1
t plusieurs déjà reconnaissent ne pas pouvoir les
séparer
. On n’écrit plus pour s’amuser : ni pour amuser un public. Un livre e
2
de la foi aux inquiétudes profondes de leurs âmes
séparées
de Dieu. Montherlant est aux antipodes de ceux-là « qui cherchent en
3
tales illustrées. Déjà la foule des danseurs nous
séparait
, mon ami se détournait, un peu vexé ; vous disparaissiez au milieu d’
4
ule réalité. C’est pourquoi nous ne pourrons plus
séparer
du concept de l’esprit celui de Révolution. Et j’entends ce mot dans
5
es notions réaliste et idéaliste du monde ne sont
séparées
que par un léger décalage dans la chronologie de nos sentiments et de
6
celle de n’importe quel passant, il se sent comme
séparé
de soi, et si profondément différent de cette apparence, qu’il doute
7
mes d’arithmétique où il fallait si soigneusement
séparer
les calculs du raisonnement, par une barre verticale, et où il y avai
8
mieux. Il y a beaucoup de gens qui ne peuvent pas
séparer
une méthode des fins auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-
9
mes d’arithmétique où il fallait si soigneusement
séparer
les calculs du raisonnement, par une barre verticale, et où il y avai
10
mieux. Il y a beaucoup de gens qui ne peuvent pas
séparer
une méthode des fins auxquelles on l’applique généralement. Ces gens-
11
hercher dans leur rythme seulement, — si ces mots
séparés
par des suites de points ne lui servaient qu’à noter des mètres, il a
12
nnages, comme le moraliste s’arroge le pouvoir de
séparer
le bien du mal parmi les actions d’autrui qu’il estime connaître. Sim
13
obe de se passer de Dieu quand elle juge le monde
séparé
de Dieu. Il n’est pas vrai de dire qu’un monde séparé de Dieu doit ou
14
ré de Dieu. Il n’est pas vrai de dire qu’un monde
séparé
de Dieu doit ou peut être envisagé comme un monde autonome. Il doit ê
15
oi. Le jour qui déjà me saisit va-t-il ainsi nous
séparer
? Ce corps de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soi
16
ent. Comme si j’avais presque oublié. — « Seul et
séparé
», ces deux mots que rythmait le train, est-ce qu’ils font encore vra
17
oi. Le jour qui déjà me saisit va-t-il ainsi nous
séparer
? Ce corps de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soi
18
ent. Comme si j’avais presque oublié. — « Seul et
séparé
», ces deux mots que rythmait le train, est-ce qu’ils font encore vra
19
puis beaucoup plus bas dans les buildings voisins
séparés
de ma terrasse par un gouffre profond mais étroit, je vois des couple
20
oute l’Europe centrale et orientale, des millions
séparées
de leur mari pendant cinq ans, mais le tabou de l’inceste, par exempl
21
La couche est mince et partout déchirée qui nous
sépare
du désordre profond. Mais ce n’est pas en Suisse qu’on voit ces déchi
22
tant de générations aux fortunes diverses ne m’en
séparent
-elles pas autant qu’elles m’y lient ? Nous ne savons presque rien de
23
dans son origine et dans sa fin. L’homme étant «
séparé
» de Dieu sa source, — et c’est en quoi consiste le péché « originel
24
tiques humaines et la dialectique chrétienne sont
séparées
par la mort éternelle. Qu’un philosophe, qu’un moraliste, parle de ch
25
nous devons faire chacun tout le chemin qui nous
sépare
l’un de l’autre. Et c’est au seul moment où je t’atteins en toi, où t
26
alité insurmontable aux dix-neuf siècles qui nous
séparent
de l’Évangile. Du même coup, l’expérience religieuse, dialogue vivant
27
suit, entre les fatalités qui régissent le monde,
séparé
de l’homme, et l’homme, séparé de Dieu. Pourtant le dernier mot a été
28
égissent le monde, séparé de l’homme, et l’homme,
séparé
de Dieu. Pourtant le dernier mot a été prononcé. ⁂ L’effort de l’homm
29
igentsia dont toute la « distinction » consiste à
séparer
jalousement la pensée de l’action, du risque et de l’engagement perso
30
ieu que nous avons choisi pour notre action, nous
sépare
, et non pas nos principes de départ. l. « Où sont les jeunes protest
31
e moyen de faire tomber les barrières morales qui
séparent
nos contemporains, l’on s’en persuadera facilement en lisant les réci
32
t que Dieu l’appelle, qu’il le nomme et par là le
sépare
, autrement l’homme n’est rien qu’un exemplaire dans le troupeau. Le s
33
issent ou trahissent les buts de l’écrivain et le
séparent
