1
in-pied, en même temps que dans la guerre. Que de
sacrifices
ne lui devra-t-il pas offrir ainsi les romans « intéressants » ou « c
2
de ce paganisme exalté, tout ivre de la fumée des
sacrifices
sanglants. Pour ma part, je le trouve assez peu humain et comme obséd
3
notre vertu suprême, aussi, est douloureuse : le
sacrifice
. Sans doute, cette « absurdité essentielle » que le Chinois distingue
4
la vanité de nos buts, « capables d’agir jusqu’au
sacrifice
, mais pleins de dégoût devant la volonté d’action qui tord aujourd’hu
5
jour où les soins qu’elle exige me coûteront des
sacrifices
plus grands que les bienfaits que j’en escompte, il sera temps de son
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a technique même la plus perfectionnée mérite les
sacrifices
qu’elle exige de l’homme moderne. Paradoxes plus ou moins intéressés,
7
ne de ce qu’ils furent… Cela demanderait certains
sacrifices
, certains mépris qui passent tellement la « mesure » parisienne — phy
8
este s’appelle coquetterie ; en grand et gratuit,
sacrifice
.) … feuilletons un peu ma Hongrie. 7. Les magnats en taxis La p
9
le sel de la vie. L’organisme social demande des
sacrifices
pour l’amour des vivants. » Le conflit intérieur s’intensifie bientô
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vivante, celui-là ne fait qu’usurper la forme du
sacrifice
; et c’est en vain qu’il tenterait d’y loger autre chose que son égoï
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ontraste autre chose que la vieille opposition du
sacrifice
cornélien et de la passion racinienne, — opposition qui se prolonge e
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t. Et pour nous, cela signifie : le renouveau, le
sacrifice
salutaire et l’unique justification de la pensée. Une telle évolution
13
de M. Nizan est dans l’insolence plus que dans le
sacrifice
à une cause. Je n’insisterais pas, si ces traits ne me paraissaient c
14
éclament des dividendes ; ils réclament aussi des
sacrifices
humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de mor
15
hommes n’entendront de nous que notre volonté de
sacrifice
, de pauvreté. C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité
16
geste s’appelle coquetterie ; en grand et gratuit
sacrifice
.) … feuilletons un peu ma Hongrie. vii Les magnats en taxis La
17
rits au siècle dernier. Qui dit style d’abord dit
sacrifice
à une vue de l’esprit. Qui dit confort d’abord dit refus de tout styl
18
nt pas demain leur commandement dans cet Ordre du
Sacrifice
auquel rêve l’Europe, qu’elle redoute encore, mais qui forge sa loi a
19
rits au siècle dernier. Qui dit style d’abord dit
sacrifice
à une vue de l’esprit. Qui dit confort d’abord dit refus de tout styl
20
nt pas demain leur commandement dans cet Ordre du
Sacrifice
auquel rêve l’Europe, qu’elle redoute encore, mais qui forge sa loi a
21
l est le fondement de l’attitude de service et de
sacrifice
qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutionnaire, l’homme
22
ble qu’on peut le croire : elle comporte moins de
sacrifices
que de prix littéraires et de coups de pied au derrière. Cette jeunes
23
, l’ardeur qui anime la jeunesse russe malgré les
sacrifices
qu’on lui demande — ou à cause d’eux — ne sauraient être mises en dou
24
t leurs exigences, qui sont la foi aveugle et les
sacrifices
humains. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entend
25
ais il faut prendre garde d’abord de confondre le
sacrifice
et le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dan
26
à le disqualifier. Ils ont assimilé l’héroïsme au
sacrifice
de toute vocation personnelle, à l’anéantissement de l’homme dans le
27
ant plus « idéal » qu’il exige de nous un moindre
sacrifice
. (On éloigne l’amour : ainsi l’amour de la patrie passe avant celui d
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pauvreté volontaire, c’est-à-dire de la notion de
sacrifice
, et, par ailleurs, qualité pratique (et non pas vertu) recommandée au
29
t désormais une vertu sans lien avec la notion de
sacrifice
ou avec l’idéal évangélique et, pour comble, vertu de riche, mais qui
30
lle que l’Ordre nouveau propose à notre besoin de
sacrifice
, c’est la qualité d’homme par excellence, la qualité créatrice de la
31
est pas de hiérarchie possible en ces parages, le
sacrifice
y tient lieu de mesure, parce qu’il est un acte, incontestable. Telle
32
es, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le
sacrifice
… Il ne s’agit pas de ces sacrifices dont on s’acquitte avec son argen
33
mer que par le sacrifice… Il ne s’agit pas de ces
sacrifices
dont on s’acquitte avec son argent ou avec son travail, mais de sacri
34
itte avec son argent ou avec son travail, mais de
sacrifices
pour lesquels on joue sa propre existence intérieure. » Le destin de
35
t de son calvaire, purifiée et galvanisée par ses
sacrifices
. La haute stature de Pillau se dresse devant lui. Une fois encore, Pi
36
ui. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du
sacrifice
de « ces jeunes gens qui sont entrés dans le malheur la tête haute ».
