1
ale, suivre à l’égard de soi-même la méthode de l’
Évangile
qui, prenant à plein poing toutes ces petites misères, en compose d’u
2
de Lyon, répondit en exposant les exigences de l’
Évangile
en face de la pensée moderne, et fut impressionnant de vigueur dialec
3
agons ont été les meilleurs prédicateurs de notre
Évangile
». Et les persécutions contre ceux qui n’ont commis d’autre crime que
4
uoi nous rassurer. Si la vie de Kagawa glorifie l’
Évangile
, elle accuse formellement la grande majorité des chrétiens. Tant mieu
5
eau, il passa trois heures et demie à lire tout l’
Évangile
selon saint Matthieu, du premier chapitre au dernier, priant continue
6
n toute logique inévitables. Car ce qui naît de l’
Évangile
n’a de sens que par le jaillissement vers Dieu. Et tout précepte évan
7
ions ce que Dieu jugea bon de nous révéler dans l’
Évangile
. Et en présence de l’intempérance de langage qui trop souvent caracté
8
comme fondée sur deux des réalités centrales de l’
Évangile
: le renoncement et la réalisation personnelle, n’est-ce point tout s
9
» des dangers inhérents à l’être concret. Seul l’
Évangile
— je ne dis pas les religions, ni leurs morales, ni leurs prêtres, ni
10
’assurance dans le monde et contre Dieu —, seul l’
Évangile
est radicalement dangereux, — salutaire. 38. Aux Éditions de la Rev
11
out à fait étranger au réalisme « tragique » de l’
Évangile
, et qui même, dans certains cas extrêmes, nous tient quitte de la foi
12
petit nuage, il passera. » Ce mot me fut parole d’
Évangile
quand je le lus l’année dernière. À cette heure où Paris… Berne,
13
ouve d’abord, dès la Réforme, deux « ministres du
saint Évangile
» et deux juges. À partir du xviie siècle, les généalogies que j’ai
14
uit la démarche de ses fondateurs : le retour à l’
Évangile
débarrassé de tous les adoucissements dogmatiques et compromis ecclés
15
tingué clairement le péril de sécularisation de l’
Évangile
impliqué dans leur attitude, et qui les ferait retomber dans les viei
16
r sans crainte d’erreur une telle maxime : tout l’
Évangile
la confirme et l’illustre. Or, la force, pour le chrétien, quelle est
17
e pour tâche de rendre acceptable le message de l’
Évangile
, d’en atténuer le scandale, d’intégrer largement les découvertes de l
18
t un rappel violent à la nouveauté éternelle de l’
Évangile
; une remise en question radicale et intime de notre existence devant
19
paraître comme les constantes de déformation de l’
Évangile
au contact des humains. Et puis, que ferions-nous en attendant que le
20
invariant chrétien » est toute autre chose que l’
Évangile
? ou bien si, au contraire, ce n’était rien que l’Évangile ? Peine pe
21
? ou bien si, au contraire, ce n’était rien que l’
Évangile
? Peine perdue ? — Grosses questions, questions un peu grosses, dira-
22
et individu, et du prochain, tel que le définit l’
Évangile
; d’autre part, certaines conséquences politiques de l’erreur individ
23
on, où bat le cœur du paradoxe le plus fou, que l’
Évangile
nous dit : « Aimez vos ennemis » ? 6. Je préfère employer le pronom
24
nse à toutes ces questions, c’est la réponse de l’
Évangile
. Faites toutes les sociétés que vous voudrez, bouleversez les institu
25
i unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’
Évangile
seul nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’être. Et voilà
26
procher de l’homme Jésus tel que le décrivent les