de l’humanité. Une littérature personnaliste rétablira la hiérarchie,
34
iqués comme les pièces d’un puzzle. Dès qu’on les
sépare
, il faut chercher dans quel trou va la cheville, voilà vos livres. Vo
35
ète mais déjà consciente ; cependant que l’objet,
séparé
du sujet, n’a rien en lui qui le pousse à chercher ce dont il manque,
36
purs, pleins de problèmes, peuplés de fantômes et
séparés
par eux de nous-mêmes et du monde. Nous nous voyons dominés fréquemme
37
la personne, c’est-à-dire réduire la distance qui
sépare
notre vie de notre vocation. La foi au Christ, c’est la foi dans la p
38
c’est au nom de cette erreur qu’on croit pouvoir
séparer
l’âme du corps — quitte à ne plus savoir comment les réunir — ce que
39
es contre les marxistes : spirituel d’abord, vous
séparez
vous aussi, dans le temps, ce qui n’a d’existence réelle que dans l’u
40
dans son origine et dans sa fin. L’homme étant «
séparé
» de Dieu sa source, — et c’est en quoi consiste le péché « originel
41
rables dans la Révolution. Et si l’on vient à les
séparer
sous prétexte de saisir au passage certaines opportunités imprévues,
42
igentsia dont toute la « distinction » consiste à
séparer
jalousement la pensée de l’action, du risque et de l’engagement perso
43
es contre les marxistes : spirituel d’abord, vous
séparez
vous aussi, dans le temps, ce qui n’a d’existence réelle que dans l’u
44
dans son origine et dans sa fin. L’homme étant «
séparé
» de Dieu sa source, — et c’est en quoi consiste le péché « originel
45
rables dans la Révolution. Et si l’on vient à les
séparer
sous prétexte de saisir au passage certaines opportunités imprévues,
46
économiste à gauche. Elles conduisent Lénine à se
séparer
des populistes et des économistes au congrès de Bruxelles en 1903 (fo
47
olchévique, c’est-à-dire majoritaire) ; puis à se
séparer
de Plekhanov et des vieux marxistes au congrès de Londres en 1905. En
48
olitique, la création intellectuelle ne sera plus
séparée
des « masses ». Une culture isolée n’est pas une vraie culture ; ell
49
ar là même la valeur de tous les siècles qui nous
séparent
apparemment de cet événement éternel. N’est-il pas fort étrange et hu
50
un acte. Vision et visage La vision relie et
sépare
. Passant du sujet à l’objet, elle les unit dans le temps même qu’elle
51
’amour ? Peut-on les isoler sans du même coup les
séparer
de leur existence même ? La vision est un jugement (psychologie)
52
trange prétention d’arbitrer le conflit vital, de
séparer
les deux antagonistes : de leur permettre, pensait-il, de « s’expliqu
53
uveau , surtout une construction. Pas question de
séparer
ces deux temps de l’action, et qu’on n’aille pas croire que L’ON n’
54
nt. Les deux forces antagonistes artificiellement
séparées
se corrompent chacune pour son compte, explosent parfois en violences
55
s-Christ en faisant abstraction du temps qui nous
sépare
de son apparition terrestre. Notre formation historique et psychologi
56
cas — nous ne pensons qu’aux 19 siècles qui nous
séparent
de Jésus-homme, et que nous parvenons plus ou moins aisément à survol
57
entie et vécue ». Mais si c’est le péché qui nous
sépare
de Christ, pensons-nous rejoindre Jésus-Christ par les artifices d’un
58
t, prit soudain la parole comme nous allions nous
séparer
; et je ne suis pas loin de croire qu’il exprima la vérité la plus ce
59
nte et le tremblement, son espérance. ⁂ Nous nous
séparâmes
sur ces mots. Les « barthiens » qui avaient parlé regagnèrent leur li
60
nos motifs et les leurs, il y a tout l’abîme qui
sépare
un idéal moral d’une foi au Christ vivant ? Car le chrétien n’est pa
61
nne vulgarisée. Le langage est précisément ce qui
sépare
, et non ce qui confond. C’est le verbe (qui est acte) qui distingue e
62
u suivant : « Quoique nous ayons pour habitude de
séparer
nettement les articles qui paraissent dans L’Ordre nouveau et dans le
63
l, ne vaudrait-il pas mieux le mettre à part ? Le
séparer
de ces réalités trop terre-à-terre où le commun risquerait fort de ne
64
nagers. Ils ne voient pas que dès l’instant qu’on
sépare
l’esprit du « réel », pour le vénérer dans un temple, l’esprit n’est
65
ulu, c’est que l’esprit « clair et distinct » fût
séparé
absolument du corps. Ce que Descartes a proposé, ce que l’Église, pou
66
ction cartésienne, n’est pas demeurée sans effet.