37
t leurs exigences, qui sont la foi aveugle et les
sacrifices
humains. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entend
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ais il faut prendre garde d’abord de confondre le
sacrifice
et le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dan
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éclament des dividendes ; ils réclament aussi des
sacrifices
humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de mor
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l est le fondement de l’attitude de service et de
sacrifice
qui, dans tous les domaines, fait de lui un révolutionnaire, l’homme
41
contraire du service chrétien, lequel est d’abord
sacrifice
au bien de l’autre en tant qu’autre, sacrifice qui ne peut avoir aucu
42
rd sacrifice au bien de l’autre en tant qu’autre,
sacrifice
qui ne peut avoir aucune raison humaine, qui ne peut être qu’obéissan
43
le commandement du Christ est un commandement de
sacrifice
total, et de mort au monde. Maintenant, les jeux sont faits. L’abîme
44
emandent de la discipline. La discipline exige le
sacrifice
des libertés personnelles au bien collectif. Le bien collectif, c’est
45
nsateur de tous les biens, méritant donc tous les
sacrifices
. Si l’on admet cette primauté de l’État, les violences nécessaires à
46
hommes n’entendront de nous que notre volonté de
sacrifice
, de pauvreté. C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité
47
à le disqualifier. Ils ont assimilé l’héroïsme au
sacrifice
de toute vocation personnelle, à l’anéantissement de l’homme dans le
48
régime idéal demandera des siècles de travail, de
sacrifices
et de police. Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas atte
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t leurs exigences, qui sont la foi aveugle et les
sacrifices
humains. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entend
50
ais il faut prendre garde d’abord de confondre le
sacrifice
et le suicide. L’élan qui jette des millions de nos contemporains dan
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éclament des dividendes ; ils réclament aussi des
sacrifices
humains. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de mor
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l est le fondement de l’attitude de service et de
sacrifice
qui, dans tous les domaines, doit faire de lui un révolutionnaire, un
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contraire du service chrétien, lequel est d’abord
sacrifice
au bien de l’autre en tant qu’autre, sacrifice qui ne peut avoir aucu
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rd sacrifice au bien de l’autre en tant qu’autre,
sacrifice
qui ne peut avoir aucune raison humaine, qui ne peut être qu’obéissan
55
le commandement du Christ est un commandement de
sacrifice
total, et de mort au monde. Maintenant, les jeux sont faits. L’abîme
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emandent de la discipline. La discipline exige le
sacrifice
des libertés personnelles au bien collectif. Le bien collectif, c’est
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nsateur de tous les biens, méritant donc tous les
sacrifices
. Si l’on admet cette primauté de l’État, les violences nécessaires à
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hommes n’entendront de nous que notre volonté de
sacrifice
, de pauvreté. C’est dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité
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à le disqualifier. Ils ont assimilé l’héroïsme au
sacrifice
de toute vocation personnelle, à l’anéantissement de l’homme dans le
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régime idéal demandera des siècles de travail, de
sacrifices
et de police. Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas atte
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Et maintenant Dieu lui commande d’offrir Isaac en
sacrifice
! Abraham ne se révolte pas. Il croit en Dieu, non point en sa raison
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rnier moment et lui montre un bélier prêt pour le
sacrifice
… On célèbre la grâce de Dieu qui a donné Isaac pour la seconde fois
63
i dans sa réalité, puis offerte telle quelle « en
sacrifice
saint et agréable » à Dieu. Point n’est nécessaire qu’il vous pousse
64
son principe effectivement puissant, et honoré de
sacrifices
quotidiens. C’est ainsi que la mesure des civilisations antiques étai
65
es, nous ne pouvons plus nous affirmer que par le
sacrifice
. » Sacrifice et fidélité, voilà ce qui définit leur dernière dignité
66
ouvons plus nous affirmer que par le sacrifice. »
Sacrifice
et fidélité, voilà ce qui définit leur dernière dignité d’Allemands d
67
re. Une fois encore, Pillau lui montre le sens du
sacrifice
de « ces jeunes gens qui sont entrés dans le malheur la tête haute ».
