1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 uoi sert d’exalter, d’une si émouvante sorte, les soldats déjà légendaires de Verdun, et ce « haut ton de vie » qu’ils trouvaie
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
2 nes de sa décadence. Il y a du chirurgien chez ce soldat devenu « scribe » et qui s’en exaspère. Souvent maladroit, incertain,
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
3 ion efficace. L’armée de milices suisses fait des soldats en moins de trois mois. Si l’école appliquait en les transposant des
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
4 ion efficace. L’armée de milices suisses fait des soldats en moins de trois mois. Si l’école appliquait en les transposant des
5 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
5 demandait, à la sortie : « Avez-vous jamais vu un soldat défensif ? Comment est-ce que c’est fait ? » 7° Certes, l’on peut tir
6 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
6 ble une armée, qui trouve l’argent pour payer les soldats . Mais que la force spirituelle fasse défaut, l’armée ne sera plus une
7 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
7 e dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur Caïus Marius, telle est la vérité. Mais
8 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
8 bu, je me crois général ! » Toutefois, s’il meurt soldat , ivre ou lucide, peu importe, ce ne sera pas dans son lit5. Certaines
9 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
9 bu, je me crois général ! » Toutefois, s’il meurt soldat , ivre ou lucide, peu importe, ce ne sera pas dans son lit. Certaines
10 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
10 mble une armée, et trouve l’argent pour payer les soldats . Nous l’avons déjà dit dans cette revue : quand l’autorité disparaît,
11 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
11 ns fût reconnu de tous, prince et sujets, clercs, soldats et marchands législateurs et pédagogues. Ainsi l’histoire ou l’action
12 oute dévouée aux seuls intérêts de l’État. (Des «  soldats politiques » comme on dit en Allemagne.) Leur opinion publique est di
12 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
13 Les boules étaient des hérissons vivants, et les soldats s’arc-boutaient sur le sol pour former des arceaux vivants. Quand Ali
13 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
14 Les boules étaient des hérissons vivants, et les soldats s’arc-boutaient sur le sol pour former des arceaux vivants. Quand Ali
14 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
15 peler que ce fut un jour mieux que pensable : les soldats de Kellermann s’appelaient, je crois, les sans-culottes. Ils n’avaien
15 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
16 ns fût reconnu de tous, prince et sujets, clercs, soldats et marchands, législateurs et pédagogues. Ainsi l’histoire ou l’actio
17 oute dévouée aux seuls intérêts de l’État. (Des «  soldats politiques », comme on dit en Allemagne.) Leur opinion publique est d
16 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
18 ble une armée, qui trouve l’argent pour payer les soldats . Lorsque nous parlons d’une force spirituelle, il s’agit de la force
19 ietzsche, mais aussi de la force qui commande aux soldats . Que cette force disparaisse, l’armée n’est plus une arme, entre les
17 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
20 Les boules étaient des hérissons vivants, et les soldats s’arc-boutaient sur le sol pour former des arceaux vivants. Quand Ali
18 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
21 peler que ce fut un jour mieux que pensable : les soldats de Kellermann s’appelaient, je crois, les sans-culottes. Ils n’avaien
19 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
22 ns fût reconnu de tous, prince et sujets, clercs, soldats et marchands, législateurs et pédagogues. Ainsi l’histoire ou l’actio
23 oute dévouée aux seuls intérêts de l’État. (Des «  soldats politiques », comme on dit en Allemagne.) Leur opinion publique est d
20 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
24 ble une armée, qui trouve l’argent pour payer les soldats . Lorsque nous parlons d’une force spirituelle, il s’agit de la force
25 ietzsche, mais aussi de la force qui commande aux soldats . Que cette force disparaisse, l’armée n’est plus une arme, entre les
21 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
26 . Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous coûte 20 000 livres, sans compter la perte sur notre po
22 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
27 la Loterie nationale, s’inclinant sur la tombe du Soldat inconnu. Juste hommage au collègue, au gagnant d’une autre loterie !