Séparer
soigneusement l’esprit du corps, et glorifier cet esprit distingué, c
67
eux. Une telle disposition d’esprit nous incite à
séparer
ce qui était lié chez les mystiques : la vision de foi et les symbole
68
ni l’autre ne valent rien dès l’instant qu’on les
sépare
et qu’on cesse de les mettre en tension. Il n’est d’action créatrice
69
bler tant bien que mal tous les abîmes : ceux qui
séparent
l’éternel du temporel, Dieu de l’homme, la grâce de la nature, et la
70
et pour relier rationnellement ce que le péché a
séparé
. Est-ce que je me trompe grossièrement ? Est-ce que la question n’exi
71
on de ses mystères !… Il a permis à son Église de
séparer
ce qu’il avait mis ensemble… Et non seulement l’Église a cessé de fai
72
Bossuet ajoute : Vous vous étonnez de ce qu’on
sépare
ce que Jésus-Christ a mis ensemble, et qu’on donne le corps à manger
73
nnez-vous donc aussi de ce que la Cène sacrée est
séparée
du souper commun ! Mais plutôt ne vous étonnez jamais de ce que l’Égl
74
s-Christ a voulu faire. Elle a donc le pouvoir de
séparer
ce qu’il avait mis ensemble, de cesser de faire ce qu’il avait fait,
75
e traduit qu’un subjectivisme absolu dès qu’on le
sépare
de l’Écriture, qui nous fournit son critère objectif. Pourquoi nos fr
76
incomparables. Tout l’appareil de la culture les
sépare
. Mais il ne faut pas oublier que la culture de notre temps n’est plus
77
e drame de la culture d’opposition, de la culture
séparée
, qui sous nos yeux, vient de se renouer au cœur de la construction so
78
, injustices économiques, décadence d’une culture
séparée
du peuple et divisée contre elle-même, grabuge des factions partisane
79
nt à raffiner l’expression propre de chaque chose
séparée
, au détriment de l’expression générale, d’autre part, la grande masse
80
rche vers elle, — le monde de la poésie. Diviser,
séparer
, isoler, faire scission, ce n’est pas seulement cartésien ; et Descar
81
t à ce terme — est le seul historien clairvoyant.
Séparer
prophétie et histoire comme le font les mauvais savants, c’est préten
82
nt à raffiner l’expression propre de chaque chose
séparée
, au détriment de l’expression générale, d’autre part, la grande masse
83
e drame de la culture d’opposition, de la culture
séparée
, qui, sous nos yeux, vient de se renouer au cœur de la construction s
84
, injustices économiques, décadence d’une culture
séparée
du peuple et divisée contre elle-même, grabuge des factions partisane
85
ctions, que toute la culture d’hier s’évertuait à
séparer
: pensée et main. « Penser avec les mains », c’est devenu pour moi co
86
ce qu’on peut imaginer de plus abstrait, de plus
séparé
des réalités charnelles, de plus innocemment idéaliste, de plus fauss
87
e. Ce sont de véritables Prêtres de l’insoluble.)
