1
e son déguisement gréco-latin retournera vers ses
sources
pour s’y retremper. Les appels de l’Orient, ce sont les Keyserling, l
2
un Américain qui viennent nous rapprendre que les
sources
de la poésie sont dans notre maison. Voici un de ces passages où il s
3
ore son invention ; on capte scientifiquement les
sources
mêmes de sa liberté. « Instruire en amusant » peut être la formule d’
4
ler plus loin, — et en même temps constituent des
sources
d’énergie nouvelle. Le parallèle peut être poussé dans les détails. I
5
ore son invention ; on capte scientifiquement les
sources
mêmes de sa liberté. « Instruire en amusant » peut être la formule d’
6
ler plus loin, — et en même temps constituent des
sources
d’énergie nouvelle. Le parallèle peut être poussé dans les détails. I
7
es propriétés, y découvre sans cesse de nouvelles
sources
. Il défriche et il fabrique, soit qu’il se décrive comme un lieu de m
8
ence, inclinant nos utopies mêmes, desséchant les
sources
de notre foi. Qui parlait donc d’un « humanisme scientifique » ? Nous
9
nous fait pénétrer dans l’intimité d’une vie, aux
sources
mêmes de ses déterminations. ⁂ Ce qui frappe, dès les premières pages
10
mites de l’intelligible »12. L’on découvre ici la
source
de l’étrange refus de Goethe, dès qu’il s’agit de faire état des caus
11
, très calme, et que je sens tout le bien que les
sources
éternelles ont déversé dans mon cœur. » Et deux ans plus tard : « Je
12
nentistes, ou comme on disait alors, panthéistes.
Source
de malentendus perpétuellement renaissants, et que les adversaires de
13
’impression ne serait pas moins forte. Toutes les
sources
détiennent une puissance radiante, et c’est ici la source du Rhin, du
14
étiennent une puissance radiante, et c’est ici la
source
du Rhin, du Rhône, et des deux plus gros affluents du Danube et du Pô
15
raison gardée. Contradiction secrète de sa vie et
source
de sa vraie richesse. De là sa modestie frappante, sa tolérance acqui
16
diter sur ses images, de remonter par elles à des
sources
lointaines. Grands portraits un peu craquelés, du xviie et du xviie
17
dans sa fin. L’homme étant « séparé » de Dieu sa
source
, — et c’est en quoi consiste le péché « originel » — il en résulte qu
18
us faisons dépendre tout l’ordre nouveau, cette «
source
d’énergie » permanente de la révolution, c’est la personne humaine te
19
us faisons dépendre tout l’ordre nouveau, cette «
source
d’énergie » permanente de la révolution, c’est la personne humaine te
20
s, entraînés dans une dérive mélancolique dont la
source
pourrait bien être chez les conteurs romantiques allemands, aussi peu
21
e explication certaine, digne de foi, de première
source
, une réponse de Dieu, qui, même si elle foudroie, est plus magnifique
22
vrage « difficile ». Seul, Bergson, avec ses Deux
Sources
pourrait s’aligner, dans cet ordre, avec un honnête romancier. On s’é
23
l » incapable, par suite, de s’interroger sur les
sources
de son être. Les philosophes lui sont de peu de recours. Ils ont fait
24
dans sa fin. L’homme étant « séparé » de Dieu sa
source
, — et c’est en quoi consiste le péché « originel » — il en résulte qu
25
dans sa fin. L’homme étant « séparé » de Dieu sa
source
, — et c’est en quoi consiste le péché « originel » — il en résulte qu
26
à qui s’adressent leurs écrits ? d) quelle est la
source
de leur autorité — si elle existe en fait ou en droit — et quels doiv
27
ymbolorum et definitionum de Denzinger, « l’autre
source
» de la Révélation, la première source étant la Bible (fons revelatio
28
« l’autre source » de la Révélation, la première
source
étant la Bible (fons revelationis alter est traditio ecclesiastica).
