1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 de M. de Voguë sur l’âme slave pour deux ou trois scènes de La Cité secrète. Pour celle-ci par exemple (caché dans un réduit,
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
2 e sur un miroir qui occupe toute la largeur de la scène . Titre : Socrate et Narcisse, un acte à grande figuration. » Enfin l’
3 Grosclaude son fils Lucas Loukitch et une mise en scène fort ingénieuse qui permit à Mossoul de se perdre dans des jupons aut
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 ’acte, c’est la fantaisie recherchée de certaines scènes (l’enterrement). Cela fait bizarre. Or, dans le monde où le cinéma do
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
5 leurs… Qu’il sorte enfin et se mette à graver les scènes qu’il voit dans la petite cité ouvrière, et c’est merveille de consta
6 ’étaient, à faire froid dans le dos ; ou bien des scènes d’une bizarre fantaisie, un mélange de Rops et d’Ensor ; pensait-on…
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
7 pour comprendre. Le faisceau de lumière quitta la scène , un reflet balaya le parterre, le visage de mon voisin m’apparut, pâl
8 orangée. Gérard semblait habitué à ces sortes de scènes . On reparla de l’inconstance viennoise. Gérard l’attribuait à une cer
6 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
9 d mystère. Cependant il aime à raconter certaines scènes terrifiantes de la révolution : il a été condamné à mort, il s’est év
7 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
10 ct dans ces deux premiers tomes, où il décrit des scènes de son enfance et de sa jeunesse comme ouvrier. L’art d’Anderson est
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
11 voir.) Je vais cependant dire quelque chose d’une scène pittoresque. Mais c’est une autre fois que je l’ai vue, à Pest, lors
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
12 ’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène , qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, on la laisse traîner dans la
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
13 nce profonde, longtemps contenue. L’intensité des scènes gagne à cette retenue mondaine ce que perd le pittoresque de l’action
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
14 es livres. Mais son retour au foyer provoque des scènes terribles avec son père, riche commerçant que l’on accuse de malhonnê
15 tuées qu’il soigne, des ivrognes qui lui font des scènes effroyables, et vont jusqu’à lui tirer dessus, — ce qui ne l’empêche
16 appui à une grève, et le récit se termine par une scène entre le procureur et le prévenu, qui vaut d’être citée : — Pourquoi
12 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
17 pour comprendre. Le faisceau de lumière quitta la scène , un reflet balaya le parterre, le visage de mon voisin m’apparut, pâl
18 orangée. Gérard semblait habitué à ces sortes de scènes . On reparla de l’inconstance viennoise. Gérard l’attribuait à une cer
13 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
19 voir.) Je vais cependant dire quelque chose d’une scène pittoresque. Mais c’est une autre fois que je l’ai vue, à Pest, lors
20 ’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène , qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, chez nous, on la laisse traîn
14 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
21 cinéma. Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malenten
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
22 voir.) Je vais cependant dire quelque chose d’une scène pittoresque. Mais c’est une autre fois que je l’ai vue, à Pest, lors
23 ’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène , qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, chez nous, on la laisse traîn
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
24 cinéma. Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malenten
17 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
25 y a plus. L’histoire biblique, loin de mettre en scène le développement d’une « tradition » spirituelle, figure la négation
