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de ne rien tenter au-delà ». C’est le comble de l’
économie
bourgeoise que cette administration exacte d’un petit capital. Le con
2
même temps, figure l’antithèse de Hölderlin : l’«
économie
» d’un Goethe, bien superficiellement qualifiée de bourgeoise, est en
3
de l’action ; sinon par l’effort d’instaurer une
économie
générale de la vie impliquant cette identité et fondant sur elle ses
4
où de nos jours, l’on peut réclamer à bon droit l’
économie
de nuances vaines et la décision, même brutale, l’on ne saurait ici s
5
élément considérable dans l’atmosphère et dans l’
économie
du lieu. On l’a mise en pension en Bavière, et les galants qui passen
6
ement syncopé du travail et du loisir, créé par l’
économie
citadine, ici s’apaise et laisse percevoir les rythmes naturels, l’am
7
où de nos jours, l’on peut réclamer à bon droit l’
économie
de nuances vaines et la décision, même brutale, l’on ne saurait ici s
8
ement syncopé du travail et du loisir, créé par l’
économie
citadine, ici s’apaise et laisse percevoir les rythmes naturels, l’am
9
élément considérable dans l’atmosphère et dans l’
économie
du lieu. On l’a mise en pension en Bavière, et les galants qui passen
10
ché, permettant, sur cette terre, une scandaleuse
économie
d’énergie et de courage. Pour eux, le christianisme est contre l’homm
11
xe. En effet, quel est le but de la machine ? Une
économie
de travail. Le machinisme est, en principe, destiné à créer du loisir
12
ons personnelles : genèse des mythiques lois de l’
économie
, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’es
13
stoire de la Chine se suffit. J’aurais pu faire l’
économie
du reste. Mais nous vivons dans une époque impatiente : il faut tout
14
rannies matérielles, et consacré la primauté de l’
économie
, la primauté de l’inhumain sur les personnes ? L’État, le standard, l
15
béral est responsable de l’essor anarchique d’une
économie
devenue inhumaine, et cela non pas à cause de la machine, mais parce
16
l’autre.) Les principes qui sont à la base de l’
économie
et de la vie politique ON sont identiques à ceux qui seront à la base
17
ilité !) ; il note bien que ce sentiment permet l’
économie
de tout « concours actif de l’âme » ; il pousse la lucidité jusqu’à m
18
l’équipement actuel de la France doit permettre l’
économie
. Le travail critique de l’Ordre nouveau, tel qu’on peut le suivre dan
19
se replier sur le cadre national », « organiser l’
économie
sur le terrain national ». Tout cela est très bien, si l’on a pris la
20
qu’on fera du nouveau. Le début du chapitre sur l’
économie
s’inspire — du moins en apparence — presque textuellement de nos doct
21
tâtonnements inévitables, un gouvernement épris d’
économie
dirigée mais tenu de respecter les indications de la Nature et de mén
22
ous faut chercher le Vivant (Luc 24 : 5). Faire l’
économie
des fausses preuves, telle paraît être, en fin de compte, la justific
23
t, les « réalistes » de la petite et de la grande
économie
capitaliste se trouvent pris au dépourvu, au beau milieu de leurs cal
24
de ses buts immédiats. J’aurais pu faire ainsi l’
économie
de mes « raisons » d’agir sur le plan politique, si d’une part toute
25
nité mystique, il doit devenir un simple organe d’
économie
et de distribution des tâches serviles et mécaniques, ou bien encore,
26
gesse, proclamé en même temps que la réalité de l’
économie
, la réalité supérieure de la vie « spirituelle ». Par là même, il par
27
tent. D’autre part, la réalisation partielle de l’
économie
marxiste en Russie fait apparaître désormais la nécessité d’une spiri
28
rché, permettant, sur cette terre une scandaleuse
économie
d’énergie et de courage. Pour eux, le christianisme est contre l’homm
29
ituelle. Les principes qui seront à la base de l’
économie
et de politique nouvelles sont identiques à ceux qui seront à la base
30
els », et même que tout le trouble vient de là. L’
économie
purement matérialiste serait simple, mais elle n’existe pas, à cause
31
la personne à la culture nationale, celle-ci à l’
économie
, et l’économie à l’État, et rejoignent ainsi le régime russe, si le m
32
la culture nationale, celle-ci à l’économie, et l’
économie
à l’État, et rejoignent ainsi le régime russe, si le monde entier d’i
33
xe. En effet, quel est le but de la machine ? Une