29
omaine en la tradition considérée comme « l’autre
source
» de la Révélation. En réalité, c’est l’Église de Rome qui nous paraî
30
criture. Il faudra la chercher alors dans l’autre
source
de la Révélation : la tradition. Nous avons vu que, pratiquement, la
31
atuer qu’il existe, à côté de la Bible, une autre
source
. Tout l’effort dogmatique des conciles consiste à accumuler des assur
32
vraie tradition : celle qui n’est pas une « autre
source
», un vain renfort humain, mais la suite des témoignages rendus par l
33
t à la régler, étant de par son origine coupé des
sources
mêmes de toute création culturelle, qui jaillissent de la personne, d
34
l’homme se trouve mis « en communication avec la
source
continue qu’il contient en lui dans son être : son geste n’est plus q
35
production n’a plus de fins intelligibles, et ses
sources
tarissent bientôt. On voit aussi qu’il n’y a vraiment culture que là
36
uvement l’Église, la politique et la culture à la
source
commune de toute autorité et de toute légitimité, qui est la connaiss
37
pelle génie la faculté de distinguer la véritable
source
de l’angoisse d’un peuple, et d’incarner, aux yeux de ce peuple, une
38
sont le programme de notre lutte. Elles sont les
sources
du nouveau droit qui s’établit. Ses pensées dominent les fondements e
39
t à la régler, étant de par son origine coupé des
sources
mêmes de toute création culturelle : la personne, l’aventure personne
40
m’apparaît divisé par le fait même qu’il prend sa
source
dans les désirs de nos cœurs actuels. Or, ce n’est pas une image flat
41
ot idée, c’est le verbe voir. Toute idée prend sa
source
et son élan dans une vision. Certes, penser, c’est partir d’où l’on e
42
rappelle à la situation, au lieu de rappeler des
sources
. Que nos écrits figurent les microcosmes de cet ordre nouveau qu’ils
43
n n’est pas, dans le même temps, en puissance des
sources
originelles de toute existence. Cette dynamique de l’incarnation, nou
44
production n’a plus de fins intelligibles, et ses
sources
tarissent bientôt. On voit aussi qu’il n’y a vraiment culture que là
45
uvement l’Église, la politique et la culture à la
source
commune de toute autorité et de toute légitimité, qui est la connaiss
46
pelle génie la faculté de distinguer la véritable
source
de l’angoisse d’un peuple, et d’incarner, aux yeux de ce peuple, une
47
sont le programme de notre lutte. Elles sont les
sources
du nouveau droit qui s’établit. Ses pensées dominent les fondements e
48
t à la régler, étant de par son origine coupé des
sources
mêmes de toute création culturelle : la personne, l’aventure personne
49
m’apparaît divisé par le fait même qu’il prend sa
source
dans les désirs de nos cœurs actuels. Or, ce n’est pas une image flat
50
ot idée, c’est le verbe voir. Toute idée prend sa
source
et son élan dans une vision. Certes, penser, c’est partir d’où l’on e
51
rappelle à la situation, au lieu de rappeler des
sources
. Que nos écrits figurent les microcosmes de cet ordre nouveau qu’ils
52
n n’est pas, dans le même temps, en puissance des
sources
originelles de toute existence. Cette dynamique de l’incarnation, no
53
ront — de tourner la difficulté en remontant à la
source
, en renouvelant le mode primitif de l’information, l’information dire
54
r des contacts personnels, des renseignements aux
sources
mêmes, des nouvelles exemptes de déformations ou de tendances. Il s’a
55
ses ramifications, il vise à ne délaisser aucune
source
, à tenir compte de tous les points de vue. Le programme Le bull
56
me devait conduire au conflit armé avec Carthage,
source
profonde, si indirecte qu’elle apparaisse, de tout le développement u
57
ner une spécialisation relative de la production,
source
d’élévation du niveau matériel général et fondement économique d’une
58
lèges et offices étant, avec l’emprunt, la grande
source
des revenus ou disponibilités de l’État, celui-ci favorise l’enrichis
59
gé et la bourgeoisie. Le peuple n’est rien que la
source
de main-d’œuvre. Si le pauvre veut s’élever, il n’a qu’un seul moyen
60
les. Je crois au contraire qu’elles affectent les
sources