18 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
26 où son vieux père se saoule et sacre, dix autres scènes enfantines : c’est Andersen, en plus grave. À chacun sa réalité : ell
19 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
27 ’homme, et nous sculpte un visage lisible. Sur la scène du monde, où nous avons été placés, dans ce drame qu’il nous faut jou
28 nne est une vocation Qu’on n’oublie pas que la scène du drame, tout bien compté, est aussi vaste que le monde, et qu’il n’
20 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
29 , cachant sa figure vénérable, il sortit. ⁂ Cette scène , si imprévue pour la plupart des hôtes de ce soir-là, ne laissa pas d
21 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
30 nt la photo constitue l’un des effets. Quant à la scène représentée par la photo, elle n’est plus qu’un objectif, inactuel en
22 1937, Esprit, articles (1932–1962). Vassily Photiadès, Marylène ou à qui le dire ? (février 1937)
31 r endroits. On croit assister du jardin à quelque scène intime, entrevue dans une chambre, à travers un rideau de pluie. ag
23 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
32 urs. » Deuxième figure. — L’ironie du metteur en scène s’exerce aux dépens des uns et des autres : Franco est arrêté devant
24 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
33 me sans ombre. Je voyais une actrice parcourir la scène en hurlant : elle tirait après soi un grand morceau d’étoffe qui figu
25 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
34 sins pour taper à la paroi ou pour nous faire des scènes , conventionnelles mais épuisantes, sur le palier. Nous n’avons qu’une
35 en bleu clair. Une table et trois chaises sur la scène surélevée. Environ une centaine d’auditeurs : paysans et pêcheurs, ce
36 mes. Mauvais éclairage. L’orateur se hisse sur la scène  : c’est un homme jeune encore, un peu lent d’allure, à la physionomie
37 ’excuser de se mettre en avant. Ils gravissent la scène , enlèvent leur casquette à visière cirée, et s’installent sur les tro
26 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
38 ues féminines raffinées, quelques éclairs sur des scènes criminelles, des abîmes verdâtres… Un métro qui serait simplement le
27 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
39 en bleu clair. Une table et trois chaises sur la scène surélevée. Environ une centaine d’auditeurs : paysans et pêcheurs, ce
40 mes. Mauvais éclairage. L’orateur se hisse sur la scène  : un homme jeune encore, un peu gros et lent d’allure, physionomie ou
41 ’excuser de se mettre en avant. Ils gravissent la scène , enlèvent leur casquette à visière cirée, et s’installent sur les tro
28 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
42 ni lire ni écrire. On peut surprendre, dans cette scène étonnante, l’un des secrets de l’art de Selma Lagerlöf. L’invention r
43 ventions. Morbacka, c’est comme une anthologie de scènes mineures des grands romans de Lagerlöf. On y admire, appliquées au ré
29 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
44 Avec le xixe , la Suisse réapparaît sur la grande scène de l’Europe. De Genève, c’est une autre « école suisse » qui domine l
30 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
45 dit, pondues) par la vieille poule noire mise en scène p. 92 de son livre. Nos lecteurs jugeront eux-mêmes s’il faut voir là
46 mis en ligne, c’est en pages 98-99 qu’est mise en scène la poule noire.
31 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
47 de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible — c’est à peine si je trouve une place assise. Je note la
48 sauvé, les Russes proprement massacrés. Dans une scène pathétique avec le vieux pasteur, ce champion des vertus germaniques
32 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
49 uit, nous avions l’impression de circuler sur une scène perpétuelle. Les bons bourgeois n’étaient plus, à nos yeux, que des s
33 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
50 éralement ignoré : les premiers drames mettant en scène Nicolas ont été bel et bien des drames protestants, composés par des