évangiles
. Mais, dit M. Dominicé, deux obstacles très graves se dressaient auss
27
table aux dix-neuf siècles qui nous séparent de l’
Évangile
. Du même coup, l’expérience religieuse, dialogue vivant avec le Chris
28
ce religieuse, dialogue vivant avec le Christ des
évangiles
, se réduisait à une contemplation de sa vie. Dans cette difficulté, l
29
el toute communion est impossible. Mystère dont l’
Évangile
répète plusieurs fois : « Heureux celui qui ne s’en scandalise pas. »
30
its les plus frappants du Calvin commentateur des
évangiles
, tel que nous le restitue M. Dominicé, que cette insistance à mettre
31
y end soi-disant édifiant, s’il est certain que l’
Évangile
et ses promesses de salut sont seuls capables de donner à l’homme une
32
la misère de l’homme : elle lui est révélée par l’
Évangile
qui sauve. ⁂ La lecture du Traité n’est pas des plus aisées. Les term
33
ent en vérité à l’humanitarisme, et nullement à l’
Évangile
. Le « christianisme » qu’attaquait Nietzsche, c’est, en réalité, la m
34
trême gravité que présentent ces perversions de l’
Évangile
vient de ce que les chrétiens s’y sont laissés prendre. C’est tout le
35
les valeurs bourgeoises il n’y a pas la Loi, ni l’
Évangile
, il y a tout au contraire une sournoise révolte de l’homme naturel, u
36
ale usurpe l’apparence évangélique, en haine de l’
Évangile
et de ses exigences concrètes. Est-il besoin de marquer, pour finir,
37
onne qui peut être définie comme le prochain de l’
Évangile
. La seconde objection concerne l’efficacité probable des doctrines de
38
te. »16 Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’
Évangile
le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette révélation, sauvé. Ai
39
relation réelle et humainement bienfaisante que l’
Évangile
appelle l’amour du prochain. Ni ange, ni bête, ni droite ni gauche. P
40
L’Ordre nouveau . 20. N’est-ce pas ainsi que l’
Évangile
définit la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui
41
py end soi-disant édifiant s’il est certain que l’
Évangile
et ses promesses de salut sont seuls capables de donner à l’homme une
42
n chez Paul et Jean, puis chez les rédacteurs des
évangiles
, enfin chez les premiers pères, M. Goguel met en lumière une évolutio
43
it choisi comme prévenus les auteurs anonymes des
évangiles
et du livre des Actes. La méfiance règne en permanence dans son espri
44
leur appliquait les critères dont il use envers l’
Évangile
. (Qu’on se rappelle la plaisanterie fameuse parmi les étudiants, qui
45
celui de certains humoristes. Les rédacteurs des
évangiles
étaient-ils vraiment si « bourgeois », si prudents, si soucieux de lo
46
nse à toutes ces questions, c’est la réponse de l’
Évangile
. Faites toutes les sociétés que vous voudrez, bouleversez les institu
47
i unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’
Évangile
seul nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’être. Et voilà
48
Je ne puis l’accorder sans de fortes réserves. L’
Évangile
nous apprend que Dieu s’adresse à tous les hommes, croyants ou non. J
49
ête24. » Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’
Évangile
le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette révélation, sauvé. Ai
50
lation concrète et humainement bienfaisante que l’
Évangile
appelle l’amour du prochain. Ni ange ni bête, ni droite ni gauche26.