vives de notre civilisation. C’est pourquoi le problème apparemment s
61
emand qu’il faut remonter si l’on veut étudier la
source
véritable de préoccupations qui parurent fort nouvelles lorsque se vu
62
Qui nous dit qu’elle n’est pas, au contraire, la
source
de tout acte et de toute création, une invention totale et perpétuell
63
titre de Morbacka les origines biographiques, les
sources
vives de ce jaillissement d’inventions. Morbacka, c’est comme une ant
64
nte des tenants et aboutissants de l’œuvre d’art (
sources
métaphysiques, corrélations scientifiques et psychologiques, influenc
65
ialistes ; Race, peuple, soldat ; La paysannerie,
source
de la race nordique. L’âme nordique (30e mille) ; Race et âme (43e mi
66
dimanche », tout jeune protestant est nourri aux
sources
mêmes du judaïsme préchrétien. C’est là sa Fable, sa mythologie. Goli
67
? Qui nous dit qu’elle n’est pas au contraire la
source
de tout acte et de toute création, une invention totale et perpétuell
68
fres officiels. Mais alors, il faudrait citer ses
sources
avec plus de minutie, et quand on donne un chiffre, donner aussi les
69
c Mauriac : le seul problème est de « purifier la
source
». Tout le reste est apologétique, c’est-à-dire mauvaise littérature.
70
e fameux « dynamisme occidental » procède de deux
sources
distinctes. Si c’est notre délire guerrier que l’on entend désigner p
71
happer à sa loi démoniaque.104 Faut-il voir à la
source
de cet aspect le plus réel de l’activisme européen une sorte de tempé
72
apparaît que c’est du Proche-Orient et de l’Iran,
sources
certaines de l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyan
73
rait de patronage. Si nous lisons les recueils de
sources
sur Bruder Klaus publiés par Dürrer en 1921, nous constatons que, dan
74
e vit que de cela. (La banque de pharaon était la
source
unique des revenus de Casanova : symbole dont il nous donne maintes f
75
parler de l’hitlérisme ? Il y a certainement une
source
commune à Hitler et aux romantiques allemands ; il y a certainement u
76
ont on ne peut rien dire, et qui cependant est la
source
de tout ce que l’on dit. C’est l’ineffable, l’indicible, le royaume d
77
» Peut-être touchons-nous ici le mystère même, la
source
inépuisable, le point originel et fascinant de tout jaillissement du
78
écrits d’un Novalis ou d’un Jean-Paul soient à sa
source
; ce serait absurde. Mais je dis que nous pouvons retrouver au niveau
79
soi, non de l’autre. Leur malheur prend ainsi sa
source
dans une fausse réciprocité, masque d’un double narcissisme. À tel po
80
spiration elle-même, puisque celle-ci ne prend sa
source
que dans les lois de l’amour courtois, les leys d’amors. Mais il faut
81
, si l’on nie que l’hérésie cathare en ait été la
source
vive ? Otto Rahn n’hésite point à écrire : « La plupart des troubadou
82
et qu’il est donc au moins prématuré d’y voir la
source
du lyrisme courtois ; 2° Que les troubadours n’ont jamais dit qu’ils
83
alyse n’autorise pas à faire de cette doctrine la
source
des textes connus. (Il semble bien que Freud ait été avant tout un sa
84
que l’on prenne les poèmes des troubadours comme
sources
d’études sur le catharisme. — Cf. sur Peire Cardinal hérétique : J. A
85
ualité. Or l’examen du Roman de Tristan et de ses
sources
historiques nous a conduit à renverser le rapport. C’est ici la passi
86
profanation » de la mystique courtoise et de ses
sources
(néo-platonisme, manichéisme, soufisme). La mythification a trop bien
87
cette égalité de l’un dans l’un et avec l’un est
source
et origine du fleurissant resplendissant amour. 96 Ce n’est donc pas
88
e des troubadours et des romans courtois sont les
sources
directes du lyrisme franciscain, lequel à son tour devait influencer
89
aruzi écrit de sainte Thérèse : « On a démêlé les
sources
de nombre de ses images… Mais trouverait-on aussi sûrement les origin
90
ependant, pour sainte Thérèse, retrouver quelques
sources
certaines. « On a souvent signalé le goût des mystiques pour la litté
91
. Gaston Etchegoyen, l’Amour divin, essai sur les
sources
de sainte Thérèse, IVe partie : l’Expression de l’amour divin. 111.
