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ans Bude il y a des ruelles qui sentent encore le
Turc
. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en
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eau tapis mince, ou bannière, avec des caractères
turcs
brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni
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un soir, une présentation de musiques hongroises,
turques
et chinoises, commentées et comparées par un folkloriste aux yeux ard
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ans Bude il y a des ruelles qui sentent encore le
Turc
. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en
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eau tapis mince, ou bannière, avec des caractères
turcs
brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni
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de, un soir, une audition de musiques hongroises,
turques
et chinoises, commentées et comparées par un folkloriste aux yeux ard
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ans Bude il y a des ruelles qui sentent encore le
Turc
. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en
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eau tapis mince, ou bannière, avec des caractères
turcs
brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni
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de, un soir, une audition de musiques hongroises,
turques
et chinoises, commentées et comparées par un folkloriste aux yeux ard
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na par toute l’Europe, et peut-être même chez les
Turcs
, le rendit attentif à tant de phénomènes que son vocabulaire ne pouva
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De même l’article suivant : « Faire la guerre aux
Turcs
n’est pas contraire au Saint-Esprit. » 33. L’acte de la grâce, l’act
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Pourquoi ? (Voir les dialogues entre Alice et le
Turc
Chenille dans Alice au Pays des Merveilles.) 77. Mais qu’est-ce que
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Pourquoi ? (Voir les dialogues entre Alice et le
Turc
Chenille dans Alice au pays des merveilles.) 79. Mais qu’est-ce que
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’une grande femme en noir. C’est la propriétaire,
Madame Turc
. Elle nous fait entrer. Pour la vente du raisin, il faut attendre sa
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deux femmes le dirigent seules depuis la mort de
M. Turc
. Elles ont un peu de peine avec les ouvriers. Il paraît qu’on en trou
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as tenir compte. Un communiste traitera les dames
Turc
de « koulaks » et tout sera dit. Le marxisme part de statistiques et
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’une grande femme en noir. C’est la propriétaire,
Mme Turc
. Elle nous fait entrer. Pour la vente du raisin, il faut attendre sa
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deux femmes le dirigent seules depuis la mort de
M. Turc
. Elles ont un peu de peine avec les ouvriers. Il paraît qu’on en trou
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as tenir compte. Un communiste traitera les dames
Turc
de « koulaks » et tout sera dit. Le marxisme part de statistiques et
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supposées hostiles (passion créatrice de têtes de
Turcs
et de boucs émissaires). Introduisez la discussion, vous rendez impos
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rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des
Turcs
. Idées chimériques mais dont l’empire ne cessera de s’exercer sur les
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rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des
Turcs
. Idées chimériques mais dont l’empire ne cessera de s’exercer sur les
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rois, la conquête de Jérusalem et l’expulsion des
Turcs
. Idées chimériques mais dont l’empire ne cessera de s’exercer sur les
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particuliers (Feuillets, Numquid et tu, La Marche
turque
, etc.), malgré la perfection constante de l’écriture, et toutes ces a
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qui « rapporte contre récompense ». 8 avril 1939
Monsieur Turc
a été marin, puis contrebandier, puis douanier. Il cultive aujourd’hu
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vailler ! J’ai tout semé comme les autres années…
Monsieur Turc
promène un regard précis et compétent sur le vallon et les cultures.