51
out à fait étranger au réalisme « tragique » de l’
Évangile
, et qui même dans certains cas extrêmes, nous tiendrait quitte de la
52
connue depuis le Christ, elle a été prédite par l’
Évangile
et l’Apocalypse — c’est une catastrophe. Tandis que l’issue du commun
53
arriveront à donner un sens réel aux paroles de l’
Évangile
. Dieu seul le peut. La conclusion de tout cela est évidente. Si nous
55
réalité dans l’ordre évangélique. Que dit donc l’
Évangile
? « Les premiers seront les derniers », c’est-à-dire : ce que l’homme
56
ice du pouvoir spirituel nous est prescrit, par l’
Évangile
, comme un service dans l’abaissement. La primauté du spirituel n’est
57
e vie. Aussi bien n’en espère-t-on pas d’autre. L’
Évangile
ne parle jamais du bonheur65. Il indique à chaque homme sa vocation t
58
e, surtout sensible dans la petite bourgeoisie. L’
Évangile
ne parle jamais d’égalité. Il dit simplement que les premiers seront
59
alyse de ce livre. 78. N’est-ce pas ainsi que l’
Évangile
définit la notion fondamentale de prochain ? Le prochain, c’est celui
60
nse à toutes ces questions, c’est la réponse de l’
Évangile
. Faites toutes les sociétés que vous voudrez, bouleversez les instit
61
i unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’
Évangile
seul nous le désigne, bien plus : il nous ordonne de l’être. Et voilà
62
Je ne puis l’accorder sans de fortes réserves. L’
Évangile
nous apprend que Dieu s’adresse à tous les hommes, croyants ou non. J
63
ête19. » Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’
Évangile
le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette révélation, sauvé. Ai
64
lation concrète et humainement bienfaisante que l’
Évangile
appelle l’amour du prochain. Ni ange ni bête, ni droite ni gauche. Pe
65
connue depuis le Christ, elle a été prédite par l’
Évangile
et l’Apocalypse — c’est une catastrophe. Tandis que l’issue du commun
66
arriveront à donner un sens réel aux paroles de l’
Évangile
. Dieu seul le peut. La conclusion de tout cela est évidente. Si nous
68
réalité dans l’ordre évangélique. Que dit donc l’
Évangile
? « Les premiers seront les derniers », c’est-à-dire : ce que l’homme
69
ice du pouvoir spirituel nous est prescrit, par l’
Évangile
, comme un service dans l’abaissement. La primauté du spirituel n’est
70
e vie. Aussi bien n’en espère-t-on pas d’autre. L’
Évangile
ne parle jamais du bonheur57. Il indique à chaque homme sa vocation t
71
e, surtout sensible dans la petite bourgeoisie. L’
Évangile
ne parle jamais d’égalité. Il dit simplement que les premiers seront
72
exigence de la contemporanéité avec le Christ des
évangiles
? La Dogmatique de Barth nous offre maints exemples de mise au point
73
j’eus une idée paradoxale : je proposai de lire l’
Évangile
. Je m’emparai d’une Bible qui se trouvait posée sur le bureau et qui
74
urir. Mais saint Jean ne se doutait guère que son
Évangile
serait un jour transformé en pylône émetteur ! » — À quoi l’un des ba
75
l homme, de grâce infuse et de radioactivité de l’
Évangile
! Mais vous, avez-vous donc dépassé cette angoisse ? Vraiment, l’avez
76
st donc le rôle de l’Église ? Est-il de prêcher l’
Évangile
, ou bien de faire triompher telle ou telle doctrine sociale adoptée p
77
de la grande ville de Kobé, et se met à prêcher l’
Évangile
. Mais son activité ne se borne pas là : prêcher, certes, c’est son pr
78
moins des normes de pensée que des chemins vers l’
Évangile
. L’Évangile seul, éclairé par l’Esprit, reste la norme de toute théol
79
rmes de pensée que des chemins vers l’Évangile. L’
Évangile
seul, éclairé par l’Esprit, reste la norme de toute théologie, fût-el
80
e qu’ils portent aux scandales que pour nuire à l’
Évangile
et le diffamer comment que ce soit ». Il y a ceux pour lesquels les d
81
sidérait comme ministre du Verbe divin. Prêcher l’
Évangile
, c’est à son sens engager le dialogue avec toutes les catégories d’ho
82
nelles et temporelles ». C’est aussi ce que dit l’
Évangile