92
ion ne sont guère séparables. La passion prend sa
source
dans cet élan de l’esprit qui par ailleurs fait naître le langage. Dè
93
œuvre d’art autonome, l’épuisement temporaire des
sources
profondes ? N’est-ce point pour cette cause que la littérature, si fo
94
mps refoulé dans l’inconscient ou canalisé dès sa
source
par un art aristocratique. Et quand les cadres de la société vinrent
95
ge de ce prince en Italie, dit Guichardin, fut la
source
d’une infinité de maux et de révolutions. Les États changèrent tout à
96
e fameux « dynamisme occidental » procède de deux
sources
distinctes. Si c’est notre délire guerrier que l’on entend désigner p
97
chapper à sa loi démoniaque207. Faut-il voir à la
source
de cet aspect le plus réel de l’activisme européen une sorte de tempé
98
apparaît que c’est du Proche-Orient et de l’Iran,
sources
certaines de l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyan
99
de ses ardeurs Et son cœur brûlant Lui révéla la
source
Des peines dont il souffrait. Alors commença pour lui une autre vie.
100
de plus en plus rares si nous laissons tarir les
sources
vives de la Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation,
101
soi, non de l’autre. Leur malheur prend ainsi sa
source
dans une fausse réciprocité, masque d’un double narcissisme. À tel po
102
inspiration elle-même, puisque celle-ci prend sa
source
dans un système fixe de lois, qui seront codifiées sous le nom de ley
103
et qu’il est donc au moins prématuré d’y voir la
source
(ou l’une des sources principales) du lyrisme courtois ; 2° Que les t
104
moins prématuré d’y voir la source (ou l’une des
sources
principales) du lyrisme courtois ; 2° Que les troubadours n’ont jamai
105
alyse n’autorise pas à faire de cette doctrine la
source
des textes connus. (Il semble bien que Freud ait été avant tout un sa
106
d courant religieux manichéen, qui avait, pris sa
source
en Iran, remonte par l’Asie Mineure et les Balkans jusqu’à l’Italie e
107
? Elle reste objet d’un culte. Considérée comme «
source
unique de joie et de repos, l’amante synthétise toute la nature fémin
108
la lamentation des désespérés. Ah ! noble Amour,
source
de bonté, par qui le monde entier est illuminé, je te crie merci. Con
109
s et demi plus tard. Même si l’on ignorait que la
source
de Wagner fut le poème de Gottfried, la seule comparaison des textes
110
l’on prenne certains poèmes des troubadours comme
sources
d’études sur l’hérésie. Elle cite, à l’appui, des vers de Peire Carde
111
de ce livre II : « Cette magie érotique avait sa
source
d’abord dans la croyance que le corps féminin manifestait par sa seul
112
ualité. Or l’examen du Roman de Tristan et de ses
sources
historiques nous a conduit à renverser le rapport. C’est ici la passi
113
profanation » de la mystique courtoise et de ses
sources
(néo-platonisme, manichéisme, soufisme). La mythification a trop bien
114
cette égalité de l’un dans l’un et avec l’un est
source
et origine du fleurissant resplendissant amour114. Ce n’est donc pas,
115
e des troubadours et des romans courtois sont les
sources
directes du lyrisme franciscain, lequel à son tour devait influencer
116
aruzi écrit de sainte Thérèse : « On a démêlé les
sources
de nombre de ses images… Mais trouverait-on aussi sûrement les origin
117
ependant, pour sainte Thérèse, retrouver quelques
sources
certaines. « On a souvent signalé le goût des mystiques pour la litté
118
. Gaston Etchegoyen, L’Amour divin, essai sur les
sources
de sainte Thérèse, IVe partie : l’Expression de l’amour divin. 129.