34 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
51 te et provoque une réaction qui trouverait sur la scène son lieu privilégié ? Serait-ce enfin dans le fédéralisme qu’il faudr
52 ique. Les seuls protagonistes visibles, sur cette scène , seront les masses et leurs insignes. Le théâtre individualiste analy
53 tion nationale de 1939 — par les dimensions de la scène prévue, et les ressources disponibles dans le canton qui devait prend
54 ée propose un nouveau paradoxe : je dispose d’une scène de 30 mètres de largeur, qui ne peut être occupée que par une foule,
55 Monde, et qui agira sur le degré inférieur de la scène à trois plans dont j’ai vu le projet. Une masse plus réduite agira su
56 colas et le réconfortant. La structure même de la scène commandera le mouvement général du drame : au premier acte, Nicolas q
57 adé que sa formule est celle de l’avenir de notre scène . y. Rougemont Denis de, « Le théâtre communautaire en Suisse », La
35 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
58 is pour l’Exposition de Zurich. Je veux mettre en scène un héros suisse, le bienheureux Nicolas de Flue, qui eut une vie extr
59 ein air, devant cinq ou six-mille spectateurs. La scène aura trente mètres de large, et trois étages, qu’il faut ne jamais la
36 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
60 eut comme une affection spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plupart des autres accordent au con
61 est banni. Mais à la faveur d’une nouvelle ruse ( scène du verger), il convainc Marc de son innocence et revient à la cour. L
62 e lépreux et Tristan condamné à mort. Il s’évade ( scène de la chapelle). Il délivre Iseut, et avec elle s’enfonce dans la for
63 t, le récit des trois ans dans la forêt. Ses deux scènes les plus belles, qui sont peut-être aussi les plus profondes de la lé
64 geste spontané. Et c’est pourquoi les plus belles scènes du Roman sont celles que les auteurs n’ont pas su commenter, et qu’il
37 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
65 spendre sa course. Au contraire, Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet
66 s douloureuse blessure. Et Don Juan bondit sur la scène  : de Molière à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à parti
67 tan, l’élément plastique inhérent à toute mise en scène théâtrale se trouve recréer un obstacle à la compréhension directe du
68 e sens profond de l’action. Tant qu’on regarde la scène , on est victime de l’illusion des formes — et des plus ridicules. Il
69 ice.) 137. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène Ire : « Dois-je épouser ses droits contre un père irrité ? » 138. La
70 Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décoration de la tente au premier acte, l
71 » des conjoints, relations d’affaires, etc. 161. Scène d’un roman de Caldwell intitulé La Route au tabac. 162. On connaît l
38 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
72 oyen Âge, avec ses riches ornements et sa mise en scène , pouvait remplir les fonctions du drame lui-même. »168 Rien ne me pa
73 e est donc de toute manière assurée. » La mise en scène des tournois emprunte ses idées aux romans de la Table ronde. Ainsi,
39 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
74 Il a fallu se plier aux conditions données par la scène , ce qui restreint sensiblement la liberté d’un auteur. Mais par contr
75 ver un texte si besoin est… Et pourquoi donc ? La scène de Zurich est immense et se trouve dans une salle ouverte. En outre,
76 et se trouve dans une salle ouverte. En outre, la scène comprend trois étages ou, si vous préférez, trois plans superposés. D
77 avons appelé « ciel » la partie supérieure de la scène , là où se trouve le chœur céleste. En outre, souvent les chœurs s’exp
78 ment sur les thèmes toujours riches de la mise en scène , du jeu d’acteurs, des réactions de la foule. Ce que Denis de Rougemo
40 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
79 ACTE PREMIER. Scène i. (Nicolas seul devant sa ferme, au plan 2.)2 Chœur des enfant