, où il n’est pas question de mysticisme. Ceci marqué, qui est plus qu
83
uement métaphorique et sentimental en dehors de l’
Évangile
, où ce mot signifie pardon, rémission des péchés et de la peine de mo
84
voient et que sa chair perçoit (à la lecture des
évangiles
par exemple) au lieu d’écouter l’ordre, au lieu de croire et de faire
85
dernier de toute « formulation chrétienne », les
évangiles
et les écrits apostoliques. Mais mon propos est ici simplement de rép
86
nt que tel, croit que l’Église est au-dessus de l’
Évangile
, qu’elle a barre sur lui, qu’elle dispose de critères qui ne sont pas
87
les conjonctures différentes. (Méditations sur l’
Évangile
, lve jour.) Bossuet ajoute : Vous vous étonnez de ce qu’on sépare
88
res tout à fait intéressants pour interpréter les
évangiles
… 27. Méthode dont je crains bien qu’elle ne repose toujours, en fin
89
mais pour le transformer en vérité. Mission que l’
Évangile
et la théologie résument par le seul mot de Rédemption, et que certai
90
Et pourtant, la définition même de la foi dans l’
Évangile
n’est-elle pas justement ce cri : « Je crois, Seigneur, viens au seco
91
: est-ce là l’œuvre du Dieu d’amour dont parle l’
Évangile
? « La fourmi périssant de mort violente sous le talon d’un chrétien
92
celui qu’ici l’on nomme la Personne, celui que l’
Évangile
a révélé lorsqu’il nous a montré dans chaque homme le Prochain. Les c
93
celui qu’ici l’on nomme la Personne, celui que l’
Évangile
a révélé lorsqu’il nous a montré dans chaque homme le Prochain. Les c
94
r n’a pas inventé, mais qui est au cœur même de l’
Évangile
. L’apôtre Paul l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique »,
95
terme à terme, à celui que Luther et Paul — et l’
Évangile
— posent à notre foi. C’est qu’il a poussé, comme Luther, jusqu’aux e
96
st un affadissement et une trahison certaine de l’
Évangile
qui ont conduit les chrétiens moyens à insister uniquement sur la dou
97
rité » sentimentale est nettement condamnée par l’
Évangile
: « Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive. » Et le ter
98
a « charité », se trouve avoir été glorifié par l’
Évangile
: Violenti rapiunt illud, le Royaume de Dieu est promis aux violents.
99
l y a eu des églises de riches. Elles ont trahi l’
Évangile
. Un philosophe français, M. Julien Benda, a dit que les clercs ont tr
100
oi ne pas saisir cette occasion de leur prêcher l’
Évangile
, là, tout droit, dans leur langage de tous les jours, comme le faisai
101
s songé qu’il pût faire autre chose qu’annoncer l’
Évangile
. Qu’importe qu’il n’y ait « à vues humaines » aucun espoir de se fair
102
e transformé par la foi. L’homme nouveau, selon l’
Évangile
, est un homme qui a changé de sens. Il est orienté autrement, comme l
103
La transformation personnelle, au sens total de l’
Évangile
, ne peut donc se traduire, si elle s’est faite, que par une action du
104
oilà qui paraîtra plus scandaleux. Et cependant l’
Évangile
est formel : « Que servirait à un homme de gagner le monde, s’il perd
105
’Apôtre. Malheur à moi si je refuse de réaliser l’
Évangile
dans tous les domaines de la vie. La seule lutte efficace contre le m
106
tion du christianisme résulte nécessairement de l’
Évangile
! 54. Déclaration d’un étudiant chinois au congrès mondial de la Féd
107
l y a eu des églises de riches. Elles ont trahi l’
Évangile
. « Un philosophe français, M. Julien Benda, a dit que les clercs ont
108
oi ne pas saisir cette occasion de leur prêcher l’
Évangile
, là, tout droit, dans leur langage de tous les jours, comme le faisai
109
s songé qu’il pût faire autre chose qu’annoncer l’
Évangile
. Qu’importe qu’il n’y ait « à vues humaines » aucun espoir de se fair
110
r n’a pas inventé, mais qui est au cœur même de l’
Évangile
. L’apôtre Paul l’a formulé avant toute « tradition ecclésiastique » ;
111
terme à terme, à celui que Luther et Paul — et l’
Évangile
— posent à notre foi. C’est qu’il a poussé comme Luther, jusqu’aux ex
112
contre le « monde chrétien » au nom du Christ des
évangiles