23 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
28 e « Salut au 17e » : Salut, salut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la chanson patriotarde sur l’Alsace-Lorraine : Vo
24 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
29 Suisse, il faut et il suffit que l’on soit un bon soldat . Peut-être oserons-nous rappeler qu’il existe d’autres manières se se
25 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
30 des femmes nationales-socialistes ; Race, peuple, soldat  ; La paysannerie, source de la race nordique. L’âme nordique (30e mil
31 Moyen Âge ; Histoire des Allemands Sudètes ; Le soldat allemand (lettres de guerre) ; et quatre romans (dont un sur la guerr
26 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
32 la Loterie nationale, s’inclinant sur la tombe du Soldat inconnu. Juste hommage au collègue, au gagnant d’une autre loterie !
27 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
33 ui ; c’est celle que la tactique moderne exige du soldat dans le terrain. Contraindre, ce serait peu. Mais s’emparer de la lib
28 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
34 droits égoïstes. Mais ce n’est pas non plus le «  soldat politique » qui n’a plus en lui-même de principe d’existence, et qui
29 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
35 tite ville. Ils s’y heurtèrent à 8 gendarmes et 3 soldats , qui pour une fois s’avisèrent de résister. Au premier coup de feu, l
36 qui satisfasse aux vrais besoins du citoyen ou du soldat , ou de l’ouvrier, ou de l’aryen blond. C’est par cette seule mesure q
30 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
37 ui ; c’est celle que la tactique moderne exige du soldat dans le terrain. Contraindre, ce serait peu. Mais s’emparer de la lib
38 re, grands dieux ! Parce que vous mettez quelques soldats à vos frontières ? Les Français ne sont pas si fous ! Il a paru compl
31 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
39 de Flue, qui eut une vie extraordinaire. D’abord soldat valeureux, il fut ensuite, pendant dix-sept ans, juge et conseiller à
32 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
40 e, au long d’étroits couloirs où je coudoyais des soldats sourds et muets — tous les numéros arrachés — tandis que des sifflets
33 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
41 ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats . Tout cela confirme la liaison naturelle, c’est-à-dire physiologique
42 169 Ces capitaines, c’étaient les condottieri. Soldats de métier au service des Princes et des papes, ils avaient pour coutu
43 ’astucieux commerçants. Ils savaient le prix d’un soldat . Leur tactique consistait essentiellement à faire des prisonniers et
44 . Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous coûte 20 000 livres sans compter la perte sur notre pop
45 Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des soldats  » c’est-à-dire d’une façon « farouche et tragique » (Foch). Il faudra
46 audrait préciser : ce n’est pas le cœur de chaque soldat considéré comme un héros qui décidera du sort d’une guerre, mais bien
47 adés dans les usines, des mères qui procréent des soldats , bref de tous les « moyens de production », choses et personnes assim
48 imita à la destruction méthodique d’un million de soldats , non de civils. Mais ce Kriegspiel permit de mettre au point un instr
49 vé. Des témoignages sans nombre de médecins et de soldats prouvent que la guerre du matériel s’est traduite en réalité par une
50 s, l’on ait assisté à une révolte généralisée des soldats contre la guerre181, celle-ci ne figurant plus l’exutoire des passion
34 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
51 e trouve réduite à l’état de fonctionnaires ou de soldats . C’est l’histoire de la décadence de Rome. Le type d’homme que suppos
52 donc l’individu embrigadé, le fonctionnaire ou le soldat , l’homme qui n’existe que par son rôle social, par sa fonction dans l
53 en langage moderne par le terme de milicien ou de soldat politique. Nous allons le voir se transformer substantiellement dans
54 asques durs, volontairement durcis, de ces jeunes soldats politiques dressés à l’héroïsme en masse, à l’héroïsme collectif — le
35 1939, Nicolas de Flue. [PERSONNAGES]
55 grand chœur. chœur céleste. chœur d’enfants. soldats , démons, assistants. PERSONNAGES DU IIe ACTE Nicolas de
56 chœur des pèlerins. chœur céleste. pèlerins. soldats suisses, français et autrichiens. PERSONNAGES DU IIIe ACTE
57 gnons de la Follevie. chœur d’enfants. députés, soldats suisses et assistants.