80 ont pris le bébé et rentrent dans la maison.) Scène ii. Dorothée. —  Pour la première fois, Nicolas, tu restes à la
81 egarde ! Est-ce que tu vois là-bas !… (Une petite scène latérale, à gauche du plan 2, s’éclaire comme une apparition. Feu de
82 pression d’un rêve.) …Regarde comme j’étais ! Scène iii. (Scène latérale de gauche.) (La fanfare est devenue plus fort
83 êve.) …Regarde comme j’étais ! Scène iii. ( Scène latérale de gauche.) (La fanfare est devenue plus forte, puis s’arrêt
84 s ! C’est le meilleur qui s’en va ! (Nuit sur la scène de gauche.) Choral i. Il s’en va, hélas, il s’en va, Le meilleur
85 rdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute ! Scène iv. (La scène latérale de droite s’éclaire. On voit cinq juges ass
86 ens-toi ! Regarde ! Écoute ! Scène iv. (La scène latérale de droite s’éclaire. On voit cinq juges assis. Nicolas, qui
87 e sa robe et s’en va par la droite.) (Nuit sur la scène de droite.) Choral i. Il s’en va, hélas, il s’en va, Le meilleur
88 rdement.) Souviens-toi ! Regarde ! Écoute ! Scène v. (Plan 2.) Dorothée. —  Et maintenant, te voici dans la paix,
89 bandonne pas ! (Elle se jette dans ses bras.) Scène vi. (On entend dans la coulisse le chant des enfants qui s’approch
90 on. Dorothée les suit. On les entend chanter.) Scène vii. (La nuit vient. Nicolas est resté seul un instant devant la m
91 hée s’est furtivement retirée vers la maison.) Scène viii. (Nicolas se relève, fait quelques pas vers la maison.) Nic
92 la grâce sévère. Alleluia ! Dieu pourvoira ! Scène ix. (Nicolas et Dorothée reparaissent. Nicolas a revêtu la robe gr
93 s dans ton exil Souviens-toi de nos périls ! Scène x. (La montée au Ranft.) (Batterie et quelques instruments en sour
94 quelques instruments en sourdine durant toute ta scène .) (Première station. Au bas de la rampe qui va du plan 2 vers le plan
95  i. Silence.) 2. Ce drame a été écrit pour une scène sans décors ni rideau, comportant trois degrés ou plans réunis par de
96 s réunis par de larges escaliers, et deux petites scènes latérales à la hauteur du plan 2. 3. C’est un autre acteur qui tient
41 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
97 eux heures pour dormir. Bonsoir la compagnie. Scène i. (Plan 3.) (Aube derrière le plan 3. On aperçoit en silhouette N
98 , agenouillés, la face tournée vers le fond de la scène .) Chœur céleste4. Étoile du matin, promesse du vrai jour, En ta c
99 (Pendant le chant, le vieillard a disparu.) Scène ii. Ulrich. —  Ô frère Claus, quel signe heureux sur la journée
100 Et voici que le monde à présent vient à lui ! Scène iii. Un héraut (précédant le cortège). —  Monseigneur l’abbé d’E
101 s monte par la gauche en chantant sa mélopée.) Scène iv. Nicolas (aux pèlerins). —  Bénis soyez-vous de Dieu, chers f
102 tant, puis le chant se perd, à bouche fermée.) Scène v. (Nicolas est allé s’agenouiller devant son abri. Paraissent sur
103 entre les pèlerins et la suite d’Einsiedeln.) Scène vi. Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) (Tutti.) Tout un peupl
104 où courons-nous ? (Pendant ce récitatif, jeu de scène indiquant que les Suisses écoutent de tous côtés, dans l’inquiétude.)
105 i que je crie ! Seigneur, aie pitié de nous ! Scène vii. (Le groupe des Suisses se divise brusquement en deux : à gauc
106 Chœur des puissances. Qui tranchera ? Scène viii. (Entre les deux groupes du plan 2 paraît brusquement l’Astro
107 (Le jour baisse. Trompette dans le lointain.) Scène ix. (Hornek et Diesbach se sont concertés, tous deux passés à droi
108 e notre puissance ! (Des feux rouges balayent la scène .) Une autre voix. —  Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinelle
42 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
109 ACTE III. Scène i. (Le chœur s’est massé à gauche et à droite du plan 1. Au centre
110 levés. Fanfare dans la coulisse.) Les voici ! Scène ii. (Musique de cortège. Vivats de la foule — le chœur. Par la gau
111 éance solennelle. (Il sort avec les Suisses.) Scène iii. L’ambassadeur de Venise. —  L’accueil est simple et fruste,
112 gibier pour messieurs nos agents recruteurs ! Scène iv. Voix dans le chœur. —  Les voilà ! Les voilà ! Retirez-vous 
