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ans ces tempêtes de nuits filantes où s’enfuient,
souffles
à peine parfumés, les vices enlacés aux vertus, c’est un ricanement s
2
ù dans les bibliothèques désertes glisse un grand
souffle
oblique plein de fraîcheur et de pardon. » am. « Pierre Girard : Co
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n — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit
souffle
où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
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enoux tends les mains au vent captif délivre un
souffle
tes lèvres battent doucement écoute-les. IV Tends moi la main à t
5
voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un
souffle
épique, en train de décrire à Blaise Cendrars, son voisin de table, l
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a brusquement succomber. Buisson ardent auquel un
souffle
tempétueux arrache cette flamme trop grande pour son support. Reste u
7
urité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’ « au
souffle
»… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
8
ions tendues, horizontales, soutenues par un long
souffle
vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
9
des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
souffle
qui se serait mis à tourbillonner sur place. 14. L’amour en Hongri
10
ssi quelque chose qui devrait être surmonté, nous
souffle
une voix émouvante, aux résonances vraiment altières, celle-là : la v
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curité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’« au
souffle
»… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
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ions tendues, horizontales, soutenues par un long
souffle
vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
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des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
souffle
qui se serait mis à tourbillonner sur place. xiv L’amour en Hongr
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n — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit
souffle
où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
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urs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois
souffle
le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pa
16
t à la rencontre de ce qui est voilé. Retiens ton
souffle
, retiens ton envie de fermer les yeux contre une épaule, attends enco
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voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un
souffle
épique, en train de décrire à Blaise Cendrars, son voisin de table, l
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curité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’« au
souffle
»… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
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ions tendues, horizontales, soutenues par un long
souffle
vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
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des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
souffle
qui se serait mis à tourbillonner sur place. L’amour en Hongrie (g
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t à la rencontre de ce qui est voilé. Retiens ton
souffle
, retiens ton envie de fermer les yeux contre une épaule, attends enco
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urs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois
souffle
le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pa
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n — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit
souffle
où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
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métallique, une sobriété amère et courageuse, un
souffle
, une grandeur enfin qui nous ramènent puissamment au sens de la réali
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us hommes de chair, que l’esprit ? Cet esprit qui
souffle
où il veut, et nous mourons où nous pouvons, cet esprit qui dansait s
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t par là même une espèce de… régularité. L’Esprit
souffle
où il veut, c’est vrai. Mais la vocation est avant tout incarnation d
27
esprit organisé par le soin des hommes. L’Esprit
souffle
où il veut, nul ne sait où il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela,
28
vocation, et qu’il exécute cet ordre18. L’Esprit
souffle
où il veut. Mais lorsqu’il parle à l’un de nous, et que celui qui le
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t par là même une espèce de… régularité. L’Esprit
souffle
où il veut, c’est vrai. Mais la vocation est avant tout incarnation d
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esprit organisé par le soin des hommes. L’Esprit
souffle
où il veut, nul ne sait où il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela,
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vocation, et qu’il exécute cet ordre13. L’Esprit
souffle
où il veut. Mais lorsqu’il parle à l’un de nous, et que celui qui le
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la direction et la nature de ce courant. L’Esprit
souffle
où il veut. Les prévisions des historiens de la pensée ne semblent pa
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e dix mille ans à vivre. L’esprit métaphysique me
souffle
: “Et après ?” Mais je ne l’écoute pas et trouve malgré tout ces chif
34
nt fondés à parler du « vent de crétinisation qui
souffle
de l’URSS », mais les magnats de l’industrie lourde sont hypocrites q
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nt fondés à parler du « vent de crétinisation qui
souffle
de l’URSS », mais les magnats de l’industrie lourde sont hypocrites q
36
ous conduite avant de s’élancer s’il lui reste du
souffle
; cette science qui se croit une ascèse laïque, et qui n’est trop sou
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nt fondés à parler du « vent de crétinisation qui
souffle
de l’URSS », mais les magnats de l’industrie lourde sont hypocrites q
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ous conduite avant de s’élancer s’il lui reste du
souffle
; cette science qui se croit une ascèse laïque, et qui n’est trop sou
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— comme partout — et nous sentons l’air froid qui
souffle
jusqu’au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du lit, je vais
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a entre les virgules. Fin mars 1934 Le vent
souffle
en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déjà, sans
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sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin
souffle
encore : au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une maison pour
42
evues (septembre 1938)ao Combat (juin). — Un
souffle
révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un bon courant d’air passe
43
bord du gouffre, la même minute où, retenant son
souffle
, le peuple attend les cloches fatidiques : et d’un coup le même « All
44
rd ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent
souffle
vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui go
45
u ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ?
