1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 ans ces tempêtes de nuits filantes où s’enfuient, souffles à peine parfumés, les vices enlacés aux vertus, c’est un ricanement s
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
2 ù dans les bibliothèques désertes glisse un grand souffle oblique plein de fraîcheur et de pardon. » am. « Pierre Girard : Co
3 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
3 n — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
4 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
4 enoux tends les mains au vent captif délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute-les. IV Tends moi la main à t
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un souffle épique, en train de décrire à Blaise Cendrars, son voisin de table, l
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
6 a brusquement succomber. Buisson ardent auquel un souffle tempétueux arrache cette flamme trop grande pour son support. Reste u
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
7 urité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’ « au souffle  »… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
8 ions tendues, horizontales, soutenues par un long souffle vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
9 des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. 14. L’amour en Hongri
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
10 ssi quelque chose qui devrait être surmonté, nous souffle une voix émouvante, aux résonances vraiment altières, celle-là : la v
9 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 curité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’« au souffle  »… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
12 ions tendues, horizontales, soutenues par un long souffle vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
13 des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. xiv L’amour en Hongr
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
14 n — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
15 urs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pa
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Le balcon sur l’eau
16 t à la rencontre de ce qui est voilé. Retiens ton souffle , retiens ton envie de fermer les yeux contre une épaule, attends enco
13 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
17 voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un souffle épique, en train de décrire à Blaise Cendrars, son voisin de table, l
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
18 curité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’« au souffle  »… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
19 ions tendues, horizontales, soutenues par un long souffle vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
20 des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. L’amour en Hongrie (g
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
21 t à la rencontre de ce qui est voilé. Retiens ton souffle , retiens ton envie de fermer les yeux contre une épaule, attends enco
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
22 urs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pa
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
23 n — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
18 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
24 métallique, une sobriété amère et courageuse, un souffle , une grandeur enfin qui nous ramènent puissamment au sens de la réali
19 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
25 us hommes de chair, que l’esprit ? Cet esprit qui souffle où il veut, et nous mourons où nous pouvons, cet esprit qui dansait s
20 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
26 t par là même une espèce de… régularité. L’Esprit souffle où il veut, c’est vrai. Mais la vocation est avant tout incarnation d
27 esprit organisé par le soin des hommes. L’Esprit souffle où il veut, nul ne sait où il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela,
28 vocation, et qu’il exécute cet ordre18. L’Esprit souffle où il veut. Mais lorsqu’il parle à l’un de nous, et que celui qui le
21 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
29 t par là même une espèce de… régularité. L’Esprit souffle où il veut, c’est vrai. Mais la vocation est avant tout incarnation d
30 esprit organisé par le soin des hommes. L’Esprit souffle où il veut, nul ne sait où il va. Mais c’est Dieu qui nous dit cela,
31 vocation, et qu’il exécute cet ordre13. L’Esprit souffle où il veut. Mais lorsqu’il parle à l’un de nous, et que celui qui le
22 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
32 la direction et la nature de ce courant. L’Esprit souffle où il veut. Les prévisions des historiens de la pensée ne semblent pa
23 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
33 e dix mille ans à vivre. L’esprit métaphysique me souffle  : “Et après ?” Mais je ne l’écoute pas et trouve malgré tout ces chif
24 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
34 nt fondés à parler du « vent de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’industrie lourde sont hypocrites q
25 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
35 nt fondés à parler du « vent de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’industrie lourde sont hypocrites q
26 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
36 ous conduite avant de s’élancer s’il lui reste du souffle  ; cette science qui se croit une ascèse laïque, et qui n’est trop sou
27 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
37 nt fondés à parler du « vent de crétinisation qui souffle de l’URSS », mais les magnats de l’industrie lourde sont hypocrites q