119
ion ne sont guère séparables. La passion prend sa
source
dans cet élan de l’esprit qui par ailleurs fait naître le langage. Dè
120
œuvre d’art autonome, l’épuisement temporaire des
sources
profondes ? N’est-ce point pour cette cause que la littérature, si fo
121
mps refoulé dans l’inconscient ou canalisé dès sa
source
par un art aristocratique. Et quand les cadres de la société vinrent
122
ge de ce prince en Italie, dit Guichardin, fut la
source
d’une infinité de maux et de révolutions. Les États changèrent tout à
123
e fameux « dynamisme occidental » procède de deux
sources
distinctes. Si c’est notre délire guerrier que l’on entend désigner p
124
chapper à sa loi démoniaque225. Faut-il voir à la
source
de cet aspect le plus réel de l’activisme européen une sorte de tempé
125
apparaît que c’est du Proche-Orient et de l’Iran,
sources
certaines de l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyan
126
soi, non de l’autre. Leur malheur prend ainsi sa
source
dans une fausse réciprocité, masque d’un double narcissisme. À tel po
127
inspiration elle-même, puisque celle-ci prend sa
source
dans un système fixe de lois, qui seront codifiées sous le nom de ley
128
et qu’il est donc au moins prématuré d’y voir la
source
(ou l’une des sources principales) du lyrisme courtois ; 2° que les t
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moins prématuré d’y voir la source (ou l’une des
sources
principales) du lyrisme courtois ; 2° que les troubadours n’ont jamai
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alyse n’autorise pas à faire de cette doctrine la
source
des textes connus. (Il semble bien que Freud ait été avant tout un sa
131
nd courant religieux manichéen, qui avait pris sa
source
en Iran, remonte par l’Asie Mineure et les Balkans jusqu’à l’Italie e
132
? Elle reste objet d’un culte. Considérée comme «
source
unique de joie et de repos, l’amante synthétise toute la nature fémin
133
la lamentation des désespérés. Ah ! noble Amour,
source
de bonté, par qui le monde entier est illuminé, je te crie merci. Con
134
s et demi plus tard. Même si l’on ignorait que la
source
de Wagner fut le poème de Gottfried, la seule comparaison des textes
135
l’on prenne certains poèmes des troubadours comme
sources
d’études sur l’hérésie. Elle cite, à l’appui, des vers de Peire Carde
136
de ce livre II : « Cette magie érotique avait sa
source
d’abord dans la croyance que le corps féminin manifestait par sa seul
137
ualité. Or l’examen du Roman de Tristan et de ses
sources
historiques nous a conduit à renverser le rapport. C’est ici la passi
138
profanation » de la mystique courtoise et de ses
sources
(néo-platonisme, manichéisme, soufisme). La mythification a trop bien
139
cette égalité de l’un dans l’un et avec l’un est
source
et origine du fleurissant resplendissant amour. »104 Ce n’est donc p
140
e des troubadours et des romans courtois sont les
sources
directes du lyrisme franciscain, lequel à son tour devait influencer
141
aruzi écrit de sainte Thérèse : « On a démêlé les
sources
de nombre de ses images… Mais trouverait-on aussi sûrement les origin
142
ependant, pour sainte Thérèse, retrouver quelques
sources
certaines. « On a souvent signalé le goût des mystiques pour la litté
143
. Gaston Etchegoyen, l’Amour divin, essai sur les
sources
de sainte Thérèse, IVe partie : l’Expression de l’amour divin. 119.