68
c.), où l’homme avoue ses dernières ressources de
sacrifice
. Mais il faut se représenter un Malraux qui aurait les nerfs solides
69
nt hétérogènes. Si l’on croit sérieusement que le
sacrifice
du Christ est éternellement suffisant, on ne cherche pas d’autres moy
70
de petits éditeurs qui étaient prêts à faire des
sacrifices
pour publier certains ouvrages de qualité, mais peu vendables. Ils en
71
nheur à venir et d’une grandeur digne de tous les
sacrifices
. Et comment ne croirait-on pas à la grandeur, même ou surtout la plus
72
e que l’espèce humaine » (Renan) ne mérite pas le
sacrifice
de l’esprit pur. Sacrifice inutile au reste : la science ne nous appr
73
enan) ne mérite pas le sacrifice de l’esprit pur.
Sacrifice
inutile au reste : la science ne nous apprend-elle pas que les lois d
74
promet aux masses un avenir si beau que tous les
sacrifices
présents deviennent légers ; c) l’éducation de la jeunesse, qui assur
75
d’un état matériel ou politique acquis au prix du
sacrifice
de la personne : lorsque l’on perd sur la personne, on ne peut pas se
76
nheur à venir et d’une grandeur digne de tous les
sacrifices
. Et comment ne croirait-on pas à la grandeur, même ou surtout la plus
77
e que l’espèce humaine » (Renan) ne mérite pas le
sacrifice
de l’esprit pur. Sacrifice inutile au reste : la science ne nous appr
78
enan) ne mérite pas le sacrifice de l’esprit pur.
Sacrifice
inutile au reste : la science ne nous apprend-elle pas que les lois d
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promet aux masses un avenir si beau que tous les
sacrifices
présents deviennent légers ; c) l’éducation de la jeunesse, qui assur
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d’un état matériel ou politique acquis au prix du
sacrifice
de la personne : lorsque l’on perd sur la personne, on ne peut pas se
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nheur à venir et d’une grandeur digne de tous les
sacrifices
. Et comment ne croirait-on pas à la grandeur, même ou surtout la plus
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mpense, obtenue après bien des années, pour leurs
sacrifices
du début… Cette polémique fait apparaître assez clairement que la sit
83
t qui résume cent années d’efforts, de luttes, de
sacrifices
et d’éloquence, de pensée libre, de raison cartésienne, de soif de Ju
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jugent que l’action personnelle de charité et de
sacrifice
, pour le mieux-être du prochain, suffit à compléter, si je puis dire,
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proprement religieuse. Et j’entends bien que les
sacrifices
qu’ils font ne sont pas seulement « spirituels », entraînent des risq
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t qui résume cent années d’efforts, de luttes, de
sacrifices
et d’éloquence, de pensée libre, de raison cartésienne, de soif de Ju
87
est si belle et si grande qu’elle mérite bien des
sacrifices
… Ainsi parlaient naguère les grands bonzes du capitalisme et de l’ord
88
déployait le quart de l’énergie et de l’esprit de
sacrifice
qu’on met ordinairement dans le métier des armes, il est certain qu’o
89
La religion dont il était le fondateur voulait le
sacrifice
sanglant (ou son symbole), le viol de la victime, la « libération » v
90
ard, après coup, l’homme découvre que la folie du
sacrifice
consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
91
déal qui mérite bien certains efforts et certains
sacrifices
, il me semble. Ne devez-vous pas publier un roman, dont le titre, La
92
tèges funèbres, des cérémonies d’imprécation, des
sacrifices
propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
93
s richesses dont l’ère classique a voulu faire le
sacrifice
. Ce n’est pas rien ! Cela donne à Phèdre un air de luxe fou : pour fo
94