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
38 ous conduite avant de s’élancer s’il lui reste du souffle  ; cette science qui se croit une ascèse laïque, et qui n’est trop sou
29 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
39 — comme partout — et nous sentons l’air froid qui souffle jusqu’au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du lit, je vais
40 a entre les virgules. Fin mars 1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déjà, sans
41 sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une maison pour
30 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
42 evues (septembre 1938)ao Combat (juin). — Un souffle révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un bon courant d’air passe
31 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
43 bord du gouffre, la même minute où, retenant son souffle , le peuple attend les cloches fatidiques : et d’un coup le même « All
32 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
44 rd ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui go
45 u ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle , souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse e
46 i gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
33 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
47 . Et voici déchaînées les puissances mauvaises. «  Souffle , souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse e
48 i déchaînées les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
34 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
49 a première fois les symboles des troubadours d’un souffle parfaitement païen, et non plus du tout hérétique ! On est aux antipo
50 er embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du souffle , par un légitime baiser Scellez un marché sans âge avec la dévorante
35 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
51 ’en vont sur les routes, au hasard, abandonnés au souffle de l’Esprit. Il fait part à sa femme de cette terrible décision, et e
36 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
52 ons dans la nuit Amis de Dieu Sans feu ni lieu Au souffle de l’esprit. Les chiens aboient Les démons rient Sur la pierreuse v
53 Voix de paix descend des sommets, Vent de guerre souffle sur nos terres. Jour du désir, jour de l’angoisse ! Confédérés, écout
37 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
54 rd ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui go
55 u ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle , souffle, ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse
56 i gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle , ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvag
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
57 . Et voici déchaînées les puissances mauvaises. «  Souffle , souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse e
58 i déchaînées les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
59 a première fois les symboles des troubadours d’un souffle parfaitement païen, et non plus du tout hérétique ! On est aux antipo
60 er embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du souffle , par un légitime baiser Scellez un marché sans âge avec la dévorante
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
61 rd ; vers l’Orient file le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale. Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui go
62 u ? Ce qui gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle , souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse e
63 i gonfle ma voile, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
64 . Et voici déchaînées les puissances mauvaises. «  Souffle , souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse e
65 i déchaînées les puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
66 a première fois les symboles des troubadours d’un souffle parfaitement païen, et non plus du tout hérétique ! On est aux antipo
67 er embrassement ! Et mes lèvres, ô vous Portes du souffle , par un légitime baiser Scellez un marché sans âge avec la dévorante
43 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
68 ués des syndicats patronaux. On a senti passer le souffle d’un esprit de collaboration à la fois réaliste et vraiment national 
44 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
69 Ici elles se rejoignent et se mêlent. Les grands souffles océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les vertic
45 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
70 ral ? Pour dissiper l’hypnose, le médecin parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souff
71 le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons
46 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
72 lant déjà d’un Nom qu’elle renie pourtant du même souffle  : « À Dieu ne plaise ! », dit Pierre. Or il plaisait à Dieu… En quelq
47 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
73 ral ? Pour dissiper l’hypnose, le médecin parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souff
74 le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons
48 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
75 lant déjà d’un Nom qu’elle renie pourtant du même souffle  : « À Dieu ne plaise ! », dit Pierre. Or il plaisait à Dieu… En quelq
49 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
76 ral ? Pour dissiper l’hypnose, le médecin parfois souffle doucement sur le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souff
77 le visage du patient. Ce n’est peut-être que d’un souffle de l’Esprit, passant sur le visage torturé du siècle, que nous devons