36 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
58 devant lequel on aperçoit quatre officiers et des soldats . Les costumes très clairs des personnages, la lumière du projecteur,
59 plus fort du combat ! Quatre démons (mêlés aux soldats ). —  Hou ! Hou ! Hou ! Mort aux Autrichiens ! Vendu ! Trahison ! 1
60 juge de paix ! Je te laisse choisir. Démons et soldats . —  Hou ! Hou ! Aux cuisines ! À la ferme ! Nicolas. —  J’ai chois
61 n va lentement vers la coulisse de gauche.) Les soldats . —  Il a raison ! C’est lui qui a raison ! Vive Nicolas ! C’est le me
62 ue veux-tu faire plus tard ? Rudi. —  Je serai soldat , comme toi, papa. Nicolas. —  Et Walther ? Walther. —  Moi ? Je
37 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
63 deur de Savoie. —  Comme il convient aux premiers soldats de l’Europe ! L’ambassadeur d’Autriche. —  Le Téméraire se moquait
64 ! Les villes accusent les campagnes de vendre des soldats à l’étranger. Partout l’intrigue et l’anarchie. À nous d’utiliser la
65 chantent ensemble.) Scène v. (Fanfare. Des soldats entrent par la gauche et chassent les compagnons qui se groupent sur
66 nt sur les marches, au-dessous des sièges.) Les soldats . —  Place aux députés ! La Diète va s’ouvrir ! Arrière ! Silence ! (
67 e place sur les sièges. Derrière chacun d’eux, un soldat debout, portant la bannière du canton représenté.) Le président. — 
68 le devise, la trahison se cache ! Vous vendez vos soldats au pape ! Les compagnons. —  Hou ! Hou ! Hou ! À bas les tyrans !
69 l-lards ! Nous vou-lons un chef ! Waldmann. —  Soldats , rétablissez l’ordre, ceux d’ici n’en sont plus capables ! Altingh
70 peu, on voit paraître des groupes de députés, des soldats , les ambassadeurs.) Nicolas. —  Haimo, je ne puis plus… (Il retomb
71 s se sont levés ! Tout s’apprête pour la guerre ! Soldats rangés, armes fourbies, regards de haine, sans un mot ! Mon Dieu ! Mo
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
72 ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats . Tout cela confirme la liaison naturelle, c’est-à-dire physiologique,
73 187. » Ces capitaines, c’étaient les condottieri. Soldats de métier au service des Princes et des papes, ils avaient pour coutu
74 ’astucieux commerçants. Ils savaient le prix d’un soldat . Leur tactique consistait essentiellement à faire des prisonniers et
75 . Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous coûte 20 000 livres sans compter la perte sur notre pop
76 Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des soldats  » c’est-à-dire d’une façon « farouche et tragique » (Foch). Il faudra
77 audrait préciser : ce n’est pas le cœur de chaque soldat considéré comme un héros qui décidera du sort d’une guerre, mais bien
78 adés dans les usines, des mères qui procréent des soldats , bref de tous les « moyens de production », choses et personnes assim
79 imita à la destruction méthodique d’un million de soldats , non de civils. Mais ce Kriegspiel permit de mettre au point un instr
80 vé. Des témoignages sans nombre de médecins et de soldats prouvent que. la guerre du matériel s’est traduite en réalité par une
81 s, l’on ait assisté à une révolte généralisée des soldats contre la guerre199, celle-ci ne figurant plus l’exutoire des passion
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
82 ont d’autre but que d’augmenter l’agressivité des soldats . Tout cela confirme la liaison naturelle, c’est-à-dire physiologique,
83  »173 Ces capitaines, c’étaient les condottieri. Soldats de métier au service des Princes et des papes, ils avaient pour coutu
84 ’astucieux commerçants. Ils savaient le prix d’un soldat . Leur tactique consistait essentiellement à faire des prisonniers et
85 . Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous coûte 20 000 livres sans compter la perte sur notre pop
86 Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des soldats  » c’est-à-dire d’une façon « farouche et tragique » (Foch). Il faudra
87 audrait préciser : ce n’est pas le cœur de chaque soldat considéré comme un héros qui décidera du sort d’une guerre, mais bien
88 adés dans les usines, des mères qui procréent des soldats , bref de tous les « moyens de production », choses et personnes assim