Séparé
d’une certaine réalité encore informe et instinctive où il ne voit av
88
alité le déconcerte, le clerc moderne est surtout
séparé
de lui-même et de son tragique. Sa probité intellectuelle consiste au
89
ercs qui la défendent paraissent irrémédiablement
séparés
de leur peuple et de ses plus profonds instincts ? Le problème est no
90
r elle est le temps même, le mauvais temps qui me
sépare
du monde et confond tout dans la distance triste. Le temps, c’est l’a
91
u péché, c’est-à-dire de la chute originelle, qui
sépara
la pensée de l’homme de la réalité totale de l’Éden, et lui permit de
92
ndant nous sommes dans le temps, et le temps nous
sépare
sans cesse de l’immédiat, de l’instant actuel, du risque vrai. Notre
93
st leur cruauté. Ceux qui concèdent : « On a trop
séparé
le penser et le faire. Vous avez bien raison, il faut penser en vue d
94
les lui sont parallèles à l’infini. Elles restent
séparées
de l’être en chacun de leurs points, à chaque instant, parce qu’elles
95
ion, en fait, aient été et soient de plus en plus
séparés
, que le langage puisse dire ce qui n’est pas, et ne puisse pas toujou
96
mer dans une prise unique tout ce que notre péché
sépare
; méfiance active à l’égard des habitudes et mécanismes inhumains ou
97
nous devons faire chacun tout le chemin qui nous
sépare
les uns des autres. Et c’est au seul moment où je t’atteins en toi, o
98
chappe, puisque le péché, justement, c’est d’être
séparé
de notre origine absolue. Toucherait-on ici au quiétisme, au fatalism
99
nous avions écartée tout d’abord. L’acte créateur
sépare
la lumière des ténèbres. Son caractère dichotomique n’est pas isolé d
100
lié à ses effets qu’on ne saurait humainement le
séparer
du premier d’entre eux, qui est l’affirmation de la personnalité. Nou
101
s net de totalité. En d’autres termes, la machine
sépare
le travail qualifié, qu’elle repousse vers l’activité spirituelle, du
102
rer ce dernier paragraphe (D. R.). « Le seuil qui
sépare
le prélogique du logique, où est-il donc ? Le point est d’importance
103
: le prophète est le seul historien clairvoyant.
Séparer
prophétie et histoire comme le font les mauvais savants, c’est préten
104
nt à raffiner l’expression propre de chaque chose
séparée
, au détriment de l’expression générale, d’autre part, la grande masse
105
e drame de la culture d’opposition, de la culture
séparée
, qui, sous nos yeux, vient de se renouer au cœur de la construction s
106
, injustices économiques, décadence d’une culture
séparée
du peuple et divisée contre elle-même, grabuge des factions partisane
107
ctions, que toute la culture d’hier s’évertuait à
séparer
: pensée et main. « Penser avec les mains », c’est devenu pour moi co
108
ce qu’on peut imaginer de plus abstrait, de plus
séparé
des réalités charnelles, de plus innocemment idéaliste, de plus fauss
109
e. Ce sont de véritables Prêtres de l’insoluble.)
Séparé
d’une certaine réalité encore informe et instinctive où il ne voit av
110
ité » le déconcerte, le clerc moderne est surtout
séparé
de lui-même et de son tragique. Sa probité intellectuelle consiste au
111
ercs qui la défendent paraissent irrémédiablement
séparés
de leur peuple et de ses plus profonds instincts ? Le problème est no
112
r elle est le temps même, le mauvais temps qui me
sépare
du monde et confond tout dans la distance triste. Le temps, c’est l’a
113
u péché, c’est-à-dire de la chute originelle, qui
sépara
la pensée de l’homme de la réalité totale de l’Éden, et lui permit de
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ndant nous sommes dans le temps, et le temps nous
sépare
sans cesse de l’immédiat, de l’instant actuel, du risque vrai. Notre
115
st leur cruauté. Ceux qui concèdent : « On a trop
séparé
le penser et le faire. Vous avez bien raison, il faut penser en vue d
116
les lui sont parallèles à l’infini. Elles restent
séparées
de l’être en chacun de leurs points, à chaque instant, parce qu’elles
117
ion, en fait, aient été et soient de plus en plus
séparés
, que le langage puisse dire ce qui n’est pas, et ne puisse pas toujou
118
mer dans une prise unique tout ce que notre péché
sépare
; méfiance active à l’égard des habitudes et mécanismes inhumains ou
119
nous devons faire chacun tout le chemin qui nous
sépare
les uns des autres. Et c’est au seul moment où je t’atteins en toi, o
120
chappe, puisque le péché, justement, c’est d’être
séparé
de notre origine absolue. Toucherait-on ici au quiétisme, au fatalism
121
ure, et en particulier la littérature, a voulu se
séparer
des intérêts fondamentaux de la nation. Ce phénomène est apparu dès l
122
ge. (Nous ne savons que trop bien, nous modernes,
séparer
le fond de la forme ; admirer l’une quand nous condamnons l’autre, et
123
r, pour la vie spirituelle, il n’est pas de lieux
séparés
, on peut toujours passer de l’un à l’autre par quelque ruse de la mét
124
c l’attitude créatrice de l’homme. À vouloir l’en
séparer
, on aboutit à fabriquer ces mythes qui ont nom race, peuple, prolétar
125
, que, pas plus qu’on ne saurait sans les trahir,
séparer
les unes des autres les diverses institutions que nous préconisons, o
126
essité de l’autorité spirituelle dans la société,
séparée
du pouvoir matériel. Et quiconque sait interpréter les faits historiq
127
a maison compte deux chambres au rez-de-chaussée,
séparées
de la cuisine par un couloir dallé. À l’étage, où l’on parvient par u
128
a maison compte deux chambres au rez-de-chaussée,
séparées
de la cuisine par un couloir dallé. À l’étage, où l’on parvient par u
129
a maison compte deux chambres au rez-de-chaussée,
séparées
de la cuisine par un couloir dallé. À l’étage, où l’on parvient par u
130
’est précisément parce que j’écris que je me vois
séparé
de beaucoup d’hommes, du plus grand nombre. Et d’abord de ceux qui m’
131
i à ses semblables par un lien de responsabilité.