113 les compagnons boivent et chantent ensemble.) Scène v. (Fanfare. Des soldats entrent par la gauche et chassent les com
114 se prolongent durant les répliques suivantes.) Scène vi. Voix isolées (à droite, à gauche, au centre, au plan 1, au p
115 us ! Ne cesse pas d’implorer Dieu pour nous ! Scène vii. (Haimo atteint le plan 3.) Haimo. —  Frère Claus ! Frère Cl
116 deux, très lentement, se mettent à descendre.) Scène viii. (Pendant la descente vers le plan 2.) Choral i. Il descen
117 eprend en sourdine et se prolonge durant toute la scène .) Nicolas (s’arrêtant). —  Haimo, je ne puis plus marcher ! Mes jam
118 ardes dans la paix. Que ta volonté se fasse ! Scène ix. (Plan 2.) Un député. —  Les chevaux sont-ils sellés ? Des
119 uelques femmes en petits groupes, aux aguets.) Scène x. Récitatif. (Chœur à bouche fermée.) Écoute-moi, mon peuple,
43 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
120 , on voit les évêques et les moines chassés de la scène à coups de fouet par le prophète Elie. Puis les cantons personnifiés
44 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
121 soir-là des résonances monumentales. Cette petite scène de Stans, que nous avions coutume de voir dans le lointain de notre h
122 s de l’émission nationale du 6 novembre, quelques scènes typiques de la pièce seront exécutées à votre intention par les acteu
45 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
123 , en Suisse, qui fût de taille à occuper l’énorme scène dont j’avais vu les plans. On insista, je demandai trois jours « pour
124 l’autre qui vient de la gauche, — il faudrait une scène à étages… C’est justement celle de Zurich ! Nuit blanche. Trois actes
125 clairement apparu : il s’agissait de peupler une scène immense autour d’un seul personnage important. Revenir au théâtre gre
126 les données de fait ont joué dans cette création ( scène de Zurich, chœurs et fanfares disponibles en pays neuchâtelois). On d
46 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
127 eut comme une affection spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plupart des autres accordent au con
128 est banni. Mais à la faveur d’une nouvelle ruse ( scène du verger), il convainc Marc de son innocence et revient à la cour. L
129 e lépreux et Tristan condamné à mort. Il s’évade ( scène de la chapelle). Il délivre Iseut, et avec elle s’enfonce dans la for
130 t, le récit des trois ans dans la forêt. Ses deux scènes les plus belles, qui sont peut-être aussi les plus profondes de la lé
131 geste spontané. Et c’est pourquoi les plus belles scènes du Roman sont celles que les auteurs n’ont pas su commenter, et qu’il
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
132 d ein Isot » et Wagner, II, 2, toute la fin de la scène  : « nicht mehr Tristan !… nicht mehr Isolde ! »
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
133 serait grotesque que parce qu’il veut imiter une scène à laquelle il n’est pas initié, et suivre une voie que le malheur des
134 spendre sa course. Au contraire, Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet
135 s douloureuse blessure. Et Don Juan bondit sur la scène  : de Molière à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à parti
136 tan, l’élément plastique inhérent à toute mise en scène théâtrale se trouve recréer un obstacle à la compréhension directe du
137 e sens profond de l’action. Tant qu’on regarde la scène , on est victime de l’illusion des formes — et des plus ridicules. Il
138 ice.) 155. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène 1re : « Dois-je épouser ses droits contre un père irrité ? » 156. La
139 Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décoration de la tente au premier acte, l
140 ntravée par ses voiles… Note de 1954 : la mise en scène nouvelle de Tristan à Bayreuth, œuvre de Wieland Wagner, comble les v
141 » des conjoints, relations d’affaires, etc. 179. Scène d’un roman de Caldwell intitulé la Route au tabac. 180. On connaît l
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