89 imita à la destruction méthodique d’un million de soldats , non de civils. Mais ce Kriegspiel permit de mettre au point un instr
90 vé. Des témoignages sans nombre de médecins et de soldats prouvent que la guerre du matériel s’est traduite en réalité par une
91 s, l’on ait assisté à une révolte généralisée des soldats contre la guerre185, celle-ci ne figurant plus l’exutoire des passion
40 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
92 ofonde de ce peuple. En défendant leur terre, les soldats finnois avaient conscience de défendre aussi leur Église. Mais il exi
93 lise. Mais il existe d’autres pays où la foi d’un soldat chrétien pourrait avoir des effets exactement contraires. Elle pourra
94 ts exactement contraires. Elle pourrait amener ce soldat à refuser de défendre l’État qui persécute son Église. Dis-moi pour q
41 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
95 trouvent réduits à l’état de fonctionnaires ou de soldats . Telle est l’histoire de la décadence de Rome. Le type d’homme que su
96 donc l’individu embrigadé, le fonctionnaire ou le soldat , l’homme qui n’existe que par son rôle social, par sa fonction dans l
97 ais volontiers en langage moderne par le terme de soldat politique. Nous allons le voir se transformer substantiellement dans
98 asques durs, volontairement durcis, de ces jeunes soldats politiques dressés à l’héroïsme en masse, à l’héroïsme collectif — le
42 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
99 Suisse, il faut et il suffit que l’on soit un bon soldat  ! Car on ne peut être un bon soldat, chez nous, que si d’abord on pro
100 n soit un bon soldat ! Car on ne peut être un bon soldat , chez nous, que si d’abord on prouve que l’on est un bon Suisse. Aprè
101 grandeur. Nicolas Manuel fut peintre, architecte, soldat , dramaturge et homme d’État ; Gottfried Keller peintre et romancier ;
43 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
102 trouvent réduits à l’état de fonctionnaires ou de soldats . Telle est l’histoire de la décadence de Rome. Le type d’homme que su
103 donc l’individu embrigadé, le fonctionnaire ou le soldat , l’homme qui n’existe que par son rôle social, par sa fonction dans l
104 ais volontiers en langage moderne par le terme de soldat politique. Nous allons le voir se transformer substantiellement dans
105 asques durs, volontairement durcis, de ces jeunes soldats politiques dressés à l’héroïsme en masse, à l’héroïsme collectif — le
44 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
106 e. Au cours des manœuvres militaires, il dit à un soldat  : « Vous êtes 500 000 hommes, et vous tirez bien ; mais si nous vous
107 nous tirerait deux fois », répondit calmement le soldat . Le Kaiser préféra passer par la Belgique. La Suisse est l’un des pay
108 armée de 600 000 hommes. Un habitant sur 7 est un soldat . La même proportion donnerait aux États-Unis une armée de 20 millions
109 proie à des luttes sociales ou politiques, si les soldats démobilisés avaient le droit d’emporter chez eux leurs armes et leurs
110 près l’Armistice, on offrit cent-mille francs aux soldats , en échange de leurs fusils, par crainte d’une révolution. Hitler fit
45 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
111 ce dans le crime. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius Marius, telle est la vérité. Mais trois
46 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
112 nce dans le crime. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius Marius, telle est la vérité. Mais trois
47 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
113 ce dans le crime. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius Marius, telle est la vérité. Mais trois
48 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
114 e dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius Marius, telle est la vérité. Mais trois
49 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
115 e fonder la démocratie d’un siècle dernier, et le soldat politique sur lequel a voulu se fonder le totalitarisme de ce siècle,