économie
de travail. Le machinisme est, en principe, destiné à créer du loisir
34
ons personnelles : genèse des mythiques lois de l’
économie
, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’es
35
stoire de la Chine se suffit. J’aurais pu faire l’
économie
du reste. Mais nous vivons dans une époque impatiente : il faut tout
36
l’équipement actuel de la France doit permettre l’
économie
. Le travail critique de L’Ordre nouveau , tel qu’on peut le suivre d
37
t, les « réalistes » de la petite et de la grande
économie
capitaliste se trouvent pris au dépourvu, au beau milieu de leurs cal
38
de ses buts immédiats. J’aurais pu faire ainsi l’
économie
de mes « raisons » d’agir sur le plan politique, si d’une part toute
39
nité mystique, il doit devenir un simple organe d’
économie
et de distribution des tâches serviles et mécaniques, ou bien encore,
40
gesse, proclamé en même temps que la réalité de l’
économie
, la réalité supérieure de la vie « spirituelle ». Par là même, il par
41
ent. D’autre part, la réalisation partielle de l’
économie
marxiste en Russie fait apparaître désormais la nécessité d’une spiri
42
ché, permettant, sur cette terre, une scandaleuse
économie
d’énergie et de courage. Pour eux, le christianisme est contre l’homm
43
ituelle. Les principes qui seront à la base de l’
économie
et de politique nouvelles sont identiques à ceux qui seront à la base
44
els », et même que tout le trouble vient de là. L’
économie
purement matérialiste serait simple, mais elle n’existe pas et c’est
45
la personne à la culture nationale, celle-ci à l’
économie
, et l’économie à l’État, et rejoignent ainsi le régime russe, si le m
46
la culture nationale, celle-ci à l’économie, et l’
économie
à l’État, et rejoignent ainsi le régime russe, si le monde entier d’i
47
xe. En effet, quel est le but de la machine ? Une
économie
de travail. Le machinisme est, en principe, destiné à créer du loisir
48
ons personnelles : genèse des mythiques lois de l’
économie
, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à créer, son « travail » n’es
49
e la pensée et de l’action, de la culture et de l’
économie
; or, elle ne peut être cherchée sérieusement nulle part ailleurs que
50
t c’est dans cet esprit qu’il s’agit de rebâtir l’
économie
et les cadres sociaux. Vous voyez que nous retrouvons l’exigence spir
51
morale un système cohérent, englobant à la fois l’
économie
et la pensée, et toutes les lois de la cité. Or, c’est à bâtir ce sys
52
ant la culture à venir sur le solide terrain de l’
économie
psychique, l’on s’attaque à un système général de choses en ignorant
53
encore dans cette phrase. (« solide terrain de l’
économie
psychique » ?!) Mais cette affirmation du primat de l’homme sur les d
54
l’inventa, et de la place qui lui revient dans l’
économie
générale29. De là à se figurer, d’ailleurs d’une façon vague, que les
55
silence. Il n’y a pas de solution pratique dans l’
économie
actuelle. Ni de solution théorique dans l’univers spiritualiste, pauv
56
lques exemples. La nécessité de distinguer dans l’
économie
un secteur plané et un secteur libre commence d’apparaître aux yeux d
57
ar exemple, qui « parle de politique », et même d’
économie
, brouille absolument « le jeu ». M. Léon Pierre-Quint en prend volont
58
plus pressé, c’est-à-dire en organisant l’État, l’
économie
et les rapports sociaux selon les nécessités de l’heure, à leurs yeux
59
par un « paraître » ; en sorte qu’on pût faire l’
économie
des relations abstraites inventées par les psychologues, et dans lesq
60
intermédiaires sont supprimés. Goethe cherche une
économie
des moyens, qui permette d’aller au-delà de ce que la civilisation lu
61
. Si Ramuz n’aime pas les machines, s’il refuse l’
économie
d’efforts qu’elles représentent, c’est que l’effort même, pour lui, g
62
e, et que « le machinisme permettant de faire une
économie
de force encore plus grande que les inventions de la pré-Renaissance,
63
même dû — devenir du premier coup totalitaire. L’
économie
et l’opinion totalement étatisées sont en effet les conditions qu’imp
64
leçon de la guerre : pour réussir à concentrer l’
économie
entre les mains de l’État, il faut l’appui d’une mystique qui paralys
65
s. Le socialisme est une « nationalisation » de l’
économie
; le nationalisme est une « socialisation » du sentiment patriotique.