Souffle
, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse e
46
i gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle,
souffle
ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
47
. Et voici déchaînées les puissances mauvaises. «
Souffle
, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse e
48
i déchaînées les puissances mauvaises. « Souffle,
souffle
ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
49
a première fois les symboles des troubadours d’un
souffle
parfaitement païen, et non plus du tout hérétique ! On est aux antipo
50
er embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du
souffle
, par un légitime baiser Scellez un marché sans âge avec la dévorante
51
’en vont sur les routes, au hasard, abandonnés au
souffle
de l’Esprit. Il fait part à sa femme de cette terrible décision, et e
52
ons dans la nuit Amis de Dieu Sans feu ni lieu Au
souffle
de l’esprit. Les chiens aboient Les démons rient Sur la pierreuse v
53
Voix de paix descend des sommets, Vent de guerre
souffle
sur nos terres. Jour du désir, jour de l’angoisse ! Confédérés, écout
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rd ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent
souffle
vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui go
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u ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ?
Souffle
, souffle, ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse
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i gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle,
souffle
, ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvag
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. Et voici déchaînées les puissances mauvaises. «
Souffle
, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse e
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i déchaînées les puissances mauvaises. « Souffle,
souffle
ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
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a première fois les symboles des troubadours d’un
souffle
parfaitement païen, et non plus du tout hérétique ! On est aux antipo
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er embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du
souffle
, par un légitime baiser Scellez un marché sans âge avec la dévorante
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rd ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent
souffle
vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui go
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u ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ?
Souffle
, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse e
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i gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle,
souffle
ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
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. Et voici déchaînées les puissances mauvaises. «
Souffle
, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse e
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i déchaînées les puissances mauvaises. « Souffle,
souffle
ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
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a première fois les symboles des troubadours d’un
souffle
parfaitement païen, et non plus du tout hérétique ! On est aux antipo
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er embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du
souffle
, par un légitime baiser Scellez un marché sans âge avec la dévorante
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ués des syndicats patronaux. On a senti passer le
souffle
d’un esprit de collaboration à la fois réaliste et vraiment national
69
Ici elles se rejoignent et se mêlent. Les grands
souffles
océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les vertic
70
ral ? Pour dissiper l’hypnose, le médecin parfois
souffle
doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souff
71
le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un
souffle
de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons
72
lant déjà d’un Nom qu’elle renie pourtant du même
souffle
: « À Dieu ne plaise ! », dit Pierre. Or il plaisait à Dieu… En quelq
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ral ? Pour dissiper l’hypnose, le médecin parfois
souffle
doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souff
74
le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un
souffle
de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons
75
lant déjà d’un Nom qu’elle renie pourtant du même
souffle
: « À Dieu ne plaise ! », dit Pierre. Or il plaisait à Dieu… En quelq
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ral ? Pour dissiper l’hypnose, le médecin parfois