27
lle un beau redressement national ! 11 avril 1939
Monsieur Turc
a semé, mais moi, je n’arrive même pas à défricher le champ d’un gros
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particuliers (Feuillets, Numquid et tu, la Marche
turque
, etc.), malgré la perfection presque constante de l’écriture, et tout
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ans Bude il y a des ruelles qui sentent encore le
Turc
. Tandis que nous y rôdions, un soir étouffant, vous m’avez montré en
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eau tapis mince, ou bannière, avec des caractères
turcs
brodés en or. L’histoire de Gül Baba est racontée sur un papier jauni
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un soir, une présentation de musiques hongroises,
turques
et chinoises, commentées et comparées par un folkloriste aux yeux ard
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’une grande femme en noir. C’est la propriétaire,
Mme Turc
. Elle nous fait entrer. Pour la vente du raisin, il faut attendre sa
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deux femmes le dirigent seules depuis la mort de
M. Turc
. Elles ont un peu de peine avec les ouvriers. Il paraît qu’on en trou
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as tenir compte. Un communiste traitera les dames
Turc
de « koulaks » et tout sera dit. Le marxisme part de statistiques et
35
icopolis, de Mohacs et du siège de Vienne par les
Turcs
; mieux encore, à ces temps du xiiie siècle, où la marée mongole bat
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t étrangers. 35. C’est ainsi que la Constitution
turque
actuellement en vigueur est l’œuvre d’un professeur de droit de Neuch
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copolis, de Mohacs, et du siège de Vienne par les
Turcs
? C’est à quoi nous en sommes, et c’est pire. Car une absurde conjonc
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copolis, de Mohacs, et du siège de Vienne par les
Turcs
? C’est à quoi nous en sommes, et c’est pire. Car une absurde conjonc
39
s prolongements proche-orientaux, occupés par les
Turcs
, et tend ainsi à se confondre avec l’Europe géographique, cependant q
40
européen, de la Puszta hongroise à l’Asie Mineure
turque
, en passant par les Balkans, est demeuré sans nul doute moins occiden
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européen, de la Puszta hongroise à l’Asie Mineure
turque
, en passant par les Balkans, est demeuré sans nul doute moins occiden
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té — européenne. Il faudra les menaces mongole et
turque
pour réveiller, avec la chrétienté, l’idée d’Europe. Ici donc prend
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té — européenne. Il faudra les menaces mongole et
turque
pour réveiller, avec la chrétienté, l’idée de l’Europe. Ici donc pren
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ux saints, puis de coalition défensive contre les
Turcs
. Trois grands motifs commandent ces projets : la paix, la croisade, l
45
ersel Leibniz. Le motif de la croisade contre les
Turcs
n’est guère absent que chez trois des auteurs marquants que nous cite
46
cé, pacifiste intégral, qui voudrait englober les
Turcs
dans son système. Mais pourquoi les premiers appels à l’union des pri
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hême et la seigneurie de Venise, pour résister au
Turc
. Podiebrad comptait y faire participer d’entrée de jeu les rois de Po
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sa splendeur d’autrefois… Car l’islam, puis les
Turcs
, sont survenus, « réduisant en leur puissance d’abord le glorieux emp
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les fidèles opprimés contre l’immonde prince des
Turcs
en évaluant et déclarant proportionnellement les forces et les ressou
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se réunir pour poursuivre leur marche contre les
Turcs
. Mais voici comment le traité prévoit le fonctionnement de l’Assembl
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de Bohême. Byzance venait de tomber aux mains des
Turcs
. Pour Æneas Silvius, l’Europe est identifiée à « notre patrie, notre
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iverselle, incontestée, n’est menacée que par les
Turcs
à l’extérieur : eux seuls, parfois, réveillent le sens d’une certaine
53
isée pour des siècles, la France s’est alliée aux
Turcs
contre le reste de l’Europe, l’Espagne a perdu la plupart de ses anci
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aux risques de la chrétienté (si par exemple les
Turcs
occupent, sur ces entrefaits, les provinces des chrétiens) alors il f
55
re, sur la stabilité des États européens, sur les
Turcs
, et sur le nationalisme naissant : XXXIV. — On rougit de rappeler po
56
es Italiens ; ni empoisonnée par le voisinage des
Turcs
ou des Maures, comme chez les Hongrois ou les Espagnols. L’Allemagne,
57
es chrétiens ne déchaînent-ils pas ce mal sur les
Turcs
? Il serait, naturellement préférable de convertir les Turcs au chris
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serait, naturellement préférable de convertir les
Turcs
au christianisme, par la persuasion, par les bienfaits, et par l’exem
59
u’en 1530, dans sa Consultation sur la guerre aux
Turcs
, il en vient enfin à l’idée d’un Pouvoir supranational : il ne peut t
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en conclut que l’Europe ne peut plus résister aux
Turcs
, et que la chrétienté devra se transporter dans cette Amérique du sal
61
s ; puis, si cela est acquis, alors attaquons les
Turcs
. 86. De la chronique suédoise du xvie siècle, d’Olaf Petri.