Séparé
du monde et remis au monde d’une manière toute nouvelle, non plus pou
132
l’individu le plus parfait de son espèce, dont le
sépare
enfin cette perfection… Telle est la formule à la fois de la mission
133
lication, notre perfectionnement nous ont si bien
séparés
de cela qu’il nous semble parfois qu’il n’est plus qu’une alternative
134
re de métier. Ce n’est pas la « classe » qui nous
sépare
ici, mais la profession, les préoccupations professionnelles, et le d
135
pas d’un usage plus normal là où les hommes sont
séparés
par de grandes distances désertes ? C’est un symbole. On peut en dédu
136
aux yeux des intellectuels bourgeois complètement
séparés
du réel, et qui commencent à s’en douter. Gardons-nous de les découra
137
e si quelqu’un manque d’observer cet ordre, on le
sépare
de l’autel, sans qu’il lui soit plus permis de faire aucune des fonct
138
ge. (Nous ne savons que trop bien, nous modernes,
séparer
le fond de la forme, admirer l’une quand nous condamnons l’autre, et
139
sement vivant dans ma mémoire, et je ne puis plus
séparer
sa vision de ce que m’évoque le nom de Michel Babits. ⁂ Esztergom est
140
mme en proie au mythe. C’est la femme dont on est
séparé
, et qu’on perd en la possédant. Alors commence une « passion » nouvel
141
passage où Jésus proclame que l’homme ne doit pas
séparer
ce que Dieu a uni ; soit enfin sur des entretiens de Jésus ressuscité
142
’Isolde, plus de Tristan, plus aucun nom qui nous
sépare
! » Il faut que l’autre cesse d’être l’autre, donc ne soit plus, pour
143
idélité, du simple fait qu’elle habitue à ne plus
séparer
le désir et l’amour. Car si le désir va vite et n’importe où, l’amour
144
étroite, mal éclairée. Une seule chaîne de SS le
séparait
de la foule. J’étais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon ti
145
tement une rue étroite. Une seule chaîne de SS le
séparait
de la foule. J’étais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon ti
146
e, mal éclairée. Une seule chaîne de miliciens le
séparait
de la foule. J’étais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon ti
147
qui a pris forme ; tout ce que notre conscience a
séparé
du Tout. Et c’est cela qui constitue notre réalité de tous les jours.
148
de son départ. Il franchit d’un saut l’espace qui
sépare
les deux lits. Mais une blessure récente qu’il a reçue à la jambe se
149
e sa femme. Marc promet son pardon. Les amants se
séparent
à l’approche du cortège royal. Iseut supplie encore Tristan de demeur
150
ié par la fidélité du chevalier ; — les amants se
séparent
, au terme des trois années dans la forêt, parce que le philtre cesse
151
our ce qui empêche le « bonheur » des amants, les
sépare
et les martyrise ? Répondre : ainsi le veut l’amour courtois, ce n’es
152
eut dire qu’ils ne perdent pas une occasion de se
séparer
. Quand il n’y a pas d’obstacle, ils en inventent : l’épée nue, le mar
153
« En mal uson notre jovente… ». La décision de se
séparer
est bientôt prise. Tristan propose de « gerpir » en Bretagne. Auparav
154
chevalier lorsque rien d’extérieur à eux-mêmes ne
sépare
plus les amants. C’est même l’inverse qui se produit alors : l’épée n
155
ons aussi qu’en cette extrémité, la volonté de se
séparer
revêt une valeur affective plus forte que la passion même. La mort, q
156
r à cause de la forte chaleur, et dormaient ainsi
séparés
l’un de l’autre parce que… » Ici le texte est interrompu ! Et Bédier
157
es : Premier séjour de Tristan en Irlande. Ils se
séparent
sans s’aimer. — Second séjour : elle veut le tuer. — Navigation et ph
158
evient à la cour. Le « flagrant délit ». Ils sont
séparés
. — Ils se retrouvent et passent trois ans dans la forêt, puis se sépa
159
uvent et passent trois ans dans la forêt, puis se
séparent