50 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
78 n solide. Ainsi demeure-t-il dans l’oppression du souffle et la fatigue de l’effort qu’aucun acte ne vient accomplir57. Voici a
51 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
79 étage qui se couvrent d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s
80 cherchant les salles réfrigérées où l’on entre le souffle coupé et d’où l’on ressort avec un rhume. La semaine dernière, il gel
52 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
81 naquit tant bien que mal dans la paille, sous le souffle d’un bœuf malodorant. Plus que dix jours pour acquérir dans cette aim
53 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
82 c la terre (30 juin 1946)o Il est des lieux où souffle l’esprit de destruction. Herman Melville, grand romancier américain d
54 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
83 il blanc de ma vitalité : la seule pensée que mon souffle puisse, dans quelques instants, s’arrêter, accélère ma respiration. E
55 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
84 naquit tant bien que mal dans la paille, sous le souffle d’un bœuf malodorant. Plus que dix jours pour acquérir dans cette aim
56 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
85 Ici, elles se rejoignent et se mêlent. Les grands souffles océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les « face
57 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
86 Ici, elles se rejoignent et se mêlent. Les grands souffles océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les « face
58 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
87 erme et poli, de quelque avenir étranger. Au long souffle appuyé des nuits brûlantes, profond massage, les soucis de naguère se
59 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
88 étage qui se couvrent d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s
89 cherchant les salles réfrigérées où l’on entre le souffle coupé et d’où l’on ressort avec un rhume. La semaine dernière, il gel
60 1946, Politique de la personne (1946). Préface pour l’édition de 1946
90 e procès, sous la menace de la fusillade… Mais un souffle étrange animait des jeunes et les rassemblait autour d’une table… Pen
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
91 urs de la terre, des herbes et des bêtes. Parfois souffle le vent marin ; et des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pa
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
92 urité qui sent l’enfer. Je ne pense plus qu’ « au souffle  »… Mais alors tout s’allume et voici la nuit des faubourgs de Pest, a
93 ions tendues, horizontales, soutenues par un long souffle vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gouvernées
94 des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. L’amour en Hongrie (g
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
95 t à la rencontre de ce qui est voilé. Retiens ton souffle , retiens ton envie de fermer les yeux contre une épaule, attends enco
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
96 ien — la sagesse. Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
97 — comme partout — et nous sentons l’air froid qui souffle jusqu’au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du lit, je vais
98 a entre les virgules. Fin mars 1934 Le vent souffle en tempête de la mer vers le continent, depuis sept jours déjà, sans
99 sans ennui. 15 juin 1934 Bon vent du destin souffle encore : au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une maison pour
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
100 Ici, elles se rejoignent et se mêlent. Les grands souffles océaniques, chargés de sel et d’aventure, viennent frapper les « face
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
101 erme et poli, de quelque avenir étranger. Au long souffle appuyé des nuits brûlantes, profond massage, les soucis de naguère se
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
102 étage qui se couvrent d’un peuple nu, quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’East River, quelque soupir… La vie s
103 cherchant les salles réfrigérées où l’on entre le souffle coupé et d’où l’on ressort avec un rhume. La semaine dernière, il gel
69 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
104 il blanc de ma vitalité : la seule pensée que mon souffle puisse, dans quelques instants, s’arrêter, accélère ma respiration. E
70 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
105 ation organisée, n’est-il pas vrai, vous coupe le souffle . Qu’on n’essaie pas de créer par décrets l’unité de notre culture : e
71 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
106 rres en marche vers l’ouest », contre le vent qui souffle en est. De l’Atlantique au Pacifique, des Pères pèlerins aux savants
107 vœu. Nous l’attendrons un soir d’automne, avec le souffle du grand vent, sur la route et la terre des hommes, prêts à rendre no
72 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
108 « Est-ce beau, ou grotesque, ou les deux ? », me souffle à l’oreille mon voisin. Ce qui m’a le plus surpris, c’est l’inhumanit
73 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
109 vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé Souffles d’un jour d’été. Il ne s’y passe rien qu’une longue conversation entr
110 son emphase criarde… Ils faisaient exception… le souffle de la passion se posait sur leur existence condamnée… Mais qui est L
74 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
111 ine odeur, se répandant au loin, dominait même le souffle embaumé de la prée. Il s’arrêta en face de l’irréprochable Europé ; i
75 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