et de la mort des dieux, légendes expliquant les
sacrifices
ou l’origine des tabous, etc.). On l’a remarqué souvent : un mythe n’
95
ul mot… Quelle est la « dame » qui mériterait ce
sacrifice
? Ou ce cri de Guillaume de Poitiers : Par elle seule je serai sauvé
96
a transformation immédiate du désir sensuel en un
sacrifice
de soi-même qui semble faire partie du domaine de l’éthique… L’expres
97
ard, après coup, l’homme découvre que la folie du
sacrifice
consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
98
èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des
sacrifices
propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
99
e à bouche fermée.) Dure est la peine, affreux le
sacrifice
, noire la nuit, et la voie solitaire. Mais Dieu pourvoit au soin de c
100
et qui dévaste les foyers. Par toi, par ton seul
sacrifice
, mille et mille garderont ce bonheur que Dieu t’arrache ! Voici, tu c
101
dans ta maison le droit ? Qui portera le poids du
sacrifice
? Père, père, où sont tes fils ? Solitaire, où vont tes pas ? Nicolas
102
mes.) Ô peuple des bergers, entonne la louange du
sacrifice
amer qui sauvera ta paix ! Sur ta patrie veille à présent le solitair
103
re ! Que chacun des partis déclare maintenant les
sacrifices
qu’il pourra consentir pour le salut de la patrie commune ! La parole
104
descendu ! Nicolas. — Ô dure nuit du dernier
sacrifice
! Haimo ! Haimo ! Haimo. — Qu’a dit la voix ? Nicolas. — Dieu
105
et de la mort des dieux, légendes expliquant les
sacrifices
ou l’origine des tabous, etc.). On l’a remarqué souvent : un mythe n’
106
ul mot… Quelle est la « dame » qui mériterait ce
sacrifice
? Ou ce cri de Guillaume de Poitiers : Par elle seule je serai sauvé
107
a transformation immédiate du désir sensuel en un
sacrifice
de soi-même qui semble faire partie du domaine de l’éthique… L’expres
108
ard, après coup, l’homme découvre que la folie du
sacrifice
consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
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et de la mort des dieux, légendes expliquant les
sacrifices
ou l’origine des tabous, etc.) On l’a remarqué souvent : un mythe n’a
110
ul mot… Quelle est la « dame » qui mériterait ce
sacrifice
? Ou ce cri de Guillaume de Poitiers : Par elle seule je serai sauvé
111
a transformation immédiate du désir sensuel en un
sacrifice
de soi-même qui semble faire partie du domaine de l’éthique… L’expres
112
ard, après coup, l’homme découvre que la folie du
sacrifice
consenti était la plus grande sagesse ; et que le bonheur qu’il a ren
113
es de la défense nationale. Pour avoir refusé les
sacrifices
qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations sociales et in
114
nations, nous voici contraints brutalement à des
sacrifices
mille fois pires, inévitables et stériles. Le plus étrange est que ce
115
vitables et stériles. Le plus étrange est que ces
sacrifices
se révèlent parfaitement « possibles ». Dès qu’il s’agit de sauver no
116
es de la défense nationale. Pour avoir refusé les
sacrifices
qu’eût entraînés un règlement plus juste des relations sociales et in
117
nations, nous voici contraints brutalement à des
sacrifices
mille fois pires, inévitables et stériles. Le plus étrange est que ce
118
vitables et stériles. Le plus étrange est que ces
sacrifices
se révèlent parfaitement « possibles ». Dès qu’il s’agit de sauver no
119
liberté menacée, conquise au prix des plus grands
sacrifices
, toujours sauvée, envers et contre tout, grâce à un sens communautair
120
cavaliers réputés invincibles. C’est l’esprit de
sacrifice
de quelques-uns pour tous qui a sauvé la Suisse à Saint-Jacques sur l
121
as sans l’autre, l’une rend l’autre possible. Les
sacrifices
, nous devons commencer par les faire chacun pour notre compte, c’est-
122
idarité pratique : voilà notre meilleure défense.