144
ion ne sont guère séparables. La passion prend sa
source
dans cet élan de l’esprit qui par ailleurs fait naître le langage. Dè
145
œuvre d’art autonome, l’épuisement temporaire des
sources
profondes ? N’est-ce point pour cette cause que la littérature, si fo
146
mps refoulé dans l’inconscient ou canalisé dès sa
source
par un art aristocratique. Et quand les cadres de la société vinrent
147
ge de ce prince en Italie, dit Guichardin, fut la
source
d’une infinité de maux et de révolutions. Les États changèrent tout à
148
e fameux « dynamisme occidental » procède de deux
sources
distinctes. Si c’est notre délire guerrier que l’on entend désigner p
149
chapper à sa loi démoniaque207. Faut-il voir à la
source
de cet aspect le plus réel de l’activisme européen une sorte de tempé
150
apparaît que c’est du Proche-Orient et de l’Iran,
sources
certaines de l’hérésie, que nous sont venues nos « mortelles » croyan
151
de ses ardeurs Et son cœur brûlant Lui révéla la
source
Des peines dont il souffrait. Alors commença pour lui une autre vie.
152
de plus en plus rares si nous laissons tarir les
sources
vives de la Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation,
153
otre foi personnelle. Car c’est elle qui reste la
source
de notre amour de la vraie liberté, et cet amour est le fondement sol
154
de plus en plus rares si nous laissons tarir les
sources
vives de la Réforme. Et puis, une personnalité en soi, sans vocation,
155
e il n’est qu’un esprit pur, une fois coupé de la
source
de l’Esprit, il est devenu le messager du Néant et de ses mystères. M
156
notre bouche, pour altérer le témoignage dans sa
source
. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous ment
157
teur puisse se faire d’illusions là-dessus. « Aux
sources
du poème » et dans nos encriers, dans cette rature ou dans la rêverie
158
dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
sources
au plus intime des existences individuelles. Et c’est là seulement qu
159
out le plaisir est d’altérer nos vertus dans leur
source
. Vous le sentirez présent, dans sa force immobile, derrière le regard
160
ng pour toi. » Mais l’idée du divin dans un être,
source
et objet de tout amour profond, va faire naître l’idolâtrie pour peu
161
là qu’elle va se pervertir et devenir à son tour
source
de perversion. La paillardise joyeuse est certainement l’une des form
162
e mondiale s’identifie, parce qu’elle a les mêmes
sources
, avec la crise de nos vies privées. Nous sommes au centre de tout le
163
du bien et du mal. Et nous voici coupés des deux
sources
de l’Ordre, qui sont les lois ordonnées de la Création et les interve
164
sure du vrai, et dont l’Évangile dit que, dans sa
source
, elle est « la vie et la lumière des hommes » ! Hélas, qu’avons-nous
165
e il n’est qu’un esprit pur, une fois coupé de la
source
de l’Esprit, il est devenu le messager du Néant et de ses mystères. M
166
notre bouche, pour altérer le témoignage dans sa
source
. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous ment
167
éateur puisse se faire d’illusions là-dessus. Aux
sources
du poème et dans nos encriers, dans cette rature ou dans la rêverie a
168
verrait doté de pouvoirs extraordinaires, dont la
source
ne saurait être — ainsi pense-t-on communément — que dans les royaume
169
dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
sources
au plus intime des existences individuelles. Et c’est là seulement qu
170
out le plaisir est d’altérer nos vertus dans leur
source
. Vous le sentirez présent, dans sa force immobile, derrière le regard
171
ng pour toi. » Mais l’idée du divin dans un être,
source
et objet de tout amour profond, va faire naître l’idolâtrie pour peu
172
là qu’elle va se pervertir et devenir à son tour
source
de perversion. La paillardise joyeuse est certainement l’une des form
173
e mondiale s’identifie, parce qu’elle a les mêmes
sources
, avec la crise de nos vies privées. Nous sommes au centre de tout le
174
du bien et du mal. Et nous voici coupés des deux
sources
de l’Ordre, qui sont les lois ordonnées de la Création et les interve
175
sure du vrai, et dont l’Évangile dit que, dans sa
source
, elle est « la vie et la lumière des hommes » ! Hélas, qu’avons-nous
176
e il n’est qu’un esprit pur, une fois coupé de la
source
de l’Esprit, il est devenu le messager du Néant et de ses mystères. M