142 oyen Âge, avec ses riches ornements et sa mise en scène , pouvait remplir les fonctions du drame lui-même186. » Rien ne me par
143 e est donc de toute manière assurée. » La mise en scène des tournois emprunte ses idées aux romans de la Table ronde. Ainsi,
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
144 eut comme une affection spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plupart des autres accordent au con
145 est banni. Mais à la faveur d’une nouvelle ruse ( scène du verger), il convainc Marc de son innocence et revient à la cour. L
146 e lépreux et Tristan condamné à mort. Il s’évade ( scène de la chapelle). Il délivre Iseut, et avec elle s’enfonce dans la for
147 t, le récit des trois ans dans la forêt. Ses deux scènes les plus belles, qui sont peut-être aussi les plus profondes de la lé
148 geste spontané. Et c’est pourquoi les plus belles scènes du Roman sont celles que les auteurs n’ont pas su commenter, et qu’il
51 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
149 d ein Isot » et Wagner, II, 2, toute la fin de la scène  : « nicht mehr Tristan !… nicht mehr Isolde ! »
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
150 spendre sa course. Au contraire, Tristan vient en scène avec l’espèce de lenteur somnambulique de celui qu’hypnotise un objet
151 s douloureuse blessure. Et Don Juan bondit sur la scène  ; de Molière à Mozart, c’est la grande éclipse du mythe. Mais à parti
152 tan, l’élément plastique inhérent à toute mise en scène théâtrale se trouve recréer un obstacle à la compréhension directe du
153 e sens profond de l’action. Tant qu’on regarde la scène , on est victime de l’illusion des formes — et des plus ridicules. Il
154 ice). 144. Hippolyte parlant d’Aricie, acte Ier, scène 1 : « Dois-je épouser ses droits contre un père irrité ? » 145. La c
155 Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obstinent à conserver (la décoration de la tente au premier acte, l
156 ntravée par ses voiles… Note de 1954 : la mise en scène nouvelle de Tristan à Bayreuth, œuvre de Wieland Wagner, comble les v
157 secrets d’initiation à la voie divinisante. 166. Scène d’un roman de Caldwell intitulé la Route au tabac. 167. On connaît l
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
158 oyen Âge, avec ses riches ornements et sa mise en scène , pouvait remplir les fonctions du drame lui-même. »172 Rien ne me p
159 e est donc de toute manière assurée. » La mise en scène des tournois emprunte ses idées aux romans de la Table ronde. Ainsi,
54 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
160 ’on devine ; écœuré, il vient de démissionner (la scène se passe en 1935) et il s’attend à être abattu par l’un de ces ancien
55 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
161 Avec le xixe , la Suisse réapparaît sur la grande scène de l’Europe. De Genève, c’est une autre « école suisse » qui domine l
56 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
162 uit les responsabilités… ou qu’on l’éloigne de la scène politique. Au surplus, il a bien voulu nous faire les déclarations qu
57 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
163 s importants, il créa un nouveau genre de mise en scène , un véritable théâtre des masses. Nous avons vu que cette hypnose de
58 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
164 tent stimulés, enflammés et hors d’eux-mêmes. Les scènes du Blocksberg sont le pendant exact de ces plaisirs démoniaques, qui
59 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
165 ent. Et bientôt à leur suite, le diable quitte la scène , comme l’évêque à la fin d’une procession. Rien de plus clair que cet
60 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
166 re ? Quels drames nouveaux pour remplacer, sur la scène vide, l’Ennemi déchu ? Les maîtres de la politique mondiale ont sans
61 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
167 la pourrait leur donner des complexes. Jamais une scène de ménage à table, jamais une faute de tenue, un mot plus haut qu’un
168 x yeux. Il la lance à terre et me fait une de ces scènes  ! J’ai pleuré toute la nuit, sur un canapé du salon… » — Madame, dit