62
4.« Têtes de
Turcs
» Nous avons dit, au reste, que le xvie siècle n’apporte rien de n
63
nion de l’Europe : il n’y penserait plus sans les
Turcs
. Ceux-ci ont certes assiégé Vienne en 1552, au grand effroi de la chr
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res intestines font plus de mal à l’Europe que le
Turc
? Peut-être, mais on n’ose appeler l’union qu’en se réclamant du myth
65
étant restée sans effets, il recourt à l’argument
turc
, dans une lettre au roi d’Angleterre : Vous êtes deux ou trois dans
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trois dans le monde chrétien : les victoires des
Turcs
nous ont porté dans un péril extrême : et vous voulez vous quereller
67
s de Constantinople, a livré l’Asie aux mains des
Turcs
; elle leur a ouvert les portes de la Thrace. Par la suite, les disse
68
utre comme les têtes de l’hydre ont encouragé les
Turcs
à s’étendre sur l’Europe plus largement encore… N’importe qui peut go
69
ais par votre faute, tant de succès ont rendu les
Turcs
un peu plus audacieux. Parfois l’art arrive à corriger quelques défau
70
us tourniez votre haine et votre fureur contre le
Turc
, vous connaîtriez immédiatement ce qu’est le temple des Asiatiques. L
71
e a caché, et ferait voir en toute clarté que les
Turcs
ne furent pas forts de leur propre force et courage, mais de vos erre
72
d’abord, qu’ils travaillent en commun pour que le
Turc
ne s’empare de l’Allemagne ; sinon il n’y a plus d’espoir que tout l’
73
spoir que tout l’Occident ne tombe au pouvoir des
Turcs
, et que ceux qui refusent de vivre sous ce joug, n’émigrent en grande
74
forte ; mais de quoi cela lui servirait-il, si le
Turc
possédait la meilleure partie de l’Europe ? Vives rejoint ici l’opin
75
’opinion d’un autre champion de la résistance aux
Turcs
, Gaspard Peucer (1525-1602), savant allemand, gendre de Melanchton, d
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unis ensemble, peuvent en quatre ans chasser les
Turcs
de l’Europe. La Noue propose une confédération entre les princes chré
77
ans l’un de ses livres intitulé La République des
Turcs
(1560), il se nomme au contraire et à plusieurs reprises cosmopolite.
78
personnage a monstré les moyens d’exterminer les
Turcs
dans les quatre ans ou environ91, et plusieurs autres belles concepti
79
e qu’elle ébranle les trônes, même celui du Grand
Turc
. D’autre part les chrestiens n’advancent pas mieux leurs affaires :
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ls n’en ioüissent pas longtemps, au contraire les
Turcs
se maintiennent, et ne se laissent point aisément dessaisir de leurs
81
nt si séparez de volonté et d’affection, comme le
Turc
et le Persan, le François et l’Espagnol, le Chinois et le Tartare, le
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volution presque impensable ! — que le Sultan des
Turcs
vienne immédiatement après lui, « attendu qu’il tient le siège de l’e
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en effet : comme « marche » et rempart contre les
Turcs
, un royaume de Hongrie (Basse-Autriche, Styrie, Carinthie, Croatie, B
84
s duchés de Holstein et de Courlande, un ; si les
Turcs
et les Russes étaient compris, ce qui semblerait convenable et juste,
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paraître un plan d’union qui change de « tête de
Turc
» si l’on ose dire. Anticipons sur la chronologie, pour marquer cette
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de de recourir au mythe de la croisade contre les
Turcs
: car il faut au contraire les avoir avec nous et les aider… contre l
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pticmorum. Il s’agissait de se tourner contre les
Turcs
, une fois de plus, de conquérir l’Égypte et de percer l’isthme de Sue
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sont chrétiens tous deux, ennemis et frontiers du
Turc
, quoique bien éloignés l’un de l’autre. Mais le tsar et le monarque d
89
e surtout aux occupations pacifiques ; Persans et
Turcs
enfin ont mêlé à la mollesse de l’Asie qu’ils ont soumise, les croyan
90
, les croyances grossières de leur religion ; les
Turcs
en particulier tempèrent leur orgueil par la magnificence, la libéral
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ez-en, je vous prie, la Grèce, qui obéit au Grand
Turc
, et la malheureuse partie de l’Italie qui obéit au pape. A. — Je les
92
t sa grandeur ; même dans la capitale de l’empire
turc
un noble ennemi honora par un service funèbre public la mémoire du gr
93
t Pacha contre le peuple serbe, encore vassal des
Turcs
, arrache au vieux poète des pages dont les événements de Budapest ont
94
e tabler sur la puissance russe pour refouler les
Turcs