Sacrifices
matériels tout d’abord : nous avons consenti déjà, pour notre défense
123
a de la liberté future des travailleurs. Mais les
sacrifices
matériels ne suffisent pas. Comprenons qu’il est des sacrifices intel
124
ériels ne suffisent pas. Comprenons qu’il est des
sacrifices
intellectuels non moins indispensables. Quand il y va de tout, oublio
125
ui nous sommes de Suisse, l’un comme l’autre. Les
sacrifices
de cette nature sont peut-être plus durs, pour beaucoup, que les rest
126
its et les cœurs avec une telle puissance que les
sacrifices
matériels devenaient simplement des services d’amitié, de ces service
127
èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des
sacrifices
propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
128
èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des
sacrifices
propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
129
aisonnable. À ceux qui demandent : « Pourquoi ces
sacrifices
? », il répond : « Ni la famine, ni la guerre, ni l’exil ne pourront
130
èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des
sacrifices
propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
131
e fut la mort ignominieuse du Christ en croix. Ce
sacrifice
a rompu le Pacte entre le diable et notre humanité. Et ce sang a rach
132
oque le sens et le respect de la tenue morale, du
sacrifice
au bien commun, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel es
133
ne revêtent avec plus de succès les apparences du
sacrifice
. D’ailleurs, l’un des premiers effets de la passion est de nous empêc
134
n clin d’œil : activité puissante et prostration,
sacrifice
et impérialisme, haine et tendresse, joie et douleur, sagesse et foli
135
èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des
sacrifices
propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
136
les coutumes religieuses quelles qu’elles soient,
sacrifices
, fêtes, orgies ou jeûnes, disciplines morales ou mystiques, prières o
137
s, qui fera des héros ? Qui réveillera le sens du
sacrifice
? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais l’humanité ne fut moins préparée pour
138
) ; suspension du droit ; dépenses sans limites ;
sacrifices
humains ; déguisements ; cortèges ; déchaînement de passions collecti
139
ne politique, malgré tant d’éloquence et de vrais
sacrifices
. Cette liberté non qualifiée ne saurait proprement désigner l’objet d
140
le prudence ecclésiastique. L’ordre et non pas le
sacrifice
, c’est ce qu’il juge bon. (Et après tout, c’est lui qui porte désorma
141
dans le monde, mais le mystère et la pratique du
sacrifice
, le sens du risque spirituel et de la catastrophe salutaire. Si Jésus
142
e fut la mort ignominieuse du Christ en croix. Ce
sacrifice
a rompu le Pacte entre le diable et notre humanité. Et ce sang a rach
143
oque le sens et le respect de la tenue morale, du
sacrifice
au bien commun, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel es
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ne revêtent avec plus de succès les apparences du
sacrifice
. D’ailleurs, l’un des premiers effets de la passion est de nous empêc
145
n clin d’œil : activité puissante et prostration,
sacrifice
et impérialisme, haine et tendresse, joie et douleur, sagesse et foli
146
èges funèbres, des cérémonies d’imprécations, des
sacrifices
propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres, d’hallucinants sabb
147
les coutumes religieuses quelles qu’elles soient,
sacrifices
, fêtes, orgies ou jeûnes, disciplines morales ou mystiques, prières o
148
s, qui fera des héros ? Qui réveillera le sens du
sacrifice
? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais l’humanité ne fut moins préparée pour
149
) ; suspension du droit ; dépenses sans limites ;
sacrifices
humains ; déguisements ; cortèges ; déchaînement de passions collecti
150
ne politique, malgré tant d’éloquence et de vrais
sacrifices
. Cette liberté non qualifiée ne saurait proprement désigner l’objet d
151
le prudence ecclésiastique. L’ordre et non pas le
sacrifice
, c’est ce qu’il juge bon. (Et après tout, c’est lui qui porte désorma
152
dans le monde, mais le mystère et la pratique du
sacrifice
, le sens du risque spirituel et de la catastrophe salutaire. Si Jésus
153
e fut la mort ignominieuse du Christ en croix. Ce
sacrifice
a rompu le Pacte entre le diable et notre humanité. Et ce sang a rach
154
oque le sens et le respect de la tenue morale, du
sacrifice
au bien commun, des vertus viriles et dures. Le bonheur individuel es
155
ne revêtent avec plus de succès les apparences du
sacrifice
. D’ailleurs, l’un des premiers effets de la passion est de nous empêc
156
n clin d’œil : activité puissante et prostration,
sacrifice
et impérialisme, haine et tendresse, joie et douleur, sagesse et foli
157
ectives déchaînées, le déguisement de rigueur, le
sacrifice
humain légal, et les valeurs morales changent de signe : tu tueras, t
158
s, qui fera les héros ? Qui réveillera le sens du
sacrifice
? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais l’humanité ne fut moins préparée pour
159
les coutumes religieuses quelles qu’elles soient,
sacrifices
, fêtes, orgies ou jeûnes, disciplines morales ou mystiques, prières o
160
a volonté de puissance, la passion du malheur, le
sacrifice
à une divinité abstraite, autant de principes de grandeur et de réduc
161
est pas de hiérarchie possible en ces parages, le
sacrifice
y tient lieu de mesure, parce qu’il est un acte incontestable. Telle
162
u choix le plus classique : concision, raccourci,
sacrifice
de l’incident à l’essentiel et du foisonnement spontané à la ligne pu
163
les ont seulement repoussé une menace, au prix de
sacrifices
presque aussi grands que ceux qu’elles eussent été contraintes de sub