. — Rendez-vous chez Orri le forestier ; Tristan s’éloigne. — Tristan
160
su de la lumière et des dieux Me voici en exil et
séparé
d’eux. Je suis un dieu, et né des dieux Mais maintenant réduit à sou
161
r. Et revêtant la condition de l’homme pécheur et
séparé
, mais sans pécher et sans se diviser, l’Amour de Dieu nous a ouvert u
162
tianisme n’est un malheur mortel que pour l’homme
séparé
de Dieu, mais un malheur recréateur et bienheureux dès cette vie pour
163
in de la nuit la Lumière vraie dont il ne faut se
séparer
? Beau doux copain, tant riche est ce séjour Que ne veux jamais plus
164
rencontreraient après la mort, pour ne jamais se
séparer
»82. Il serait aisé de multiplier ces comparaisons littéraires. Mais
165
n’enflamme Tristan si follement que lorsqu’il est
séparé
de sa « dame ». La psychologie la plus simple rendrait compte de ce p
166
extrême) : plus Tristan aime, et plus il se veut
séparé
, c’est-à-dire rejeté par l’amour. Au point qu’il doutera même de l’«
167
a distinction. » Et ailleurs : « L’abîme qui nous
sépare
de Dieu est perçu de nous au lieu le plus secret de nous-mêmes. Il es
168
Christ époux de l’Église. Mais la voie de l’homme
séparé
, c’est la passion, — et la passion est partout dans leurs œuvres, tan
169
ède le péché. C’est lorsque la volonté humaine se
sépare
de Dieu pour être une volonté à soi, qu’elle suscite sa propre ardeur
170
mment il se peut faire qu’il vive encore, quoique
séparé
de sa dame : Mais Amour me répond : ne te souvient-il pas que c’est
171
n était censé résoudre. On y voit l’âme récemment
séparée
de son corps adresser à son compagnon les reproches les plus amers :
172
vère : Ce matin nous apporte une paix assombrie…
Séparons
-nous pour nous entretenir encor de ces tristesses.133 ⁂ Il est cert
173
ter un rival. Souffrant de ce que plus rien ne le
sépare
d’Angélique, mais honteux d’avouer cette souffrance, il imagine de se
174
e ce xviie siècle « rationnel » que nos mœurs se
séparent
des croyances religieuses (comme l’avait proposé Confucius) et, sans
175
ui rendent un son proprement manichéen : On doit
séparer
Dieu et la Nature. Dieu n’a rien à faire avec la Nature, il est le bu
176
oppés de ténèbres, c’est le désir charnel qui les
sépare
encore. Ils sont ensemble et pourtant ils sont deux. Il y a ce et de
177
passage où Jésus proclame que l’homme ne doit pas
séparer
ce que Dieu a uni ; soit enfin par des entretiens de Jésus ressuscité
178
’Isolde, plus de Tristan, plus aucun nom qui nous
sépare
! » Il faut que l’autre cesse d’être l’autre, donc ne soit plus, pour
179
fidélité du simple fait qu’elle habitue à ne plus
séparer
le désir et l’amour. Car si le désir va vite et n’importe où, l’amour
180
ent devient reine. Au jour où les deux couples se
séparent
, Girard prend à part deux témoins, ainsi que Berthe sa femme, et la r
181
s êtres. Certes : « la pureté de l’amour courtois
sépare
les amants, au lieu que celle de l’amour mystique les unit ». Mais il
182
Mais il faut voir que les amants courtois ne sont
séparés
sur la terre qu’en vertu de cet amour mystique qui les unit à la divi
183
ut accord se révèle impossible, et les députés se
séparent
sur une menace de guerre civile entre cités et petits cantons. Mais v
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e que Dieu lui-même a uni, l’homme ne peut pas le
séparer
! Nicolas. — Ce que Dieu a uni, Dieu peut le séparer. Un jour, pl
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! Nicolas. — Ce que Dieu a uni, Dieu peut le
séparer
. Un jour, plus tard, nous comprendrons. (Ils disparaissent dans la m
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onnaissance et d’illustrer ce mémorable exemple !
Séparons
-nous dans la paix et la joie ! Les assistants de gauche. — Un pou