116 ommes complets. L’individu n’a que des droits, le soldat politique que des devoirs. Le premier est un pur concept, le second e
50 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
117 e dans le crime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur Caius Marius, telle est la vérité. Mais
51 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
118 ume ancestrale, du goût des uniformes, du jeu des soldats de plomb, et de l’usage quotidien de métaphores guerrières, intimemen
52 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
119 bablement le même sort. Imaginons le moral de ces soldats . Ils sauront qu’ils ont peu de chances de recevoir des renforts et de
53 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
120 se appelée jitterbugs autour de petits marins, de soldats presque imberbes, de garçons qui n’ont pas encore l’âge militaire. La
121 r plus loin, vers une vie toujours plus large. Le soldat qu’un ancien paquebot de luxe ramène vers son pays du fond du Pacifiq
54 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
122 L’homme n’est plus qu’une fonction sociale, un «  soldat politique », dirait-on de nos jours. Et l’esprit périclite, faute de
123 moyen-terme entre l’individu trop flottant et le soldat politique trop esclave. Elle est l’homme intégral, dont les deux autr
55 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
124 du trajet jusqu’à New York dans un train bondé de soldats . (Le nombre de ces petits services que vous rendent ici les voisins !
56 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
125 e, au long d’étroits couloirs où je coudoyais des soldats sourds et muets — tous les numéros arrachés — tandis que des sifflets
57 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
126 tolet sur le bureau. Je me sens tout nu. Faute de soldats baïonnette au canon — on n’en trouve point —, c’est le lieutenant-col
58 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
127 espagnole, sous le regard peu rassurant de jeunes soldats qui représentent « l’ordre nouveau », en espadrilles et uniformes dép
128 raison d’attendre quelque bienveillance… Un jeune soldat famélique et débraillé rôdait autour de moi depuis un certain temps.
129 l’autre du train, enjambant des paysannes et des soldats endormis dans le couloir au milieu de leurs paquets et de leurs cages
59 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
130 ent des marches nostalgiques, et des centaines de soldats tenaient chacun une femme et la regardaient longtemps. C’étaient ceux
60 1946, Journal des deux mondes. Virginie
131 ngoisse — une question plutôt qu’une réponse. Les soldats mériteront du repos, les peuples du pain et des jeux. Il n’y a pas de
61 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
132 du trajet jusqu’à New York dans un train bondé de soldats . (Le nombre de ces petits services que vous rendent ici les voisins !
62 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
133 ume ancestrale, du goût des uniformes, du jeu des soldats de plomb, et de l’usage quotidien de métaphores guerrières, intimemen
63 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
134 bablement le même sort. Imaginons le moral de ces soldats . Ils sauront qu’ils ont peu de chances de recevoir des renforts et de
64 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
135 ume ancestrale, du goût des uniformes, du jeu des soldats de plomb, et de l’usage quotidien de métaphores guerrières, intimemen
65 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
136 bablement le même sort. Imaginons le moral de ces soldats . Ils sauront qu’ils ont peu de chances de recevoir des renforts et de
66 1946, Lettres sur la bombe atomique. Point de vue d’un général
137 e-fusée atomique aura été mise au point. Alors le soldat ne sera plus que le spectateur effrayé d’une guerre menée par des rob
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
138 sonne de l’individu des libéraux, mais aussi du «  soldat politique » des totalitaires devint bientôt le pont aux ânes des disc
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
139 la Loterie nationale, s’inclinant sur la tombe du Soldat inconnu. Juste hommage au collègue, au gagnant d’une autre loterie !