. ⁂ Toute mon activité d’auteur — nous dit-il dans son Point de vue ex
113
l possède en Europe, le fait vraiment au nom de l’
Évangile
? Et je me demande si cet ordre établi que l’on nous invite à défendr
114
ômage et la prostitution, se fonde vraiment sur l’
Évangile
? Quand on me dit que les rouges d’Espagne brûlent les églises, je ne
115
ainte » des entreprises qui, du point de vue de l’
Évangile
, resteront toujours profondément impures. Surtout, que l’on nous lais
116
tout ce qu’un Nietzsche absurdement reproche à l’
Évangile
. C’est Éros, et non pas Agapè, qui a glorifié notre instinct de mort,
117
e la forme que pourra revêtir la prédication de l’
Évangile
, le témoignage des fidèles. Le grand danger serait de lier sa foi à d
118
istes qui refusent de laisser « mettre au pas » l’
Évangile
. Cette Église organise dans plusieurs villes d’Allemagne, successivem
119
rétendait modifier et limiter la prédication de l’
Évangile
. Je ne sais si tous ont compris la profondeur de cette opposition, et
120
sur une interprétation purement spiritualiste des
évangiles
. Ils font du Saint-Esprit la Mère de Dieu, le principe féminin de l’a
121
nce », débat dont je ne trouve pas trace dans les
évangiles
, s’il est vrai qu’il encombre une bonne part de la théologie, surtout
122
? 3.Agapè ou l’amour chrétien Prologue de l’
Évangile
de Jean : Au commencement était la Parole, et la Parole était avec
123
ier, elle devient la première condition. Ce que l’
Évangile
appelle « mort à soi-même », c’est le début d’une vie nouvelle, dès i
124
une interprétation purement « spiritualiste » des
évangiles
, et spécialement de l’Évangile de Jean. Triple hérésie contre la Trin
125
iritualiste » des évangiles, et spécialement de l’
Évangile
de Jean. Triple hérésie contre la Trinité : en effet, elle divise le
126
ait solennellement à se consacrer à Dieu et à son
Évangile
, à ne jamais mentir ni jurer, à s’abstenir de tout contact avec sa fe
127
érésie des cathares consistait à idéaliser tout l’
Évangile
, et à regarder l’amour sous toutes ses formes comme un élan hors du m
128
cathares opposent la Nuit au Jour comme le fait l’
Évangile
de Jean. Mais la Parole du Jour, pour eux, n’a pas revêtu la forme de
129
rend dans une satire du xiiie siècle intitulée l’
Évangile
des femmes : c’est une suite de quatrains dont les trois premiers ver
130
e nom même de l’amour divin, et d’avoir fait de l’
Évangile
un prétexte à massacrer les « purs ». 119. Ai-je dit que la chevaler
131
ire sa vocation particulière qui est de prêcher l’
Évangile
. — Vous voyez que le Führer sait parfaitement opérer, dans le concret
132
? 3.Agapè ou l’amour chrétien Prologue de l’
Évangile
de Jean : Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Di
133
ier, elle devient la première condition. Ce que l’
Évangile
appelle « mort à soi-même », c’est le début d’une vie nouvelle, dès i
134
ux de Gottfried et des hérétiques de son temps, l’
Évangile
« pur » et la gnose dualiste : le monde manifesté, la chair en généra
135
érésie des cathares consistait à idéaliser tout l’
Évangile
, et à regarder l’amour sous toutes ses formes comme un élan hors du m
136
cathares opposent la Nuit au Jour comme le fait l’
Évangile
de Jean. Mais la Parole du Jour, pour eux, n’a pas revêtu la forme de
137
rend dans une satire du xiiie siècle intitulée l’
Évangile
des femmes : c’est une suite de quatrains dont les trois premiers ver
138
? 3.Agapè ou l’amour chrétien Prologue de l’
Évangile
de Jean : « Au commencement était la Parole, et la Parole était avec
139
ier, elle devient la première condition. Ce que l’
Évangile
appelle « mort à soi-même », c’est le début d’une vie nouvelle, dès i
140
ux de Gottfried et des hérétiques de son temps, l’
Évangile
« pur » et la gnose dualiste : le monde manifesté, la chair en généra
141
érésie des cathares consistait à idéaliser tout l’
Évangile
, et à regarder l’amour sous toutes ses formes comme un élan hors du m
142
cathares opposent la Nuit au Jour comme le fait l’
