je serai sauvé
76 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
107 a transformation immédiate du désir sensuel en un sacrifice de soi-même qui semble faire partie du domaine de l’éthique… L’expres
77 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
108 ard, après coup, l’homme découvre que la folie du sacrifice consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
78 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
109 et de la mort des dieux, légendes expliquant les sacrifices ou l’origine des tabous, etc.) On l’a remarqué souvent : un mythe n’a
79 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
110 ul mot… Quelle est la « dame » qui mériterait ce sacrifice  ? Ou ce cri de Guillaume de Poitiers : Par elle seule je serai sauvé
80 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
111 a transformation immédiate du désir sensuel en un sacrifice de soi-même qui semble faire partie du domaine de l’éthique… L’expres
81 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
112 ard, après coup, l’homme découvre que la folie du sacrifice consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
82 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
113 es de la défense nationale. Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations sociales et in
114 nations, nous voici contraints brutalement à des sacrifices mille fois pires, inévitables et stériles. Le plus étrange est que ce
115 vitables et stériles. Le plus étrange est que ces sacrifices se révèlent parfaitement « possibles ». Dès qu’il s’agit de sauver no
83 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
116 es de la défense nationale. Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations sociales et in
117 nations, nous voici contraints brutalement à des sacrifices mille fois pires, inévitables et stériles. Le plus étrange est que ce
118 vitables et stériles. Le plus étrange est que ces sacrifices se révèlent parfaitement « possibles ». Dès qu’il s’agit de sauver no
84 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
119 liberté menacée, conquise au prix des plus grands sacrifices , toujours sauvée, envers et contre tout, grâce à un sens communautair
120 cavaliers réputés invincibles. C’est l’esprit de sacrifice de quelques-uns pour tous qui a sauvé la Suisse à Saint-Jacques sur l
121 as sans l’autre, l’une rend l’autre possible. Les sacrifices , nous devons commencer par les faire chacun pour notre compte, c’est-
122 idarité pratique : voilà notre meilleure défense. Sacrifices matériels tout d’abord : nous avons consenti déjà, pour notre défense
123 a de la liberté future des travailleurs. Mais les sacrifices matériels ne suffisent pas. Comprenons qu’il est des sacrifices intel
124 ériels ne suffisent pas. Comprenons qu’il est des sacrifices intellectuels non moins indispensables. Quand il y va de tout, oublio
125 ui nous sommes de Suisse, l’un comme l’autre. Les sacrifices de cette nature sont peut-être plus durs, pour beaucoup, que les rest
85 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
126 its et les cœurs avec une telle puissance que les sacrifices matériels devenaient simplement des services d’amitié, de ces service
86 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
127 èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
87 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
128 èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
88 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
129 aisonnable. À ceux qui demandent : « Pourquoi ces sacrifices  ? », il répond : « Ni la famine, ni la guerre, ni l’exil ne pourront
89 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
130 èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
90 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
131 e fut la mort ignominieuse du Christ en croix. Ce sacrifice a rompu le Pacte entre le diable et notre humanité. Et ce sang a rach
132 oque le sens et le respect de la tenue morale, du sacrifice au bien commun, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel es
133 ne revêtent avec plus de succès les apparences du sacrifice . D’ailleurs, l’un des premiers effets de la passion est de nous empêc
134 n clin d’œil : activité puissante et prostration, sacrifice et impérialisme, haine et tendresse, joie et douleur, sagesse et foli
91 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
135 èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
136 les coutumes religieuses quelles qu’elles soient, sacrifices , fêtes, orgies ou jeûnes, disciplines morales ou mystiques, prières o
137 s, qui fera des héros ? Qui réveillera le sens du sacrifice  ? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais l’humanité ne fut moins préparée pour
138 ) ; suspension du droit ; dépenses sans limites ; sacrifices humains ; déguisements ; cortèges ; déchaînement de passions collecti
92 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
139 ne politique, malgré tant d’éloquence et de vrais sacrifices . Cette liberté non qualifiée ne saurait proprement désigner l’objet d
93 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
140 le prudence ecclésiastique. L’ordre et non pas le sacrifice , c’est ce qu’il juge bon. (Et après tout, c’est lui qui porte désorma
141 dans le monde, mais le mystère et la pratique du sacrifice , le sens du risque spirituel et de la catastrophe salutaire. Si Jésus
142 e fut la mort ignominieuse du Christ en croix. Ce sacrifice a rompu le Pacte entre le diable et notre humanité. Et ce sang a rach
143 oque le sens et le respect de la tenue morale, du sacrifice au bien commun, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel es
144 ne revêtent avec plus de succès les apparences du sacrifice . D’ailleurs, l’un des premiers effets de la passion est de nous empêc
145 n clin d’œil : activité puissante et prostration, sacrifice et impérialisme, haine et tendresse, joie et douleur, sagesse et foli
94 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
146 èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des sacrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
147 les coutumes religieuses quelles qu’elles soient, sacrifices , fêtes, orgies ou jeûnes, disciplines morales ou mystiques, prières o
148 s, qui fera des héros ? Qui réveillera le sens du sacrifice  ? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais l’humanité ne fut moins préparée pour
149 ) ; suspension du droit ; dépenses sans limites ; sacrifices humains ; déguisements ; cortèges ; déchaînement de passions collecti
95 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
150 ne politique, malgré tant d’éloquence et de vrais sacrifices . Cette liberté non qualifiée ne saurait proprement désigner l’objet d
96 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
151 le prudence ecclésiastique. L’ordre et non pas le sacrifice , c’est ce qu’il juge bon. (Et après tout, c’est lui qui porte désorma
152 dans le monde, mais le mystère et la pratique du sacrifice , le sens du risque spirituel et de la catastrophe salutaire. Si Jésus
153 e fut la mort ignominieuse du Christ en croix. Ce sacrifice a rompu le Pacte entre le diable et notre humanité. Et ce sang a rach
154 oque le sens et le respect de la tenue morale, du sacrifice au bien commun, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel es
155 ne revêtent avec plus de succès les apparences du sacrifice . D’ailleurs, l’un des premiers effets de la passion est de nous empêc
156 n clin d’œil : activité puissante et prostration, sacrifice et impérialisme, haine et tendresse, joie et douleur, sagesse et foli
97 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
157 ectives déchaînées, le déguisement de rigueur, le sacrifice humain légal, et les valeurs morales changent de signe : tu tueras, t
158 s, qui fera les héros ? Qui réveillera le sens du sacrifice  ? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais l’humanité ne fut moins préparée pour
159 les coutumes religieuses quelles qu’elles soient, sacrifices , fêtes, orgies ou jeûnes, disciplines morales ou mystiques, prières o
98 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
160 a volonté de puissance, la passion du malheur, le sacrifice à une divinité abstraite, autant de principes de grandeur et de réduc
161 est pas de hiérarchie possible en ces parages, le sacrifice y tient lieu de mesure, parce qu’il est un acte incontestable. Telle
99 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
162 u choix le plus classique : concision, raccourci, sacrifice de l’incident à l’essentiel et du foisonnement spontané à la ligne pu
100 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
163 les ont seulement repoussé une menace, au prix de sacrifices presque aussi grands que ceux qu’elles eussent été contraintes de sub