, jusqu’au moment où le courant se renverse, vers la fin du xviiie si
95
il serait bon de s’unir et de s’entendre avec les
Turcs
. Voltaire et ses contemporains tenaient encore que l’Europe s’arrête
96
s’approchaient des frontières allemandes ; que le
Turc
occupait la Hongrie et assiégeait Vienne ; et pourtant ces dangers so
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es font défaut. Un danger commun, comme jadis les
Turcs
? Rien ne se trouve plus dans la même situation qu’autrefois, dans no
98
s du cap occidental, au surplus rétrécies par les
Turcs
à l’est et par les Arabes au sud-ouest. Christophe Colomb n’est pas p
99
use, d’un petit cap de l’Asie rongé de mers et de
Turcs
, qui occupe moins de 5 % des terres du globe et qui allait conquérir,
100
s du cap occidental, au surplus rétrécies par les
Turcs
à l’est et par les Arabes au sud-ouest. Christophe Colomb n’est pas p
101
use, d’un petit cap de l’Asie rongé de mers et de
Turcs
, qui occupe moins de 5 % des terres du globe et qui allait conquérir,
102
s âges — le rôle d’épouvantail étant tenu par les
Turcs
jusqu’au xviiie siècle, puis par les Russes et par le péril jaune au
103
rs inopérant dans notre histoire. Soit contre les
Turcs
soit contre les Soviets, il sert de prétexte opportun, il permet de d
104
croisade — Byzance venait de tomber aux mains des
Turcs
— et qui avait été le premier à parler de l’Europe comme d’une patrie
105
s fort étonnantes pour l’époque : 1° englober les
Turcs
dans la fédération européenne, ce qui équivaudrait aujourd’hui à invi
106
hême et la seigneurie de Venise, pour résister au
Turc
. 26. Æneas Silvius Piccolomini (1405-1464), De Constantinopolitana c
107
s mongoles, ni l’entreprise des croisades, ni les
Turcs
devant Vienne à deux reprises, ni les Soviets nous pressant à l’Est e
108
Suisse (Italiens, Allemands, Espagnols, Grecs et
Turcs
). Ce n’est pas le Marché commun qui les amène. C’est l’expansion de l
109
rangers en Suisse : Italiens, Espagnols, Grecs et
Turcs
. (Cela ferait 7 millions en France, 8 en Allemagne.) Mais ce n’est pa
110
taliens, ces dizaines de milliers d’Espagnols, de
Turcs
et de Grecs posent des problèmes sans précédent aux entreprises, aux
111
e à la même époque. Le norvégien, l’irlandais, le
turc
d’aujourd’hui, sont des produits du xxe siècle. Renan a fait justice
112
res et quelques bâtards, les Espagnols, Italiens,
Turcs
et Portugais laissent peu de traces de leur passage sur notre sol, da
113
nt toujours dépréciatifs, sauf un : fort comme un
Turc
! Les clichés sur son propre peuple sont, par contre, toujours laudat
114
Maltais ! Norvégiennes, Norvégiens ! Ottomanes et
Turcs
! Polonaises, Polonais ! Portugaises, Portugais ! Roumaines, Roumains
115
e lettre ouverte les appelant à s’unir contre les
Turcs
. En réalité, c’est contre l’anarchie des États souverains, alors nais
116
s prolongements proche-orientaux, occupés par les
Turcs
, et tend ainsi à se confondre avec l’Europe géographique, cependant q
117
e à la même époque. Le norvégien, l’irlandais, le
turc
d’aujourd’hui sont des produits du xxe siècle. Renan a fait justice
118
: le romain de nation germanique, l’espagnol, le
turc
et le russe. Au xviie , l’État de dimensions moyennes triomphe sur le
119
décennies, l’URSS comptera une forte majorité de
Turcs
et d’Asiatiques.) Voilà qui est propre à modifier d’une manière drama
120
elui du clergé orthodoxe en Grèce occupée par les
Turcs
: mainteneur de l’identité nationale. Ici, le rôle des Turcs est tenu
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nteneur de l’identité nationale. Ici, le rôle des
Turcs
est tenu par les industriels occidentaux, par le shah et la classe di
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de traduire du grec en portugais ou du danois en
turc
? Ici, on touche à l’absurde. Il semble donc réaliste de conclure qu
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a chute de Constantinople et la guerre contre les
Turcs
, pour la première fois dans l’Histoire, Pie II identifie l’Europe à «
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manque ; en Angleterre, celle d’Oxford ; chez les
Turcs
, le corps des Ulémas. Ces corps, étant les premiers défenseurs de la
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a chute de Constantinople et la guerre contre les
Turcs
, pour la première fois dans l’Histoire, Pie II identifie l’Europe à «
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Chinois, Indiens, Afghans, Pakistanais, Iraniens,
Turcs
, etc., avant même d’envoyer leurs chars et leurs troupes à la conquêt
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hême et la seigneurie de Venise, pour résister au
Turc
. (Byzance est tombée quatre ans plus tôt.) L’ouvrage est offert en 14