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
140 ui ; c’est celle que la tactique moderne exige du soldat dans le terrain. Contraindre, ce serait peu. Mais s’emparer de la lib
141 re, grands dieux ! Parce que vous mettez quelques soldats à vos frontières ? Les Français ne sont pas si fous ! » Il a paru com
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
142 hâtel, où je garde dans une armoire, comme chaque soldat et officier suisse, mes uniformes, mes armes et de la munition. Je so
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
143 e, au long d’étroits couloirs où je coudoyais des soldats sourds et muets — tous les numéros arrachés — tandis que des sifflets
144 janvier 11940 74 Lettres de Maurice Saillet, soldat de 2e classe : (Octobre 1939) Aujourd’hui l’intellect est vraiment
145 tolet sur le bureau. Je me sens tout nu. Faute de soldats baïonnette au canon — on n’en trouve point —, c’est le lieutenant-col
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
146 espagnole, sous le regard peu rassurant de jeunes soldats qui représentent I’ « ordre nouveau », en espadrilles et uniformes dé
147 aisons d’attendre quelque bienveillance… Un jeune soldat famélique et débraillé rôdait autour de moi depuis un certain temps.
148 l’autre du train, enjambant des paysannes et des soldats endormis dans le couloir au milieu de leurs paquets et de leurs cages
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
149 ent des marches nostalgiques, et des centaines de soldats tenaient chacun une femme et la regardaient longtemps. C’étaient ceux
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
150 ngoisse — une question plutôt qu’une réponse. Les soldats mériteront du repos, les peuples du pain et des jeux. Il n’y a pas de
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
151 du trajet jusqu’à New York dans un train bondé de soldats . (Le nombre de ces petits services que vous rendent ici les voisins !
76 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
152 nous pensions avec Hitler que l’homme n’est qu’un soldat politique totalement absorbé par le service de la communauté. Car alo
153 e toujours la tyrannie. À l’homme considéré comme soldat politique, totalement engagé mais non libre, correspond le régime tot
154 milieu entre l’individu sans responsabilité et le soldat politique sans liberté. Car la personne, c’est l’homme réel, et les d
77 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
155 es de l’Europe : ni l’individu sans devoirs ni le soldat politique sans droits, mais la personne à la fois libre et engagée, l
78 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
156 se appelée jitterbugs autour de petits marins, de soldats presque imberbes, de garçons qui n’ont pas encore l’âge militaire. La
157 voit partagé entre deux rêves contradictoires. Le soldat qu’un ancien paquebot de luxe ramène vers son pays du fond du Pacifiq
79 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
158 e toujours la tyrannie. À l’homme considéré comme soldat politique, totalement engagé mais non libre, correspond le régime tot
80 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
159 étriques — rois et reines, châteaux et enceintes, soldats ou pions ; cercles, quadrilatères, spirales et croix ; l’Anima femme
81 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
160 nous pensions avec Hitler que l’homme n’est qu’un soldat politique, totalement absorbé par le service de la communauté. Car al
161 e toujours la tyrannie. À l’homme considéré comme soldat politique, totalement engagé mais non libre, correspond le régime tot
162 milieu entre l’individu sans responsabilité et le soldat politique sans liberté. Car la personne, c’est l’homme réel, et les d
163 s de l’Europe : ni l’individu sans devoirs, ni le soldat politique sans droits, mais la personne à la fois libre et engagée, l
82 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
164 … » Il y a ceux qui nous applaudissent, comme ces soldats de je ne sais quel pays, dans l’autre guerre, qui, voyant l’officier
83 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
165 oirs, et d’autre part à l’homme collectiviste, au soldat politique sans droits. Mais puisqu’il s’agissait de s’engager, on s’a
84 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
166 ns défilent à cheval, en uniformes. « Sont-ce vos soldats  ? » demande le prince de Hesse. « Non, mes amis ! », dit le grand hom
85 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
167 ier si l’on veut être un témoin de la vérité ? Un soldat à la frontière devrait-il être marié ? se demande Kierkegaard. Et lui
86 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
168 u drame où se joua le sort de la Suisse moderne. Soldat , puis juge, puis retiré sur sa terre qu’il cultive avec ses dix enfan
169 nt par les allégeances que par le sang. Quant aux soldats , une fois leur engagement expiré, ils redevenaient paysans dans leur
170 ’une brève campagne de la rébellion catholique. «  Soldats  », avait dit Dufour dans sa première proclamation aux troupes, « il f
171 un factum de l’époque de la Fronde rédigé par des soldats suisses, qui se plaignaient de n’être pas payés pour leurs services.