souffle
doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souff
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le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un
souffle
de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons
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n solide. Ainsi demeure-t-il dans l’oppression du
souffle
et la fatigue de l’effort qu’aucun acte ne vient accomplir57. Voici a
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étage qui se couvrent d’un peuple nu, quêtant un
souffle
de la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s
80
cherchant les salles réfrigérées où l’on entre le
souffle
coupé et d’où l’on ressort avec un rhume. La semaine dernière, il gel
81
naquit tant bien que mal dans la paille, sous le
souffle
d’un bœuf malodorant. Plus que dix jours pour acquérir dans cette aim
82
c la terre (30 juin 1946)o Il est des lieux où
souffle
l’esprit de destruction. Herman Melville, grand romancier américain d
83
il blanc de ma vitalité : la seule pensée que mon
souffle
puisse, dans quelques instants, s’arrêter, accélère ma respiration. E
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naquit tant bien que mal dans la paille, sous le
souffle
d’un bœuf malodorant. Plus que dix jours pour acquérir dans cette aim
85
Ici, elles se rejoignent et se mêlent. Les grands
souffles
océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les « face
86
Ici, elles se rejoignent et se mêlent. Les grands
souffles
océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les « face
87
erme et poli, de quelque avenir étranger. Au long
souffle
appuyé des nuits brûlantes, profond massage, les soucis de naguère se
88
étage qui se couvrent d’un peuple nu, quêtant un
souffle
de la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s
89
cherchant les salles réfrigérées où l’on entre le
souffle
coupé et d’où l’on ressort avec un rhume. La semaine dernière, il gel
90
e procès, sous la menace de la fusillade… Mais un
souffle
étrange animait des jeunes et les rassemblait autour d’une table… Pen
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urs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois
souffle
le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pa
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urité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’ « au
souffle
»… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
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ions tendues, horizontales, soutenues par un long
souffle
vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
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des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
souffle
qui se serait mis à tourbillonner sur place. L’amour en Hongrie (g
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t à la rencontre de ce qui est voilé. Retiens ton
souffle
, retiens ton envie de fermer les yeux contre une épaule, attends enco
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ien — la sagesse. Mais le feu s’éteint — l’esprit
souffle
où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
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— comme partout — et nous sentons l’air froid qui
souffle
jusqu’au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du lit, je vais
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a entre les virgules. Fin mars 1934 Le vent
souffle
en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déjà, sans
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sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin
souffle
encore : au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une maison pour
100
Ici, elles se rejoignent et se mêlent. Les grands
souffles
océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les « face
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erme et poli, de quelque avenir étranger. Au long
souffle
appuyé des nuits brûlantes, profond massage, les soucis de naguère se
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étage qui se couvrent d’un peuple nu, quêtant un
souffle
de la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s
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cherchant les salles réfrigérées où l’on entre le
souffle
coupé et d’où l’on ressort avec un rhume. La semaine dernière, il gel
104
il blanc de ma vitalité : la seule pensée que mon
souffle
puisse, dans quelques instants, s’arrêter, accélère ma respiration. E
105
ation organisée, n’est-il pas vrai, vous coupe le
souffle
. Qu’on n’essaie pas de créer par décrets l’unité de notre culture : e
106
rres en marche vers l’ouest », contre le vent qui
souffle
en est. De l’Atlantique au Pacifique, des Pères pèlerins aux savants
107
vœu. Nous l’attendrons un soir d’automne, avec le