112 la cible après avoir assuré la hausse, bloquer le souffle , enfin tirer. Je faisais tout cela et ratais tout. La veille du grand
76 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
113 Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le souffle éthique, la croix, la mort, l’abîme… » Mais quelques années plus tard
77 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
114 nce, quand l’amour « point le cœur », oppresse le souffle , brûle en rêve, et reste loin d’imaginer la possession. Mais s’il pr
78 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
115 Dans l’éclat sonore Dans la tourmente infinie Du souffle du Monde S’engloutir — S’abîmer — Inconscient — Joie suprême !132
116 me jamais résolue de ce nirvana romantique (où le Souffle du Monde est encore une « tourmente » !) que nous laissent les derniè
79 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
117 vrai, est décrite au somptueux chapitre intitulé Souffles d’un jour d’été. Il ne s’y passe rien qu’une longue conversation entr
118 son emphase criarde… Ils faisaient exception… le souffle de la passion se posait sur leur existence condamnée… Mais qui est L
80 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
119 Erwin Rohde — ce que j’aime en Schopenhauer : le souffle éthique, la croix, la mort, l’abîme… » Mais quelques années plus tard
120 Dans l’éclat sonore Dans la tourmente infinie Du souffle du Monde S’engloutir S’abîmer Inconscient Joie suprême58 ! Mais si l
121 me jamais résolue de ce nirvana romantique (où le Souffle du Monde est encore une « tourmente » !) que nous laissent les derniè
81 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
122 nce, quand l’amour « point le cœur », oppresse le souffle , brûle en rêve, et reste loin d’imaginer la possession. (C’est un asp
82 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
123 ine odeur, se répandant au loin, dominait même le souffle embaumé de la prée. Il s’arrêta en face de l’irréprochable Europé ; i
83 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
124 té, lorsque Mahomet anima leurs corps sauvages du souffle de l’enthousiasme. II. L’empire de Rome était solidement établi sur l
84 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
125 l’inquiétant pressentiment d’une renaissance, le souffle spirituel d’un nouveau printemps ?195 Quel que soit le comportement
126 tie !… Ce rêve n’est pas une bulle de savon qu’un souffle anéantit, mais en lui nous épie une possibilité terrible, pétrifiante
85 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
127 nvironnent au milieu de ses jeux, que sa mère lui souffle dans ses caresses ; qui, sous la forme de sentiments divers, pénètren
86 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
128 icace parce qu’elle se nourrit d’esprit. L’esprit souffle où il veut, c’est sa nature, mais il lui faut un branchement particul
87 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
129 pris ce pays s’il n’a pas découvert un jour qu’un souffle immense de lyrisme nomade est le secret le mieux couvé dans l’inconsc
88 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
130 an monstrueux figé au milieu de la tempête par le souffle de Jéhovah ». Après une heure passée sur le Righi, Hugo se sent deven
89 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
131 e prenais avec soin le cran d’arrêt, bloquais mon souffle , visais d’un œil, reposant l’arme de temps à autre pour respirer et c
90 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
132 lleux… Car il plaît aujourd’hui comme alors aux souffles du ciel de descendre Dans un cœur qui s’émeut et connaît leur prése
91 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
133 au bord du gouffre, cette minute où, retenant son souffle , le peuple attend l’annonce fatidique, et tout d’un coup, à grandes v
92 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Descartes inversé ou le zen occidental (14 décembre 1972)
134 e prenais avec soin le cran d’arrêt, bloquais mon souffle , visais d’un œil, reposant l’arme de temps à autre pour respirer et c
93 1974, Articles divers (1974-1977). Alexandre Marc et l’invention du personnalisme (1974)
135 là, Mounier me rend visite à Francfort, et ne me souffle mot de cette grande affaire. Mieux encore : dans le numéro d’octobre
94 1975, Articles divers (1974-1977). Au-delà de la société industrielle (1975)
136 maléfiques d’une société de gaspillage à bout de souffle … Mais je m’arrête, je n’en finirais plus. Je terminerai sur la questi
95 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
137 celui qui sait, tout est possible tant qu’un vent souffle , même contraire. Tirer des bords contre le vent de l’Histoire et de l
96 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
138 our de la nature ou sans détour, l’homme qui vous souffle sa fumée en plein visage, qui refuse d’abaisser sa « tonalité » dans
97 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
139 celui qui sait, tout est possible tant qu’un vent souffle , même contraire. Tirer des bords contre le vent de l’histoire et de l
98 1977, Articles divers (1974-1977). Souvenir de 1938 (1977)
140 au bord du gouffre, cette minute où, retenant son souffle , le peuple attend l’annonce fatidique, et tout d’un coup, à grandes v
99 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
141 lève, il n’y en avait plus sur la terre, c’est le souffle d’une autre vie. Et voici que la cloche a sonné, celles de la terre s
100 1979, Articles divers (1978-1981). Denis de Rougemont, ou l’Europe contre l’Europe (30 mai 1979)
142 mouvements fédéralistes européens sont à bout de souffle . Depuis 1948, on a peu avancé, sauf dans le domaine économique de neu