66
et arriérée, mais devant 46 partis organisés, une
économie
très complexe et très malade, un territoire surpeuplé, des traditions
67
obligation de proclamer la primauté pratique de l’
économie
et de la politique sur tout autre facteur. On s’ingénia, dans les dis
68
é bourgeoise notamment. Or il est clair qu’aucune
économie
ne peut survivre bien longtemps à la ruine de la mesure spirituelle q
69
plus frappant aujourd’hui que le destin de notre
économie
. C’est qu’entre la crise matérielle et la crise de la pensée, il y a
70
. Déjà l’on subordonne l’invention aux lois d’une
économie
en faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de mécaniques suscept
71
ine du désordre proclamé aujourd’hui dans toute l’
économie
de la planète. Mais quelle législation, quelle méthode eût osé prévoi
72
cours (ou à l’État) l’office du choix, faisant l’
économie
de l’acte et de l’engagement personnel. Comme si cette pensée systéma
73
lite sociale, c’est-à-dire d’une culture et d’une
économie
qui n’ont plus de mesure commune depuis cent-cinquante ans déjà. Nous
74
e reconstruction qui se fondent par exemple sur l’
économie
: ils pourront bien produire des millions de machines, mais ils seron
75
quement humaine. De l’autre côté, on trouvera une
économie
de force ou de pensée susceptible de se traduire en formules et en mé
76
les autres hommes, la science se traduit par une
économie
d’énergie et de pensée, d’où cette zone où l’homme marche sur de l’ar
77
et arriérée, mais devant 46 partis organisés, une
économie
très complexe et très malade, un territoire surpeuplé, des traditions
78
obligation de proclamer la primauté pratique de l’
économie
et de la politique sur tout autre facteur. On s’ingénia, dans les dis
79
é bourgeoise notamment. Or il est clair qu’aucune
économie
ne peut survivre bien longtemps à la ruine de la mesure spirituelle q
80
plus frappant aujourd’hui que le destin de notre
économie
. C’est qu’entre la crise matérielle et la crise de la pensée, il y a
81
. Déjà l’on subordonne l’invention aux lois d’une
économie
en faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de mécaniques suscept
82
ine du désordre proclamé aujourd’hui dans toute l’
économie
de la planète. Mais quelle législation, quelle méthode eût osé prévoi
83
cours (ou à l’État) l’office du choix, faisant l’
économie
de l’acte et de l’engagement personnel. Comme si cette pensée systéma
84
lite sociale, c’est-à-dire d’une culture et d’une
économie
qui n’osent plus déclarer de mesure commune depuis cent-cinquante ans
85
rs on voit que les rapports de la politique, de l’
économie
de la nation et de la culture sont un peu moins simplets que ces part
86
s à créer par superpositions et infiltrations des
économies
centralisées. Du xive à la fin du xvie siècle, on assiste donc au p
87
du xvie siècle, on assiste donc au passage de l’
économie
urbaine multiple à une économie nationale, ou mieux étatisée. Cette é
88
c au passage de l’économie urbaine multiple à une
économie
nationale, ou mieux étatisée. Cette économie n’est plus la chose des
89
une économie nationale, ou mieux étatisée. Cette
économie
n’est plus la chose des seuls capitalistes, mais aussi de l’État, qui
90
mercantilisme, qui donne pour buts principaux à l’
économie
de faire vivre par le travail « le mulet populaire » (Richelieu), et
91
le à base exclusive d’immoralité, le pillage de l’
économie
par les finances et l’État, le développement du protectionnisme et de
92
midable concurrence extraeuropéenne, condamnant l’
économie
du continent à se replier sur une exploitation artificielle des march
93
72 ; nationalisme de propagande mais besoin d’une
économie
rationnelle mondiale) — ne peut être que le conflit armé, à une échel
94
ertume. Ici intervient l’évasion. Il achète — par
économie
— une paire de bottes usagées. Mais voilà bien sa chance, ce sont les
95
çon nouvelle). En même temps, les organismes de l’
économie
et de la culture sont devenus si complexes et délicats qu’on a l’impr
96
lice cordiale, cette variété et, à la fois, cette
économie
de moyens. On y retrouve aussi, décrits l’un après l’autre, tous les
97
une orthodoxie de la personne, une société et une
économie
qui la soutiennent, et qu’elle maintienne. (La question se posera un