Évangile
de Jean. Mais la Parole du Jour, pour eux, n’a pas revêtu la forme de
143
rend dans une satire du xiiie siècle intitulée l’
Évangile
des femmes : c’est une suite de quatrains dont les trois premiers ver
144
l’église], ce n’est pas la libre pensée, c’est l’
Évangile
. » Mais n’y a-t-il pas, à l’origine de ce refus de toute église (tant
145
une orthodoxie qui ne prétende pas s’emparer de l’
Évangile
, mais au contraire s’y ordonner. « Orthodoxie protestante — écrit Gid
146
u contraire par grande fidélité à l’autorité de l’
Évangile
, fondement unique et suffisant de la seule orthodoxie libératrice. ⁂
147
ent communes, ordonnées à une même foi, à un même
évangile
, à une même espérance. Ainsi encore, au temps de la Réformation, l’In
148
nuage, il passera. » Ce mot me fut comme parole d’
Évangile
quand je le lus l’année dernière. Et je ne me trompais guère, vous al
149
son pays. « Dans mon désespoir, j’eus recours à l’
Évangile
qu’on trouve sur toutes les tables de nuit de ces hospices. Je le feu
150
le ou telle situation les paroles éternelles de l’
Évangile
et des prophètes : par exemple, pour exhorter les fidèles à renoncer
151
re sa vocation particulière, qui est de prêcher l’
Évangile
. — Vous voyez que le Führer sait parfaitement opérer, dans le concret
152
cations conformes au Décalogue et à l’esprit de l’
Évangile
. Tout cela doit rester « occasionnel », mais dans le sens du hic et n
153
ent communes, ordonnées à une même foi, à un même
Évangile
, à une même espérance. Ainsi encore, au temps de la Réformation, l’In
154
re sa vocation particulière, qui est de prêcher l’
Évangile
. — Vous voyez que le Führer sait parfaitement opérer, dans le concret
155
cations conformes au Décalogue et à l’esprit de l’
Évangile
. Tout cela doit rester « occasionnel », mais dans le sens du hic et m
156
ser le protestantisme au monde, mais d’annoncer l’
Évangile
, la bonne nouvelle du « salut de grâce et bonté pure » comme on disai
157
— puisqu’il est appelé Prince de ce monde dans l’
Évangile
— mais il n’aura jamais que ce monde-ci. Il ne reconquerra jamais le
158
able est Menteur, et le Père du mensonge », dit l’
Évangile
tel qu’on le cite d’ordinaire. Ceci concerne le premier mensonge, cel
159
ù vous êtes assis. 4. Expression empruntée à l’
Évangile
par une erreur de traduction. Le texte véritable ne dit pas « Paix su
160
e gagner le monde s’il perdait son âme ? », dit l’
Évangile
. Le Pacte avec le diable consiste exactement à gagner le monde au pri
161
t ailleurs qu’impérialisme pur. Il est vrai que l’
Évangile
lui-même pardonne beaucoup à celle qui a beaucoup aimé… Il reste à vo
162
ous êtes tous membres les uns des autres », dit l’
Évangile
. Nous sommes tous dans le bateau qui coule, et en même temps nous som
163
role qui devait être la mesure du vrai, et dont l’
Évangile
dit que, dans sa source, elle est « la vie et la lumière des hommes »
164
r, puisqu’il est appelé Prince de ce monde dans l’
Évangile
— mais il n’aura jamais que ce monde-ci. Il ne reconquerra jamais le
165
t être jugés sans erreur. « Ne jugez pas », dit l’
Évangile
. Cette perspective biblique, rapportant tout à Dieu et à sa volonté s
166
iable est menteur et le Père du mensonge », dit l’
Évangile
tel qu’on le cite d’ordinaire. Ceci concerne le premier mensonge, cel
167
le d’Antéchrists. Tout, et n’importe quoi, sauf l’
Évangile
et la sobriété de la Croix. Et si le diable échoue dans certains peup
168
tous les ordres, fut donnée par cette phrase de l’
Évangile
: « Faites aux autres ce que vous voudriez qu’ils vous fissent ». Exe
169
st le bon sens même. Mais c’est le contraire de l’
Évangile
, qui voulait faire de nous des humbles et nous donner l’esprit de Pau
170
vous êtes assis. 11. Expression empruntée à l’
Évangile
par une erreur de traduction. Le texte véritable ne dit pas « Paix su
171
qu’aussitôt après — au paragraphe suivant dans l’
Évangile
—, ce premier pape se fait dire par Jésus : « Arrière de moi Satan !