87 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
172 oute une classe ou d’un parti. Passer pour un bon soldat ou un bon officier est généralement « bien vu » dans toutes les couch
173 la nation est fournie par ce simple fait : chaque soldat suisse entre les périodes d’instruction ou de mobilisation, conserve
174 passer par une école de recrues, soit qu’il reste soldat , soit qu’il devienne officier, prolonge et renouvelle le brassage des
88 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
175 ritoire des centaines de milliers de réfugiés, de soldats refoulés, d’enfants des pays éprouvés par les bombardements ou la fam
89 1954, Articles divers (1951-1956). La CED, ses mythes et sa réalité (12 août 1954)
176 litaires des six pays ? S’agit-il de mélanger les soldats allemands et français dans des compagnies commandées par des caporaux
177 ar quelques exemples : « Quoi ! s’écrie-t-on, nos soldats français vont-ils être commandés en allemand par d’anciens feldweibel
90 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
178 Mais voici que la guerre nationale menée par les soldats « libérateurs » de la Révolution et de l’Empire, loin de faire triomp
179 tard, avec les monuments aux Morts et le culte du Soldat inconnu. Pour la piété et la morale nouvelle, les poètes populaires e
91 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
180 retrouver une personne engagée, il est devenu le soldat politique embrigadé. Que le Parti révolutionnaire soit une exacte par
181 Mais voici que la guerre nationale, menée par les soldats « libérateurs » de la Révolution et de l’Empire, loin de faire triomp
182 tard, avec les monuments aux Morts et le culte du Soldat inconnu. Pour la piété et la morale nouvelle, les poètes populaires e
92 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
183 alcédoine, tout un monde de laïques ambitieux, de soldats , de matelots égyptiens et d’hommes de main, rôde autour de l’église o
93 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
184 ück, fille d’un pasteur allemand, devenue fille à soldats , et la fait sacrer impératrice sous le nom de Catherine, en 1724. (El
94 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). François Fontaine, La nation frein (juin-juillet 1956)
185 ille ans, et cimentées par le sang de millions de soldats . Techniquement, la chose est facile. La machine à raser les frontière
95 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
186 ne signifie plus autre chose que bon ouvrier, bon soldat , bon gratte-papier, bon élève, ou bon Russe. Ce jour-là, le mythe bol
96 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
187 ons défilent à cheval, en uniforme. « Sont-ce vos soldats  ? » demande le prince de Hesse. « Non, mes amis ! », dit le grand hom
97 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
188 alcédoine, tout un monde de laïques ambitieux, de soldats , de matelots égyptiens et d’hommes de main, rôde autour de l’église o
189 urs brahmanes ; membres du Parti, stakhanovistes, soldats , policiers et fonctionnaires subalternes, leur kshatriya (natchalniki
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
190 retrouver une personne engagée, il est devenu le soldat politique embrigadé. Que le Parti révolutionnaire soit une exacte par
191 Mais voici que la guerre nationale, menée par les soldats « libérateurs » de la Révolution et de l’Empire, loin de faire triomp
192 tard, avec les monuments aux Morts et le culte du Soldat inconnu. Pour la piété et la morale nouvelle, les poètes populaires e
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
193 s chinoises, capables de transporter 1300 marins, soldats et passagers, assuraient au xive siècle les communications entre Cal
100 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
194 ois classes : Les hommes libres, fils de Sem, les soldats , fils de Japhet, et les esclaves, fils de Cham. « Il n’est certes pas