98
ative de l’État et de la culture, voire même de l’
économie
. Cette convergence, cette rencontre idéale, me paraît être la grande
99
s donnerait peut-être davantage qu’une garantie d’
économie
: une existence vraiment autonome. Le budget de la défense nationale
100
afin d’être fort au-dehors. L’esprit bourgeois, l’
économie
capitaliste, une paresse spirituelle entretenue tyranniquement par no
101
négalités favorisées et protégées82.) Seule notre
économie
cherche à se mettre au pas des grandes économies européennes, mais de
102
e économie cherche à se mettre au pas des grandes
économies
européennes, mais de la manière la plus fatale à ce fédéralisme tant
103
r tous ceux qui sont soucieux, en politique ou en
économie
, d’adapter l’offre à la demande. Mais ce peut être aussi un moyen eff
104
es charrois de minerai, le trafic des chalands, l’
économie
agraire, tout cela ne joue pas un moindre rôle que la nature, les our
105
aspiration d’un Occident jadis chrétien, vers une
économie
sauvée : le Royaume où Dieu est « tout en tous ». Si les églises chré
106
ntenait le peuple juif, malgré le péché, dans une
économie
provisoirement vivable et propre à entretenir l’attente active du Mes
107
hambre. Nous suivions des cours de politique et d’
économie
. Nous chantions ensemble. On nous interrogeait. La plupart des soirée
108
e un gouvernement issu des groupes humains et une
économie
étatiste extra-gouvernementale. Pour atteindre ce but, M. de Rougemon
109
efaire des cadres à sa nation. Car sans cadres, l’
économie
périclitait, et la « défense nationale » ne pouvait pas s’organiser s
110
as d’appartenir. Les renseignements fournis sur l’
économie
paysanne sont plus précis, et paraissent autoriser mieux le terme de
111
thodes nazies d’usage interne, en politique et en
économie
. M. Rivaud ne cache pas l’admiration que lui inspirent les Allemands
112
il retrouve sa juste place, et vivifiante, dans l’
économie
provisoire de la Création, de l’humain. Le païen ne pouvait autrement
113
hambre. Nous suivions des cours de politique et d’
économie
. Nous chantions ensemble. On nous interrogeait. La plupart des soirée
114
et d’inventer lui-même ses fausses nouvelles.
Économie
. — Mon incompétence en ce domaine n’ayant d’égale que celle de report
115
ectives et religieuses, et l’on ne me parle que d’
économie
, de technique politique et de droit. Lorsque j’essaie d’évoquer ce di
116
leçon de la guerre ; pour réussir à concentrer l’
économie
, il faut l’appui d’une mystique, qui paralyse les éléments d’oppositi
117
ui donnera. Ainsi le socialisme « nationalise » l’
économie
; et le nationalisme « socialise » le sentiment patriotique. L’un n’e
118
(plus encore que le synonyme) de la nation, de l’
économie
, de la culture, de la race, et de la société. Formule d’oppression ma
119
ment religieux dans l’hitlérisme. La politique, l’
économie
, jouent leur rôle aussi. Évidemment, il sera toujours possible d’expl
120
été négligée aussi bien par le marxisme que par l’
économie
bourgeoise. Et cette négligence se venge maintenant en suscitant des
121
efaire des cadres à sa nation. Car sans cadres, l’
économie
périclitait, et la « défense nationale » ne pouvait pas s’organiser s
122
n démon 200. Et il retrouve sa juste place dans l’
économie
provisoire de la Création, de l’humain. Le païen ne pouvait autrement
123
efaire des cadres à sa nation. Car sans cadres, l’
économie
périclitait, et la « défense nationale » ne pouvait pas s’organiser s
124
dans sa vie et qu’il s’ouvre un nouvel avenir. L’
économie
de l’épargne, une fois de plus, s’oppose ici à celle du gaspillage, c
125
n démon 218. Et il retrouve sa juste place dans l’
économie
provisoire de la Création, de l’humain. Le païen ne pouvait autrement
126
efaire des cadres à sa nation. Car sans cadres, l’
économie
périclitait, et la « défense nationale » ne pouvait pas s’organiser s
127
dans sa vie et qu’il s’ouvre un nouvel avenir. L’
économie
de l’épargne, une fois de plus, s’oppose ici à celle du gaspillage, c
128
n démon 202. Et il retrouve sa juste place dans l’
économie
provisoire de la Création, de l’humain. Le païen ne pouvait autrement
129
e cesser d’acheter des livres : c’est la première