62 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
169 tent stimulés, enflammés et hors d’eux-mêmes. Les scènes du Blocksberg sont le pendant exact de ces plaisirs démoniaques, qui
63 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
170 ent. Et bientôt à leur suite, le diable quitte la scène , comme l’évêque à la fin d’une procession. Rien de plus clair que cet
64 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
171 re ? Quels drames nouveaux pour remplacer, sur la scène vide, l’Ennemi déchu ? Les maîtres de la politique mondiale ont sans
65 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
172 la pourrait leur donner des complexes. Jamais une scène de ménage à table, jamais une faute de tenue, un mot plus haut qu’un
173 x yeux. Il la lance à terre et me fait une de ces scènes  ! J’ai pleuré toute la nuit, sur un canapé du salon… » — « Madame, di
66 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
174 tent stimulés, enflammés et hors d’eux-mêmes. Les scènes du Blocksberg sont le pendant exact de ces plaisirs démoniaques, qui
67 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
175 tent stimulés, enflammés et hors d’eux-mêmes. Les scènes du Blocksberg sont le pendant exact de ces plaisirs démoniaques, qui
68 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
176 erre ! Quel drame nouveau, pour remplacer, sur la scène vide, l’Ennemi déchu ?) C’est pourquoi la paix nous angoisse au moins
177 ifie n’est pas toujours l’aspect du personnage en scène , qui peut être emprunté à la réalité la plus banale, mais c’est plutô
69 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 2. Goethe médiateur
178 problème posé par Faust dans la fameuse première scène . Posé, et même, en principe, résolu dès cette scène. Mais, pour Goeth
179 ène. Posé, et même, en principe, résolu dès cette scène . Mais, pour Goethe jamais la solution de principe n’est une solution
180 mal. C’est seulement lorsque Faust, à la dernière scène du drame humain, aveuglé par son effort rédempteur, meurt dans le ren
70 1945, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
181 ar est fort bien décrit par Lewis Carroll dans la scène de la partie de croquet d’Alice in Wonderland où les arceaux, les mai
71 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
182 aroque des fêtes et de leur respect de la mise en scène solennelle. Je me borne à citer dans des domaines hétéroclites à souh
72 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
183 tte comme l’idée que l’on va vivre à son tour une scène de roman. Oui, l’idée seule a fait tous ces ravages, et non pas quelq
184 nehilde qui s’avancent l’un vers l’autre, dans la scène du hanap, ce sont des officiants… Tout se passe comme si les deux ama
73 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
185 ouvelle. Les deux grands qui, là-bas, occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous laissons à la Suiss
74 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
186 d’une autre sorte, fulgurante. Péripétie La scène du monde vient de passer à une vaste conversation de la mort, sur les
75 1946, Réforme, articles (1946–1980). À hauteur d’homme (1er juin 1946)
187 ner. Suis-je assez clair ? Ce qui occupe toute la scène , ce qui est au premier plan et qui cache tout le reste, dans les élec
76 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVI. Le goût de la guerre
188 re ? Quels drames nouveaux pour remplacer, sur la scène vide, l’Ennemi déchu ? » Au lieu de la Fête, nous avons eu le Drame.
77 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVI . Le goût de la guerre
189 re ? Quels drames nouveaux pour remplacer, sur la scène vide, l’ennemi déchu ? » Au lieu de la Fête, nous avons eu le Drame.
78 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
190 açades, hauts rectangles troués de lumières et de scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une radio clame
79 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
191 hitlérien ; écœuré, il vient de démissionner (la scène se passe en 1935) et il s’attend à être abattu par ses anciens amis.