souffle
du grand vent, sur la route et la terre des hommes, prêts à rendre no
108
« Est-ce beau, ou grotesque, ou les deux ? », me
souffle
à l’oreille mon voisin. Ce qui m’a le plus surpris, c’est l’inhumanit
109
vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé
Souffles
d’un jour d’été. Il ne s’y passe rien qu’une longue conversation entr
110
son emphase criarde… Ils faisaient exception… le
souffle
de la passion se posait sur leur existence condamnée… Mais qui est L
111
ine odeur, se répandant au loin, dominait même le
souffle
embaumé de la prée. Il s’arrêta en face de l’irréprochable Europé ; i
112
la cible après avoir assuré la hausse, bloquer le
souffle
, enfin tirer. Je faisais tout cela et ratais tout. La veille du grand
113
Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le
souffle
éthique, la croix, la mort, l’abîme… » Mais quelques années plus tard
114
nce, quand l’amour « point le cœur », oppresse le
souffle
, brûle en rêve, et reste loin d’imaginer la possession. Mais s’il pr
115
Dans l’éclat sonore Dans la tourmente infinie Du
souffle
du Monde S’engloutir — S’abîmer — Inconscient — Joie suprême !132
116
me jamais résolue de ce nirvana romantique (où le
Souffle
du Monde est encore une « tourmente » !) que nous laissent les derniè
117
vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé
Souffles
d’un jour d’été. Il ne s’y passe rien qu’une longue conversation entr
118
son emphase criarde… Ils faisaient exception… le
souffle
de la passion se posait sur leur existence condamnée… Mais qui est L
119
Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le
souffle
éthique, la croix, la mort, l’abîme… » Mais quelques années plus tard
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Dans l’éclat sonore Dans la tourmente infinie Du
souffle
du Monde S’engloutir S’abîmer Inconscient Joie suprême58 ! Mais si l
121
me jamais résolue de ce nirvana romantique (où le
Souffle
du Monde est encore une « tourmente » !) que nous laissent les derniè
122
nce, quand l’amour « point le cœur », oppresse le
souffle
, brûle en rêve, et reste loin d’imaginer la possession. (C’est un asp
123
ine odeur, se répandant au loin, dominait même le
souffle
embaumé de la prée. Il s’arrêta en face de l’irréprochable Europé ; i
124
té, lorsque Mahomet anima leurs corps sauvages du
souffle
de l’enthousiasme. II. L’empire de Rome était solidement établi sur l
125
l’inquiétant pressentiment d’une renaissance, le
souffle
spirituel d’un nouveau printemps ?195 Quel que soit le comportement
126
tie !… Ce rêve n’est pas une bulle de savon qu’un
souffle
anéantit, mais en lui nous épie une possibilité terrible, pétrifiante
127
nvironnent au milieu de ses jeux, que sa mère lui
souffle
dans ses caresses ; qui, sous la forme de sentiments divers, pénètren
128
icace parce qu’elle se nourrit d’esprit. L’esprit
souffle
où il veut, c’est sa nature, mais il lui faut un branchement particul
129
pris ce pays s’il n’a pas découvert un jour qu’un
souffle
immense de lyrisme nomade est le secret le mieux couvé dans l’inconsc
130
an monstrueux figé au milieu de la tempête par le
souffle
de Jéhovah ». Après une heure passée sur le Righi, Hugo se sent deven
131
e prenais avec soin le cran d’arrêt, bloquais mon
souffle
, visais d’un œil, reposant l’arme de temps à autre pour respirer et c
132
lleux… Car il plaît aujourd’hui comme alors aux
souffles
du ciel de descendre Dans un cœur qui s’émeut et connaît leur prése
133
au bord du gouffre, cette minute où, retenant son
souffle
, le peuple attend l’annonce fatidique, et tout d’un coup, à grandes v
134
e prenais avec soin le cran d’arrêt, bloquais mon
souffle
, visais d’un œil, reposant l’arme de temps à autre pour respirer et c
135
là, Mounier me rend visite à Francfort, et ne me
souffle
mot de cette grande affaire. Mieux encore : dans le numéro d’octobre
136
maléfiques d’une société de gaspillage à bout de
souffle
… Mais je m’arrête, je n’en finirais plus. Je terminerai sur la questi
137
celui qui sait, tout est possible tant qu’un vent
souffle
, même contraire. Tirer des bords contre le vent de l’Histoire et de l
138
our de la nature ou sans détour, l’homme qui vous
souffle
sa fumée en plein visage, qui refuse d’abaisser sa « tonalité » dans
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celui qui sait, tout est possible tant qu’un vent
souffle
, même contraire. Tirer des bords contre le vent de l’histoire et de l
140
au bord du gouffre, cette minute où, retenant son
souffle
, le peuple attend l’annonce fatidique, et tout d’un coup, à grandes v
141
lève, il n’y en avait plus sur la terre, c’est le
souffle
d’une autre vie. Et voici que la cloche a sonné, celles de la terre s
142
mouvements fédéralistes européens sont à bout de
souffle
. Depuis 1948, on a peu avancé, sauf dans le domaine économique de neu