économie
que l’on fera. De même qu’en temps de restrictions alimentaires on tr
130
: on ne peut plus rien faire, car l’histoire et l’
économie
sont régies par des lois inflexibles. Et surtout, au développement fo
131
mes, croyance aux fatalités de l’Histoire et de l’
Économie
, manie des organisations trop vastes et uniformes, optimisme trop con
132
l s’agissait sans doute d’inciter le public à des
économies
de charbon. On nous recommandait la tiédeur… Mais voici nos voisins b
133
et impraticables aux yeux des « réalistes » de l’
économie
: prélèvement sur le capital ou caisse de compensation, — et je ne pr
134
et impraticables aux yeux des « réalistes » de l’
économie
: prélèvement sur le capital ou caisse de compensation, — et je ne pr
135
l s’agissait sans doute d’inciter le public à des
économies
de charbon. On nous recommandait la tiédeur… Mais voici nos voisins b
136
sociales, nationales. Le commerce, l’industrie, l’
économie
en général, ont cessé d’imposer leurs « lois fatales ». Ce sont les c
137
temps que la Suisse comprenne que le souci de son
économie
ne saurait plus servir d’excuse à l’absence de vues politiques. On de
138
stitut d’enquête et de recherche pour organiser l’
économie
du pays, d’autre part l’introduction du salaire familial et la mise à
139
e cesser d’acheter des livres : c’est la première
économie
que l’on fera. De même qu’en temps de restrictions alimentaires on tr
140
: on ne peut plus rien faire, car l’histoire et l’
économie
sont régies par des lois inflexibles. Et surtout, au développement fo
141
mes, croyance aux fatalités de l’Histoire et de l’
Économie
, manie des organisations trop vastes et uniformes, optimisme trop con
142
e à dire aux économistes aussi. Car après tout, l’
économie
est une création des hommes, d’autres hommes peuvent la modifier, et
143
afin d’être fort au-dehors. L’esprit bourgeois, l’
économie
capitaliste, une paresse spirituelle entretenue par nos écoles, la te
144
négalités favorisées et protégées30.) Seule notre
économie
cherche à se mettre au pas des grandes économies européennes, mais de
145
e économie cherche à se mettre au pas des grandes
économies
européennes, mais de la manière la plus fatale à ce fédéralisme tant
146
ves, sollicitent un progrès nouveau et décisif. L’
économie
vient remettre en question les succès obtenus dans d’autres plans. Or
147
alifié et un manœuvre. La solution fédéraliste en
économie
est alors celle-ci : centraliser tout ce qui est de l’ordre du travai
148
l s’agissait sans doute d’inciter le public à des
économies
de charbon. On nous recommandait la tiédeur… Mais voici nos voisins b
149
sociales, nationales. Le commerce, l’industrie, l’
économie
en général, ont cessé d’imposer leurs « lois fatales ». Ce sont les c
150
temps que la Suisse comprenne que le souci de son
économie
ne saurait plus servir d’excuse à l’absence de vues politiques. On de
151
hé, mais pas le diable. Ne peut-on pas en faire l’
économie
? Si l’on dissipait le péché, l’on constaterait qu’il n’y a personne
152
e chose était vermoulu dans notre monde, dans son
économie
ou dans sa morale, Hitler a poussé à fond, jusqu’à ce que tout s’écro
153
hé, mais pas le diable. Ne peut-on pas en faire l’
économie
? Si l’on dissipait le péché, l’on constaterait qu’il n’y a personne
154
ensongères. La politique était devenue gâteuse, l’
économie
incontrôlable et délirante, la morale en pleine déroute, et le peuple
155
e chose était vermoulu dans notre monde, dans son
économie
ou dans sa morale, Hitler a poussé à fond, jusqu’à ce que tout s’écro
156
opper les conséquences sur tous les plans, pour l’
économie
, la morale, le civisme et la religion. Le beau travail ! Le bel aveni
157
es prétextes que nous offrent les historiens de l’
économie
matérialiste. Nous nous réfugions dans l’Ennui plutôt que d’accepter
158
hé, mais pas le diable. Ne peut-on pas en faire l’
économie
? Si l’on dissipait le péché, l’on constaterait qu’il n’y a personne
159
ensongères. La politique était devenue gâteuse, l’
économie
incontrôlable et délirante, la morale en pleine déroute, et le peuple
160
e chose était vermoulu dans notre monde, dans son
économie
ou dans sa morale, Hitler a poussé à fond, jusqu’à ce que tout s’écro