177
notre bouche, pour altérer le témoignage dans sa
source
. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous ment
178
éateur puisse se faire d’illusions là-dessus. Aux
sources
du poème et dans nos encriers, dans cette rature ou dans la rêverie a
179
verrait doté de pouvoirs extraordinaires, dont la
source
ne saurait être — ainsi pense-t-on communément — que dans les royaume
180
dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
sources
au plus intime des existences individuelles. Et c’est là seulement qu
181
out le plaisir est d’altérer nos vertus dans leur
source
. Vous le sentirez présent, dans sa force immobile, derrière le regard
182
ng pour toi. » Mais l’idée du divin dans un être,
source
et objet de tout amour profond, va faire naître l’idolâtrie pour peu
183
là qu’elle va se pervertir et devenir à son tour
source
de perversion. La paillardise joyeuse est certainement l’une des form
184
e mondiale s’identifie, parce qu’elle a les mêmes
sources
, avec la crise de nos vies privées. Nous sommes au centre de tout le
185
du bien et du mal. Et nous voici coupés des deux
sources
de l’Ordre, qui sont les lois ordonnées de la Création et les interve
186
esure du vrai, et dont l’Évangile dit que dans sa
source
elle est « la vie et la lumière des hommes » ! Hélas, qu’avons-nous f
187
et toi vous l’appelez, le prochain, cette grande
source
d’iniquité et de mal ! Le prochain, le sais-tu, ce sont les paysans d
188
notre bouche, pour altérer le témoignage dans sa
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. Et c’est pourquoi la Bible dit, énergiquement, que lorsque nous ment
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là qu’elle va se pervertir et devenir à son tour
source
de perversion. La paillardise joyeuse est certainement l’une des form
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dans la pensée des hommes de ce temps, elle a ses
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au plus intime des existences individuelles. Et c’est là seulement qu
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ites de l’intelligible. 10 » L’on découvre ici la
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de l’étrange refus de Goethe, dès qu’il s’agit de faire état des chos
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ong de sa vie secrète. Enfin, nourrie à ces trois
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, la volonté titanique qui s’exprime magnifiquement dans le Prométhée.
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res va de soi. Angoisse kierkegaardienne, dans sa
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, mais qui, faute d’aboutir à un Alleluia ! se rabat sur un Et allons
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? Qui nous dit qu’elle n’est pas au contraire la
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de tout acte et de toute création, une invention totale et perpétuell
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démarche de la pensée. Insister, discuter, citer
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et faits, ce serait encore de la sincérité, face à l’objet ; mais cel
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l’homme se trouve mis « en communication avec la
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continue qu’il contient en lui dans son être : son geste n’est plus q
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ont on ne peut rien dire, et qui cependant est la
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de tout ce que l’on dit. C’est l’ineffable, l’indicible, le royaume d
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» Peut-être touchons-nous ici le mystère même, la
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inépuisable, le point originel et fascinant de tout jaillissement du
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écrits d’un Novalis ou d’un Jean Paul soient à sa
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, ce serait absurde et injurieux pour ces poètes. Mais je dis que nous
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it ou par un artifice de rhétorique, telle est la
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impure du roman-fleuve. La longueur des ouvrages de ce genre est l’ex