80 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
192 açades, hauts rectangles troués de lumières et de scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une radio clame
193 vision à bout portant d’un coin de pays ou d’une scène de famille, d’un geste intime ou d’un visage bien-aimé. Prenons-en do
81 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
194 nouvelle. Les deux grands qui là-bas occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous laissons à la Suiss
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
195 voir.) Je vais cependant dire quelque chose d’une scène pittoresque. Mais c’est une autre fois que je l’ai vue, à Pest, lors
196 ’ivresse comme un art. Et qu’on soigne sa mise en scène , qu’on sauvegarde sa qualité. Ailleurs, on la laisse traîner dans la
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
197 cinéma. Moi, je crois entendre Gretchen (dans la scène du jardin, du premier Faust. Presque les mêmes mots !). Doux malenten
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
198 sins pour taper à la paroi ou pour nous faire des scènes , conventionnelles mais épuisantes, sur le palier. Nous n’avons qu’une
199 en bleu clair. Une table et trois chaises sur la scène surélevée. Environ une centaine d’auditeurs : paysans et pêcheurs, ce
200 mes. Mauvais éclairage. L’orateur se hisse sur la scène  : c’est un homme jeune encore, un peu lent d’allure, à la physionomie
201 ’excuser de se mettre en avant. Ils gravissent la scène , enlèvent leur casquette à visière cirée, et s’installent sur les tro
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Troisième partie. L’été parisien
202 ues féminines raffinées, quelques éclairs sur des scènes criminelles, des abîmes verdâtres… Un métro qui serait simplement le
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
203 de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible — c’est à peine si je trouve une place assise. Je note la
204 sauvé, les Russes proprement massacrés. Dans une scène pathétique avec le vieux pasteur, ce champion des vertus germaniques
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — III. Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
205 dans son Journal d’Allemagne … » Il s’agit d’une scène de ménage. Car le premier article est signé par Jeanne-E. Vandervelde
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
206 orique populaire et connu de tous les Suisses. La scène de l’Exposition de Zurich, sans décors ni rideau, 36 mètres de large
207 ’ai bâti le drame d’après les trois niveaux de la scène  : en bas le Monde, au milieu la Famille, en haut la Solitude avec les
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
208 hitlérien ; écœuré, il vient de démissionner (la scène se passe en 1935) et il s’attend à être abattu par ses anciens amis.
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
209 est strictement délimité (échiquier, lice, ring, scène , etc.). Les règles y sont par définition inviolables, car ce qui se p
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
210 açades, hauts rectangles troués de lumières et de scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une radio clame
211 vision à bout portant d’un coin de pays ou d’une scène de famille, d’un geste intime ou d’un visage aimé. Prenons-en donc no
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
212 nouvelle. Les deux grands qui là-bas occupent la scène ne sont pas représentés dans cette enceinte. Nous laissons à la Suiss
93 1947, Articles divers (1946-1948). Préface à Le Cœur est un chasseur solitaire de Carson McCullers (1947)
213 enue. C’est là que Dos Passos situe plusieurs des scènes de ses romans, et c’est là qu’il y a bien six ans j’ai connu Carson M
214 elle littérature américaine, au lieu de mettre en scène des intellectuels, recourt plutôt à des enfants, à des autodidactes,
215 euse et plus métaphysique que l’âge adulte ? (Les scènes et les dialogues d’enfants sont d’une justesse rarement atteinte, mêm
94 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
216 açades, hauts rectangles troués de lumières et de scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une radio clame
95 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
217 r quelque raison mystérieuse, elle ne fera pas de scène criarde, mais affichera un silence offensé qui signifie à son mari d’
218 l’on accepte d’en passer par une odieuse mise en scène « légalement constatée » dans une chambre d’hôtel. Le seul recours es
96 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
219 roque des fêtes, et de leur respect de la mise en scène solennelle. Je me borne à citer dans des domaines hétéroclites à souh
97 1947, Vivre en Amérique. III. Vie privée
220 l’on accepte d’en passer par une odieuse mise en scène « légalement constatée » dans une chambre d’hôtel. Le seul recours es
98 1947, Articles divers (1946-1948). La jeune littérature des États-Unis devant le roman américain (7 juin 1947)
221 enue. C’est là que Dos Passos situe plusieurs des scènes de ses romans, et c’est là qu’il y a bien six ans j’ai connu Carson M
222 elle littérature américaine, au lieu de mettre en scène des intellectuels, recourt plutôt à des enfants, à des autodidactes,
99 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
223 me sans ombre. Je voyais une actrice parcourir la scène en hurlant. Elle tirait après soi un grand morceau d’étoffe qui figur
100 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
224 tte comme l’idée que l’on va vivre à son tour une scène de roman. Oui, l’idée seule a fait tous ces ravages, et non pas quelq
225 nehilde qui s’avancent l’un vers l’autre, dans la scène du hanap, ce sont des officiants… Tout se passe comme si les deux ama