172
e coup de théâtre, l’un des plus stupéfiants de l’
Évangile
et de la vie spirituelle, s’explique sans la moindre équivoque : Jésu
173
laisait à Dieu… En quelques lignes, l’auteur de l’
Évangile
a décrit toute l’histoire de l’Église. À chaque instant dans tous les
174
e gagner le monde s’il perdait son âme ? », dit l’
Évangile
. Le Pacte avec le diable consiste exactement à gagner le monde au pri
175
t ailleurs qu’impérialisme pur. Il est vrai que l’
Évangile
lui-même pardonne beaucoup à celle qui a beaucoup aimé… Il reste à vo
176
ous êtes tous membres les uns des autres », dit l’
Évangile
. Nous sommes tous dans le bateau qui coule, et en même temps nous som
177
role qui devait être la mesure du vrai, et dont l’
Évangile
dit que, dans sa source, elle est « la vie et la lumière des hommes »
178
r, puisqu’il est appelé Prince de ce monde dans l’
Évangile
— mais il n’aura jamais que ce monde-ci. Il ne reconquerra jamais le
179
t être jugés sans erreur. « Ne jugez pas », dit l’
Évangile
. Cette perspective biblique, rapportant tout à Dieu et à sa volonté s
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iable est menteur et le Père du mensonge », dit l’
Évangile
tel qu’on le cite d’ordinaire. Ceci concerne le premier mensonge, cel
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le d’Antéchrists. Tout, et n’importe quoi, sauf l’
Évangile
et la sobriété de la Croix. Et si le diable échoue dans certains peup
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tous les ordres, fut donnée par cette phrase de l’
Évangile
: « Faites aux autres ce que vous voudriez qu’ils vous fissent ». Exe
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st le bon sens même. Mais c’est le contraire de l’
Évangile
, qui voulait faire de nous des humbles et nous donner l’esprit de Pau
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vous êtes assis. 13. Expression empruntée à l’
Évangile
par une erreur de traduction. Le texte véritable ne dit pas « Paix su
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qu’aussitôt après — au paragraphe suivant dans l’
Évangile
—, ce premier pape se fait dire par Jésus : « Arrière de moi Satan !
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e coup de théâtre, l’un des plus stupéfiants de l’
Évangile
et de la vie spirituelle, s’explique sans la moindre équivoque : Jésu
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laisait à Dieu… En quelques lignes, l’auteur de l’
Évangile
a décrit toute l’histoire de l’Église. À chaque instant dans tous les
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e gagner le monde s’il perdait son âme ? », dit l’
Évangile
. Le Pacte avec le diable consiste exactement à gagner le monde au pri
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t ailleurs qu’impérialisme pur. Il est vrai que l’
Évangile
lui-même pardonne beaucoup à celle qui a beaucoup aimé… Il reste à vo
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ous êtes tous membres les uns des autres », dit l’
Évangile
. Nous sommes tous dans le bateau qui coule, et en même temps nous som
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role qui devait être la mesure du vrai, et dont l’
Évangile
dit que dans sa source elle est « la vie et la lumière des hommes » !
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ersonne ne peut agir. » C’est quelque part dans l’
Évangile
. Ou faudra-t-il enterrer nos secrets, pour d’autres qui peut-être ne
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iable est menteur et le Père du mensonge », dit l’
Évangile
tel qu’on le cite d’ordinaire. Ceci concerne le premier mensonge, cel
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quoi sa réalité historique, telle que l’atteste l’
Évangile
, nous apparaît foncièrement inconcevable. Et les disciples mêmes, qui
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voient et que sa chair perçoit (à la lecture des
évangiles
, par exemple) au lieu d’écouter l’ordre, au lieu de croire et de fair